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Jade : elle voulait devenir soumise...

Chapitre 15

Trash
Fatigués par nos exploits nous nous endormons tous jusqu’au samedi dix heures. Je retrouve Georges et Charles dans la cuisine. Nos femmes dorment encore. Nous convenons de nous concentrer sur les derniers jours de dressage d’Elsa. Georges aimerait qu’elle soit tatouée et piercée comme Jade. Charles acquiesce en disant qu’il aimerait que Chloé le soit aussi.
Je prends immédiatement rendez-vous avec mon ami Marco : pierceur, tatoueur et épileur. Il ne travaille pas aujourd’hui mais il fait une exception pour moi.Nos femmes réveillées, nous prenons un en-cas et filons vers sa boutique. Charles a choisi la phrase qui sera tatouée sur la fesse gauche de Chloé. Ce sera : « soumise à Charles ». Il opte pour des barbells sur les tétons et le capuchon de son clitoris et pour couronner le tout, trois petits anneaux sur chacune de ses petites lèvres vaginales. Georges choisit, pour Elsa, les mêmes options, hormis la phrase tatouée qui sera : « Epouse de Charles, prêtée sous son contrôle ».
Jade assiste à l’opération avec jubilation. Elle rira moins tout à l’heure lorsqu’elle subira, avec ses compagnes, une nouvelle épreuve.Comme à son habitude, Mario récupère son pourboire en nature. Il encule Chloé et Elsa et choisit de terminer dans le cul de celle-ci.En sortant, nous prenons la direction d’un parking où se garent de nombreux routiers. C’est l’ultime épreuve du week-end que nous allons faire subir à nos compagnes. Le sexe et les seins de Chloé et Elsa font qu’elles devront être ménagées.
On se met d’accord avec dix routiers présents. De grands gaillards aux bras énormes ; pas très propres ils sentent la transpiration ; à qui nous proposons le marché suivant : Ils pourront prendre ; capuchonnés bien sûr ; Elsa et Chloé uniquement en anal. Pour Jade ce sera différent, ils pourront se la faire en double ou en triple. A la fin c’est dans les bouches de toutes les trois qu’ils pourront finir.
Ils sont heureux de l’aubaine, d’autant qu’habitués des prostituées d’autoroute, ils n’ont pas affaire à d’aussi beaux petits lots. Il fait beau, le parking est à l’écart, ils ont vite étalé des couvertures sur le gazon. En un tournemain ils déshabillent nos compagnes et d’amblée se font faire des pipes pour qu’elles les mettent en forme. Leurs pines sont plutôt ragoutantes vu l’hygiène sommaire qui règne chez ce genre d’individus. Elsa et Jade ont désormais l’habitude (Rappelez-vous l’épisode dans le foyer d’accueil) pour Chloé, c’est une première. Elle rechigne un peu, mais Charles, d’un regard, la fait vite remettre dans le rang.
Leurs bites se mettent rapidement au garde-à-vous. Certaines sont énormes. C’est Jade qui subit les premiers assauts. C’est normal ils peuvent tout lui faire… Ils ne la ménagent pas. Elle est prise immédiatement en double, l’un des routiers s’étant couché sur le dos l’a fait s’empaler sur son vit pendant qu’un comparse l’encule. Elle gueule que ça lui fait mal mais ils n’en ont cure. D’ailleurs ça ne dure pas longtemps car un autre a vite fait de prendre sa tête en main pour s’enfoncer allégrement au fond de sa gorge.
Les autres s’occupent de Chloé et d’Elsa. Ils alternent dans leur cul et leur bouche. Dès que l’un sort de l’anus de l’une ; laissant la place au suivant ; il s’enfonce dans sa bouche en gardant son préservatif. Elle peut alors sentir ses propres effluves anales. Heureusement qu’elles ont l’habitude de se faire des lavements.
Les routiers s’en donnent à cœur joie. Ils ne faiblissent pas. Ils ont fait la publicité de Jade en des termes très crus. Chacun veut avoir le droit de profiter de son jeune corps. Voyant qu’ils peuvent tout se permettre, elle est prise doublement analement et vaginalement. Ces seins sont tordus, ses tétines étirées au maximum quand ils tirent sur les anneaux. Ils lui crachent sur le visage. Elle avale une quantité incroyable de sperme. Je vois qu’elle est à la limite du supportable, mais elle résiste. Elle est fin prête pour le concours.
D’un commun accord, mes comparses et moi mettons fin à cette séance. Les routiers nous remercient. Nous rejoignons mes pénates.A peine rentrées, nos femmes, très fatiguées, se dirigent vers la salle de bains pour se laver des souillures qui couvrent leur corps. Après un diner léger elles vont se coucher ensemble et, d’emblée, se gouinent. Comme au cinéma, nous assistons au spectacle de leur gougnottage d’un érotisme certain. Les gémissements se révèlent de plus en plus au fur et à mesure de la progression de leurs délires sexuels : bouche tétant un sein, langue prenant possession d’un chatte, doigts en conque pénétrant un vagin, baisers langoureux… Tout l’attrait des échanges lesbiens…
Georges fait remarquer qu’il n’a fisté ni Chloé, ni Elsa. Elles n’ont pas connu ses grosses paluches. Il propose de les mettre côte à côte, cuisses bien écartées, leur tête pendantes hors du lit. Il s’agenouille par terre entre les deux, inonde leur vagin de lubrifiant et fait pénétrer ses mains dans leur chattes accueillantes. On peut voir, au fil des minutes qui s’écoulent, la progression lente mais inexorable de ses poings dans l’antre de ces femmes dociles. Elles grimacent de douleur mais acceptent ces intromissions hors du commun.
