Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 154 J'aime
  • 10 Commentaires

Itinéraire d'un puceau

Chapitre 4

Rémission

Inceste
La pénombre avait commencé à se dissiper bien avant qu’un de nous ne levât le rideau de ses paupières. Je fus le premier à le faire. Sa tête était posée sur mon torse, les yeux encore fermés, la bouche entrouverte. Elle était un peu sur le côté et je voyais très distinctement un de ses seins, la courbe de ses hanches et une fesse. Croyez-moi, il y a peu de panoramas plus gratifiants au réveil que celui que j’avais sous les yeux. Assez rapidement, le déroulement de notre coucher me revint en mémoire.Nous avions sauté le pas de la nudité intégrale, je lui avais caressé les fesses. Ma mère allait bientôt se réveiller, entièrement nue dans mes bras. Comment allait-elle réagir ? Allait-elle être confuse, gênée, choquée ? Je n’avais pas le sentiment de lui avoir forcé la main. Elle s’agita un peu, grogna, se frotta le nez contre mes pectoraux, et entrouvrit les yeux.― Hhmmm. T’es tout nu ?― Euh… Toi aussi.Elle ne prit pas la peine de vérifier mon assertion. Soit elle me croyait sur parole, soit ça n’avait aucune importance. Peut-être même les deux. ― Tu as bien dormi ? Me demanda-t-elle.― J’ai mis un peu de temps pour m’assoupir, mais oui. Et toi ?― J’ai roupillé comme un bébé. C’est fou ce que je sommeille bien dans tes bras.Et elle s’étala ostensiblement, bras et jambes un peu écartés. Je posai une main sur sa fesse et entrepris de la caresser.― J’ai envie d’aller faire pipi.― Je ne peux pas y aller à ta place.― Et je ne te le demande pas non plus.Elle finit pas se dégager et se dirigea vers les toilettes dont elle revint quelques minutes plus tard. Avant de se recoucher, elle remonta un peu les stores. La lumière inonda alors sa chambre. Je la voyais désormais très distinctement. Elle se tenait debout devant moi, les jambes un peu écartées. Ses poils noirs se détachaient sur la peau blanche de son pubis. ― Tu as un corps magnifique, lui dis-je.― C’est gentil de me dire ça. Je crois que ça me fait du bien de me réveiller aux côtés d’un homme tout nu.Elle posa une fesse sur le matelas, presque à la hauteur de ma tête, son regard tourné vers mon entrejambe. Puis elle passa le pied extérieur de l’autre côté de mon corps, me dégageant ainsi la vue sur son sexe. D’une main, je lui caressai les fesses avant d’enlacer son postérieur. Mon autre main avait saisi un sein et le malaxait avec tendresse. Je déposais un baiser sur sa toison. Elle me laissait faire.― Hier soir, tu me demandais ce qu’un fils était autorisé à faire ou pas avec sa mère. J’y ai réfléchi. Je crois que la frontière se situe là où commenceraient éventuellement les regrets. Si personne n’a de regrets, il n’y a pas de limites.J’attirai son bassin vers mon visage et posais mes lippes sur ses petites lèvres.― Tu es mouillée, constatai-je.― Normal, je viens de faire pipi.― Non. Je ne crois pas que ce soit de l’urine.Elle se mit à califourchon sur mon visage et frotta sa vulve contre mes babines. Sa cyprine me coulait abondamment dans la bouche et sur le menton. Elle gémissait de plaisir et moi, je n’émettais que des petits bruits étouffés de succion.
