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Isabelle, Liliane, moi et les autres…

Chapitre 3

Inceste
C’est avec difficultés que l’on se relève. Gwen est ravie de ce qu’il vient se passer. Isa aussi. Moi, je suis un peu honteux. Je suis à peine debout que Gwen me gratifie d’un baiser langoureux, pendant que sa mère me suce les tétons. Je passe les mains dans leurs cheveux. Je bande à nouveaux. Isa nous rappelle notre rendez-vous chez Jean. Elles partent toute les deux s’apprêter et s’enferment dans la salle de bain. J’ai compris, je suis condamné à pendre ma douche à l’extérieur. Une fois la salle de bain libérée, je m’y engouffre, me brosse les dents, me rase et me passe du bois bandé. Je m’habille léger et les deux gonzesses ont mis un paréo. Sur la route qui descend à la villa, les discutions à voix basse vont bon train. Elles rigolent et Gwen angoisse. C’est la première fois qu’elle se rend chez Jean, enfin, pour participer à nos jeux. Une fois le portail passé, je me dirige vers la porte d’entrée de la grande demeure. La porte est ouverte, comme d’habitude. Je pénètre est parcours le grand couloir. Çà y sent toujours aussi bon, subtile mélange l’odeur de garrigues et de lavande. J’arrive à la cuisine, Salam est attablée en train de tartiner des toasts avec de la tapenade. Elle me sourit, se lève et m’embrasse.

— Hervé, comment vas-tu ?

— Bien et toi, Vanessa et la petite ?

— Bien, on va bien. Lili est partie avec Domitine et mes beaux-parents au camping. Vanessa doit être sur la terrasse.

— Coucou... dit Isa en arrivant dans la cuisine.

— Salut ma petite boulotte... Elles s’embrassent goulûment sous les yeux ébahis de Gwen.

— Waouh, Gwen... Comme tu es magnifique !!! La vache quelle bout de femme tu es devenue... dit Salam. Ça fait un bout de temps que je ne t’avais pas vu... Putain, Vanessa, regarde qui voilà !

Elle lui pose un petit bécot sur les lèvres et l’entraîne sur la terrasse en sautillant. Ce n’est que compliments de Vanessa et de la grande black. Gwen ne sait plus où se mettre, elle tente de se cacher derrière sa mère. Nos deux hôtes sont mortes de rire. Vanessa nous invite à nous installer autour de la table basse du salon de jardin. Je me déshabille et m’installe sur le divan trois places, Isa à ma droite et Gwen de l’autre côté. Vanessa et Salam sont sur les fauteuils nous faisant face. Comme à l’accoutumé, c’est au rosé que l’apéro se passe. Les toasts sont excellents. Isa me flatte la queue et sa fille la regarde faire avec envie. Salam en fait de même avec celle de sa « femme ». Gwen ne sait plus où regarder. Elle a les jambes serrées et les mains posées sur ses cuisses.

— Ne fait pas ta timide, lui dit Vanessa, j’aimerai que tu viennes là, près de moi sur ce pouf. Allez, ne joues pas à la vierge effarouchée. VIENS !!!

Timidement, la grande blonde se lève et va s’asseoir sur le pouf, que Vanessa a déplacé entre Salam et elle. Leur faisant dos, elle ne sait pas à quelle sauce elle va être mangée. Salam ouvre les hostilités et commence à lui caresser le dos. Vanessa n’est pas en reste et lui embrasse, enfin lui lèche le cou. Gwen à des frissons, elle a la chair de poule. Naturellement, instinctivement, elle écarte les jambes. Isa me caresse la bite du dos de la main tout en admirant le tableau qui s’offre à nous. 

— J’adore les blondes, dit Vanessa.

— Ah bon ? Lui répond Salam d’un ton faussement énervé.

Vanessa abandonne le cou Gwen et embrasse à pleine bouche la belle black. Elle tire par la nuque Gwen et c’est un balai à trois langues qui s’engage.

