Je pense que Jade est désormais prête pour les éliminatoires après l’épreuve de fist extrême que je lui ai fait subir. Non seulement sa chatte a englouti les deux mains de Georges, expert dans ce type de pratique, mais en plus elle a joui… Elle est vraiment faite pour être soumise et je suis heureux d’être son maitre en la matière. Le week-end s’achève et le dimanche soir chacun regagne ses pénates. Nous nous promettons de remettre ça rapidement dès que le concours sera passé. Inutile de dire que la dernière après-midi a été un moment de baise intense avec nos partenaires. Elsa et Chloé avaient du mal à marcher pour atteindre le véhicule de leur compagnon respectif ; leur cul avait pris grave. Jade n’a même pas pu leur dire au revoir tant elle était moulue. Il faut dire que quelques minutes avant, nous nous étions acharnés sur son corps pour la fouetter sur le rythme d’une musique techno, ses fesses étant claquées au paddle en alternance. Inutile de vous dire qu’elle a dormi toute la nuit ! Dès le lundi le maitre du château de V. me prévient, par courriel, que les éliminatoires auront lieu vendredi prochain. Vingt concurrentes sont en lice, seules trois d’entre elles participeront à la finale le week-end suivant. Je devrai la mener à dix-huit heures précises au domaine de la Courtine, propriété du membre du jury, qui lui fera subir cette épreuve. Elle durera tout la nuit et Jade devra tout accepter de lui, y compris des partenaires qu’il lui plaira de faire participer. Un seul refus et ce sera l’élimination. Comme le règlement du concours le précise, l’urophilie, la scatologie et les mutilations sont interdites. Je ne serai pas présent. Je devrai juste la déposer devant l’entrée et partir dès la sonnette actionnée. Toute l’épreuve sera filmée en direct ; je pourrai la visionner sur le site Internet du château de V. Une copie intégrale de la vidéo me sera remise lorsque je viendrai la chercher le lendemain matin à onze heures. Je devrai prendre garde à ce que ma compagne connaisse bien le « Safe word ». Un bouton sur le site me permettra d’interrompre à tout moment la séance. Jade sera alors éliminée sans qu’aucun recours ne soit possible. Le courriel me demande de donner mon accord en retour. Ce que je fais immédiatement.Dès son réveil, je mets Jade au courant de ce qui l’attend. Au contraire de ce que l’on pourrait croire d’une telle annonce sur elle, elle me tend les bras amoureusement et m’attire contre elle ; comme toujours j’ai une trique d’enfer ; sa bouche prend la mienne, nos langues s’entrelacent. Elle me dit juste : — Tu sais que je suis à toi. Tu peux faire de moi ce que tu veux. Mon avis est sans importance. Sache seulement que si tu devais me quitter je serais très malheureuse. J’ai toujours envie de toi. J’aime ta bite, la manière dont tu te comportes avec moi. J’adore quand tu me sodomises ou que tu me fouettes. Mais j’aime aussi quand tu es doux avec moi comme tu l’es en ce moment. Prends moi en douceur ! Viens mon chéri ! Je t’aime à la folie… et sache que tu n’auras pas honte de moi. Le concours ? Je vais le gagner ! Pour toi ! Pour moi ! Pour nous !— Je t’aime moi aussi et il n’est pas question que je te laisse. Tu sens comme je suis dur ? Alors je vais te faire jouir comme tu le mérites. Mon sexe se dresse contre son ventre. Je glisse le long de son corps et j’ajuste mon vit à l’entrée de son con. Ma bouche vient téter l’un de ses tétons. Mes dents le mordille. Jade gémit.Mon gland vient agacer son clito, frôlant le barbell, et glisse le long de ses lèvres vaginales, action facilitée par ses sécrétions intimes abondantes. Il pénètre juste l’entrée de son vagin. Jade émet un petit cri. Je me retire : soupir de frustration de sa part. Je continue ce petit jeu longtemps. Son pouls s’accélère. Elle me presse de la prendre. Elle me veut. Je résiste contrôlant au maximum mon action. Son corps s’agite, se tend. Elle pleure de bonheur. Me répète qu’elle m’aime, qu’elle est à moi, qu’elle aime ma bite. Cette fois elle est mûre. Je la veux ! C’est alors qu’au moment où elle s’y attend le moins, je m’enfonce en elle d’une seule poussée violente. Mon gland