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Itinéraire d'un voyeur

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Malgré m’être bien rincé l’œil pendant une bonne partie de l’après-midi en regardant ces deux familles, je n’étais point rassasié. Et j’étais triste quand je me décidai à quitter mon site d’observation.
Mais, tout à coup, une des deux mamans se leva. Du coup, je pris la décision de rester encore un peu. Il est vrai qu’elles étaient vraiment belles. Il y a 20ans, elles devaient être des reines de l’élégance, et les cœurs devaient chavirer sur leur passage.
La première, blonde, proposait à mon regard des courbes certes peu développées, mais d’une finesse étonnante pour son âge. On n’avait vraiment pas l’impression qu’elle avait donné naissance à un enfant. Elle ressemblait beaucoup à la jeune fille blonde. J’en déduisis que c’était sa mère. Elle portait un maillot de bain une pièce. Un Arena noir qui ne laissait pas beaucoup de place aux fantasmes. Excepté lorsqu’elle montrait l’autre côté. Quand le bas bien échancré laissait apparaître une bonne partie de ses fesses bien fermes.
La seconde arborait une quarantaine fière dans un maillot rose deux pièces vraiment petit par rapport à sa morphologie. Elle était bien bronzée. Sa poitrine était bien plus grosse que celle de son amie. À l’image de sa fille, elle était vraiment pulpeuse. Brune, cheveux long, son regard profond certainement d’origine italienne ou espagnol donnait à ses lèvres gonflées toute la puissance et la sensualité que l’on aime tous. Son ventre avait quelques rondeurs, et ses fesses bien en chair la rendaient extrêmement sexuée.
Les hommes étaient aussi très séduisants. Cheveux grisonnants, ils exhibaient fièrement quelques poignées d’amour. Mais, ils avaient encore beaucoup de charisme et de pouvoir de séduction. Il est certain qu’Ils s’entretenaient. Ils étaient vraiment bien charpentés pour la cinquantaine. Ils se ressemblaient beaucoup. Après une forte réflexion, j’en conclus qu’ils étaient jumeaux.
Comme je vous le disais précédemment, la brune se leva. Je la vis qui scrutait les environs. Je m’agenouillai précipitamment. Elle ne me vit pas. Alors, à ce moment là, elle se retourna vers les autres restés allongés sur leurs serviettes. En une fraction de seconde, elle dégrafa le haut de son bikini et le laissa tomber sur sa serviette.
Je fus troublé. Je n’avais jamais vu une aussi grosse et belle poitrine. On ne voyait pas de marque de maillot (ce qui me fit penser qu’elle était adepte du monokini). Ses seins : au moins du 95 bonnet D, bien lourds, tombaient légèrement. En forme de poire, ils étaient surmontés de grosses auréoles sombres et de tétons vraiment proéminents.
Je n’en ratais pas une miette ; je commençais à ressentir mon sexe se durcir dans mon short. Elle se mit de la crème sur le ventre, puis elle remonta vers sa poitrine. Les trois autres la regardaient, tout comme moi.Je voyais bien qu’au fur et à mesure qu’elle s’enduisait les seins, ses tétons devenaient de plus en plus bandés. J’avais la même réaction, mais plus bas…Puis elle se rallongea sur le dos à côté de son amie, et elles discutèrent longuement.
Quelques minutes plus tard, ce fut la blonde qui se leva. Moins bronzée que sa plantureuse copine, elle était néanmoins très jolie. Fine, blonde aux yeux verts. Elle devait être sportive et certainement considérer comme prioritaires les soins qu’elle apportait à son corps. Elle fit descendre doucement ses bretelles tout en souriant à ses amis. Délicatement, elle enroula son maillot pour qu’il ne devienne plus qu’une culotte. Là, je remarquai que sa poitrine était nettement plus développée que ce que son maillot voulait bien nous montrer. Ses seins blancs, laiteux, ne devaient pas voir souvent le soleil. Ses mamelons étaient d’un rose intense. Elle me faisait tout autant d’effet que son amie. Je commençai à me caresser plus sérieusement. Je sentais le désir me submerger. Mais je voyais que sur la plage le désir montait aussi.


  La brune se leva de nouveau et se mit à côté de la blonde.