— Elles sont belles, me dit Isa, on les rejoint ?

— Non, laissons-les faire connaissance. Viens me pomper.

Isa se place accroupie entre mes jambes. Elle me décalotte et joue avec s langue sur mon gland. En me suçant en gorge profonde, il me vient une idée en tête.

— Je peux vous emprunter Gwen, dis-je, à Salam et Vanessa.

— Ok, mais tu nous envoies Isa, me répond Vanessa.

A ces dires, Isa s’en va rejoindre les deux filles et Gwen, intriguée vient remplacer sa mère. Je lui demande de s’agenouiller entre mes cuisses et de me sucer. Ce qu’elle fait avec délice mais pas comme j’aimerai. Alors, je lui appuie fermement sur la tête. Gwen a compris où je voulais l’amener et c’est bouche grande ouverte qu’elle me gobe la queue. Elle a des relents, elle bave sur ma bite, elle pleure mais il manque quelques centimètres pour me la prendre en entière. Je lui relâche la pression, elle se retire.

— Salop !!!

Les trois filles n’ayant rien perdu du spectacle, éclatent de rire. Gwen, frustrée, me reprend en bouche. Elle n’y arrive toujours pas. Je lui mets un violent coup de bassin. Çà y est, elle l’a toute entière dans la bouche. Je la bloque. Elle coule sur ma bite, toujours la bouche grande ouverte.

— Respire par le nez, lui dis-je, habitus-toi...

Je la relâche et elle reste avec mon chibre au fond de sa bouche. Je peux sentir son souffle chaud sur mon pubis. Les trois filles, enfin les deux filles et la lady boy, regardent la scène tout en se caressant. Gwen remonte lentement et redescend lentement. Mon zob est noyé par sa salive. 

— C’est bien ma Gwen, vas-y bien à fond. Lui dis-je.

Elle ne descend pas assez et remonte lentement.

— Appuis-moi sur la tête. J’aime quand tu me force.

— Tu aimes quand je te dirige ?

— Oui, j’aime sentir ton emprise sur moi. J’aime quand je me soumets à tes désirs... Papa...

Alors là, c’est le bouquet. Voilà qu’elle m’appelle comme quand elle était la gentille Gwen, innocente et pur. Je regarde Isa qui me fait un hochement de tête, approuvant la demande de sa fille. Je saisis la tête de Gwen et lui force la bouche. Lentement mais surement, son nez vient s’écraser sur mon bas-ventre. J’accélère le mouvement en lui laissant le temps de respirer. Elle est rouge comme une pivoine. Je lui baise littéralement la bouche. Je regarde Vanessa qui est en train de se faire lécher la verge par les deux autres filles. Je n’en peux plus, je lui bloque la tête avec ma tige bien plantée au fond de sa gorge et éjacule en de puissants jets.

— AHHH, salope, avale moi... Ouiiiiiii... HAN, HAN, PUTAIN, JE JOUIS...

Elle ne peut plus respirer. Je la relâche et elle remonte rapidement prendre son souffle. Des filets de bave, de sperme se perdent sur ma tige, mes couilles et mon pubis. Après avoir retrouvé une respiration presque normale, elle me lave la queue de sa langue et avale. Elle me regarde d’un air penaud. Je lui caresse la joue. Elle me sourit.

— Tu aimes être dominées, forcées ?

— Je ne sais pas, je crois, oui...

— Tu ne rechercherais pas un dominateur ? Un Maître ? Lui demande Isa.

Un timide hochement de tête de Gwen envers sa mère en guise de réponse et elle se met à genou, face à moi, les mains posées sur les cuisses, paumes vers le haut et regardant le sol. Sa mère et surprise et rit jaune.

— Je crois que t’as trouvé, ma petite Gwen... Lui dit Vanessa. Et toi mon cher Hervé, tu as trouvé une chienne à dresser...
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