touche l’entrée de son utérus. Une giclée de sperme l’inonde, propulsée par les soubresauts prostatiques de ma bite qui n’en pouvait plus d’attendre. Jade pousse alors un hurlement provoqué par l’orgasme que je viens de déclencher chez elle, accompagnant le mien en pleine harmonie sexuelle. Son corps s’arque et retombe, achevé. Elle s’assoupit. Après quelques minutes, mon sexe débandé sort d’elle. Je me couche sur le côté et je la regarde, attendri. Comme elle est belle, là, abandonnée après l’amour. Ses seins, son ventre, ses cuisses sont striés par les coups de fouet qu’elle a reçus. Les jambes écartées, mon sperme s’échappe de sa chatte et se répand sur le drap. Je n’ai qu’une envie : lécher ses plaies pour apaiser ses souffrances. Pourtant elle n’a rien dit pendant que je la prenais en douceur. Mais je sais qu’elle avait mal et que pour rien au monde elle n’aurait voulu stopper ces moments de bonheur. Ma bouche, ma langue parcourent son corps, éveillant en elle de nouveaux désirs. Ma menteuse fouille sa grotte d’amour, une de mes mains empaume l’un de ses seins et le masse doucement. Des gémissements se font à nouveau entendre. Jade est complètement éveillée. Elle presse ma tête dans son entrejambe montrant qu’elle est totalement accroc au traitement que je lui fais subir. Mes doigts attaquent son téton, le presse, tire légèrement sur l’anneau qui l’équipe. Elle feule de bonheur. Des mots sortent de sa bouche : — Oh mon chéri comme je t’aime. Je suis tellement bien avec toi. Tu sais être doux après m’avoir fait souffrir. Les jouissances, que tu me procures, sont tellement fortes que je ne saurai m’en passer. Je ne regrette pas de t’avoir contacté pour que tu fasses de moi ta soumise. Ça va au-delà de mes espérances. Je te promets que tu seras fier de moi après l’épreuve que je vais subir ce vendredi.— Je n’en doute pas une seconde ma chérie. Je sais que tu vas te surpasser et gagner le concours. Je remonte le long de son ventre, attaque sa poitrine embouchant le téton que je viens de malmener. C’est sa bouche que je rejoins dans un baiser enfiévré. Mon corps remonte le long du sien, ma bite encore molle se cale entre ses seins moelleux qu’elle presse de ses deux mains pour mieux l’enserrer. La douceur de sa peau fait monter en moi une excitation incontrôlable, mon vit se durcit, grandit pour atteindre son menton. C’est incroyable de voir à quel point elle m’a fait devenir endurant. J’ai toujours envie d’elle… Je rehausse sa tête avec des coussins, mon gland se frotte sur ses lèvres qu’elle entrouvre. De sa langue, elle suçote mon méat urinaire comme pour le pénétrer. Dans cette position c’est tout ce qu’elle peut faire. Je me branle entre ses coussins mammaires. C’est le moment qu’elle choisit pour écarter mes fesses de ses mains et faire entrer un doigt dans mon cul. Massant ma prostate, ma queue devient encore plus dure. Je n’ai pas l’intention de finir dans sa bouche. C’est pourquoi, après l’avoir basculée sur le ventre et mise en position de levrette, je m’introduis en elle sans coup férir. Je vais la travailler ainsi pendant de très longues minutes pour mon plus grand plaisir et le sien. Elle est infatigable. Elle va jouir plusieurs fois. Ses hurlements à chaque fois me galvanisent encore. Elle crie : — J’aime ta bite ! J’aime ta bite ! Baise-moi encore plus fort ! Massacre mes seins ! Ce que je m’empresse de faire, tirant sur les anneaux qui équipent ses tétons. Mes assauts se font de plus en plus forts. Son corps est projeté en avant. Elle hurle encore, frôlant la démence : — Finis dans mon cul ! Encule-moi ! Je veux sentir ta queue juter dans les tréfonds de mon ampoule rectale. Je ne saurai désobéir à une telle demande ! Ma queue sort de son con, quelques centimètres plus haut et je défonce son petit trou sans aucune précaution. Ses sphincters se contractent au passage, provoquant mon éjaculation. Un dernier cri de jouissance de sa part et je m’affale sur elle, repus. Elle est prête pour vendredi. Je vais la laisser se reposer d’ici là et soigner ses plaies. Elle doit être en forme pour ce jour-là..
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