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Isabelle, soubrette au service de ses maîtres

Chapitre 5

Je suis la soumise de mes patrons

SM / Fétichisme
Je m’appelle Isabelle, quarante ans, et je viens d’entrer au service de monsieur Pierre et madame Véronique, un couple bourgeois légèrement plus âgé que moi. Mes patrons sont très portés sur le sexe, ce qui n’est pas pour me déplaire, et n’ont qu’un but, me faire participer à toutes leurs débauches. Pour cette soirée, ils m’ont proposé d’être leur soumise. Mais je laisse Madame continuer ce récit…
Le comportement d’Isabelle n’est pas admissible et pour la punir, je décide de lui administrer le martinet. J’en choisis un aux lanières plates et nombreuses, je ne veux pas être trop cruelle pour un début, il ne s’agirait pas qu’elle se rebelle. Et comme je ne connais pas sa résistance à la douleur, au moins, avec celui-ci, je suis sûre de pouvoir un peu me lâcher sans la blesser. J’alterne fesses droite et gauche ; celles-ci rougissent et à chaque coup Isabelle pousse un léger cri. Hors de question d’en tenir compte, du moins pour l’instant, et je ne fais pas de pause, gardant un rythme le plus régulier possible.
- Alors Isabelle, tu as compris ton erreur ? Je peux m’arrêter ?- S’arrêter ? Déjà maîtresse ! Vous venez juste de commencer.Je n’en crois pas mes oreilles. Non seulement elle ne me supplie pas de stopper mais elle en veut encore. C’est sûr, le martinet n’est pas une première pour elle, elle doit aimer comme la bonne soumise que je devine en elle. Je passe ma main au niveau de son sexe, celui-ci est trempé.
- Pierre, je ne le crois pas, la chatte de cette petite salope est complètement mouillée, elle doit aimer souffrir !- Souffrir ? Je n’en suis pas aussi sûr que toi, ma chérie… tu as vu ton martinet ? Prends-en un aux lanières rondes et plus fines, tu verras si, très vite, elle ne te supplie pas !Je change mon instrument mais j’en choisis toujours un aux nombreuses lanières. Avant de reprendre, je décide de m’amuser un peu. Je commence par faire courir ces dernières le long de sa colonne vertébrale puis je descends le long du sillon fessier pour atteindre son entrecuisse, au niveau duquel je m’arrête pour quelques effleurements. Un court moment de plaisir que doit apprécier Isabelle. Elle ne se doute pas de la suite...
Il est temps de reprendre ma punition. Je m’applique, étalant au mieux mes coups sur le fessier de notre petite soubrette pour que la douleur soit la plus diffuse possible. J’accélère le rythme de mes frappes progressivement. Ayant déjà reçu une telle punition, je sais que la chaleur du début doit laisser place petit à petit aux brûlures, certainement de moins en moins supportables au fur et à mesure que ses fesses rougissent. Et c’est le cas.
Je fixe le visage d’Isabelle. Cette fois-ci, je vois qu’elle souffre mais toujours en silence, se mordant la lèvre inférieure à chaque fois que les lanières s’abattent. Je devine qu’elle lutte pour ne pas craquer et je souris, elle fait moins la fière maintenant. Mais comme prévu, après plusieurs minutes de ce traitement, notre soubrette finit par céder sous mes assauts qui ne lui laissent aucune accalmie.
— Non, stop… s’il vous plaît. Je me suis mal conduite, pardonnez-moi maîtresse. Mais arrêtez !— Enfin Isabelle tu t’excuses, ce n’est pas trop tôt. Pour cette fois, je vais être indulgente, mais attention si cela se reproduit, la correction sera plus douloureuse. Et pour te prouver qu’il est préférable d’obéir, je vais t’offrir une petite récompense en t’enlevant ton bandeau. Tu as droit à un court répit... Mais dis-moi, tu as versé quelques larmes…— C’est qu’à la fin, cela devenait vraiment très douloureux, maîtresse. Et puis, vous ne m’avez pas donné de safeword…— C’est vrai, mais c’était une première et je n’avais pas l’intention d’être trop dure… mais tu vois ce qu’il en coûte de ne pas nous obéir. Dorénavant, si tu te conduis bien, tu n’auras plus de correction, à toi de choisir.— Oui… mais j’avoue, maîtresse, que j’ai aussi éprouvé du plaisir dans la douleur. Alors, je ne dis pas non à être parfois désobéissante si la punition n’est pas trop sévère…
Madame a un grand sourire en entendant ces paroles, avant de me prendre dans ses bras et de me rouler une pelle. Une de ses mains me caresse la poitrine puis les tétons. Elle les tire et les pince entre deux doigts puis les mordille ce qui a pour effet de les faire immédiatement grossir et pointer. Impossible de dissimuler que cela me plaît et je pousse quelques gémissements.
— Mais dites-moi, c’est que notre soubrette semble aimer être violentée... Ainsi Isabelle, tu veux que je m’occupe de tes bouts... alors ne bouge pas, je sais ce qui va te faire plaisir.

