Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 180 J'aime
  • 8 Commentaires

Jade : elle voulait devenir soumise...

Chapitre 2

Trash
Après avoir fait une toilette, nous nous sommes retrouvés à nouveau dans le lit. Elle m’avoue qu’elle est heureuse et qu’elle ne regrette pas notre rencontre. J’ai été doux avec elle et qu’elle n’en espérait pas tant de sa première fois. Ses copines, la plupart, avaient été déçues.C’est alors elle qui prend l’initiative ; je ne sais si c’est en voyant des films pornos ou si c’est inné chez elle. Elle se penche sur moi et prend mon manche en bouche. Sa langue s’enroule autour de ma queue, la savoure, l’avalant presque. C’est divin. Je bande à nouveau. Elle me gratte les burnes. Elle me demande de me mettre à quatre pattes et vient longuement me lécher la raie des fesses. Sa langue fore mon anus, ses mains pressent mes couilles. Elle se glisse alors entre mes jambes, se cale la tête en hauteur sur un oreiller et me demande alors de lui baiser la bouche.
Je suis comme fou. Voilà la femelle rêvée qui a à peine dix-huit ans : obéissante, pleine d’initiatives, salope dans l’âme. Je vais en faire une esclave du sexe. J’acquiesce à sa demande et lui défonce alors la gorge sans répit. Elle hoquète, bave, tousse, suce, aspire. Comment une gamine, encore pucelle il y a à peine une heure, peut-elle avoir autant de savoir-faire ? C’est une énigme !Toujours est-il que je ne peux plus me retenir. Ma verge est agitée de saccades et mon sperme chaud est éjecté en de longs jets au fond de son œsophage. Elle avale tout et se pourlèche les lèvres, contente de son travail. Je me libère de sa bouche et me couche alors à côté d’elle. Elle se penche vers moi et me dit :
— Tu as aimé mon chéri ?— Qui n’aimerait pas ce que tu viens de me faire ? C’était parfait. Tu ne m’avais pas menti lors de nos échanges épistolaires. Je sens que mes amis vont t’apprécier.— Tu veux me prêter ? Ça fait partie du deal entre nous ?— Oui, je t’ai dit que je prendrai ta virginité en douceur avant que tu deviennes totalement ma soumise. D’ici quelque temps, tu ne te reconnaitras plus. Mais je sens que je n’aurai pas de mal à t’éduquer. Tu es très douée. Viens m’embrasser, j’ai encore soif de ton corps. Tu vas franchir une nouvelle étape.
Nos bouches se rejoignent dans un baiser profond ; j’adore le goût de mon sperme dans sa bouche. Je lui donne des indications pour qu’elle se mette sur le ventre. Je lui dis alors :
— Je t’ai prise par la chatte, tu m’as offert ta bouche. Vous les femmes, vous avez plusieurs moyens pour rendre un homme heureux. Il t’en reste deux pour faire jouir un homme : entre tes seins ou dans ton cul. Je vais maintenant te déflorer ta rondelle. Tu vas avoir mal, mais je vais prendre des précautions pour bien lubrifier ton anus. Ensuite, tu ne pourras plus t’en passer et tu en redemanderas. Tu pourras ainsi satisfaire plusieurs hommes à la fois. Ce qui est le but de la manœuvre...— Je te fais confiance. Encule-moi !
Mon jus de femme coulait de ma fente tout fraîchement dépucelée. Il m’a fait allonger sur le ventre puis, faisant pénétrer ses doigts en s’aidant de lubrifiant, il a écarté mes sphincters anaux au maximum. Je ne ressentais aucune douleur. Sa bite a alors glissé entre mes fesses et son gland a commencé une lente pénétration. Petite douleur de courte durée. Juste un « Aie ! » de ma part. Il est ressorti légèrement pour mieux s’enfoncer à nouveau, lentement, sûrement jusqu’à ce que ses couilles touchent mes fesses.Accélérant ses mouvements, augmentant leur amplitude, un maelstrom de désir s’est alors emparé de moi. Ma foufoune ruisselait abondamment. J’ai crié. Il a éjaculé au même moment. Je sens que je vais apprécier la sodomie.