Puis elle se raidit un peu, signe qu’elle prenait du plaisir à ce frottement, arrêta son mouvement et me murmura :― Attends !Je la fis glisser vers mon cou pour pouvoir articuler quelques paroles.― Pourquoi ? Tu peux jouir tant que tu veux. Depuis que tu attends ça. Et j’ai tout mon temps pour te donner autant de plaisir que tu voudras. Ne te bride surtout pas.― Mais je vais jouir dans ta bouche.― Et alors ?Elle ne se le fit pas dire deux fois. Elle ramena son entrejambe sur mon museau et reprit ses va-et-vient avec un peu plus de rythme. Puis je sentis ses sécrétions augmenter tandis qu’elle se cabrait. Elle poussa un râle de contentement et s’effondra à mon côté, la tête en bas.― Ça t’a plu ? Lui demandai-je.― C’était merveilleux. Ça faisait si longtemps que je n’avais pas joui.Je promenai un doigt entre ses fesses inondées. ― Tu mouilles beaucoup.― J’ai toujours beaucoup mouillé. Alors en plus, excitée comme je le suis avec toi…Mon index disparut soudainement dans son vagin, dérapant sur une flaque de cyprine. Rassurez-vous, un accident sans gravité. Je le ressortis avec douceur avant de l’y enfoncer à nouveau. Puis je le remontai le long de son sillon et le posai à l’entrée de sa rondelle. Elle était tellement lubrifiée qu’il s’y enfonça aussitôt. Elle approcha alors son visage de mon entrejambe et glissa mon sexe dans sa bouche. Ses mains tripotaient mes bourses.De mon côté, je gardais mon doigt dans son anus en l’agitant un peu et promenai à nouveau ma langue à l’entrée de sa vulve.Elle remuait le bassin comme pour m’inciter à progresser plus profondément. Je remplaçais alors mon index par mon majeur et enfonçait mon doigt ainsi libéré dans son vagin. Ma langue cherchait son clitoris et ne tarda pas à le trouver.Elle aspirait ma verge comme si c’était une paille trempée dans un verre de limonade. Je n’allais plus tenir très longtemps.― Oh, maman, je vais jouir dans ta bouche.― Mmhh, fut sa seule réponse. Je supposai que ça voulait dire : « oui, vas-y mon fils ». De toute façon il était trop tard pour envisager un autre scénario.Nous jouîmes et avalâmes de concert, elle mon sperme et moi sa cyprine.
* * *
Quelques minutes plus tard, elle posait à nouveau sa tête sur mon torse.― Je suis désolé d’avoir joui dans ta bouche, lui dis-je.― Pourquoi ? Ce n’est pas désagréable. En fait, je prends du plaisir à sucer quand la bite appartient à un homme que j’aime. Et toi, je t’adore, mon chéri !Nous somnolâmes quelques instants. Nous n’avions rien prévu pour la journée, et, partis comme on l’était, il était plus que probable que nous allions la passer à baiser. Il y a des vacances qui démarrent plus mal que ça.― Alors, qu’est-ce que ça t’a fait de faire l’amour avec ta mère ?― Un plaisir que tu ne peux pas imaginer. Un sentiment de plénitude aussi. Je me sens devenu un homme. Je croyais l’être avant aujourd’hui, mais finalement, peut-être pas. ― Même si ta mère est une vieille qui a dépassé les cinquante ans ?― Tu dis n’importe quoi. D’abord, tu n’es pas vieille, et en plus tu as un corps que la très grande majorité des filles de mon âge t’envierait. Et toi, qu’est-ce que ça t’a fait ?― Ça faisait si longtemps qu’aucun homme ne s’était correctement occupé de moi ! J’y ai pris un plaisir que je n’imaginais pas possible. Entre nous, c’était comme une première fois qui n’en serait pas une. Je t’aime depuis si longtemps. Je crois que je serai toujours parfaitement à l’aise avec toi. Et puis, le fait que tu sois mon fils, ça m’excite encore plus.J’attirai son visage près du mien, posai mes lèvres sur les siennes. Très vite, nos langues se trouvèrent. Nous restâmes ainsi un long moment à nous embrasser comme des ados amoureux.― Je t’aime maman, lui murmurai-je.― Moi aussi, mon chéri.― En réalité, nous n’avons pas encore vraiment fait l’amour… J’ai envie de te pénétrer.― Je n’attends que ça.Elle se mit à califourchon sur mon ventre, puis commença à reculer jusqu’à buter contre ma verge dressée. D’un geste habile de la main, elle la guida jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans son vagin.― Ah ! Qu’est-ce que c’est bon.Elle alternait de petits mouvements latéraux avec d’autres plus vigoureux, d’avant en arrière.― Comme j’aime te sentir en moi !― Qu’est-ce que tu es belle !Mes mains passaient de ses fesses à ses seins. La cyprine débordait d’entre ses cuisses et elle était en sueur, si bien que tous les morceaux de peau que je touchais étaient mouillés. ― Je sens que je vais venir, me prévint-elle. Moi aussi, je n’étais pas loin d’exploser.― Vas-y maman chérie, nous allons jouir ensembl...La fin de ma phrase se perdit dans un grognement de contentement. Sa réaction fut encore plus vive que la mienne. Elle poussa un cri perçant et je sentis sa vulve se contracter autour de mon sexe.Elle s’effondra sur moi et fut prise d’un fou-rire incontrôlable.― On ne peut pas dire que j’ai été très discrète.Cela me faisait plaisir de l’entendre rire. Si le prix à payer pour qu’elle se sente à nouveau vivante et gaie était de la caresser partout et de la pénétrer, j’étais prêt à me dévouer. Corps et âme, c’était le cas de le dire.― Lucas, qu’est-ce que tu fais ? Tu es en train de battre en retraite ! Me réprimanda-t-elle.― C’est que je ne suis pas une machine. Tu vas devoir attendre un peu que mon organisme réalimente mes bourses. C’est alors avec le plus grand plaisir que mon pénis reprendra ses excursions entre tes cuisses. ― C’est sûr ?― Oh, oui ! Ça, tu peux en être certaine, ma petite maman !Elle sortit alors de notre emboîtage qui menaçait de se déliter d’un instant à l’autre et se lova contre moi. Nous bouches reprirent leurs assauts.