Je profite de ce moment de répit pour regarder Monsieur. Toujours assis sur son fauteuil, jambes écartées, il a le sourire aux lèvres et se masturbe lentement d’une main.
— Voilà Isabelle, j’ai trouvé ce que je cherchais.
Madame me montre une paire de pinces à tétons reliées par une chaîne. Donc, la séance de martinet ne lui a pas suffi, elle veut maintenant s’en prendre à mes seins. Encore une fois, je n’ai pas le temps de réfléchir car elle me fixe déjà la première. Si je m’attendais à ressentir une vive douleur, ce n’est pas le cas ; j’ai plutôt une sensation de forts picotements. Puis c’est au tour de mon deuxième mamelon d’être ainsi pris. Afin de vérifier la bonne mise en place, ma patronne tire légèrement sur la chaîne, ce qui déclenche cette fois une douleur plus forte.
— Aïe… Pardon maîtresse Véronique mais j’ai peur d’avoir mal… c’est la première fois que je porte des pinces. — Arrête, je viens à peine de te les fixer, cela ne doit pas être vraiment douloureux, la douleur ne survient qu’avec le temps et lorsque je te les enlèverai. La première fois, c’est normal d’avoir peur, mais ne crains rien, pour un début, nous ne serons pas trop durs avec maître Pierre. Toujours prête à poursuivre ?— Oui, maîtresse Véronique, c’est vous qui décidez.— Tant mieux. Mais attention, au moindre signe de désobéissance de ta part et je tirerai sur la chaîne, ce qui déclenchera une sensation nettement moins agréable. N’oublie pas, une soumise qui n’obéit pas doit être punie, alors à toi de voir... — J’obéirai maîtresse.— Bon, c’est parfait, tu es presque prête pour la suite. Il ne me reste plus qu’à te remettre ton bandeau. Voilà, c’est fait... Maintenant à genoux et tourne ton cul vers ton maître, il est grand temps qu’il en prenne possession.
Me voilà en position de chienne, à quatre pattes et les yeux bandés, prête à subir la sodomisation de Monsieur, probablement sous le regard complice et lubrique de son épouse. Je perçois d’ailleurs des mouvements et que l’on bouge une chaise. C’est sûr, maîtresse Véronique vient de s’assoir face à moi et à quelques centimètres de mon visage car je sens l’odeur musquée que dégage sa chatte. Elle doit se masturber, les petits bruits de clapotis humides que j’entends ne laissant aucun doute.La douleur fessière s’est estompée et ne persiste qu’une douce chaleur. Celle-ci et le poids de la chaîne tirant sur mes tétons ne font qu’accentuer mon désir et mon excitation. Je me cambre au maximum pour bien ouvrir mes fesses et offrir ainsi à mon patron la plus belle des vues sur ma rosette. D’ailleurs, il ne se prive pas pour admirer le spectacle :
— Regarde-moi comme notre soubrette tend bien son petit cul en haut et en arrière... elle n’attend que ça, que je la sodomise !— Oui mon chéri, une vraie petite chienne comme nous les aimons, répond maîtresse Véronique tout en me caressant le dessus du crâne.
Monsieur me claque les fesses de ses mains, faisant trembler mes deux lobes charnus, puis fait coulisser son sexe dans mon sillon interfessier. Mais alors que j’ouvre la bouche pour pousser un long soupir de plaisir, maîtresse Véronique enfonce un doigt humide entre mes lèvres. Sans qu’elle ait besoin de me l’ordonner, je le suce et je devine immédiatement qu’il est imbibé de son jus intime. Peu après, elle me le retire pour me le présenter à nouveau, toujours mouillé. Je comprends son petit jeu : elle fait glisser alternativement son doigt entre sa moule et ma bouche. Quelle perverse, mais j’adore ! Et vue la quantité de mouille qui le recouvre, je devine que son sexe doit être trempé ; quel bonheur de savourer ce nectar.
Alors que je m’applique à lécher le doigt de Madame, je sens que l’on force ma rosette. Maître Pierre a décidé de passer à l’action et enfonce sa queue en entier dans mon anus. Heureusement celui-ci est bien préparé, entre les godes et les légumes, et s’ouvre sans la moindre résistance. Très vite, il me pilonne comme un sauvage, ses mains agrippées à mes hanches.
— Comment tu la trouves la queue de ton maître ? Je suis sûr que tu aimes quand je t’encule comme la dernière des chiennes. Ton cul est serré mais pas trop, juste comme j’aime...
Alors que je subis les coups de reins violents de son époux, les bruits humides de la chatte de madame Véronique ne font que s’amplifier. Je l’imagine cuisses ouvertes face à moi, les doigts plongés dans son antre, se branlant comme une folle tout en regardant son mari me sodomiser. Rien que d’y penser, je mouille abondamment. Mon patron continue de me limer et je sens ses boules frapper contre mes fesses. Impossible de me retenir et je crie tellement c’est bon d’être ainsi prise. S’il continue, il va réussir à me faire jouir du cul !
