Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 37 J'aime
  • 1 Commentaire

Itinéraire d'une pute

Chapitre 8

Travesti / Trans
Je rejoignis ma place sur le trottoir bordant le parking sous le lampadaire où deux hommes semblaient attendre. Johanna n’était pas visible, elle devait être avec un autre client car près de trente cinq minutes s’était écoulées depuis que je l’avais vu grimper dans la cabine de son premier micheton.Les deux hommes s’approchèrent dès que je fus adossée au lampadaire. L’un d’eux m’interrogea:— « Tu acceptes de prendre deux clients à la fois ma poule? Tu suces mon copain pendant que je te baise. »— « Je suis transsexuelle, je prends 100 F à ton copain pour une simple pipe et 200 F à toi pour la totale cela vous tente? dis-je d’une voix aguicheuse les laissant mater mes petits seins dardant sous la dentelle, mon cul moulé dans une mini jupe ras des fesses et mes jambes fines juchées sur des sandales à brides rouges et talons aiguilles. »Il jeta un coup d’œil à son copain qui hocha de la tête silencieusement, et me répondis:— « Nous n’aimons pas trop les transsexuels mais tu es bandante et t’as l’air salope ça nous excite, alors ok pour tes tarifs. Tu me suis jusqu’à la remorque de mon camion, on sera plus à l’aise car elle est vide et j’ai installé un matelas par terre. Cela te va la petite pute? »L’attitude méprisante de l’homme qui s’adressait à moi et la perspective d’être enfermée avec deux clients dans une remorque me ficha la trouille et je répliquais aussitôt essayant d’avoir l’air assurée:— « Pas question que je monte dans cette remorque mes chéris! Si vous n’avez pas mieux à proposer se sera dans le bois derrière moi!»— « D’accord mais tu as intérêt à assurer la pute, on en veut pour notre fric! déclara t-il d’un ton un peu menaçant. »Mon cœur battait la chamade, je sentais que la situation n’était pas nette et que je pouvais en perdre le contrôle. En effet, le ton menaçant de cet homme semblaient mal augurer de la suite et la proposition de s’enfermer dans la remorque du camion était plutôt bizarre. Avaient-ils de mauvaises intentions? Les transsexuelles sont souvent victimes de violences. Je décidais d’attendre le retour de Johanna avant de m’aventurer avec eux dans le bois. Je décidais de tenter de les faire patienter. Je respirais un grand coup et rétorquais:— « Ecoutez les gars! Je suis très douée pour donner du plaisir, vous ne serez pas déçus mais j’ai perçu dans votre attitude un côté menaçant alors nous allons attendre ici que ma copine revienne. J’irais dans le bois avec vous lorsqu’elle sera à proximité et ne perdez pas de vue que nous avons des amis parmi vos collègues chauffeurs routiers, alors pas de lézard et je vous garantie que vous en aurez pour votre fric ! »— « Va te faire foutre sale travelo de merde! J’avais de toute façon pas envie de te baiser, je n’aime que les vrais femmes !» cracha t-il en s’éloignant. Son collègue toujours muet et taillé comme un pilier de rugby décida de ne pas le suivre et me fit un clin d’œil en souriant.— « Laisse cette pute Daniel! Tu ne bandes tout de même pas pour cet épouvantail qui est plate comme une limande et a un cul de sauterelle! C’est un mec, ne me dis pas que t’es devenu pédé! » lança l’homme agressif lorsqu’il s’aperçut que son acolyte était resté avec moi.— « Fiche le camp Bernard et tache d’être poli avec elle si tu ne veux pas que je t’arrange le portrait à ma façon. » répondit-il d’une voie calme mais déterminée.Le dénommé Bernard s’en alla sans demander son reste.— « Merci Daniel! Ton ami n’aime pas les filles comme moi, je suis vraiment contente qu’il s’en aille. » — « Ce n’est pas un ami ni même un copain, juste une connaissance récente et je viens juste de découvrir que c’est un sale type. Je ne l’aurais pas laissé faire tu sais! J’ai trouvé que tu avais du cran mais il en faut pour tapiner ici. Je conduis un petit camion de livraison sans couchette, je me suis arrêté pour une pause, je repars dans une heure. Tu m’emmène dans ton bois princesse, je veux la totale! »— « Avec plaisir Daniel, tu me trouves tout de même sexy avec mes petits seins d’adolescente et mon petit cul. Ce qu’a dit ce sale type est un peu vrai, j’aimerais tellement avoir des formes plus voluptueuses. »— « T’es mignonne princesse! Tu es super bandante comme tu es. Tu sembles déplorer la petite taille de tes seins et les fesses, mais au contraire c’est ton allure de nymphette délurée, de liane sexy, qui fait ton charme selon moi.»