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Isabelle, soubrette au service de ses maîtres

Chapitre 3

Madame entre en jeu

Trash
Je m’appelle Isabelle et je viens d’entrer au service de monsieur Pierre et madame Véronique, un couple bourgeois. Dès mon arrivée, j’ai compris que mes patrons étaient très vicieux, ce qui n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. En ce début de ma première matinée de travail, j’ai déjà fait la connaissance de Roger, l’homme à tout faire de la maison. Enfin, quand je dis faire connaissance, pour être plus précise, je lui ai taillé une belle pipe, à la demande de mon patron, pendant que ce dernier m’enculait, une belle entrée en matière pour ce premier jour de travail. Je suis maintenant seule dans la cuisine...Après avoir rangé le petit-déjeuner et fait le ménage, je débute la préparation du repas. Madame m’avait laissé un mot me précisant que j’avais tous les légumes pour une bonne ratatouille ; c’est bon, j’ai en effet tout ce qu’il me faut. Après les avoir lavées, je commence à couper les courgettes quand madame Véronique entre.
— Bonjour Isabelle, tout se passe bien ?— Très bien, merci Madame. Comme vous pouvez le voir, je commence la préparation de la ratatouille pour le déjeuner. Encore une fois, laissez-moi vous remercier de m’avoir prise à votre service, j’en suis très heureuse. Et afin que je m’intègre plus rapidement, votre mari m’a même déjà présenté Roger.— Ah, oui, je vois… mais connaissant Pierre, cette présentation a dû être un peu… particulière.— C’est sûr, Madame, très particulière même ! Monsieur est très porté sur la chose, si vous me permettez.— Dites m’en un peu plus, cela m’intéresse et soyez franche, je me doute de ce qui s’est passé.— Pour faire court, j’ai dû tailler une pipe à Roger pendant que votre époux s’en prenait à mon petit cul. Ce fut une entrée en matière très…intense !— Ouf, vous êtes directe au moins, comme une bonne fille de la campagne. Je reconnais bien là mon mari. Mais cela ne semble pas vous avoir trop offusquée ou je me trompe ?— Non, vous avez parfaitement raison, même si Roger a une odeur très prenante, j’ai très apprécié ce début de matinée. Ma bouche et mon petit cul pris en même temps, c’était le pied ; bon dommage, personne ne s’est occupé de ma chatte. A la fin, votre époux m’a même offert, en remerciement, un très joli jouet qu’il me demande de porter. Vous voulez le voir ?— Arrêtez, Isabelle, je suis folle d’excitation à vous écouter. Tenez, approchez-vous, et pas d’inquiétude, je vais bien m’occuper de votre petite chatte, moi. Pas comme les hommes, qui pensent d’abord à eux.
Madame Véronique m’attire alors contre elle et, immédiatement, me roule une pelle. Nous nous embrassons ainsi goulûment, collées l’une à l’autre, pendant un long moment avant qu’une de ses mains se pose sur mes fesses pour me peloter.
— Mais dites-moi, le jouet que vous a offert Pierre, c’est dans votre petit trou qu’il est logé.— Oui, c’est un très joli plug qui m’a bien stimulée et depuis que je le porte ma chatte est trempée.— Et bien, vous allez me montrer tout ça. Déshabillez-vous et couchez-vous sur la table, pour que je puisse bien m’occuper de vous !
J’obéis avec empressement à cette demande et je me retrouve rapidement allongée, jambes grandes écartées et repliées, mes pieds reposant sur la surface de la table. Dans cette position, ma maîtresse a une vue parfaitement dégagée sur ma chatte et mon petit cul occupés par le Rosebud. Madame ne fait pas traîner les choses et s’empare de mon sexe avec sa bouche pour me lécher la fente. Elle est tellement excitée qu’elle en oublie même le vouvoiement.
