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Itinéraire(s)

Chapitre 14

The start of something beautiful

Avec plusieurs femmes
Nous étions chez André, tous les deux en train de jouer à la console, Gabriel était couché, et nous faisions comme deux hommes partiellement responsables, lui buvait une bière, et nous nous défoulions sur des zombies. Ça ne nous empêchait pas de papoter, loin de là. André, après avoir ri de la situation en était arrivé à la conclusion qu’il serait criminel de choisir. En plus, m’avait-il ajouté, les deux étaient plus que charmantes et semblaient sincères dans leur démarche. —Tu me vois polygame, André ? m’insurgeai-je. Déjà que je n’ai jamais eu de petite amie, alors, deux, comment vais-je faire ?—Comme tu le fais depuis le début. Mais cette fois-ci en leur parlant, avec ton cœur.—Elles se détestent, je ne vois pas comment je vais pouvoir gérer tout ça.—Tu t’en sors très bien, alors, continue. Mais il est clair qu’il va te falloir un plus grand appartement, ironisa-t-il.—Eh bien, l’ambiance ici est plus sympa que chez tes deux femmes, lança Marie en passant le seuil de la porte.—Alors, demandai-je inquiet, quel est le résultat de ta mission de casque bleu ?—Eh bien, elles ne devraient pas tarder à t’appeler, sinon, je te croque tout cru ce soir, minauda-t-elle.Je posai la manette de la console pour voir quatre appels en absence, l’une et l’autre. Il ne fallut pas plus d’une seconde pour que mon téléphone vibre encore.—Reviens à la maison, demandèrent-elles, il faut qu’on parle tous les trois. Promis, on ne va pas se fâcher, promit Elodie.—J’arrive.Je pris congé d’un André amusé, et de Marie qui ne l’était pas moins. Marie me vola une bise au passage avant que je ne reprenne ma voiture pour rejoindre mon appartement.Arrivé sur place, j’avais la boule au ventre, j’étais anxieux, j’avais peur, en un mot. Peur de me faire dévorer tout cru et de tout perdre. C’est le souffle court et les mains gorgées de sueur que j’entrai chez moi. Les deux femmes m’attendaient, sagement, et sans un mot vinrent se blottir dans mes bras.Pas de méchanceté entre elles, pas d’animosité, elles se collaient contre moi et m’entouraient de leurs bras. Un câlin doux, sans nuage dans le ciel, sans mot, avec juste beaucoup d’affection. J’avais contre moi mes deux princesses, mes deux chéries, les deux élues de mon cœur. Leurs cheveux touchaient mon menton et embaumaient de douces fragrances. Même simplement vêtues, elles étaient divines.—Nous t’aimons, déclara simplement l’une d’entre elles.—Nous allons vivre ça tous les trois, et c’est ce que tu veux, alors, aime-nous toutes les deux.Ludivine fut la première à lever la tête pour venir chercher mes lèvres. Elle m’embrassa fort, tendrement, en crispant ses doigts contre moi. Elodie vint la relever, toute aussi douce, pour un ballet de langues intense en diable.—Mais, qu’est-ce que… pus-je à peine articuler avant que Ludivine ne reprenne sa place sur ma bouche.Elles se succédaient à m’embrasser, c’était tendre, doux, intense, plus fort que je n’avais jamais connu. Leurs mains parcouraient mon corps, mes fesses, mon dos. J’avais quatre mains qui m’étreignaient et je ne pouvais leur rendre la pareille, je n’avais pas assez de mes mains pour savourer leurs corps de rêve. Elles se relayaient pour me couvrir de baisers, pour me transmettre tout l’amour qu’elles avaient pour moi. De mon côté, je me sentais mal parce que j’avais l’impression de leur imposer cet état de fait, j’avais envie d’arrêter pour m’excuser, pour leur dire combien je regrettais de les faire souffrir.