J’observais ces femmes et les sourires des hommes. Les éclats de rire étaient perfectibles. Les regards masculins n’arrivaient pas à se décrocher de ces deux belles poitrines alignées devant eux. Je dois avouer que le mien non plus.
L’un des deux hommes parla à la brune. Celle-ci sourit et, de sa main droite, fit rentrer dans le sillon de ses fesses le bas de son bikini. Puis elle montra le résultat aux hommes.
Ils applaudirent ce string improvisé. Ils tendirent tout deux leurs mains pour toucher ce beau cul bien rebondi. Elle se cambra et ils arrivèrent à leurs fins. Alors, elle commença une petite danse du bassin ; les hommes l’applaudirent de nouveau et remirent leurs mains sur ses fesses plantureuses.
Pour ma part, au vu du spectacle, je décidais de retirer mon short. Je sortis à l’air libre mon sexe. Je repris ma masturbation. J’adorais vraiment cet après-midi. Mais j’en voulais plus !
Alors, je pris le risque de m’approcher un peu plus. Je laissai mes affaires en plan. Nu, je me retrouvai alors à une dizaine de mètres d’eux. Caché derrière un rocher, je voyais tout. Ils ne me voyaient pas. Je les entendais. Je durcissais davantage.
Maintenant que je pouvais les entendre, leur discussion ne me laissait pas insensible.L’un des hommes s’entretenait avec la blonde.
« Sophie, ma chérie, comme tu n’as pas un aussi beau cul que Lanna, que nous proposes-tu à voir ?
– Je ne sais pas. Je n’ai pas les formes de Lanna, et tu connais tout de moi.
– C’est vrai que je connais tout de toi, mais pense à Marc. Tu vois comme il te regarde : il a l’air d’aimer ton corps. Allez, montre-lui en plus ! »
Alors la blonde (dont je connaissais maintenant le prénom) retira entièrement son maillot. Je vis alors une belle toison dorée.
Elle fit un tour sur elle-même et là, on ne pouvait pas dire que la cellulite l’encombrait. Ses fesses toutes musclées ne correspondaient absolument pas à son âge. Marc et son frère firent alors comme pour Lanna ; ils commencèrent à la caresser délicatement.
Je bandais de plus en plus fort, en train de mater deux femmes de l’âge de ma mère à moitié nues devant leurs maris .Qui sont frères. Et qui ont l’air d’aimer faire traîner leurs mains. Je n’avais jamais vu ça auparavant. Je me masturbais doucement pour ne pas jouir trop vite et pour ne pas en rater une miette.
La brune prit la parole.
« Dites-donc, Marc et Jean, vous êtes de sacrés coquins, tous les deux !!!!! Marc, sois gentil avec Sophie. Ne la laisse pas seule dans cet état. Montres-lui plutôt le tien.
– Tes désirs sont des ordres, ma chérie. »
Alors il se leva de sa serviette et retira son short de bain. Il bandait tout comme moi. Mais son sexe était bien plus grand et gros. Ses poils noirs plus fournis que les miens. Je ne savais pas qu’on pouvait avoir un aussi gros sexe. Il devait facilement faire 20 ou 22 cm. Je ne savais pas que le pénis d’un autre homme pouvait être aussi sympa à regarder.

Il se rallongea sur sa serviette. Sophie le regardait intensément. Marc se caressait. Elle, en se mordant les lèvres, commençait aussi à laisser traîner ses mains sur son corps.
Il l’invita à s’installer à coté de lui. Elle regarda son mari et son amie. Les deux lui hochèrent la tête en signe de consentement. Sophie s’allongea alors à côté de Marc, son beau-frère.
J’entendis alors Lanna.« OK ! Je vois qu’on prend ma place. D’un côté les nudistes et de l’autre les textiles, c’est ça ? Jean, fais-moi une place. »
Et elle alla s’installer juste à côté de Jean. Tous les deux avaient alors le même rôle que moi. Ils mataient leur conjoint respectif se passer de la crème. Laissant leurs mains traîner, ils accentuaient leurs caresses sur des zones bien précises. Marc aimait caresser les seins de Sophie mais aussi son minou tout blond. Il titillait d’une main les tétons. De l’autre, il massait l’intérieur de la vulve, s’attardant sur le clitoris. Cette dernière, qui commençait à gémir doucement, avait pris à pleines mains la verge de Marc pour lui prodiguer des va-et-vient lents et réguliers.
