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Itinéraire d'un enfant gaté... par la nature!

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous
Je n’ai pas toujours été apprécié et désiré par les femmes.Ado j’étais plutôt quelconque physiquement, un jeune antillais, plutôt mince (mais avec des jambes étonnement musclée), plutôt grand (autour d’1m80) et plutôt mignon, sans être beau. Pourtant les filles ne me fuyaient pas, je les faisais rire, j’avais de l’esprit et je devenait assez souvent le confident des filles que j’aurai pourtant voulu baiser.
Tout bascula un soir de Mai. J’avais 16 ans et vivait à Fort-de-France, la ville/capitale de la Martinique. Mes parents s’étaient séparés depuis 1 an et ma mère m’avait envoyé vivre chez mon père qui lui même vivait chez sa mère, ma grand mère. Entre lui qui voulait reconstruire sa vie et profiter de sa liberté nouvelle et ma grand-mère qui ne se souciait pas réellement de mes allées et venues, j’avais acquis une liberté assez rare pour un gamin de mon âge.Je trainais donc souvent "en ville" après le lycée en compagnie de mon meilleur ami Christophe et rentrait bien 2 voire 3 h après la fin des cours.
Ce soir de Mai, a tout changé.Il devait être 20h et comme a souvent, le chauffeur du bus qui me ramenai chez moi avait du estimer que finir son service 1/2 heure plus tôt ne changerait pas la face du monde... cela changea la face du mien.Je me retrouve à faire du stop pour rentrer. 5, 10, 15 minutes passent, je désespère un peu quand une 4x4 noire s’arrête à mon niveau.La vitre se baisse et un monsieur d’un certain âge me propose en souriant de me déposer.Quelle aubaine, non seulement j’évite l’heure de marche qui m’attendaient mais en plus je monte pour la première fois dans une voiture de "luxe"Le type est de bonne humeur, on discute, je le fais rire. Au bout de quelques minutes, la voix d’une femme que je n’avait pas remarqué jusque là, elle étaient avachie à l’arrière et somnolait, se fit entendre. Je sursautai un peu, me retournait et aperçu une black qu’à l’époque je trouvait vielle mais qui avec le recul ne devait pas avoir plus de 30 ans. Ce vieux blanc, ses cheveux gris et ses rides m’indiquait qu’il avait largement passé la cinquantaine, se tapait donc une petite blackette... je me dis qu’elle devait mené grand train en contrepartie de ses charmes.
-Dis, moi mon gars, ca te dérange si on fait un détour par chez nous, je dois récupérer quelque chose...Je tressailli, en tant qu’auto stoppeur patenté, toutes les déviations de trajet me paraissaient suspectes et dangereuse, mais j’acceptai tout de même car la perspective de marcher encore 45 minutes me rebutai.-Ok pas de pro répondis-je (non sans avoir posé ma main sur la poignée, prêt à descendre et courir si quelque chose se passait...On arriva au bout de 5 minutes devant une énorme baraque sur 2 étages. Passé la grille, il gara sa grosse bagnole dans le rez de chaussé et me dit en ouvrant la porte:-J’en ai a peine pour quelque minutes, faites connaissance en attendant...Je ne compris ni son sourire narquois, ni son clin d’oeil sur le coup, mais une fois qu’il fermât la porte, la fille de derrière m’extirpa à mes réflexions.-Je te trouve très mignon tu sais?-Heu...ben...heu... merci, vous êtes très jolie aussi madame...
-(elle gloussa), je ne suis pas une madame répondit-elle avec un franc et large sourire-tu me plait beaucoup, descendons de la voiture tu veux?Je pourrais dire que tout se mélangeait dans ma tête, mais ce serait mentir, je ne pensais à rien, comme tétanisé par la situation. Je ne sais même plus si je fus surpris ou choqué lorsqu’elle me dit:-tu sais si on s’est arrête c’est parce que tu m’as tapé dans l’oeil. Tu veux me baiser?Je répétait chacun de ses mots dans ma tête: TU VEUX ME BAISER... en 2 seconde, j’ai pensé: C’est un piège, barres toi en courant, et si elle a le SIDA, et si tu étais filmé, et si lui voulais te baiser aussi et je répondu:-oui madame, je veux bienElle sourit, me pris par la main et m’entraina dans une pièce au rez de chaussée. Un lit, une commode, un lavabo et, c’était tout. Elle s’approcha de moi, me caressa le torse a travers mon t-shirt... Je n’aimais pas son odeur et les fois d’après ni changèrent rien, je n’ai jamais aimé son odeur.
Elle se déshabilla. Elle était mince, foncé de peau, pas vraiment jolie, avec de petit seins, et une croupe assez large. Elle me déshabilla. Je bandais. Elle regarda ma queue, la pris dans ses mains et me regarda dans les yeux:-Putain t’as une grosse queue mon gars...Je ne le savais pas, mais c’était vrai. Oh...yen a des plus longues, des plus grosses, mais ma queue de 20 cm pour un diamètre de 5cm, a toujours plu à mes conquête et flatterie ou pas, elle me l’ont toujours fais savoir.Elle s’allongea et écarta les jambes...-il y a des capotes, dans la commode, mets en une et baise moi fort, j’ai envie de sentir ta grosse queue en moi.Je me souviens avoir pensé a regardé s’il n’y avait pas de camera, mais la seconde d’après, équipé du préservatif je m’introduit en elle.
Je me souviens avoir eu un peu mal car je ne me branlais jamais et que mon gland par ma pénétration fut décalotté d’un coup.Je la baisait fort selon moi, je ne la regardais pas, mes mouvements étaient désordonnés mais je la baisais.Ca a du duré a peine 10 minutes, elle gémissait.-C’est bon, vas y, prends moi, baises moi bien, mmmmh...Je me souviens de la jouissance que j’ai eu ce jour la, je me souviens m’être dit à ce moment là, waw mais c’est ça baiser? Une décharge de plaisir pur, quelques secondes ou je flottais sans vraiment savoir ou j’étais...
Car oui c’était me première fois et je ne connaissais même pas son nom...
Il redescendit. -Ah ben je vois que vous avez plus que fait connaissance, dit-il un grand sourire aux lèvres. -Bon je te ramène cette foisJe lui rendit à peine son baiser quand elle me dit au revoir.Je me sentais léger...tellement léger.-Au fait comment tu t’appelles?-...— heu Christophe.Le prénom de mon meilleur pote me vint presque naturellement. Je ne voulais pas qu’il en sache plus sur moi et je ne voulais pas en savoir plus sur eux.On arriva près de chez ma grand mère. -Écoutes Christophe, tu lui a beaucoup plu. Donnes moi ton numéro, on pourrait remettre ça...-Hum non, je n’ai pas de téléphone (on était en 1997, c’était une excuse tout à fait plausible). Mais donnez moi le votre, je vous appellerai -Ok, le voici. N’hésites pas hein, ca nous ferais bien plaisir.
Il y avait une fête chez ma grand mère ce jour là, je traversait le salon sans guère me soucié des convives, je rentrai dans ma chambre, m’allongeais et sourit. Ca y est, je l’ai fait me dis-je... Je ne suis plus puceau!

Ce fut ma toute première fois et elle détermina toutes les autres. Si j’avais perdu mon pucelage avec ma petite amie en cachette chez ses parents, serais-je devenu le dominateur, pervers et libertin que je suis aujourd’hui? Je ne le pense pas.Ceci est le début de mon histoire, si elle vous a plu, je vous raconterais toutes les autres.
A bientôt.
V.
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