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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 8

Trash
Sous les parasols, Lili semble s’être endormie. Isa est en plein cagnard et lit le livre oublié par Eva. Elle est enduite de « graisse à traire », ce qui lui renforce son teint halé. Ma femme est enduite de crème solaire le la tête aux pieds. Je devine qui l’a enduite.

— Coucou, fait Eva, voilà le ravitaillement. 

Les deux filles nous regardent avec envies. Elles ont faim. Le repas se passe bien. Nos deux « vieux » s’éclipsent pour une sieste. Ma femme les accompagne, espérant trouver un peu de fraîcheur. Isa me propose de me passer de sa « graisse à traire », jugeant que je suis assez bronzé pour en mettre. Je vais pour m’allonger mais elle me dit que cela ira mieux debout. Elle commence par mes épaules, mon dos, les fesses et les jambes. Elle passe devant moi et recommence, cette fois si, par le visage, le torse, le ventre, les cuisses. Elle en reprend une grosse noix et m’en enduit le sexe.

— Voilà. On peut allez à l’eau.

Le contact de l’eau est des plus bizarre. C’est comme si j’avais une seconde peau. J’essaie d’attraper Isa, elle me glisse des mains. Elle part plus loin en rigolant. Mais la tentation est plus forte, elle vient en se pendant à mon cou. Elle m’embrasse goulûment et passe ses jambes musclées dans mon dos. On plonge plusieurs fois. On se bécote comme deux amoureux. Ne serais-je pas, effectivement, en train de tomber amoureux ? Mais je m’en fou. Je profite de l’instant présent. On sort de l’eau en se croisant les doigts. On s’allonge face à face. J’approche mon visage et le frotte contre le sien. Je suis bien. Je m’endors.On est réveillé par Jean qui vient nous chercher. Il nous dit que le plage va changer de populace. Si on veut manger tranquille, il vaut mieux partir au bungalow. On remballe tout et nous suivons Isa.

— Quel cul elle à... me dit Jean. On dirait une Maman de Dakar.

-Oui mais tellement plus accueillant.

— J’n’y ai pas encore goutté...HAHAHA. 

On arrive au bungalow. Ma femme et Éva mettent la table. Le barbecue est allumé. Le pastis trône sur la table. Je demande s’il est possible de faire l’apéro au rosé. Jean se lève et va nous chercher une bouteille de Bandol. On mange, on boit, moi pas trop. Il est 20h00 quand nous sortons de table. Après un bref passage aux blocs sanitaires, pour prendre une bonne douche salvatrice, nous retournons au bungalow. Jean et Éva nous disent qu’ils nous rejoindront plus tard. Nous partons donc, serviettes sur l’épaule, vers la plage. Le feu de camp et déjà allumé. Nous nous installons. Lili scrute avec appréhension les couples, les hommes, les femmes présents. Ils sont tous nus.

 - Vas-y, tu en meurs d’envie... Allez, fait ta salope. Lui dit Isa. Si tu veux, on t’accompagne. 

Lili lui sourit. On se dirige vers le feu de camp en se tenant par la main, Lili étant au centre. J’aperçois la petite Léa, Virginie et Marc. Je tire Lili pour les présenter. Elle est morte de honte quand Marc se lève et l’embrasse. Virginie et Léa me tirent un peu à l’écart.

— Mais c’est qui cette coincée du cul ? Dit Virginie.

— C’est ma femme.— Oups, pardon.

Elle rejoint Marc et Lili se laisse embrasser par Marc qui lui tient la tête à deux mains. Isa qui m’a rejoint me dit qu’il vaut mieux la laisser. Elle est entre de bonnes mains. On s’assoie, un peu à l’écart du trio qui vient de se former. Léa me prend la bite et commence à me branler.

— Enfin, voilà mon étalon. Heureuse que tu sois venue.

 - Heu...

