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Itinéraire d'une pute

Chapitre 2

Travesti / Trans
Pattie délaissée resta au placard un moment. Je tentais de redevenir un garçon, de reprendre le cours de ma vie arrêté 2 ans et quelques mois plus tôt et aussi de préparer mon baccalauréat. Mais Pattie était toujours en moi et la déception amoureuse tenace, j’étais mal dans ma peau et en proie au doute. Je n’avais plus envie de rien et petit à petit je sombrais dans une sorte de neurasthénie et d’apathie. Après mon échec au bac début juillet, je décidais de réagir et confier à ma mère mon secret celui de Pattie la fille cachée dans un corps de garçon. La réalité de mon ambiguïté sexuelle lui fut insupportable car ce qu’elle représentait à ses yeux était déviant, sale et inavouable. Elle entra dans une colère froide et me demanda de quitter la maison immédiatement et de ne plus jamais chercher à la revoir.
En rupture familiale, sans ressources, désemparé, je retournais à Valence (ville de mon lycée) et demandais à Michaël un ami de Fabien qui me connaissait et acceptait mon ambiguïté sexuelle de m’héberger. Il m’accueillit chaleureusement et accepta de m’héberger temporairement. Mais ne voulant pas se brouiller avec Fabien il me précisa que cette cohabitation ne pouvait pas durer plus d’un mois et que je devais chercher une solution plus durable.
Je me démenais pour trouver un travail cependant mon manque de qualification et ma frêle stature ne facilitaient pas les choses. Dans le même temps, je décidais de laisser Pattie sortir parfois du placard et il m’arrivait en fin d’après midi de me promener en ville habillée en fille. Ces moments de plénitude étaient un formidable moyen de me changer les idées après de longues heures fastidieuses et frustrantes consacrées à la recherche d’un emploi. Je passais de longs moments à soigner mes tenues et mon maquillage pour paraître féminine tout en restant discrète. A l’époque, je portais déjà les cheveux long et n’avais pas besoin de perruque.
Après avoir déambulé dans les allées ensoleillées du parc Jouvet, une fin d’après midi, je décidais de continuer ma flânerie sur les bords du Rhône. Je marchais sur le trottoir bordant la route qui conduit au bord du Rhône en dessous du parc Jouvet. Ce trottoir longeait pendant plus d’un kilomètre un mur assez haut empêchant l’accès au Rhône. Je n’avais pas résisté au plaisir de mettre des sandales avec de petits talons mais assez haut pour me donner une démarche féminine. J’étais vêtue d’une robe légère assez courte adaptée à la chaleur douce de la fin d’été. J’entendis un bruit d’avertisseur derrière moi et me retournais, je vis une voiture roulant au pas quelques mètres derrière moi qui gênait la circulation en raison de sa lenteur. Un autre véhicule derrière elle s’impatientait et venais de faire usage du klaxon. Ce dernier déboîta et dépassa la voiture qui me suivait dans un bruit rageur de moteur en pleine accélération. Je continuais à marcher dans la même direction vaguement inquiète, dix mètres plus loin je me retournais à nouveau et je constatais que la voiture me suivait toujours comme un fauve guettant sa proie. Je perdis un instant mon sang froid me voyant bloqué sur ce trottoir entre la route et le mur affolée comme une gazelle traquée que le fauve pousse vers le traquenard final. Je décidais pourtant de poursuivre calmement mon chemin feignant l’indifférence ne voyant pas d’autre issue. J’aperçus la fin du mur à quelques dizaines de mètre espérant brusquement pouvoir trouver une échappatoire. J’accélérais imperceptiblement le pas et arrivais à hauteur de l’ouverture je me précipitais pour semer mon suiveur.
Je compris immédiatement que j’étais tombé dans un piège, l’ouverture dans le mur donnait sur un terrain herbeux entièrement bordé par le Rhône d’un côté et clos par le mur de l’autre, un cul de sac. Je me retournais immédiatement pour tenter de sortir de ce piège par la seule issue possible mais mon suiveur avait obstrué la sortie en garant sa voiture en travers de l’ouverture et s’extrayait de sa voiture. Un homme grand, assez corpulent, la quarantaine, les cheveux assez long brun lui masquant un peu les yeux, une moustache imposante, il s’approcha se dandinant un peu comme un ours dressé montrant sa puissance. Il grogna: « Alors ma mignonne tu cherches le mâle? Ne joue pas les effarouchées je suis persuadé que tu n’attendais que cela car je t’ai bien observée petite allumeuse. »
Il s’approcha et me saisit le poignet et acculée je ne trouvais aucun moyen de me soustraire à son emprise. Il me tordit le poignet pour me contraindre à me mettre à genoux et m’ordonna: « tu vas me sucer comme une bonne petite pute et après je vais te baiser salope ». De son autre main il défit sa ceinture et fit glisser sa braguette et son pantalon tomba à ses chevilles, il fit glisser son slip jusqu’à ses genoux dévoilant un sexe épais et puissant. Il souffla d’une voie pressante « vas-y! Suces moi ne te fais pas prier, petite pute! Petite allumeuse, tu vas gouter ce que c’est qu’un vrai mâle! Je regardais ce sexe massif pendant entre ces jambes et compris que la seule solution était d’obéir. Je caressais ses couilles de ma main libre et décalottais la verge pour commencer à lui titiller le prépuce avec la langue, une odeur de fauve me saisit et m’excita un peu en même temps. Mais la réalité du danger me rappela de calmer mes ardeurs et d’attendre mon heure. Je continuais de le besogner par des caresses buccales gourmandes et goulues et il exultait: « Ah la salope! Je savais que tu étais une vraie pute sous tes airs de petite ingénue. »
A un moment, il me lâcha le poignet pour me peloter les seins. Il n’eut pas le temps de finir son geste que je le repoussais des deux mains et empêtré dans son pantalon et son slip lui entravant les genoux il bascula en arrière. Je me relevais d’un bond et franchis en un instant la distance me séparant de la voiture barrant le passage. Je parvins à passer en me hissant sur le capot avant et en glissant de l’autre côté sur les fesses. Je m’enfuis sans demander mon reste en courant tant bien que mal avec mes sandales à talon. Je fis signe au conducteur d’une voiture pour l’arrêter mais il continua son chemin indifférent. Un second véhicule approchait et je décidais de le stopper coûte que coûte. Je descendis sur la chaussée face à l’auto la main levée, le conducteur freina sèchement et s’arrêta à un mètre de moi. Je montais rapidement à bord à côté du conducteur, et le suppliait de s’éloigner, ce qu’il fit aussitôt.
J’avais réussi pour la deuxième fois à contrôler la situation lors d’une agression sexuelle à mon encontre. Etait-ce mon destin d’être la proie des hommes en rut? Je m’éloignais à bord de la voiture d’un inconnu avec toutes ces idées en tête et sans être rassuré pour l’avenir.
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