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Jade : elle voulait devenir soumise...

Chapitre 13

Trash
Pendant les jours qui suivent, je poursuis l’éducation d’Elsa ou plutôt, devrais-je dire, Jade continue son dressage. Je lui ai confié cette mission dès le premier jour. Elle le fait de mieux en mieux en la fouettant régulièrement tous les jours. Comme elle n’est pas encore piercée, Jade aime bien lui planter des aiguilles dans ses tétons. Elle prend soin d’utiliser des aiguilles à usage unique afin de respecter les règles d’hygiène qui régissent cette pratique.
Il faut dire qu’Elsa est devenue entièrement masochiste. La soirée au foyer d’accueil a été une révélation pour elle.Je leur fais l’amour régulièrement et j’adore les voir se gouiner. Je me joins souvent à leurs jeux et j’utilise leurs différents trous pour les satisfaire. J’aime plus particulièrement sentir une langue s’enrouler autour de ma queue quand j’en encule une. La bouche qui a pratiqué cette gâterie a droit alors de recevoir ma semence. Jade adore cette pratique. J’en use et en abuse à souhait avec elle.
Régulièrement, j’envoie des vidéos d’Elsa à son mari qui est étonné de ses progrès. Il m’a avoué que pour la première fois depuis longtemps, il avait bandé en la voyant se faire massacrer par les clodos.
Je lui propose de venir le prochain week-end pour évaluer ses aptitudes. Je lui dis que Charles, mon meilleur ami sera là. Comme ça il pourra assister à des doubles pénétrations que l’on prévoit très hard.
C’est ce week-end que je vais annoncer à Jade que je l’ai inscrite au concours de « Miss salope ». J’en rappelle ici le règlement :La concurrente devra :
Avoir entre dix-huit et vingt-cinq-ans.Être présentée par son maitre.Avoir signé un papier autorisant les membres du jury, leurs délégués, à user et abuser d’elle sans discernement ; un mot de sécurité lui sera communiqué pour mettre fin à ce qu’elle ne pourrait pas supporter ce qui équivaudrait à une élimination.Avoir déjà subi le fouet ou le paddle.Passer les éliminatoires : une soirée passée chez un membre du jury en présence de son maitre. Lors de cet examen, elle devra se montrer inventive. La candidate devra faire jouir jusqu’à épuisement, les deux hommes présents. Elle acceptera de subir tous les sévices qu’ils voudraient lui faire supporter.
Le jour du concours il ne restera plus que cinq jeunes femmes qui devront se surpasser dans des épreuves toutes nouvelles pour elles. La gagnante, qui recevra un gode d’or, sera invitée dans toutes les partouses de la région où elle sera la vedette pendant un an. Comme pour tous les concours de Miss, elle sera couverte de cadeaux pendant cette période.
Je propose à Charles de venir chez moi, comme prévu, ce week-end avec sa dernière conquête du moment. Elle a vingt-six ans. Elle se nomme Chloé. Il l’a rencontrée sur la plage du côté de Deauville. Il a toute suite détecté en elle une âme de soumise. Dès le début il lui a mis le marché en main. Elle était prête à lui obéir et, yvelinoise comme lui, elle pouvait venir vivre dans sa maison. Elle a accepté et elle est chez lui depuis un mois. J’ai hâte de faire sa connaissance. D’autant que, si j’en crois la description qu’il m’a faite, elle est très douée et très salope. Elle a déjà baisé avec plusieurs partenaires différents qu’il lui a imposés. De plus, elle est bi… et… folle de lui.
Ils arrivent aux alentours de dix-huit heures. Chloé est une charmante jeune femme, très bien faite, aux courbes harmonieuses. Elle porte une jupe verte très courte ; ras la foufoune ; qui laisse voir de longues jambes aux pieds chaussés d’escarpins aux talons très hauts. Un blouson, de même couleur, à même la peau, largement ouvert, laisse apparaître une poitrine ferme, volumineuse, dont les pointes dardent agressivement. Jade et Elsa sont, comme à leur habitude, nues toutes les deux. Des rosebuds sont plantés dans leur anus.
Les présentations à peine faites que, sur une injonction discrète de Charles, Chloé se jette à mes pieds, me débraguette et m’embouche goulûment. La drôlesse est vorace et me fait bander immédiatement.
