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Itinéraire(s)

Chapitre 8

Les joies de la nature

Avec plusieurs hommes
La vie reprit ses droits, boulot, courses, ménage, et quand j’avais du temps, guitare. L’été était vite revenu, mais au moins, je pouvais rouler décapoté. J’eus le plaisir d’avoir des nouvelles d’Aurélie et de Mathieu, Aurélie avait été enchantée de notre bout de soirée et ils étaient partants pour me revoir. Nous échangeâmes beaucoup avec eux sur les envies d’Aurélie et sur le rôle qu’ils me réservaient. Ils en vinrent à me proposer un pique-nique sur les bords de Loire à la faveur des beaux jours. Je m’habillai léger, préparai des choses fraiches pour ce genre d’occasions, pris une bouteille de pétillant, une couverture un peu épaisse et fourrai le tout dans le (petit) coffre de ma voiture de célibataire. Quel plaisir de les retrouver. Mathieu me serra la main et Aurélie posa ses lèvres sur les miennes. Nous trouvâmes un petit coin pas trop loin de l’eau pour y jeter notre couverture. Je débouchai le pétillant et nous trinquâmes à notre rencontre.Aurélie était simplement vêtue, une robe à manches courtes qui, avec son bonnet D rendait le décolleté tout à fait insolent et qui arrivait à mi-cuisses. Ses longues jambes étaient bien mises en valeur et elle dégageait un sérieux sex-appeal. Ses cheveux châtain foncé tombaient sur ses épaules et ses yeux pétillaient d’envie.La scène était idyllique, sous un beau ciel bleu, loin du bruit de la ville, au bord de l’eau, avec de bonnes choses à manger. Nous discutâmes de nos vies, de ce qui nous avait amené tous au libertinage. Je restai plutôt discret sur mon manque d’expérience toutefois.Aurélie, du fait de la longueur de sa robe et de notre position assise devait se contorsionner et plier ses longues jambes pour ne pas trop en dévoiler. Elle était radieuse, simple et élégante. Elle me posait des questions sur ce que j’aimais, sexuellement et, n’ayant eu que trois femmes dans ma vie, je ne pus lui répondre que ce que nous avions fait jusqu’à présent me convenait très bien.—Tu ne sais pas si tu aimes le hard, par exemple ? me demanda Aurélie—Je trouve que ce que nous avons fait est déjà plutôt hard, osai-je.—Par exemple ?—Eh bien, te voir prise par deux hommes, les voir jouir sur ton visage, les fessées, te prendre par derrière, ce sont des choses hard, je pense.—C’est vrai que c’est déjà pas mal, mais je vais te faire découvrir d’autres choses, tu vas adorer.Elle posa sa main sur mon paquet déjà volumineux pendant qu’elle se léchait les babines en me fixant au fond de mon âme. Cette petite discussion m’avait assez émoustillé et mon corps avait déjà réagi à ses désirs de stupre. Elle tâtait ce qui lui faisait envie, ce qui lui revenait, et somme toute, le résultat de ce qu’elle m’inspirait. Elle m’ordonna de lui présenter son dû et sans perdre un instant, plongea ma queue au fond de sa gorge. Elle me suçait divinement, plus énergiquement que la première fois. Sa langue experte, ses doigts agiles maîtrisaient parfaitement mon plaisir et me faisaient succomber à ses charmes. Elle caressait mes bourses et elle jouait avec moi pour me faire entrer encore plus au fond d’elle. Elle se redressa sur ses genoux, me regarda un instant et m’ordonna.—Viens me baiser la bouche, utilise-moi, remplis-moi.Perplexe, je me levai, la queue dressée et la présentai contre ses lèvres. Elle m’ouvrit, et, les mains dans le dos, caressa mon gland avec sa langue. Elle était presque passive, offerte, dans l’attente de me sentir plus sauvage. Je fis des mouvements timides d’abord et sentais son regard qui en demandait plus.—N’aie pas peur, me conseilla son mari, baise-la, sois sauvage, baise-lui la bouche.J’accélérai un peu, pour savourer sa bouche, et je louchais aussi beaucoup sur ses beaux seins offerts à mes yeux de gourmand. Mathieu se leva et vint près de moi. En un geste, il sortit sa queue, un bel engin bien dressé et l’enfourna dans sa bouche sans aucune douceur. Il la prit par les cheveux et imprima un rythme soutenu, allant au fond de sa gorge. Elle émettait des bruits de succion, elle déglutissait. Vraiment, il la baisait.