— Putain, c’est vrai que ta chatte est trempée, ma bouche est pleine de ta mouille. Manifestement, cela ne t’a pas suffi ce matin, tu en veux plus. Tu es une belle petite salope comme nous les aimons avec Pierre. Tu vas voir, je pense que tu ne regretteras pas d’être ici et que nous t’ayons embauchée.
Madame Véronique récupère alors une courgette sur la table, l’introduit aussi sec dans ma fente et commence à me baiser avec ce sexe improvisé. Quelle sensation divine ! Chaque pénétration écarte mes parois et déclenche dans mon bas-ventre une vague de chaleur intense. Mais pas question de rester inactive, mes deux mains jouent avec me seins et je pince mes tétons qui deviennent, très vite, gros et durs.
— Ouiiii, putain que c’est bon Madame, baisez-moi, défoncez-moi la chatte, encoooore...
Ma cyprine coule à fond facilitant le ramonage de mon cratère en feu. Une de mes mains délaisse un sein pour s’emparer de mon bouton d’amour. J’adore me caresser le clito et je ne m’en prive pas, je m’astique l’abricot avec frénésie pendant que mon puits d’amour se fait défoncer. Après quelques minutes de ce traitement plus qu’intense, mon corps se contracte et je jouis, tout en poussant un hurlement qui surprend même ma patronne. Madame Véronique retire alors la courgette de mon con et tout en me fixant avec un regard lubrique, la suce avec délectation, sa langue la nettoyant de toute trace de cyprine. Enfin, elle termine son petit jeu obscène en l’introduisant en bouche pour mimer une fellation.
— Petite vicieuse, la courgette était complètement trempée par ta mouille, mais putain que j’aime. Maintenant à ton tour de me faire jouir et tu vas voir, ça va être rapide, moi aussi je mouille comme une folle. Et n’aie pas peur, je suis une grosse salope. Mais avant, lèche-moi les pieds, comme une bonne petite chienne bien obéissante.— Hum, vous lécher les pieds… avec grand plaisir, Madame.
Je ne suis pas surprise de cette demande qui, au contraire, me ravie. Ma patronne s’assoit sur une chaise tandis que je suis à genoux sur le carrelage de la cuisine. Je lui soulève une jambe et commence par lui caresser le pied, mes pouces massant la plante, avant d’y déposer des baisers. Une douce odeur envahit mes narines, décuplant mon plaisir, alors que je m’en prends à son autre pied. Je suce maintenant un à un chacun de ses orteils, tout en fixant Madame droit dans les yeux. C’est sûr, elle apprécie ce jeu, comme une sacrée vicieuse ; la voilà même qui ferme les yeux et émet de profonds soupirs. Bon, moi aussi j’adore... mette un orteil dans ma bouche, tourner ma langue autour, le sortir et l’entrer à nouveau pour le sucer… Hummm, c’est tellement excitant que j’ai besoin de me caresser et de m’enfoncer deux doigts dans mon antre. Il ne faut pas non plus que je me chauffe de trop, car nous n’en avons pas fini.
Aussi, après m’être bien occupée des ses orteils, je descends vers la plante de ses pieds pour la lécher à grands coups de langue. Cette mise en bouche, c’est le cas de le dire, plaît beaucoup à Madame qui me demande alors une autre faveur.
— Tu es très obéissante, c’est parfait Isabelle. Mais maintenant, passons aux choses sérieuses, tu vas me foutre deux carottes dans la chatte, pour qu’elles s’imprègnent de ma mouille, puis tu me les mettras dans le cul. Vas-y sans peur, il en a vu d’autres.
Ma patronne est si pressée qu’elle retire elle-même sa robe et ses sous-vêtements et s’empresse de prendre place sur la table de cuisine. Quel spectacle si Monsieur arrivait, sa femme à poil sur la table, jambes écartées et relevées, et moi, également à poil, qui vais bien m’occuper d’elle.Je choisis deux belles carottes, que j’avais heureusement lavées, pour les introduire dans la fente de Madame. Je les ai à peine pénétrées que ma salope de patronne pousse des râles de plaisir et j’en profite pour la besogner. Mais je ne vais pas trop faire durer le ramonage de sa chatte car je sais que c’est dans son fion qu’elle veut les légumes. En tous les cas, pas de problème, ils sont bien imprégnés de mon jus et je n’aurais aucun mal à les faire coulisser.