—Tu n’as rien d’autre à faire que profiter de ce moment, souffla Elodie, nous t’aimons, et nous serons heureuses avec toi. Alors, ne dis rien et embrasse-nous.Nos baisers ne semblaient jamais finir, et l’atmosphère était de plus en plus chaude, mon caleçon criait depuis longtemps qu’on le délivre tant j’étais tendu. Mes deux princesses semblaient ne jamais vouloir en finir avec moi. L’une m’embrassait et l’autre me caressait et passait ses mains sur moi, sous mes vêtements. Je ne pouvais rien faire à part savourer ce qu’elles m’offraient. J’étais frustré de ne pouvoir m’occuper de l’une d’entre elles.—Viens, me souffla Ludivine en me prenant par la main.Chacune me prit par la main et m’entraina vers ma chambre dans laquelle je n’avais pas dormi depuis bien longtemps. Une lumière tamisée m’accueillit, elles avaient visiblement préparé leur coup. Elles me firent m’asseoir et Elodie m’enleva mon T-shirt. Ludivine me fit enlever mon pantalon et passa sa main avec envie sur la bosse dans mon caleçon. La blonde m’embrassait tandis que l’autre fit sauter mon dernier vêtement et s’amusa à caresser ma verge dressée. Elodie laissa Ludivine m’embrasser avant de reprendre son œuvre et je me crispai quand la belle rousse posa ses lèvres sur mon gland surchauffé. Elle était si douce, ses doigts tricotaient des dentelles de sensations sur ma tige choyée comme jamais. Son action était parfaite, et j’étais déjà au firmament quand les deux joignirent leurs efforts en même temps.Je subissais les assauts de deux furies qui se disputaient ma queue, les coups de langue succédaient aux caresses sur mes bourses, les lèvres suaves m’emmenaient plus loin que je n’étais jamais allé. Je ne pouvais rien faire d’autre que de succomber à leurs élans. Je ne pus que me crisper, mais leurs regards, leur dextérité, leur amour était bien plus fort. Je leur cédai vite, trop vite, dans un hurlement qu’elles appelaient de leurs vœux. Je ne pus voir mon sperme jaillir de ma queue à l’agonie. Je sentis juste que les baisers sur ma queue ne faiblirent pas. Elles se délectaient du fruit de leurs efforts, me trayant jusqu’à la dernière goutte.J’émergeai sur une vision unique, inédite, mes deux femmes qui s’embrassaient, se félicitaient de leur don pour me rendre fou. Le souffle court, j’en étais stupéfait. Elles se découvraient l’une l’autre, charnellement, et n’avaient pas besoin de moi, visiblement. Ludivine menait la danse, clairement, et faisait courir ses mains sur une Elodie en pleine initiation aux plaisirs saphiques. Leur baiser était sans doute la plus belle chose que je n’avais jamais vue. Les deux se bécotaient, se mangeaient, et les mains se baladaient sur des courbes divines. Ludivine fut la première à faire jaillir le sein d’Elodie en baissant le bonnet de son soutien-gorge en dentelle. La belle blonde sursauta quand les lèvres se joignirent et tétèrent ce beau fruit bien dressé. Ma belle rousse me lança un regard de défi, langue dressée comme si elle savourait totalement cette belle offrande. Je n’avais jamais vu les seins d’Elodie, et ils étaient là, devant moi, offerts, sublimes, des pommes d’amour qui ne demandaient que des bons soins. C’en était trop pour moi, aussi, je décidai de me joindre à ma belle gourmande pour prendre en bouche le jumeau qui réclamait lui aussi son dû. De concert, nous la tétions, nous la cajolions, nous la sucions et elle gémissait, se tortillait sur le lit. Elle caressait nos cheveux, soufflait son plaisir et nous encourageait à poursuivre. J’avais sa framboise entre les lèvres, et je la pinçais de temps en temps entre les doigts pour aller embrasser ma camarade qui me souriait de toutes ses dents. Quel délice que de savourer le corps de celle qui m’avait tant fait fantasmer. Je m’étais caressé tant de fois en pensant à elle, et ça y était, elle