Nous passâmes le reste de la matinée au lit, à nous tripoter, à nous embrasser et à bavarder.― Qu’est-ce que tu as envie de faire pendant ces quinze jours ? Lui demandai-je.― L’amour, baiser, me faire lécher, te sucer, te branler, te sentir éjaculer dans ma gorge, dans mon vagin, t’inonder de cyprine, me faire sodomiser… Je continue ?― Non, ça va, j’ai compris l’idée. Et tu auras tout ça parce que moi aussi, j’en crève d’envie. Mais sinon, une balade t’agréerait ?― Tu crois qu’il nous restera du temps pour ça ?Je décidais de ne pas insister.
* * *
Nous prîmes une douche, ensemble, bien sûr. Depuis la veille au soir, aucun de nous n’avait enfilé le moindre bout de tissu. Nous déjeunâmes d’une salade composée, toujours à poil. J’étais assis sur un tabouret, elle était sur mes genoux. Tandis qu’elle picorait dans son assiette, je glissai mes doigts dans sa fente.― Qu’est-ce que c’est ? M’interrogea-t-elle. « Une masturbation dinatoire ?― C’est un nouveau concept de restaurant, pour les femmes actives qui n’ont pas beaucoup de temps à consacrer à leur vie privée. Tandis qu’elles prennent leur déjeuner, un employé zélé leur procure du plaisir. Fini les rendez-vous de cinq à sept qui désorganisent les emplois du temps et sont les cauchemars des secrétaires, ou pire, l’abstinence imposée par le surmenage.― Et tu es sûr qu’on gagne du temps ? Déjà, il faut que la cadre dynamique se déshabille. Et après, qu’elle renfile son tailleur avant de retourner au bureau, non ?― Pas forcément. Pour celles qui sont très pressées, tout ce qu’on leur demande, c’est de porter une jupe ou un tailleur, et pas de culotte ou alors de l’enlever dès leur entrée dans le restaurant. Gain de temps assuré. Ça s’appelle le « déjeuner sur le pouce », lui dis-je en lui montrant le mien, avant de le lui glisser dans la vulve et de le remuer.« Je crois même que l’expression vient de là, poursuivis-je.Elle gémit.― Tu vois, ça marche… Lui murmurai-je.― J’ai l’impression que je mange plus lentement… ― Maman, tu manges toujours très lentement. Que je te tripote ou pas n’y change rien.― Et si notre exécutive, comment dirai-je, recherche un service plus complet ?― Pas de problème. Comme dans la plupart des restaurants, il n’y a pas qu’un seul menu. Certains ont plusieurs plats. Je vais te montrer pendant que tu finis ta salade, car, crois-moi, ça prendra le temps qu’il faut, mais tu vas la finir. Lève-toi et continuer à manger.Elle se mit debout. Je passai derrière elle, lui écartai les fesses et y glissai ma langue. ― Là, on en est aux entrées. Ma langue tournicotait autour de sa rondelle.― Ahhh, gémit-elle.J’insistai. Mes mains séparaient ses globes au maximum. Elle creusait ses reins ce qui avait pour effet de projeter sa croupe vers mon visage. Ma langue descendait jusqu’à sa fente qui dégoulinait de cyprine, avant de remonter pour se glisser dans son anus.― Oohh !Je n’aurai jamais imaginé, ne serait-ce que vingt-quatre heures auparavant, être en train de lécher le cul de ma mère. Elle m’en facilitait l’accès et ne cachait pas son plaisir. Je fis durer le hors-d’œuvre de longues minutes.― Une fois l’entrée terminée, nous passons au plat de résistance. Je me redressai, me collai derrière elle. Elle était tellement mouillée que je n’hésitai pas et la pénétrai d’un seul coup.― Ooh !