— Mais qu’est ce que tu fous, Isabelle ? Enfile-les moi dans le cul, j’en ai trop envie.
Salope et impatiente ma patronne… Sans plus d’hésitation, j’introduis les carottes dans son antre anal et comme prévu, je n’ai aucune difficulté ; ses parois s’ouvrent d’elles-mêmes, heureusement que je les tiens, sinon je suis sûre qu’elles seraient absorbées en entier. Elle apprécie, son corps se contracte à chaque mouvement que j’imprime, la voilà même qui se caresse le clito et qui s’introduit des doigts dans la fente. Ouf, moi aussi, je n’en peux plus... mon cratère est en feu, madame Véronique m’excite trop et je dois encore une fois me caresser la chatte tout en la besognant ; je mouille tellement que ma cyprine coule sur mes cuisses. Mais bientôt, le ramonage de son cul et sa masturbation lui déclenchent un orgasme, elle jouit tout en criant sans retenue et squirte, un puissant jet qui m’atteint. Je ne le crois pas, elle est aussi très expansive!
Madame Véronique met quelques instants à retrouver ses esprits, mais manifestement ce n’était pas assez, elle en veut encore plus.
— Ouah, tu es vraiment très douée pour me faire jouir, j’en ai même squirté.— Au plaisir de vous servir, Madame. Moi aussi, j’ai bien mouillé.— Allez maintenant, occupe-toi de ma chatte, fiste-moi !— Vous… fister, Madame ?— Oui, tu as parfaitement compris, je veux ta main, toute ta main dans mon antre. Mais n’enlève pas les carottes de mon cul, avec elles et ta main, je suis sûr que je vais avoir un nouvel orgasme.— Si vous permettez, Madame, vous êtes, comment dire…— Une grosse salope bien vicieuse, tu peux le dire. Et tu peux même rajouter perverse, mais ce n’est qu’un début, avec Monsieur nous allons prendre soin de toi, crois-moi. Alors heureuse de travailler pour tes nouveaux patrons ?— Je ne pouvais pas mieux tomber, Madame, je serai votre soubrette obéissante, très obéissante.— Parfait, mais reprenons, il ne s’agirait pas que ma chatte refroidisse.
J’introduis d’abord deux doigts dans son vagin puis constatant que les parois sont trempées de cyprine, j’en ajoute un troisième et un quatrième, seul mon pouce restant à l’extérieur.
— Merde Isabelle, tu me fais quoi, là ? Je t’ai demandé un bon gros fist, alors c’est toute ta main que je veux dans mon sexe.
Je pousse alors tous mes doigts, le pouce replié au milieu des quatre autres, et si je m’attendais à une légère difficulté au passage de la partie la plus large de ma main, il n’en est rien, la moule de Madame l’absorbe sans aucune difficulté. Toute ma main disparait bientôt en entier dans la vulve grande ouverte. Ma patronne s’agrippe aux bords de la table et pousse un cri de plaisir. Je replie mes doigts à l’intérieur de son antre vaginal et j’amplifie les mouvements de mon avant-bras, c’est maintenant mon poing qui baise ma patronne, qui n’arrête pas de gueuler. Je n’en ai pas terminé avec elle, je ressors brusquement toute ma main pour l’introduire de nouveau sans ménagement. Mais j’ai une autre idée, j’introduis alternativement chacune de mes mains à un rythme de plus en plus rapide ; ce n’est pas possible, mes entrées et sorties, pourtant violentes, se font sans aucune difficulté, Madame doit avoir l’habitude de se faire fister.
