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Jade : elle voulait devenir soumise...

Chapitre 6

Trash
C’est dimanche, il est à peine six heures du matin quand je suis réveillé par une douce pression sur ma queue. C’est la bouche de Jade qui a pris possession de ma bite et la suce amoureusement. Manifestement elle en veut encore. Elle devient totalement, et au-delà de mes espérances, accroc au sexe. Jeune comme elle est, sans aucune expérience précédente, elle a franchi des limites que même des professionnelles n’atteignent pas. Mon ex-femme, pourtant salope dans l’âme, n’avait jamais accepté une quadruple pénétration ; baisée en gang-bang par cinquante males en furie le jour de ses trente ans elle n’avait supporté que des doubles…Jade poursuit sa progression et m’avale désormais complètement comme je le lui ai appris. Je me laisse faire car c’est divin. Malgré ce qu’elle a dans la gorge, elle gémit alors que je ne lui fais rien. Je m’aperçois alors que Charles la travaille allégrement avec les deux bouteilles qui envahissent ses trous. Elle est insatiable. Surexcité par sa docilité matinale je crache mon foutre dans sa gorge. Elle avale consciencieusement, relève la tête et me dit : « Merci mon chéri ! ».Charles me dit alors :
— Hier soir alors qu’Amédée voulait la sodomiser, elle a refusé dans un premier temps. Elle a eu aussi une hésitation quand elle a été forcée d’embrasser Louis. Je crois que rien que pour ça elle mérite d’être punie. Trente coups de fouet me sembleraient une juste punition.— Effectivement, je n’ai rien dit sur le coup mais je n’ai pas apprécié. J’ai dû passer pour un maitre trop tendre. Tu en penses quoi ma chérie ?— Si vous pensez qu’il le faut alors je me plie à vos volontés. J’ai été réticente et je le regrette. Merci d’être indulgents et de ne me condamner qu’à trente coups.— Les châtiments doivent être exécutés sur le champ, dis-je en la tirant à moi pour l’emmener à la cave.
Une corde est passée dans une poulie fixée au plafond, au bout un crochet que l’on fixe aux bracelets installés sur ses poignets. Une barre, liée à ses chevilles, tient écartées ses cuisses dévoilant ainsi son minou et son petit trou plissé, tous les deux largement ouverts suite aux dilatations qu’ils ont subies. Quelques tractions et voilà Jade suspendue au plafond, ses pieds ne touchant plus terre, poitrine tendue bien offerte.C’est Charles qui va officier. C’est un maitre du fouet ; Il sait viser où ça fait mal. Je m’adresse à elle :
— Ma chérie on ne va pas te bâillonner. Si tu m’aimes ; je la joue au chantage ; tu ne vas pas crier car tu mérites ta punition (là j’exagère.). Si tu le fais tu auras droit à un coup supplémentaire. Ce sera pareil si tu te trompes dans le décompte que tu vas faire à haute voix.
Le fouet commence par cingler ses seins, les pointes particulièrement. Les coups sont bien répartis sur chacun d’entre eux. Au premier, Jade a hurlé, ce sera trente-et-un… Elle serre les dents pour les autres. Il s’attaque à ses cuisses et vise désormais sa chatte. L’un, très vicieux, atteint son clitoris, elle gueule à nouveau. Trente-deux ! Son bouton d’amour est visé à nouveau. Cette fois-ci elle ne bronche pas. Ce sont alors ses fesses et son dos qui sont attaqués et zébrés par les estafilades qui les marquent. Les deux coups supplémentaires visent à nouveau ses tétons. Elle pleure à chaudes larmes, sans un bruit. C’est fini. On la détache et on l’emmène à la douche. On est obligé de la soutenir tellement elle est fatiguée. Pendant plus d’une heure on va la câliner, la masser avec un baume apaisant, la caresser, la laver profondément. Elle nous remerciera en nous suçant divinement. Puis on la ramène à la chambre. Charles va me laisser seul avec elle. Je vais alors lui faire l’amour en douceur. Nos corps pressés l’un contre l’autre, enlacés. Je couvre son visage de baisers. Nos mots ne sont que des paroles d’amour. Ses muscles internes se contractent sur mon vit à chacun de mes mouvements. Ses ongles me déchirent les dos à chacun des spasmes qui la secoue. Je sens la sève qui monte en moi. Son vagin se resserre sur ma queue. Nous poussons un cri au même moment. Nous avons joui ensemble, à l’unisson, en pleine harmonie sexuelle. Dans un souffle elle me murmure : « Je t’aime ». Je lui réponds : « Moi aussi ».C’est incroyable comme cette douceur m’a fait du bien après toute la violence que j’ai supportée depuis l’arrivée de Charles, vendredi soir. Mais je suis fière d’avoir résisté. Le plus beau cadeau que m’a fait Marc c’est de nous avoir mené à un orgasme commun. Je lui ai dit que je l’aimais et je le pense fortement. Je suis prête à tout faire pour lui. D’ailleurs il m’a répondu en me disant qu’il m’aimait aussi. Je suis sûre qu’il est sincère. C’est mon maitre !Je n’arrive pas à me rassasier d’elle. Chaque jour je découvre ses nouveaux talents. Elle est jeune. Elle est belle. Elle est fragile tout en étant forte. Obéissante, elle est sublime dans la douleur ou dans l’humiliation. Souillée elle l’a été et le sera encore. Elle n’a pas pu cacher sa répulsion à faire l’amour avec Louis ; je ne lui en veux pas car il était vraiment « crade » ; et elle a résisté, au bord du vomissement.
Il est l’heure de déjeuner. Nous allons dans un restaurant proche de chez moi. Charles est rentré chez lui. Jade a choisi, sur mes conseils, une jupe très courte rehaussée d’un haut sans manche au décolleté en V très profond ; des escarpins Louboutin que je lui ai offerts récemment. Un maquillage très léger, un rouge à lèvres discret mettent en valeur la beauté de son visage. Elle ne porte aucun sous-vêtement afin d’être disponible sans aucune barrière.Avant de partir, je lui demande d’écarter les cuisses et j’introduis dans sa chatte un œuf vibrant télécommandé.Le restaurant n’est pas loin et nous y allons à pied. Quelques manœuvres sur mon smartphone et je la vois frétiller, l’œuf fait son effet…Peu de tables occupées. Le patron nous accueille ; nous nous connaissons depuis longtemps. Il connait mes préférences et nous place dans un coin discret à l’écart. Tout le repas sera l’occasion d’exciter ma belle pour qu’elle soit mûre à la fin.Les derniers clients partis je lui demande d’aller dans les toilettes hommes où je la rejoindrai. Je fais signe au patron, Pierre, et nous la retrouvons qui nous attend. Je dégrafe sa jupette, enlève son haut et je la fais plier la tête dans l’urinoir. On va alors la baiser à tour de rôle en alternant dans chacun de ses orifices. Elle devient notre garage à bites. C’est un vrai plaisir de la voir ainsi prendre son pied car cette salope jouit sous nos assauts. Pierre finit dans son cul. Je la fais alors lever et prendre le position du « petit pont », tête en arrière dans l’édicule et je viens finir dans sa bouche et sur ses seins tendus.Elle se rhabille et nous quittons l’auberge. Pierre me fait cadeau des repas. Il me dit que la « petite poulette » que j’ai dégottée est non seulement de toute beauté mais qu’en plus c’est un « bon coup ». Personne dans la rue ; heureusement pour sa réputation ; car elle est échevelée, la jupe et le haut en bataille, la figure pleine de sperme et surtout puant la pisse. En plus elle a du mal à marcher.
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