Je voyais leurs corps se trémousser légèrement sous la sensualité des caresses. Pour moi, c’était la première fois que j’assistais à ce genre de spectacle. Et la suite me fit encore plus plaisir. Je n’arrêtais pas de me masturber. Je commençais à avoir mal tellement je m’astiquais, mais je ne pouvais pas faire autrement. C’était trop bon…
Lanna et Jean semblaient aussi excités que moi. En regardant le spectacle, ils s’échangeaient des baisers et Jean caressait les gros seins de son amie. Elle aimait ce qu’il lui faisait. Aucun des quatre ne parlait. Mais j’entendais des petits gémissements, des cris étouffés. Sophie pencha sa tête vers la verge bandée de Marc et la goba. Elle suça tout d’abord le gland, puis elle fit pénétrer cette queue bien profondément dans sa bouche. Jean, qui voyait cela, se leva et retira son maillot de bain. Il avait le même sexe que son frère, aussi gros et grand. Lanna se mit directement à hauteur de ce pénis hors normes et l’enfourna dans sa bouche.
Les deux femmes suçaient à l’unisson. Les hommes les félicitaient. Les cris se faisaient plus forts. À un moment, Jean demanda à Sophie de venir sur lui. Elle s’empala alors d’un seul coup sur cette queue qu’elle avait goulûment lubrifiée.
« Humm oui !!! C’est trop bon ! J’adore te sentir en moi.– Tu aimes hein !! Ma chère belle-sœur, je vais te donner du plaisir. Oui… Continu à bien danser sur moi !– Oh oui, vas-y !!! Bien au fond… j’adoooorrrrreee !!! »
Lanna et Jean n’étaient pas en reste. Je vis ce dernier se mettre derrière la plantureuse brune et commencer des va-et-vient. Face à moi, je voyais les seins de Lanna tanguer de gauche à droite sous les coups de boutoir de son amant. Je n’en pouvais plus ; j’allais bientôt jouir.
Les femmes criaient tout l’amour qu’elles avaient. Les hommes les pénétraient maintenant de plus en plus fort. Ils allongèrent alors les deux femmes sur le dos et les prirent en missionnaire, les jambes relevées. Ils y allaient fort. Je jouis en même temps que les deux femmes. Je déversai autant de sperme par mon petit sexe qu’elles poussaient des cris.
« OOOOOhhhhhhh ouiiiiiiiiiiii !!!!!! C’est trop bon !!!!! Vas-y, oui, vas-y !!!! C’est trop… oui, continue… »


Elles s’embrassèrent et restèrent toutes deux allongées, lovées l’une dans les bras de l’autre comme de bonnes amies qui viennent de connaitre l’extase.Les deux hommes sortirent leur sexe. Je pensais qu’ils avaient joui dans l’antre des deux femmes, mais je fus surpris de voir qu’ils ne débandaient pas.Mais quelle fut encore plus ma surprise quand je vis Jean prendre en bouche son frère Marc et, après quelques succions, lui avaler sa semence.
Juste après, ce fut Marc qui prit Jean et le suça. Tout comme avant, Marc fit jouir son frère et avala tout son sperme.
Cette dernière observation me troubla. Je ne pensais pas qu’on pouvait faire ça entre frères. Je n’étais pas choqué, mais plutôt curieux.
Après quelques instants pour récupérer, ils se rhabillèrent. Ils prirent leurs affaires et partirent dans la même direction qu’avaient prise leurs enfants une heure plus tôt.
Pour ma part, je retournai à mon camping. Je pris une douche. Puis, je m’engoufrais dans ma tente pour me caresser de nouveau en pensant à cet après-midi.
J’avais adoré observer ces personnes. Me glisser dans leur intimité sans qu’ils ne le sachent. Ca m’avait vraiment excité.
De voir ces corps nus entrelacés avait créé chez moi énormément de jouissance. Je décidai alors que je devrais dorénavant tout mettre en œuvre pour assouvir ce fantasme. J’étais devenu un voyeur.
Malheureusement, je ne revis plus ces deux familles. Ils partirent le lendemain. Je vis leurs voitures disparaître à l’horizon sur le bateau qui les ramenait sur la côte.
Mais moi, maintenant, je matais tout ce que je pouvais…
A suivre….
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