— « Merci Daniel, tu viens… » dis-je avec un sourire aguicheur prenant les devants pour l’emmener dans le bois. Je découvrais que j’aimais l’adrénaline de cette situation de racolage sur le fil du rasoir où la tapineuse ne sait pas sur quel tordu elle peut tomber, elle agissait sur moi comme un puissant aphrodisiaque. Au milieu du bois, je m’arrêtais dans une petite clairière aménagée en aire de pic nique. Daniel me tendit les 200 F qu’il avait déjà sorti de son portefeuille en disant:— « Voila ton petit cadeau, princesse! Au fait quel est ton prénom? »— « Merci Daniel, je m’appelle Pattie …répondis je en rangeant l’argent dans mon sac. »— « Patti, comme Patti Smith j’aime sa chanson because the night, tu l’a connais? »— « Oui, je l’adore aussi! » répondis-je un peu excitée.Je posais mon sac sur le banc, m’accrochais au cou de Daniel pour l’entrainer dans une danse sensuelle et pris une voix rauque pour fredonner :
— « Because the night belongs to lovers, because the night belongs to lust, because the night belongs to lovers, because the night belongs to us (parce que la nuit appartient aux amants, parce que la nuit appartient à la luxure, parce que la nuit appartient aux amants, parce que la nuit nous appartient)… »Daniel m’embrassa fougueusement et murmura à mon oreille:— « Tu es sublime, je n’aurais jamais imaginé passer un moment pareil ce soir… »Sa main droite me pelotait délicieusement les fesses me faisant frissonner de désir et remonta dans le dos pour défaire la fermeture de mon petit top en dentelle. Les petites brettelles du vêtement glissèrent sur mes épaules dénudées dévoilant mes petits seins aux tétons dardés et très sensibles que Daniel butina aussitôt faisant monter encore mon désir. Il tenait le top d’une main et recula d’un pas pour le déposer sur la table de pique nique. Déchaînée, je me pressais contre lui, l’obligeant à appuyer ses fesses contre le plateau de la table et posait une main pressante sur son entrejambe. Je sentis un membre puissant et bandé à travers l’étoffe de son jean comme la promesse d’être baisée comme une femelle en chaleur que j’étais déjà à cet instant. Pendant ce temps, il me malaxait les fesses sous ma mini jupe, il sentit l’humidité de mon petit trou d’amour et me mis un doigt dans le cul me faisant pousser un gémissement lascif. Sa langue et ses lèvres glissaient sur mon cou, mes épaules, mes seins affolant mes sens. J’étais toute entière sous l’emprise de la luxure comme le revendiquait la chanson de Patti Smith. Brûlante d’envie de tenir son membre viril dans ma main, je descendis sa braguette et déboutonnais le bouton de son pantalon. Ma main gauche plongea dans son slip pour saisir sa hampe turgescente, je me sentis comme électrisée de sentir palpiter dans ma main cette puissance virile. Elle était longue et épaisse mes petits doigts n’en faisait pas le tour. Quelle sensation merveilleuse de tenir à pleine main ce membre doux et raide à la fois, de le masturber lentement! Sentant Daniel réagir à mes caresses, je décidais de m’accroupir en équilibre sur mes talons aiguilles et de sucer son gland. Une odeur de sperme, d’urine et de stupre m’enivra. Je jouissais d’être cette femelle gracile et indécente à la fois qui satisfait les besoins sexuels du mâle dans l’ombre discrète d’un bois. La nuit est mère de la luxure. Je n’étais plus une pute, une fille de joie, mais une simple femelle subjuguée par la puissance sexuelle du mâle, prise dans les rets de cette fièvre animale sortie de la nuit des temps. Je pompais Daniel accroupie, mon œillet pulsait entre mes fesses et dégoulinait en se languissant de profiter du sexe qui emplissait ma bouche. N’y tenant plus, je me relevais me débarrassait de ma mini jupe et de mon string pendant que Daniel quittait son pantalon et son slip. Nue toujours juchée sur mes sandales aiguille, je me penchais en avant en appui sur mes mains contre le tronc d’un arbre les reins cambrés et offrant mon anus à la saillie comme une pouliche avec un étalon. — « Viens me prendre Daniel, je veux te sentir en moi! » dis-je d’une voix implorante.A la vision de mon petit cul rebondi offert, de mes jolies jambes écartées mises en valeur par les talons aiguilles, et de ma petite verge pendant entre mes jambes Daniel fut électrisé à son tour. Il se précipita pour humer l’odeur de mon cul, m’exciter la rondelle avec sa langue buvant ma liqueur d’amour qui s’en échappait. Il dit alors un peu