― Evidemment, pas question d’assener de vigoureux coups de boutoir, sinon il est impossible pour notre cliente de savourer nos plats. Elle risquerait même de tâcher son corsage, si elle a préféré rester habillée. Tout en douceur. Tu continues à manger, hein ? ― Bien sûr ! M’assura-t-elle en haletant. Tu es si doux, si prévenant…― Tu as un très joli petit cul, maman chérie. Tu n’as pas idée d’à quel point j’aime ce que je vois.Je promenai mes mains sur ses hanches qui s’évasaient sur un postérieur bien charnu, puis les baladais sur ses fesses, sur sa rondelle encore toute humide de mes coups de langue. Ce faisant, je continuai mes va-et-vient langoureux. Elle continuait à manger, de manière un peu chaotique. Mais elle avait presque fini son assiette.― Et… Et si je joui et que je crie comme je l’ai fait ce matin ?― Dans ce cas, toute la salle se tourne vers toi et t’applaudit. Tu deviens une célébrité dans tout le quartier d’affaires.― Parce qu’on est toutes dans la même salle ?― Permets-moi de te détailler un peu plus le concept, pendant que tu termines tranquillement ton plat de résistance, lui dis-je et m’enfonçant un peu plus en elle.― Ooh !― Il y aurait une salle commune, bien entendu, pour les déjeuners sur le pouce et celles qui le souhaitent. C’est d’ailleurs la seule option pour les groupes, ou, par exemple, les repas de famille. Il y aurait aussi des box privatifs pour celles qui préfèrent déjeuner tranquille, toute seule, ou en tête à tête avec une copine, une cliente ou une simple relation d’affaire.― J’imagine très bien les repas de famille dans le cadre de ton concept. Les 80 ans de mamie, la communion de la petite…― Ce serait réservé aux femmes, majeures, et de préférence hétérosexuelles ou bi. Sinon, elles risquent de ne pas y trouver leur compte. Côté staff, il y aurait des serveuses, des femmes exclusivement, pour apporter les plats, et des servants, tous masculins, pour s’occuper de ces dames.― Je vois. Tu as pensé à tout. Mais tu ne m’as pas parlé du dessert ?― Pourquoi ? Tu as fini ton assiette ?― Presque.― Alors, finis-là. Pour le dessert, je ne peux malheureusement pas te faire de démonstration. Notre spécialité est le cornet avec deux boules de glace. J’ai le cornet et les boules, mais pas la glace ni la chantilly.― Je crois que je vois l’idée, s’amusa-t-elle. Fais-moi penser à acheter ce qu’il faut quand on fera les courses. J’ai hâte de goûter ce fameux cornet aux deux boules. Et jusqu’où va ce service ?― C’est à notre cliente de le décider, lui répondis-je en accélérant un peu mon va et vient entre ses fesses.― Aah ! Gémit-elle. « Tu devras recruter beaucoup de servants. Un par cliente.― Peut-être plus. Je pourrais être amené à remplacer le servant après le plat de résistance et avant le dessert.― Déjà ?― Non, pas là. Dans l’absolu.― Ah, bon : dit-elle, visiblement soulagée. « Ce n’est pas facile de recruter en ce moment dans la restauration.― Oh, là, je pense que je n’aurai aucun mal, crois-moi. En plus, c’est un job parfait pour étudiants.― Je vois. Bon, moi, je ne suis pas une exécutive-woman, je suis en vacances. Et comme je suis privée de dessert, je vais aller me reposer. Vous faites des plats à emporter ?― Parfois. Mais exclusivement des hot-dogs.― Hmmm. J’adore les hot-dogs ! Dit-elle en enserrant mon sexe dans sa main, me tractant ainsi jusqu’à sa chambre.
* * *
Je trouvai un emploi saisonnier sur Bordeaux et passai tout l’été avec ma mère. Bien sûr, nous travaillions tous les deux la journée, mais nos soirées étaient à la fois détendues et torrides.Il ne se passait pas une journée sans que je n’éjacule entre ses cuisses ou au fond de sa gorge. Je portai la plus grande attention au fait qu’elle même jouisse au moins une fois par jour, quitte à la terminer à coups de langue lorsque je n’avais pu m’empêcher de cracher prématurément ma semence.