était à moi. Elle était à moi, à nous, en fait, et je savourais la beauté de ses courbes, la douceur de sa peau, la dureté de cette friandise qui fondait sous ma langue.Ludivine prit l’initiative et déshabilla sa comparse totalement et de jeta sur sa chatte. Elle la dévora sous les gémissements de ma belle blonde. J’avais ses seins pour moi seul que je pétrissais d’amour alors que son corps était parcouru de convulsions. Ma belle rousse savait y faire, elle mangeait le bouton, le suçait, et doigtait Elodie qui semblait déjà partie bien loin dans le plaisir. Elle chantait, miaulait, gémissait, et tant pis pour mes voisins. Je la fis taire avec un baiser qu’elle me rendit avec passion.Ludivine, à genoux m’offrait sa croupe sans le savoir, alors, je profitai qu’elle eût les yeux dans la chatte de la jolie blonde pour lui faire subir le même sort. Je relevai la jolie robe qu’elle avait chaussée pour l’occasion et j’y découvris son abricot luisant de désir, sans aucun dessous. Quelle délicieuse coquine. Je me penchai pour lécher ce fruit juteux, goûteux, qui palpitait pour moi. Ma langue parcourait au mieux cette jolie fente qui ne demandait que ça. Je me plaçai pour qu’elle s’assît sur moi. Je pus lui faire ce qu’elle réservait à notre amante, sucer cette fraise Tagada qui m’appelait de ses vœux. Je lapais son clito, et doigtais en même temps sa chatte trempée, Elle gémissait et savourait ce que je lui faisais, et j’adorais cette sensation de puissance que de donner du plaisir. Je me sentais si heureux, mais ce n’est pas moi qui prenais plus de plaisir. Elodie monta dans les aigus et feula longuement son orgasme. J’en étais si heureux que je mis encore plus de cœur à l’ouvrage pour faire succomber ma belle. Deux doigts plongés en elle, trempés par son désir, ma langue qui jouait avec son clito, elle ne tiendrait plus longtemps, au vu de ses gémissements de plaisir. Son nectar coulait sur moi, la bouche pleine, j’assistais à la lente montée de son orgasme.De petits cris rythmés par son souffle court aboutirent à un long gémissement aux accents de libération quand elle atteignit le septième ciel. Elle tremblait, ahanait, jouissait dans un concert d’onomatopées et de bruits de ressac quand mes doigts fouillaient son antre surchauffé. Nous redescendions petit à petit de notre nuage de jouissance, blottis les uns contre les autres, nus dans notre lit. J’étais au centre, et les deux étaient lovées, peau contre peau, dans un sentiment de félicité totale, j’avais mille questions en tête, mille remarques, mais l’instant était trop beau, trop pur pour qu’il soit gâché par un quelconque son. Je passais mes mains sur elles, sur leurs peaux si douces, sur leurs jolies formes, et nous échangions des baisers, des caresses, des plaisirs simples et sensuels à souhait. Ludivine et Elodie laissaient trainer leurs mains sur moi, et de temps en temps, agaçaient ma queue qui se dressait sous leurs bons soins.—Elodie, toi qui n’a jamais pu y goûter, à toi l’honneur, invita Ludivine.L’intéressée, trop heureuse, m’enjamba, embrassa tendrement sa consœur, comme pour la remercier de lui offrir ce cadeau. Elodie me fixait droit dans les yeux, allongée sur moi, ses seins pendaient et m’offraient un spectacle tout à fait indécent de beauté. Ludivine nous admirait avec beaucoup de bienveillance dans ses yeux. Elle avait toujours ma queue entre ses doigts agiles et elle la dirigea vers le minou rasé de la belle blonde, qui n’attendait que ça. Je sentis ses lèvres trempées d’envie qui caressaient le bout de ma queue. Elle se laissa tomber, lentement, et elle me fit apprécier le moindre recoin de son écrin soyeux. Elle était divine tout simplement. Les sensations étaient