exalté:— « Ton cul appelle le mâle, il dégage un parfum lubrique pour exciter leur ardeur, il a perdu toute décence car il clame qu’il veut de la bite, je vais lui en donner princesse!»Il présenta le gland de sa verge longue et épaisse face à mon sphincter anal et en s’enfonçant dans mon cul il eu la sensation de plonger son dard dans un fourreau chaud et doux. Je poussais un long gémissement de plaisir lorsque je me sentis pénétrée, possédée mais aussi comblée et honorée. Je retrouvais une fois encore le plaisir de me sentir femme lors de cette prise de possession virile. Le sang en ébullition, Daniel commença rapidement les va et vient dans mon puits de luxure s’arrimant à mes hanches d’une main. De son autre main il me caressait les fesses, les cuisses, le dos et venait me malaxer les seins ou me titiller les tétons en le faisant rouler entre le pouce et l’index. Daniel était un jouisseur qui profitait de tout ce que je lui offrais sans retenue. J’étais chauffée à blanc, comme saturée de plaisir, mais malgré tout toujours en quête de jouissance.Après trois minutes à un rythme pas très rapide, il arrima ses deux mains à mes hanches et il se mit à me pistonner le cul à toute vitesse. Cette sensation inouïe de puissance sexuelle déchaînée pour honorer mon cul déclencha en moi un violent coït anal qui me secoua et m’arracha des cris d’extase sexuelle. Il ralentit pencha son buste sur mon dos m’enlaçant son sexe toujours enfoncé au plus profond de mon cul et me couvrant le cou et les épaules de baisers il me chuchota à l’oreille:— « Tu aimes être baisée comme une chienne! Je n’avais jamais vu personne jouir comme toi, tu es vraiment très chaude du cul! »Après cet intermède de quelques secondes, il reprit son va et vient effréné m’amenant au coït anal encore une fois, et recommença après avoir soufflé quelques secondes. La troisième fut l’ultime et la plus intense, il partit dans un rythme élevé qu’il accéléra crescendo pour parvenir à une éjaculation puissante qui me fit de plaisir de me sentir remplie et me donnant la sensation d’être femme jusqu’au bout des ongles, de celles qu’on épuise de plaisirs. Daniel resta un instant en moi, se pencha pour me déposer un dernier baiser dans le cou, se retira lentement, me caressa langoureusement le dos et finit par me claquer doucement les fesses. Il déclara encore sous le charme:— « C’était extraordinaire, tu es une vraie reine de la baise! »Je lui souris vaguement fière et surtout amusée par le qualificatif. Je lui tendis des lingettes nettoyantes en lui disant:— « Contente que cela t’ai plu! »— « Tu tapines souvent ici? J’aimerais baiser de nouveau avec toi. »— « Je serais de retour vendredi soir dans deux semaines et je serais très heureuse de t’avoir de nouveau comme client. »— « Tu es occasionnelle ou tu tapines ailleurs le reste du temps? »— « Occasionnelle… » répondis-je laconiquement.Daniel se rhabilla rapidement et s’éloigna. Je me nettoyais sommairement et remis ma tenue de tapineuse pour terminer mes ablutions à l’abri des regards aux toilettes du parking. En sortant des toilettes quelques minutes plus tard, je croisais un homme qui m’interpella:— « C’est toi la petite pute que Christian a baisé ce soir? »— « Oui…, je suis transsexuelle, tu es intéressé? » répondis-je.— « Je te donne 100 F pour une pipe ici dans les chiottes. D’accord? »— « Ok! Allons-y! » dis je en me dirigeant vers les toilettes.Une minute plus tard, nous étions installés dans une cabine de WC. Assise sur le couvercle refermé sur la lunette du WC, je demandais au routier:— « Tu me donnes les 100 F chéri? »— « Il parait que les transsexuelles sont experts en turlutte, j’espère que je ne serais pas déçu! » Dit-il en me tendant un billet de 100 F.— « Pour bien sucer, il faut adorer le faire! Rares sont les transsexuelles qui n’aiment pas! Voilà le secret!» Dis-je en rangeant les 100 F dans mon sac.L’homme de 35 ans était blond aux cheveux très courts et habillé d’un débardeur dévoilant des bras très musclé et couvrant à peine un abdomen proéminent de buveur de bière. Je déboutonne sa braguette, et je descends son pantalon et son caleçon jusqu’aux chevilles. A dix centimètres de mon visage, la bête était là, encore au repos. La mise en scène plutôt salace ne lui avait même pas arraché un début d’érection! Son pénis était tout flasque, fripé, il reposait assez lamentablement sur ses testicules. Un défi à relever pour la pute que je voulais devenir. Je pris sa verge