De ses deux mains, elle se pince même les tétons, quelle salope, je ne le crois pas ! Moi aussi j’en profite, mon minou est trempé et mon jus coule en abondance sur mes cuisses. Après quelques minutes de ce traitement, madame Véronique pousse un énorme hurlement de jouissance alors que tout son corps se contracte, ma patronne a un nouvel orgasme et quel orgasme !
Pendant qu’elle récupère, je m’effondre sur le carrelage de la cuisine et les yeux fermés, je me masturbe le clito, moi aussi je veux jouir. Je vais venir quand je reçois un jet continu, chaud et odorant sur le visage et le corps. Par réflexe, j’ouvre les yeux, et je comprends, madame Véronique me pisse dessus et elle a dû sacrément boire car son jet de se tarit pas. Je suis rapidement trempée, des cheveux aux jambes. Quelle perverse ! Mais elle croit quoi, que je vais la supplier de s’arrêter, elle ne me connait pas, la reine des salopes, c’est moi ! Aussi, je continue de me branler le clito malgré le jet qui m’inonde jusqu’à ce qu’un orgasme me déchire le bas-ventre.
J’ai besoin de récupérer, allongée dans une mare de pisse au milieu de la cuisine. Et dire que ce n’est que ma première matinée chez ce couple de vicieux, la suite promet !
— Ouahhh, Isabelle, je t’ai sacrément inondée, désolée. — Comme si vous ne l’aviez pas fait exprès, Madame ! Mais pas de problème, j’ai adoré. — Moi qui croyais être la reine du vice, j’ai l’impression qu’avec toi, je vais avoir de la concurrence.— Je dois avouer que j’aime beaucoup les jeux d’humiliation… entre autre.— Tu peux me préciser ce que tu veux dire par là ?— Etre votre soumise à vous et Monsieur me comblerait également. Ordonnez et j’obéirai, quelles que soient vos demandes ! — Intéressant Isabelle, très intéressant, j’en parlerai à mon époux. Mais en attendant, l’heure tourne et il faut bien préparer le déjeuner. Pour cette première et vu ton état, va te laver, je m’occupe de la préparation du repas et de donner un coup rapide pour nettoyer le sol. Je te dois bien ça après l’état dans lequel tu m’as mise.— Merci Madame, je me dépêche et je reviens vous aider.
Je monte à l’étage prendre une bonne douche. J’avoue que cela fait du bien après l’autre douche beaucoup plus dorée que je viens de recevoir. Et puis, cela me redonne un peu de tonus, il faut dire que pour une première matinée, j’ai eu droit à ma dose de sexe. J’espère que cet après-midi sera plus calme car je ne pourrai pas tenir à ce rythme très longtemps. En me séchant, je m’aperçois que j’ai toujours le plug bien inséré dans mon anus, je l’avais presque oublié mais puisqu’il est là, autant le laisser.Quand je redescends, je vois avec satisfaction que Madame a bien avancé, elle a passé la serpillère sur le sol et le repas est sur le feu. Je vais terminer de tout bien ranger et de mettre la table, sinon mes patrons vont penser que je suis inutile.
— Merci Madame, vous avez sacrément bossé pendant que je prenais ma douche. Je n’ai presque plus rien à faire.— Nous dirons que toi aussi tu as beaucoup donné de ta personne ce matin, donc cela me paraît normal. Et viens plutôt m’embrasser si tu veux me remercier.
Je m’approche de ma patronne pour lui déposer un baiser sur les joues quand elle me prend dans ses bras et me roule une magnifique pelle. Et loin de moi de refuser, je participe bien activement à notre baiser fougueux quand nous entendons la voix de monsieur Pierre qui vient d’entrer dans la cuisine :
— Alors mesdames, je m’absente et vous en profitez pour prendre du bon temps. J’espère que la fin de matinée a été bonne. — Tout c’est très bien passé, mon chéri. Avec Isabelle, nous avons fait plus ample connaissance et je suis sûre que nous n’aurons pas à regretter notre choix.
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