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Jade : elle voulait devenir soumise...

Chapitre 4

Trash
Charles s’est levé comme à son habitude pour faire son jogging. Il me laisse seul avec Jade. Je soupçonne qu’il l’ait fait exprès…Elle est là dans le lit, abandonnée, jambes écartées. Je me glisse entre ses jambes et lance ma lécheuse à l’assaut de ses lèvres vaginales. Je dévoile son clitoris et c’est maintenant ma bouche qui vient goûter à ce bourgeon dressé, faisant tourner ma langue autour et le titillant délicatement.Elle s’éveille lentement suite à ma caresse linguale, presse ma tête contre l’entrée de son antre d’amour et serre les jambes pour m’empêcher de partir. Elle ronronne, une petite crispation, elle jouit sous cet assaut matinal.Marc sait y faire je ne m’attendais pas à un réveil aussi agréable. C’est fou le bien qu’il m’a fait avec sa langue. J’aimerais tellement qu’il me prenne en douceur tout de suite. Je vais lui dire mais j’ai peur qu’il le prenne mal. C’est lui le dominateur pas moi… Oh mince, il m’a entendu ou quoi ? Il remonte sa tête jusqu’à ma poitrine et prend l’un de mes seins dans sa bouche englobant entièrement son aréole. Il me tète doucement aspirant mon téton. Terrible comme c’est bon… Mon sexe transpire de désir. Je le veux en moi. Je prends ses épaules. Il comprend, remonte jusqu’à moi et baise mes lèvres. Je sens mes odeurs intimes dans son haleine. Sa queue se retrouve logée contre mon pubis. Je la prends en main et la dirige à l’entrée de ma chatte. Une légère poussée de sa part et il est en moi, sans heurt. C’est doux. Je sens son gland palpiter qui touche l’entrée de mon utérus. Ça y est je me sens partir au moment où son sperme gicle au fond de moi m’arrachant un cri de jouissance. Quelle harmonie sexuelle ! C’était divin !
— Oh mon chéri comme c’était bon. Quelle douceur de ta part. Je suis bien ! dit-elle en me serrant dans ses bras
Alors là on peut dire que j’ai fait fort. Jade est complètement accroc désormais.C’est le moment que choisi Charles pour revenir. Il a pris une douche et c’est nu qu’il apparait, le sexe dressé.
— Je vois que vous avez commencé sans moi les amoureux. Il est temps pour moi d’avoir mon moment de récréation. Comment il t’as prise ? Dans la chatte ?
Devant mon acquiescement il reprend en disant qu’il va l’enculer « parce qu’elle risque d’être trop large devant ». Il lui ordonne de se mettre à genoux au bord du lit. Il s’enfile d’abord dans son con pour se lubrifier puis, après quelques allers-et-retours, remonte dans sa raie culière pour atteindre son anus qu’il pourfend d’une lente poussée. Jade pousse un petit cri mais commence à s’habituer à ce genre d’intromission. Il va la défoncer pendant un bon quart d’heure jusqu’au moment où il finit au plus profond de son rectum. Elle retombe frustrée car elle n’a pas joui.Nous nous levons tous les trois pour aller prendre notre petit-déjeuner. Prétexte pour s’amuser une fois encore avec le corps de Jade. C’est fou ce qu’on peut faire avec des aliments et un peu d’imagination : un peu de beurre sur une carotte et la voilà dans son cul ; de la crème Chantilly sur nos bites et elle nous avale jusqu’aux couilles ; une bouteille de champagne à moitié pleine on lui fourre la chatte avec et on lui fait boire le liquide qui ruisselle de sa moule.On va ensuite piquer une tête dans la piscine. On la prend en sandwich dans l’eau uniquement pour notre plaisir. Pas question qu’elle jouisse on la veut frustrée pour la prochaine épreuve.Direction à nouveau la salle des plaisirs où je veux, avec Jade, expérimenter ma nouvelle machine à baiser. Pour cela on la ligote sur le banc de musculation jambes écartées reposant au sol, bras en arrière, poitrine bien dressée. On équipe l’engin d’un gode électronique de bonne taille qui a pour particularité de détecter la monté du plaisir féminin. Dès qu’elle commencera à jouir la machine s’arrêtera pour repartir de plus belle une fois calmée. De petits picots sur le gland enverront de petites décharges électriques pour la stimuler. Le corps de la verge factice est annelé pour qu’elle reste bien en place. Un distributeur automatique de lubrifiant complète la machine.