—Tu vois, me montra-t-il, c’est comme ça qu’elle prend des bites cette salope, elle adore ça.La main dans ses cheveux, il la dirigea vers moi et elle m’avala sans difficulté. Je dois dire que la situation était humiliante pour elle mais diablement excitante pour moi. Elle gémissait alors que je m’enhardissais à lui caler mon engin au fond de la gorge. Mathieu m’encouragea à l’insulter, à lui dire des mots crus, à la diriger, à la dominer. Des filets de bave coulaient des commissures, des larmes perlaient de ses yeux.Je la laissai sucer Mathieu et plongeai entre ses cuisses. Son string en dentelle était littéralement trempé, visiblement, elle était excitée à être traitée de la sorte. Fi de la douceur, j’y entrai deux doigts et je la branlai fermement dès le départ, résolu et direct. Elle couina et se tendit sur-le-champ. Ses lèvres suintaient son miel et elle dut s’asseoir pour ne pas tomber sous la violence de son plaisir. Son mari lui matraquait la gorge et je lui malaxais la chatte. Mes doigts n’exploraient plus, ils défonçaient son trésor. Elle gémissait, aboyait son plaisir, la bouche étouffée par le gros gland de son homme. Les bruits les plus obscènes sortaient de son corps. Elle me suppliait de continuer entre deux coups de langue.La main ancrée dans son minou, je jouais sans ménagement quand quelque chose que je n’avais pas prévu se produisit. Un flot de liquide transparent jaillit de sa chatte, sous un miaulement suraigu. Son corps était parcouru de spasmes, ses yeux révulsés, son souffle haché, elle jouissait intensément. Je venais de découvrir les femmes fontaine et je me sentais à la fois fier, étonné, inquiet de lui avoir fait mal et idiot avec ma main humide.—Bravo mon grand, elle jouit comme une petite salope, fais-lui goûter, qu’elle se rende compte de ce qu’elle t’a fait.Je fourrai deux doigts dans sa bouche qu’elle lécha avidement, les yeux encore gorgés de son orgasme. Je la fis mettre en levrette, retroussai sa robe, enfilai une capote et la pris d’un coup sec. Une fois bien campé dans sa chatte, je lui mis une fessée qu’elle apprécia avec un petit cri et commençai à la prendre. D’entrée, je fus viril, mes mains solidement agrippées à ses hanches, avec un rythme soutenu. Les coups claquaient, fouettaient, et elle savourait ma queue.—Ta queue est magique, gémissait-elle, tu vas si loin, c’est si bon.—Tais-toi et suce, osai-je.Je lui pris les cheveux pour la remettre à l’ouvrage sur le pieu de son homme. Je la baisais sans retenue, fort, sauvagement, avec des claques pour donner le rythme. Je ne ménageais ni mes efforts, ni mes coups de reins pour la faire jouir.Elle ne fut pas longue à se laisser gagner par la jouissance. Un long cri étouffé par la queue de son mari jaillit de sa gorge. Je sentais tout son corps se tendre, son dos s’arrondir, sa peau se parsemer de chair de poule. Je pris un rythme plus lent, plus profond pour la maintenir dans les nuages.—Il est temps de passer aux choses sérieuses, tu ne crois pas ? M’invita Mathieu.J’eus un instant d’hésitation, ne sachant pas quoi faire de sa proposition.—Son petit trou a besoin de soins lui aussi, me confirma-t-il avec une bouteille de lubrifiant dans la main. Ne la prépare pas avec des doigts, encule-la.Une noisette de lubrifiant sur sa rosette frémissante, et je me présentai à elle. Elle miaula très fort, tandis que je poussai lentement mais fermement. Son anus s’ouvrit sans difficulté et je me retrouvai bientôt en elle jusqu’à la garde. J’étais très serré dans son adorable cul, et elle jouissait visiblement très fort dès qu’on y entrait. Quel divin plaisir que celui de lui faire franchir les portes du plaisir une fois encore.Mathieu se courba pour venir titiller son clito pendant que j’accélérais le rythme. Elle jouissait, ahanait, coulait de plaisir à chacun de nos mouvements. Je lui pris les cheveux, et elle ouvrit la bouche en grand, comme pour chercher l’air, les yeux perdus dans le vide.Son chéri malmenait ses seins, son clito pendant que je pilonnais son cul. J’avais autour de ma verge un morceau de plaisir pur, ravagé par les orgasmes. Elle n’était plus humaine, juste un condensé d’énergie sexuelle. J’avais besoin d’une pause, j’étais en sueur et je me retirai de son trou, le laissant béant. Son homme prit ma place et la baisa tout aussi fort. Elle tenait à peine sur ses jambes, ses bras ne la soutenaient plus. Je buvais un peu d’eau et vis derrière un buisson à quelques mètres un homme, à moitié caché par la végétation, la queue à la main avec un geste qui ne laissait que peu de doutes sur ce qu’il faisait. Le spectacle que nous lui offrions avait l’air de lui plaire.Aurélie emboucha ma queue avec gourmandise après cette petite pause. Elle suait, ses cheveux étaient en bataille, son visage rougi, mais elle respirait le plaisir par tous les pores de sa peau.