Isa est morte de rire mais elle accompagne Léa dans sa douce masturbation. Je déshabille (enfin, façon de parler) mes deux partenaires du regard. Il y a un point commun. Leur bronzage intégral. Voyant que je n’ai d’yeux que pour Léa, Isa quitte ma queue et s’en va plus loin, histoire de voir ce qu’il se passe. Léa s’approche de moi.

— Alors mon bel étalon, en forme ?

— Comme tu peux le voir.

— Tu es prêts à me faire l’amour, à me prendre ?

— C’est demandé si gentiment.

Léa se place en tailleur et viens se planter sur mon pieu. Et lâche un « HAAA » de bonheur ? Je n’avais pas remarqué son épilation intégrale. C’est un petit triangle blanc qui m’invite à la luxure. Léa ne bouge pas, je sens ses muscles vaginaux se contracter. Elle mouille comme pas possible. Je regarde ma femme qui est entre les mains de Virginie et de Marc. Elle est allongée, Virginie est entre ses jambes, pendant que Marc se fait sucer. Je prends la tignasse de Léa est je l’embrasse comme un fou. On se bave dessus. Je caresse ses petits seins. Je lui mange la bouche. — Tu veux qu’on les rejoigne ?— Nan, tu es à moi ce soir, rien qu’à moi... 

Elle se met à pleurer au creux de mon épaule.

— Chut, calme-toi. OK, on reste là.

Je sens comme une chaude inondation au niveau de la base de mon sexe et sur mes couilles. Honteuse, elle me dit que c’est à chaque fois comme cela dès qu’on la pénètre. 

— Humm, ce n’est pas grave, tu es une femme fontaine et cela me plait.

— Oui mais tous les mecs qu’elle j’ai connu se moque de moi.

— Que des cons. J’adore, cela prouve que tu as envie de ton partenaire. Ne t’inquiète pas, lâche toi.

Elle commence alors de dandiner du cul. Elle est belle ma petite rousse. Je lui suce un téton, ce qui l’a fait gémir. Je passe mes deux mains sous ses petites fesses. J’accompagne ses mouvements. Je la soulève de plus en plus. Elle grommelle. On s’embrasse à pleine bouche. Ses yeux me fixent. Elle jouit en silence.

-Tu veux que l’on s’isole ?

-Oui, Chez moi. J’habite à deux cents mètres.

On se déboîte et on part à travers la pinède, traverse une petite route goudronnée et elle m’amène devant l’entrée d’une charmante villa. Elle soulève le tapis et prend les clés. Elle ouvre et m’entraîne dans sa chambre. Une odeur de vanille vient me caresser les narines. Le décor n’est fait que de poupées et peluches. La fenêtre est ouverte. On peut entendre les rires qui viennent de la plage. On se regarde avec envie. Je la dépose le cul nu sur la chaise de son bureau. Je m’accroupie et introduis deux doigts dans sa fente baveuse. Je fais une dizaine d’aller-retour virulent. Elle s’agrippe à mes épaules et jouit.

— AHHH, HERVE, qu’est-ce que tu me fais. TROP BON.... OUIIII.

Je me délecte, je la bois, Je lape son jus. Elle est toujours assise, la tête sur mon épaule. Elle respire fort et vite. Elle me dit que c’est la première fois qu’on lui fait ça. Je me relève et la prends dans mes bras. Je la dépose sur le rebord de son petit lit. Je lui remonte les jambes que je pose suer mes épaules. Ma bite et à la bonne hauteur et c’est lentement que je m’enfonce dans son con. Elle se mort les lèvres. Souffle, gémit. J’accélère mon mouvement. Je la pilonne avec force. Je la retourne, la mets en position de levrette. Ma bite trouve toute seule sa grotte d’amour. J’y vais gaillardement. Le bruit que fait mon ventre à chaque fois qu’il claque contre ses fesses est terrible. Elle hurle sa jouissance.

— OUI, ARGH, OUIIII, C’EST TROP BON.... HERVE C’EST TROP BON...