Elle n’avait pas oublié, en faisant les courses, d’acheter de la glace au chocolat ainsi que de la chantilly. Et elle insista pour que je lui serve mon fameux cornet aux deux boules. Je dus m’exécuter et fis appel à mon imagination. Je dois avouer qu’elle ne fut pas en reste pour donner corps à ce fameux dessert. La glace était froide (on s’en doute,) et ne tenait pas sur mes bourses. La chantilly déposée sur mon gland résistait mieux à la fonte et à la pesanteur. Elle maintenait la crème glacée et mes couilles entre ses mains et léchait le tout avec entrain. Lorsque tout le chocolat eut disparu, elle finit consciencieusement le travail en enfournant mes testicules dans sa bouche. Puis elle s’attaqua à la chantilly et à la partie de mon anatomie qui la supportait. Ce fut probablement la fellation la plus mémorable de ma encore courte vie amoureuse. Pas forcément la plus jouissive, mais assurément celle dont je me souviendrai toute ma vie. D’autant que je ne pus m’empêcher d’ajouter ma contribution personnelle aux décilitres de chantilly qu’elle avait déjà ingurgités. Elle ne protesta pas et avala le tout.
Elle aimait que je la lèche, quelle que soit la partie de son corps qui faisait l’objet de mes attentions, et je ne m’en privais pas. Plus d’une fois, elle s’affala sur le lit à plat ventre, les jambes écartées. Je ne pouvais y voir qu’une invitation que je ne voulais surtout pas ignorer.Je m’allongeais alors entre ses jambes et commençait à lui mordiller les fesses. Puis, peu à peu, je progressai dans sa raie. Elle m’aidait en écartant encore plus ses jambes. Je promenai ma langue sur sa rondelle, avant de la remplacer par mon index, tandis que mon majeur disparaissait dans son vagin. Elle gémissait de plaisir et mouillait abondamment. ― Tu peux me faire tout ce que tu veux mon chéri.Je vis dans cette remarque une demande à peine déguisée pour que j’aille plus loin. J’approchais mon gland de sa fente, le trempai dans sa mouille et me mis à le frotter contre son anus. ― Vas doucement, soupira-t-elle.J’augmentai peu à peu ma pression, tandis que son orifice se dilatait. Mon sexe n’est pas démesuré, mais ce n’est pas non plus une aiguille à tricoter. Je pris mon temps, le remplaçant parfois par mon doigt pour m’assurer qu’elle était toujours bien lubrifiée. Puis je finis par appuyer un peu plus fort et mon gland disparut dans son anus. Elle poussa un petit cri.― Non, reste, m’implora-t-elle tandis que je m’apprêtais à me retirer. J’entrepris de lents mouvements de va-et-vient. Ma verge coulissait de mieux en mieux à chaque aller-retour. Elle-même semblait y prendre de plus en plus de plaisir.― Oh, qu’est-ce que c’est bon !La pression sur mon sexe était plus forte que lors d’une pénétration anale, et je ne tardais pas à éjaculer.Un peu plus tard, alors que nous étions tous deux allongés dans les bras l’un de l’autre et que je lui mordillai les seins, elle me confia :― Tu sais, je ne l’avais fait que deux ou trois fois avec ton père. Tu ne peux pas savoir le plaisir que ça procure…
Septembre vint, et je retournai sur Paris. Mais je descendais régulièrement voir ma mère, et le plaisir de nous retrouver débouchait aussitôt sur toutes formes de privautés qui nous comblaient de plaisir. Il n’y avait aucun tabou entre nous.J’avais des aventures sur Paris, ce qui ne m’empêchait pas de prendre toujours autant de plaisir à coucher avec ma génitrice. Une de ces amourettes finit par devenir sérieuse. J’en parlai à Christelle.― Tu veux qu’on arrête, conclut-elle.― Non, surtout pas. J’adore ce que nous faisons. Je ne pourrais pas m’en passer. Mais Julie est quelqu’un avec qui je me sens bien, avec qui, peut-être, je pourrais envisager de fonder une famille. Pas dans l’immédiat, mais peut-être dans quelques années. Quand je travaillerai, si nous nous entendons toujours aussi bien…― Qu’est-ce que tu attends de moi ?― Rien. Enfin, rien de plus que ce que nous partageons depuis un an maintenant. J’ai toujours envie de te faire l’amour de te lécher, et je veux que ça continue. Est-ce que toi tu peux l’accepter ?Elle laissa passer un petit silence.― Je crois oui. Tu es mon fils, et je veux que tu sois heureux. Je sais bien qu’on ne peut pas fonder une famille ensemble. Je sais que tu m’aimeras toujours, même si tu en aimes aussi une autre. Et si de temps en temps tu veux bien continuer à me donner du plaisir, alors je serai la plus heureuse des mères.
C’est ainsi que s’achève ce récit. Il est loin le jeune puceau qui courait presque comme un poulet sans tête, la bite à la main, dans le camping d’Arcachon. Ma relation avec Julie est devenue sérieuse. Et je continue à coucher avec ma mère. Et alors ?FIN
Diffuse en direct !
Regarder son live