—Baise-moi la bouche, m’ordonna-t-elle entre deux coups de langue.Timidement, je m’enfonçai entre ses lèvres en une lente pistonnade, sous son regard de petite chatte ronronnante. Elle m’encouragea à me lâcher et je me saisis de sa tignasse pour mieux me guider en elle. J’osai aller plus loin, au fond de sa gorge, ce qui produisit quelques borborygmes incongrus.–Viens, on va la remplir à deux cette petite cochonne, me proposa Mathieu.Pendant que j’enfilais une capote, Aurélie s’assit sur son homme. Son cul désormais ouvert m’invitait à le combler. Une noisette de gel et je m’introduisis en elle avec une étonnante facilité. Elle couina de se sentir remplie ainsi. Un peu contorsionné, je me mis à l’ouvrage sous ses onomatopées d’abandon.Nous la pistonnâmes, et je n’hésitais pas à être viril, par des claques sur ses fesses et un vigoureux tirage de cheveux. Je donnais de grands coups de reins, et je me sentais rejoindre l’apothéose. Ce fut elle, cependant qui l’atteignit en premier. Elle se raidit sous l’action combinée de nos deux membres bien ancrés en elle. Des vocalises chromatiques résonnèrent dans la campagne. Elle jouissait fort, telle une poupée de chiffon entre nos bras. Elle vivait l’instant plus intensément que jamais.—Viens qu’on te récompense, lui ordonnai-je, surpris de ma propre audace.Docile, accroupie, sans répit, le corps qui flottait toujours dans l’éther de sa jouissance, elle se tenait entre nous, les deux mâles, suante de désir, la langue tirée, le souffle court, en attente de notre jus. Je fus le premier à partir. Je la fixai dans ses yeux de biche implorante. Je voulais jouer au dominant jusqu’au bout, mais l’image de larges trainées de sperme maculant son joli visage brouillèrent ma vue. Quelle vision érotique que ce don de son corps pour mon plaisir. Ma queue pulsait, convulsait devant cette scène qui serait la définition même de la luxure. Ses joues, son nez, sa langue, ses lèvres étaient souillés par ma liqueur. Elle était si belle, réceptacle de mon plaisir, maîtresse de ma jouissance. Elle n’attendait que ça, me traire jusqu’à la moelle. Elle posa ses lèvres sur mon gland surchauffé, ajoutant encore plus à ma faiblesse et cette fois, c’étaient bien des constellations qui tapissaient mon champ de vision. Les frissons étaient forts, puissants, presque inédits tellement elle savait me mener loin. Le souffle coupé, j’entendis à peine Mathieu venir à son tour.J’ouvris les yeux sur notre reine du jour, le visage crépi de notre jus, se léchant les babines, à goûter notre jus comme un ultime geste de défi.—Vous êtes délicieux les garçons, quelle belle soirée, vous m’avez épuisée !En sueur tous les trois, nous savourâmes un verre, et les petits flans aux fruits qu’Aurélie avait cuisinés. Notre voyeur de tout à l’heure s’en était allé, sans doute satisfait de ce qu’il avait vu.Nous papotâmes de la situation, et de ce coin, visiblement connu des voyeurs. Ce n’étaient pas la première fois que nos deux coquins venaient ici et profitaient de ce joli spot. Les voyeurs, plus ou moins discrets, plus ou moins entreprenants. Je découvris une autre Aurélie, la salope assoiffée de stupre avait laissé la place à une femme charmante, rieuse, maman modèle, une femme normale en somme. Cette double facette m’étonnait beaucoup, tout comme Mathieu qui passait de dominant à poigne à un homme doux comme un agneau avec sa chérie. En tous cas, j’avais passé une délicieuse soirée en leur compagnie.La nuit finit par tomber et nous ramassâmes nos affaires pour revenir à nos voitures. Je serrai la main de Mathieu et Aurélie me gratifia d’un doux baiser avec la promesse de se revoir.
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