Charles, lui, n’a qu’une hâte, faire connaissance avec Elsa. Il sait qu’il n’a aucune préoccupation à prendre avec elle. Il la fait se pencher et mettre ses mains sur la console dans l’entrée. Il retire le leurre de son cul et l’encule allégrement se servent de ses seins comme poignées. L’attrait du nouveau ? Toujours est-il qu’il lui inonde le fondement de son jus d’homme en quelques minutes. Jade, comme à son habitude, vient nettoyer le vit de Charles dès qu’il se libère d’Elsa.
Dans le même temps, j’interdis à Chloé de se servir de ses doigts pour me branler. Je prends sa tête entre mes mains et, me servant de sa bouche comme d’un sexe féminin, je lui baise la gorge dans de longs mouvements de va-et-vient jusqu’au moment où j’éjacule dans le fond de son gosier la faisant tousser et recracher mon sperme abondant.
Charles lui ordonne de tout nettoyer et annonce qu’elle sera punie. Son regard est apeuré car elle sait ce qui l’attend. Entre amis, la seule punition que nous connaissons c’est le fouet ou le paddle. Elle s’exécute sans regimber.
Mais ce n’est pas le moment. Le châtiment est reporté à plus tard car la sonnette de la porte d’entrée vient de retentir. C’est Georges qui vient d’arriver. D’emblée il voit que la fête vient de démarrer. Sa femme est encore penchée sur la console, du sperme coule de son cul. Jade a toujours la bite de Charles en bouche. Chloé nettoie le sol avec sa langue. Je suis le seul à ne rien faire, la queue semi molle pendante entre mes jambes.
Sa femme l’aperçoit et se jette dans ses bras. Il la serre à l’étouffer. C’est à ce moment précis qu’Elsa pousse un cri et dit :
— Mais tu bandes mon chéri ! Viens j’ai envie de toi tout de suite. Prends moi dans le cul ! J’aime ça.
Incroyable, Georges baisse son pantalon et son caleçon. Apparait alors une belle bite érigée qui vient immédiatement perforer l’anus de sa tendre épouse de nouveau penchée sur la console. Elle geint de bonheur. Son mari a retrouvé toute son ardeur. Il va la pourfendre ainsi pendant de longues minutes. Elle l’aiguillonne en lui demandant de ne pas la ménager. Elle jouit une première fois. Il la défonce encore et encore. Il prend ses tétines en main et les tord. Elle hurle qu’elle en veut encore. Elle jouit à nouveau. Tout en continuant de l’enculer il l’entraine jusqu’au canapé proche sur lequel il la met à genoux. Son dard continue son travail de sape. Un orgasme la secoue encore. Il est inépuisable.
Ce n’est pas possible, il s’est bourré de Viagra ! Tous les quatre nous les regardons avec admiration. Le week-end s’annonce bien…Elsa crie son bonheur alors que, dans une ultime poussée, Georges s’épand dans son rectum. Folle d’amour elle se dégage de lui et le prend en bouche pour le nettoyer. Elle le regarde avec tendresse et lui caresse les couilles. A sa grande stupéfaction elle voit que son sexe se dresse à nouveau.
— Qu’est-ce qui t’arrive mon chéri ? Tu as pris un remontant ?— Non c’est de voir comment tu as été avilie pendant tous ces jours loin de moi qui m’a désinhibé. En fait mon impuissance était un blocage psychologique. Tu vois ça a réussi ! Pendant ton absence, je me suis masturbé de nombreuses fois en regardant les vidéos de tes exploits sexuels. A chaque fois j’ai été jusqu’à l’éjaculation, rétrograde évidemment compte-tenu de mon opération de la prostate, mais avec un orgasme. — Mais… c’est bizarre pourtant tu as éjaculé dans mon cul. Je n’ai pas rêvé !— Ce n’était qu’une impression. Tu as juste senti ma bite pulser. Hormis le fait que je ne pourrais pas te faire un bébé naturellement, tout le reste est identique. La seule chose qui te manquera c’est le goût de mon sperme… mais tu auras toujours le loisir d’en bouffer car nous continuerons à aller dans des clubs échangistes. Et cette fois-ci je pourrai participer activement. Et puis, nous avons aussi nos amis ici présents.— Oh mon chéri comme je suis heureuse. Prends-moi maintenant par devant je veux profiter de ta belle bite vigoureuse.
Devant nos yeux ébahis, ils vont faire l’amour devant nous. Leur étreinte est bestiale. Georges va faire crier Elsa de nombreuses fois, alternant les positions. Il est endurant. C’est alors qu’il s’allonge sur la table basse et lui demande de s’empaler sur son vit. Elle le chevauche et s’allonge sur lui. Il lui écarte les fesses et crie :
— Qu’est-ce que vous attendez pour la fourrer par derrière ? Elle n’attend que ça. Marc l’a bien formée. Elle est devenue accroc au sexe hard. Il lui faut une double anale.