au-delà de mon imagination. Les mots me manquaient pour peindre ce tableau, les couleurs étaient d’inutiles sons dans le concert du plaisir. Ses cheveux caressaient ma poitrine, ses seins appelaient les baisers, et Ludivine lui caressait les fesses, le dos, mes bourses.Elle ondula, dansa sur moi, elle dessina des motifs ciselés pour m’amener au firmament. Elle prenait un pied fou, et les baisers que nous échangions étaient la cerise sur une merveille. Ludivine ne restait pas inactive, elle suçait les beaux seins offerts à elle, et nous caressait. J’osai passer ma main sur ses cuisses pour venir flatter son minou tout aussi trempé. Elles m’amenaient dans un tourbillon de jouissance et chaque instant surpassait le précédent. Les deux fixaient mon regard, et nous échangions tellement tous les trois. Ludivine dévorait les seins et la bouche de sa partenaire, et les deux semblaient avoir enterré la hache de guerre, elles partageaient des choses tellement uniques, inédites.—Je t’aime me murmura Elodie au détour d’un baiser.—Je t’aime aussi ma douce.—Je t’aime aussi, et toi aussi, compléta Ludivine.Notre osmose était parfaite, Ludivine jouissait au bout de mes doigts, une deuxième fois, et Elodie l’accompagna de près. Les deux s’embrassèrent et jouirent ensemble, dans une spirale de luxure. Mes mains ne me suffisaient pas pour les flatter autant qu’elles me gâtaient. Elodie redescendait de son petit nuage, et m’embrassa avant de me quitter.—Donne-lui ce que tu m’as donné, elle en a besoin autant que moi.Elle se dégagea, m’embrassa et m’invita à aller flatter Ludivine qui m’attendait les compas ouverts, la chatte luisante de mouille. Elle était une vraie ode à la beauté, et son corps de rêve expirait la sensualité. Elodie dans mon dos se saisit de ma queue et la guida entre les cuisses de ma belle rousse qui n’attendait que ça. Une lente poussée sous les yeux de notre amante et je fus totalement en elle. Les yeux dans les yeux, j’entamai un lent mouvement, comme pour la savourer toute entière, chaque parcelle, chaque détail de son être embrassait le mien à cet instant. Elodie nous caressait lentement et nous embrassa l’un après l’autre très tendrement. Ludivine me pressait contre elle, de plus en plus fort, avec ses mains sur mes fesses et me demanda de la posséder encore plus. J’accélérai sous ses yeux de plus en plus absents. Elle partait loin, si loin, à chaque coup de queue.—Je t’aime, me déclara-t-elle avant de m’embrasser.—Vous êtes si beaux, déclara Elodie, je vous aime tous les deux.—Et je vous aime moi aussi. Je t’aime.Elle me demanda d’accélérer, et sous sa symphonie de chants, je la pris plus fort, plus intensément. Ses beaux seins battaient la mesure de mes coups de reins. Elodie vint les empaumer et les sucer avec beaucoup d’envie. Je lui faisais l’amour, nous faisions l’amour, tous les trois, et Ludivine le sentit. Elle fondit en larmes à mesure que son orgasme arriva. Une vague de plaisir la submergea comme elle pleura son bonheur. Son corps était secoué de spasmes, de tremblements, d’un plaisir intense et profond. Elle était habitée, transportée, immergée par cette arrivée, par cette jouissance unique. Nous l’étreignîmes tendrement dans tout son voyage loin dans les terres de l’orgasme.Un long câlin tous les trois nous unit encore plus, c’est à ce moment que nous comprîmes que nous n’étions plus que nous trois. Nous étions un couple à trois, peu importe le nom que nous lui donnerions, nous serions unis désormais. Nus et repus d’amour, c’est ainsi que nous nous unîmes. Nous étions pelotonnés, comme des petits chats, la respiration à l’unisson, endormis du sommeil du juste.
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