— Ecoute-la gueuler, j’en suis presque jalouse.— Putain, oui… moi aussi, je ne peux plus me retenir… Je viens…
Monsieur jouit tout en poussant de longs râles de plaisir et en griffant mes fesses. Il déverse tout son foutre au plus profond de moi. Mais comme si cela ne suffisait pas, alors qu’il se retire, je reçois un jet sur mon visage. C’est au tour de Madame d’atteindre le plaisir suprême et même de squirter ; j’essaye d’en avaler la moindre goutte...Le silence se fait dans la chambre, simplement perturbé par les respirations de mes maîtres qui mettent du temps à revenir à la normale. Ils ont de la chance, eux, car ils ont pu jouir… pas moi. Pourtant j’y étais presque.Finalement, Madame prend la parole :
— C’est très bien, Isabelle, tu as parfaitement compris ton rôle. Maintenant, relève-toi que je retire tes pinces, cela fait une bonne dizaine de minutes que tu les portes, il est temps de les enlever pour un début.
Elle me libère de la première puis de la seconde. Alors que j’espérais un soulagement, c’est au contraire une vive douleur que je ressens au niveau de mes bouts devenus hypersensibles. Et quand elle me prend les tétons entre les doigts, je ne peux m’empêcher de pousser un cri.
— Non, s’il vous plaît maîtresse, cela me fait mal.— Oui, je sais mais c’est normal et c’est le but. Arrête de bouger, obéis et ta souffrance sera moindre. Tiens, je vais te les sucer, tu vas voir, une caresse avec la langue te procurera une sensation particulière.
En effet c’est un sentiment étrange, où se mêlent plaisir et excitation douloureuse, qui m’envahit. Mais le désir est toujours le plus fort et je lui caresse les cheveux tout en poussant de petits couinements à chacune de ses caresses buccales. Les yeux bandés font que je suis encore plus à l’écoute de la moindre sensation. Madame continue ainsi et je sens mon plaisir croître ; je n’ai plus qu’une envie, qu’elle poursuive. Et quand sa main s’insinue au niveau de mon intimité et que ses doigts caressent mon bouton d’amour, je jouis presque tout de suite, tellement mon corps n’attendait qu’une simple excitation pour déclencher un orgasme.
— Je ne le crois pas, je te touche à peine et tu jouis. Tu es encore plus salope que je le pensais. Mais tu aurais dû te retenir, je ne t’ai pas donné la permission de prendre du plaisir.
Tout en prononçant ces mots, maîtresse Véronique reprend mes tétons entre ses doigts pour les pincer ce qui déclenche immédiatement une douleur. D’une manière instinctive, je monte un bras dans un geste de protection.
— Stoppe immédiatement et baisse ton bras. N’oublie pas, si tu obéis je ne serai pas trop dure mais désobéis et là…
Je baisse mon bras en signe de soumission. Je m’attends à ce que Madame reprenne mes bouts entre ses doigts pour s’amuser avec, mais non. Au contraire, j’ai de nouveau droit à sa langue qui me fait du bien. Et, encore une fois, je ne peux m’empêcher d’exprimer mon plaisir par de légers gémissements. Depuis un bon moment la soif me tenaille, à cause de la chaleur qui règne dans la chambre et de ce que je viens de subir, mais il me faut du temps avant que j’ose en faire la demande.
— Maîtresse, pourrais-je avoir de l’eau ? J’ai la gorge sèche.— Mais bien sûr Isabelle, tu vas pouvoir te désaltérer… mais comme doit l’être une soumise. A quatre pattes !— Mais…— Cela suffit maintenant, à quatre pattes et abois comme une petite chienne ! renchérit maître Pierre.— Maître, pardon… vous désirez quoi ?— Tu as très bien entendu… Je te le répète pour la dernière fois, abois !— Ouah, ouah… — C’est quoi ce faible jappement ? Tu appelles cela aboyer ? Pas moi ! Tu acceptes d’être notre soumise, alors donne-toi sans aucune retenue.
Je recommence en mettant le plus de conviction possible pour faire plaisir à mes maîtres.
— Tu vois quand tu veux, tu arrives très bien à être une bonne petite chienne, me dit Monsieur tout en tapotant le haut de mon crâne comme il le ferait avec cet animal, et maintenant suis-moi.
Mon maître, enfin je pense que c’est lui, tire sur la laisse et j’avance, docile, à quatre pattes. J’entends le bruit d’un objet qu’on pose au sol et de l’eau couler.
— Nous t’avons rempli ton écuelle, tu peux te désaltérer, tu l’as bien mérité.
Ainsi donc, rien ne me sera épargné. Mais cette nouvelle humiliation me plaît et je ne me fais pas prier pour laper l’eau versée dans l’écuelle. Me désaltérer me fait le plus grand bien mais être traitée comme un animal m’excite encore plus.
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