C’est en cuillère, l’un dans l’autre, que nous nous sommes endormis.
Au petit matin, c’est par une odeur de pain grillé que je suis réveillé. Jade a manifestement trouvé la cuisine. Je la rejoins, nu, le sexe dressé. Elle prépare le petit-déjeuner. C’est là que je me rappelle que depuis notre rencontre, nous ne nous sommes pas restaurés. Nous avions faim l’un de l’autre et ça nous avait suffi...
Nue, elle aussi, je m’approche, colle mon vit entre ses fesses et j’empoigne ses beaux nichons dont je triture les tétons. Ses bras en arrière prennent mon postérieur pour mieux me coller à elle. Elle tourne la tête à la recherche d’un baiser que je lui accorde bien volontiers. Ses lèvres sont fraiches ; elle a dû trouver du dentifrice dans la salle de bains. L’une de mes mains se dirige vers la fourche de ses cuisses et les écarte. Mon index s’introduit dans sa chatte déjà trempée à la recherche de son point G. Je veux la faire jouir rien qu’avec mes doigts. Dans cette position, ce n’est pas très pratique. Je l’entraîne vers la table de la cuisine et je la couche sur le dos, jambes bien écartées et remontées vers sa tête ; elle m’aide pour les maintenir en l’air.
J’introduis alors deux doigts recourbés dans son con baveux et je la branle de plus en plus vite jusqu’à avoir mal au bras. Elle crie sa jouissance, bave, son corps s’arque et soudainement, un jet jaillit d’entre ses jambes, elle hurle et brutalement se détend, achevée. Après quelques minutes, elle s’adresse à moi :
— J’ai pissé ?— Non, tu es seulement une femme fontaine. C’est rare, mais très apprécié chez les libertins. — Tu aimes que je sois comme ça ?— J’adore. Tu vois comme je bande. Je vais encore bien m’occuper de toi.
Allongée comme ça sur la table ronde, innocente, disponible, me donne des idées. Je la positionne de telle manière que sa tête pende en dehors, les fesses au bord laissant un accès facile à sa chatte et son anus.
Je dirige mon vit tendu vers sa bouche largement ouverte, tenant sa tête d’une main pour faciliter mon intromission. Lentement, sa gorge se fait pénétrer par mon sexe bien dur, par petits à-coups, pour lui laisser le temps de respirer. Ma main libre sur son cou vient prendre la mesure de ce que je suis en train de faire. Je sens mon gland qui est arrivé au point maximum de cette baise hors du commun.
Je sors alors de sa bouche et la fais tourner sur la table, comme une roue de loterie, afin qu’elle me présente ses orifices ; vaginal et anal ; que je m’empresse de remplir de ma bite en furie : un coup dans le cul, un coup dans le con. De nouveau, je la fais tourner et c’est sa bouche qui subit mes assauts. C’est la première fois qu’elle goûte ses propres saveurs. J’espère pour elle qu’elle a le rectum propre. Ça ne semble pas la rebuter.
Pendant plus d’une demi-heure, je vais la massacrer. Elle jouit plusieurs fois, me demande d’arrêter pour mieux me réclamer encore. Je lui tords les tétines, claque ses seins jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, j’éjacule sur son visage après m’être branlé.Je la relève. Elle s’écroule dans mes bras, « morte » d’avoir tant joui... Elle a juste ces paroles :— Je ne pouvais pas rêver mieux quand j’ai pris contact avec toi. Je voulais être dominée, tu viens de le faire d’une façon magistrale. Je veux rester avec toi le plus longtemps possible. Tu peux faire de moi ce que tu veux. Je suis désormais ton esclave sexuelle.
Diffuse en direct !
Regarder son live