Je lui fesse son petit cul qui commence à rougir. Je ne tiens plus. Je décharge. De puissants jets viennes inondés sont petit vagin. Je m’affale sur elle, toujours emboîté. Elle essaie de reprendre sa respiration. Moi de même. Elle tourne la tête et m’embrasse, ce que je prends pour un remerciement. Elle se lève et m’entraîne dans la cuisine. On se sert à boire. Elle se plaque contre moi, me prend la queue dans la main.

— J’ai encore envie d’elle. Je veux te boire.

— Je ne suis pas intarissable ma petite.

Déçu, elle fait sa boudeuse. Je la prends dans mes bras et lui gobe, l’un après l’autre, ses deux petits œufs sur le plat. Elle gémit, me prend la queue dans la main.

— AHHH, PUTAIN, T’EN VEUX ENCORE ??? ALLER, A QUATRE PATTES LA, ICI.

Je tape sur la table en bois de la cuisine. Elle y monte lentement, je lui administre une fessée qui la fait perdre son équilibre. Elle se retrouve à plat ventre. Elle se relève et se met dans la position attendue. Je monte à mon tour et tel un cavalier qui monte sa pouliche, je la chevauche à grand coup de reins. Elle s’affaisse, je lui mets une claque sur son flanc.

— DEBOUT, SALOPE... TU VEUX DE LA BITE, TU VAS EN AVOIR... 

Je claque ses flancs, ses fesses. Pour éviter qu’elle ne tombe, je la tiens par la tignasse. On peut voir le reflet de notre folle cavalcade dans la porte du four. Je lui tourne la tête pour qu’elle admire notre chevauchée. Elle à la bouche ouverte mais aucun son n’en sort. Si ce n’est nos respirations, c’est le silence dans la maison. Je sens sa mouille m’inonder. Je regarde sur la table et une petite flaque s’est formée. Je récolte son jus qui coule sur ses cuisses et lui fait lécher mes doigts. Je vois que son anus palpite. Je lui enfonce mon pousse.

— AHH, ARGH... Encule-moi !!!- Tu es propre ?

— Oui, OUI, toujours avant de sortir. Ma sœur et moi on se le fait mutuellement.

A cette invitation, je ne résiste pas et me retire de son con pour présenter mon gland sur la petite rondelle de Léa. Son anus est distendu. Je pousse délicatement. Elle sert les dents. Petit à petit mon gland force le passage. Il est aspiré par son sphincter. Je continu ma lente progression.

— AIE

— Ta gueule, c’est toi qui l’as voulu. 

Je suis en butée. Je reste ainsi pendant trente secondes et ressort tout aussi lentement. Je laisse mon gland bien au chaud. J’enfonce une nouvelle fois ma tige dans ce cul accueillant mais plus fort plus vite.

— ARGH, OUF.... Vas-y casse moi le cul.

Je lime son petit cul depuis cinq bonnes minutes. On entend le claquement de mon pubis sur ses fesses. Elle part dans des grognements, des cris et des paroles incompréhensibles. Ma sève monte dans ma colonne de chaire. J’éjacule pour la troisième fois aujourd’hui. Je suis en nage. Je jouis.

— ARG... PRENDS CA DANS TON CUL SALOPE.....

— OUI.... DONNE-MOI TOUT......OUIIIIII. 

Je m’affale sur elle. Elle s’écroule. Je me retire, PLOC. Je descends de la table et en fait le tour. — Aller, nettoie moi !!!

En reprenant son souffle, elle me lèche consciencieusement la bite. Elle va pour descendre de table quand je la retiens.

— Non, il y a la table aussi !!!! 

Elle se retourne et commence à lécher la table. Je me ressers un grand verre de coca et regarde la petite rousse. Quand tout à coup, j’entends la porte vitrée de la cuisine s’ouvrir.- Bravo à tous les deux, jolie spectacle.... Dit Isa en nous applaudissant.Elle nous a trouvé ici après avoir laissé Jean et Éva s’occuper de Lili. Elle dit à Léa qu’elle est impressionnée par son exploit et l’embrasse.

— Bon, On lave tout, nous dit-elle, après il faut retourner à la plage pour voir la performance de ta femme.S
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