On s’approche Charles et moi. On connait le scénario par cœur tellement nous l’avons pratiqué. Se mettant de côté, il enfile le premier l’anus d’Elsa. Ça y est-il est au fond. Elle n’a pas bronché. Je me positionne en face de lui et je tente la double. Je glisse le long du sexe de Charles. Avec mes doigts j’écarte les sphincters anaux et lentement j’introduis mon gland. Elle respire profondément. J’accentue ma poussée. Un couinement de sa part et elle m’absorbe sans difficulté.
— Oh putain je sens vos sexes contre le mien, dit Georges avant de prendre la bouche de sa femme pour un baiser sauvage.
Nos corps se couvrent de sueur sous l’action de nos sexes enflammés dans les orifices d’Elsa. Stimulés par cette ambiance nous ne tardons pas à jouir au même instant tous les quatre. Deux cris plaintifs et nous constatons que Jade et Chloé, au même instant, se sont fait plaisir en se gougnotant. Charles a de la mémoire, il n’oublie pas qu’il doit punir Chloé. On a tout le temps de le faire avant de diner ; j’ai commandé un repas chez le traiteur pour vingt-et-une heures. Il me connait et il sait qu’en pourboire il pourra se faire faire une pipe par l’une des femmes présentes.
Direction la cave, Georges nous demande si on pouvait aussi fouetter Elsa. Il n’a jamais assisté réellement à une telle séance. Je propose que les trois y passent. Il s’occupera de Jade, Charles d’Elsa et moi de Chloé que je travaillerai au paddle.
Je croyais pouvoir échapper au fouet mais mon amour, Marc, en a décidé autrement. Il veut nous mettre sur le même pied d’égalité. C’est lui qui décide. Georges n’est pas habitué à pratiquer ce genre d’exercice, peut-être sera-t-il moins dur ?
On les attache toutes les trois aux crochets fixés au plafond. Le festival peut alors commencer. C’est à qui rivalisera de savoir-faire. Georges prend vite de l’assurance et se concentre sur les fesses et les seins de Jade qu’il cingle modérément. Il a peur de faire trop mal. Elle a de la chance.
Charles est le plus cruel, mais il sait qu’Elsa est masochiste. Très adroit, il vise sa chatte ; plus particulièrement son clitoris ; la pointe de ses seins. Elle crie en permanence. Son mari s’est arrêté de fouetter Jade. Il admire le travail minutieux qu’effectue mon ami sur sa femme.
Quant à moi je prends plaisir à appliquer le châtiment qui était prévu pour Chloé. Elle reçoit vingt coups de paddle sur ses fesses qui deviennent rouge rapidement. Elle pleure à chaudes larmes. C’est la première fois qu’elle subit ce traitement.
On les décroche. Elles rejoignent la salle de bains, prennent une douche et soignent leurs corps meurtris avec des baumes réparateurs. Elles en profitent pour se faire plaisir mutuellement. Elles en ressortent avec des robes très sexy qui leur vont à merveille. Quand je dis « robes » je devrais dire « bouts de tissus » vu le peu de peau couverte…
On sonne c’est le traiteur qui amène notre diner. Il est en admiration devant nos trois femmes. Il dépose tous les plats et nous explique ce que nous devons faire.Je m’adresse à Elsa et je lui dis :
— Notre ami mérite un pourboire. Tu sais ce que tu as à faire ? Une belle fellation lui conviendra parfaitement.
Elsa je jette à ses pieds, le débraguette et l’embouche. Son sexe devient dur. Elle s’active en le pompant vigoureusement jusqu’à ce qu’il se répande dans sa bouche. Elle le nettoie bien et se pourlèche les lèvres. Il rentre son engin, satisfait et nous quitte en nous souhaitant une bonne soirée.On s’assoit à table afin de prendre des forces car on n’est pas là pour dormir mais pour accroitre notre domination sur les femmes présentes. Ostensiblement nous prenons tous les trois du Cialis. Elles savent désormais qu’on ne leur laissera aucun répit. Le repas se déroule très agréablement. Les mets sont délicieux. Nos compagnes respectives sont très intelligentes et ont l’esprit de répartie. Nulle tension sexuelle, hormis le pied de Chloé qui vient, vers la fin du repas, tester mon entrejambe. Je ne connais d’elle pour l’instant que sa bouche et j’ai hâte de faire connaissance avec ses autres orifices pour voir s’ils sont tout aussi accueillants.
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