délicatement l’entourant avec ma petite main aux ongles longs et rouges et commence à la masturber. Lorsque je sentis qu’elle commençait à grossir légèrement dans ma main, je pris une grande goulée d’air, j’inclinais la tête, j’ouvris le plus grand possible mes mâchoires et j’enfournais sa bite et ses couilles intégralement.Je me retrouvais le nez planté dans son pubis, les poils venant chatouiller mes narines. L’odeur était musquée et excitante. La bouche remplie, je m’efforçais de respirer par le nez et j’attendis. Apparemment, la chaleur de la cavité produisit son effet, son sexe se rigidifia de plus en plus et se déploya tandis que je lui massais doucement les couilles en lui titillant la base du scrotum avec mes ongles de petite chatte. Rapidement, je fus obligée de libérer les couilles sous la pression et mes lèvres rouge vif se resserrèrent à la base de la hampe. Ma tête se redressa en suivant le mouvement de sa verge, ce qui me permit de placer son gland à l’entrée de ma gorge. Il continua à grossir en avançant dans l’œsophage. Pour provoquer une érection complète, je commençais à faire jouer ma langue qui caresse le cylindre de chair par le dessous. La réaction fut immédiate: le gland avança dans mon gosier distendu par le diamètre qui augmentait également. — « Voilà, il est à sa taille maximale. » Pensais-je à cet instant.Il était temps de passer à la vraie fellation. Mes lèvres remontèrent en glissant lentement le long de la bite et lorsqu’il ne resta que son gland dans ma bouche, j’aspirais goulûment en creusant mes joues. Le gland coulissait en suivant les mouvements d’aspiration, ma langue le léchant en même temps. Puis, je plongeais entre ses cuisses, gobant entièrement son pénis, et je recommençais l’opération plusieurs fois. Mon client eut l’air d’apprécier le traitement, à entendre les gémissements qu’il poussait.Je décidais de me dégager et sa bite se dressa devant moi, bien droite, bien dure. Comme on déguste un esquimau, je la léchais de bas en haut, étalant ma langue bien à plat pour la recouvrir de salive. Elle était maintenant luisante, et ce fut le moment d’exciter le gland que je savais être la partie la plus sensible. Je le dévorais des lèvres, lui donnais de petites caresses du bout de ma langue, titillais le méat pour ensuite y introduire le bout de ma langue. La saveur des premières perles de sperme me confirma que j’étais sur la bonne voie. Il s’agissait de maintenir la pression aussi j’avalais encore le paquet, mais la tête penchée sur le côté cette fois. Ainsi, son sexe heurta l’intérieur élastique de ma joue, et je pus enrouler ma langue autour de sa hampe. Le coulissement repris, doublé de mon fourreau lingual pendant que je continuais à lui masser activement les couilles avec ma main droite.Le moment était venu pour aborder la dernière phase. Je me repositionnais pour continuer mes allers et venues avec ma bouche, mais plus profond jusqu’au fond de ma gorge désormais. Sa verge passa et repassa sur ma langue, et j’accélérais progressivement le rythme jusqu’à un pistonnage enragé. Ma bouche s’était transformée en vagin, mes lèvres viennent percuter son bas-ventre à chaque pénétration. J’entendis des halètements de plus en plus rapides, je sentis sa bite palpiter et quand il poussa enfin un cri rauque, je serrais les lèvres le plus possible. Le premier jet de sperme vint buter contre mon palais et je l’avalais avec gourmandise, comme une récompense. J’accompagnais chaque giclée d’une succion bien sonore, conservant la semence en bouche. Le liquide séminal gonflait mes joues, j’en perdis un peu qui s’écoula par la commissure des lèvres. Je parvins à en déglutir la plus grande partie à petites gorgées. C’était bon, sucré, crémeux. Je pompais puissamment pour recueillir les dernières gouttes. C’était terminé, je pus libérer sa bite. Je me redressais et le fixais droit dans les yeux en me pourléchant lubriquement les babines. Un filet de sperme pendait à mon menton.— « Bon sang, quelle pute! Une suceuse aussi salace que toi je n’imaginais pas que cela pouvait exister. » S’exclama mon troisième client de la soirée.Je sortis du WC derrière mon client qui s’éloigna rapidement sans plus s’inquiéter de moi. Je profitais d’être aux toilettes pour passer aux lavabos et me remaquiller. Il n’était pas encore une heure du matin et la boule de plaisir au bas du ventre était encore vivace, elle clamait qu’elle en voulait encore.
Diffuse en direct !
Regarder son live