Pour compléter le tableau on pose une grosse ventouse, reliée à une machine à faire le vide, sur chacun de ses seins. On appuie sur le bouton de mise en marche et en peu de temps les voilà déformés par l’aspiration diabolique. Jade est désormais traite comme une vache. Ça c’est pour lui fortifier la poitrine.On ajuste le gode à l’entrée de son con. Quelques allers-retours manuels dans sa chatte pour vérifier que tout fonctionne correctement et on lance l’opération.Le leurre mécanique la pénètre sans relâche, inexorablement, sans que Jade puisse faire quelque chose pour l’en empêcher. Son corps s’arque et retombe brutalement quand l’olisbos détecte qu’elle s’apprête à jouir. C’est diabolique cette invention. Son visage est déformé par ce qu’elle subit : ses tétons aspirés et tirés vers le haut et surtout le fait qu’elle ne puisse avoir un orgasme. Elle supplie qu’on arrête cette torture mais rien n’y fait. Nous sommes intraitables. Elle pleure. Sa bouche grande ouverte laisse échapper de la bave. Je la bâillonne en pénétrant sa gorge avec mon sexe. Elle tousse mais sa langue et sa luette me font tellement de bien que je ne tarde pas à envoyer toute ma semence aux tréfonds de son œsophage. Charles veut le même traitement. Il ne peut se retenir et éjacule immédiatement tellement la situation est érotique.C’est terrible ce qu’ils me font subir. Ce gode est incroyable. Il m’envoie de petites décharges électriques quand il atteint l’entrée de mon utérus. Je sens que je vais jouir et hop… il arrête son mouvement. Le plus dur ce sont mes seins qui sont aspirés. Je pleure, je crie, je supplie mais rien n’y fait, mes bourreaux sont sans pitié. Marc m’avait prévenu lors de nos échanges. Je savais à quoi m’en tenir. Je n’ai que ce que je mérite. En quelques jours je suis devenue une vraie salope. Ça les excite tellement de me voir comme ça qu’ils viennent se finir dans ma gorge et la noie de sperme. J’adore ce goût dans ma bouche. Peut-être vont-ils arrêter ce supplice, satisfaits enfin de ma docilité ?Après une heure de ce traitement, Jade est morte de fatigue. Ce n’est qu’un aperçu de ce qu’elle devra supporter le jour du concours quand elle se fera pénétrer par des dizaines de personnes. Nous la désaccouplons de la machine. Elle a de la peine à marcher. Je la prends dans mes bras, lui baise les lèvres et la porte jusqu’à la chambre à coucher. Elle s’endort immédiatement.Quelques coups de fil avec Charles et nous organisons la soirée. Jade va passer la nuit avec trois hommes que nous avons sélectionnés. Un grand noir, Amédée, ancien basketteur (quarante ans, 2m20, 150 kg) ; un vieux vicieux, Louis, plein d’exigences (soixante-cinq ans, pas très propre) ; un jeune étudiant de vingt ans, Paul, particulièrement endurant (vu dans un cercle libertin éjaculer sept fois dans une soirée et honorer à lui seul plus de vingt femmes de tout âge, les épuisant les unes après les autres).
On réveille Jade vers dix-huit heures. On lui dit que nous allons avoir de la visite et qu’elle doit être prête pour dix-neuf heures trente. Elle sait maintenant ce qu’elle a à faire. Hormis se maquiller légèrement, elle doit pratiquer un lavement pour avoir le rectum bien propre, se lubrifier l’anus en prévision de sodomies brutales.A l’arrivée des invités, elle les recevra nue, immobile, dans l’attente de leurs désirs. Elle devra exécuter tous leurs ordres. En cas de désobéissance, elle recevra vingt coups de fouet. Nous serons là pour éviter tout débordement.
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