Telles des bielles, il va alors faire aller et venir ses bras pour leur défoncer la cramouille faisant quasiment sortir ses mains pour y entrer à nouveau. C’est violent mais elles vont vite être atteintes d’un plaisir incroyable, indescriptible. Georges se déchaine et nous invite à prendre, dans le même temps leur bouche pour un « gorge profonde ».
Elles sont vite étouffées par nos queux vigoureuses, Charles choisissant Chloé, moi Elsa. J’enjoins à Jade de rejoindre notre groupe. En bonne salope qu’elle est devenue, elle se glisse entre Georges, à genoux, et le lit et vient emboucher son sexe voracement.
En quelques minutes, au paroxysme de cette bacchanale, des arcs-boutements de corps, des cris de jouissance, un orgasme commun nous envahit tous. Les bites des trois hommes libèrent leur sperme dans les bouches accueillantes de nos compagnes qui prennent leur pied au même moment libérant des jets de mouille sur les bras de Georges. Seule Jade reste frustrée, elle n’a pas eu le loisir de jouir.
Georges, toujours autant inventif, s’adressant à moi, propose de « manuculer » la chatte de Jade à deux mains. Interrogatif, je lui demande de préciser car je ne comprends pas ce terme. Il m’explique que c’est une tentative de donner un nom français à la pratique du « Fist-fucking ».
J’avoue que je suis perplexe mais d’un autre côté, s’il y arrive, ça ne pourra que faciliter la victoire de Jade au concours. Elle s’est prise une canette de coca alors pourquoi pas deux mains.Je viens de comprendre qu’une autre épreuve m’attend. J’ai déjà eu droit à la main entière de Georges dans ma foufoune et voilà qu’il propose d’en introduire une deuxième ! J’ai bien vu des films pornos qui montraient que c’était possible avec des jeunes femmes comme moi. Mais moi, en serais-je capable ? Je ne veux pas décevoir Marc. S’il me le demande je ne vais pas refuser mais je sens que je vais déguster.
— Alors ma chérie ? Qu’en penses-tu ?— Si c’est ton souhait tu peux le faire. Je ne refuserai pas. — Bon alors viens ! On t’emmène à la cave. Ligotée sur la croix de saint André ce sera encore mieux.
On l’installe à l’horizontal. On ajuste la croix pour que ses pieds soient un peu plus haut que sa tête. Charles suggère qu’on lui étire les seins en passant des cordelettes ; liées par un système de poulies au plafond de la cave ; dans les anneaux qui percent ses tétons. Ce qui est fait illico presto. On tend les cordes au maximum du possible. La douleur tire des larmes à Jade mais elle résiste et ne crie pas. Lors du concours cela lui vaudrait une élimination.
Georges prend alors une bouteille de lubrifiant et lui noie la chatte. Il enduit ses bras du même produit. La séance peut commencer. Lentement sa première main progresse au fin fond de son vagin écartant ses chairs aux limites du possible. Ce n’est pas la première fois qu’elle se fait fister. Elle sait donc respirer correctement pour faciliter l’intromission. Néanmoins elle souffre. Ses seins lui font très mal. Je ne peux résister à la voir ainsi. J’approche mes lèvres des siennes. Ma langue vient rejoindre la sienne dans un baiser passionné. Elle me murmure, comme elle en a l’habitude quand elle subit les épreuves que je lui impose : « Je t’aime ».
Ça y est la première main est enfoncée jusqu’au poignet. Georges est un artiste de cette pratique. Quelques va-et-vient et Jade jouit une première fois. Elle est sublime dans ces moments. Il est temps de passer à la seconde étape.
Glissant la paume de sa main libre sur le dos de l’autre il tente l’intromission extrême. Ce n’est pas facile car elle est étroite. Mais, à force de patience et… de lubrifiant, les premières phalanges sont entrées. Je bâillonne toujours ma compagne de ma bouche. Je la sens se raidir ; la pénétration est douloureuse ; la progression continue, implacable. Le pouce vient rejoindre les autres doigts. Sa foufoune est distendue mais il y a encore de la marge. Ca y est la deuxième main est entrée en elle. Jade me mord les lèvres et soudain, se dissociant de ma bouche, elle pousse un long cri de jouissance. Son corps s’arque sur la croix de saint André et retombe, inerte.
Mon dieu ! Ils ont réussi ! Deux mains sont actuellement dans ma chatte et j’ai joui comme jamais ça ne m’était arrivé. J’ai mordu Marc ; j’espère que je ne lui ai pas fait trop mal ; mais la jouissance était telle que je n’ai pas pu me contrôler. Je crois que le summum a été atteint quand le pouce de Georges a frotté mon point G.
Maintenant je serais la plus heureuse des femmes si mon chéri venait finir dans ma bouche. Ce serait le plus beau des compliments qu’il pourrait me faire. Si Georges et Charles voulaient en faire autant ma gorge les accueillerait avec plaisir.
Oh ça y est Marc approche sa belle queue de mes lèvres ! Je vais l’engloutir voracement. Le cochon ! Il bande vraiment dur. Ma langue presse sa bite contre mon palais. Son envie de moi est tellement forte qu’il éjacule quasiment au même moment. J’adore le goût de son sperme et je m’en délecte pendant qu’il se retire de ma bouche. J’ai à peine le temps de respirer que c’est le sexe de Charles que je dois avaler. Lui aussi, excité par ma situation, s’enfonce jusqu’à ma luette. Il tire alors sur les cordelettes qui étirent mes tétons. La douleur est telle que, dans un réflexe incontrôlable, ma gorge aspire son sexe le menant aux tréfonds de mon œsophage. Surpris il envoie toute sa semence. Comme à mon habitude je n’en perds pas une goutte.
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