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Jade : elle voulait devenir soumise...

Chapitre 17

Trash
Nous sommes vendredi c’est le grand jour pour Jade. Je ne l’ai pas touchée depuis ce dernier lundi après que je lui aie fait l’amour une dernière fois, prenant son cul avec violence. Ses plaies se sont cicatrisées. Son corps est revenu à la normal. Plus aucune trace des sévices qu’elle a subis. Je lui ai dit de se faire belle ; doux euphémisme pour elle qui est une déesse de l’amour aux courbes harmonieuses.
Après un bain chaud de plusieurs minutes, elle s’est longuement préparée. Son corps est lisse comme une peau de bébé depuis que je lui ai fait faire une épilation de longue durée. J’ai enduit son anus d’un gel lubrifiant au silicone pour faciliter les pénétrations anales et lui éviter des déchirures.
Brune aux yeux verts, elle a noué ses cheveux longs derrière la tête en un chignon qui lui dégage le visage montrant les pavillons de ses fines oreilles et son nez légèrement retroussé. Sa bouche aux lèvres ourlées va certainement provoquer des vagues de désir chez les participants qui n’auront qu’une hâte : la prendre en gorge profonde.
Pour cet évènement je lui ai demandé de remettre la petite robe bleue qu’elle portait lorsque nous avons fait connaissance. Elle met parfaitement en valeur ses formes et le profond décolleté laisse voir la naissance de ses seins. La seule différence, c’est que ses tétons sont annelés et qu’ils apparaissent dans l’ouverture. J’ai choisi de changer la taille des anneaux pour lui en faire porter de plus importants : cinq centimètres de diamètre. Ils seront plus aptes au travail, que pourraient effectuer les protagonistes de la soirée, sur sa poitrine.
Parfumée aux fragrances de la « Petite robe noire » de Guerlain, chaussée d’escarpin Louboutin, sans aucun sous-vêtement, elle est fin prête pour la nuit qui va suivre. Nous sommes en été, nul besoin de manteau ou d’un quelconque accessoire pour la couvrir.
Elle monte dans ma voiture, après que je lui ai galamment ouvert la porte et nous partons pour le domaine de la Courtine où notre hôte l’attend….Comme convenu, je la dépose devant la porte qui s’ouvre dès qu’elle sonne. Le majordome qui l’accueille me fait signe et me rejoint. Il me précise que son patron désire que, au contraire de ce qui était prévu, j’assiste aux épreuves que Jade doit subir. La seule condition, c’est que je ne devrais, en aucun cas, participer.
Néanmoins, il mettra à disposition sa soumise de longue date pour me soulager quand j’en éprouverai le besoin. Il me suffira de lui faire signe pour qu’elle s’exécute immédiatement. Seule sa bouche sera disponible, ses autres ouvertures étant fermées par des cadenas.
Nous pénétrons alors dans un hall immense. Le majordome nous demande de le suivre et nous fait parcourir un dédale de couloirs qui nous mène dans une crypte voutée dans le sous-sol de la maison. Pratique quand on ne veut pas que des cris s’entendent de l’extérieur.
Sur une estrade, un immense lit rond occupe une partie de l’espace. Tout autour, des équipements divers : classique comme cette croix de Saint André, un portique duquel pendent plusieurs cordes et poulies, un cheval d’arçon, une console où divers objet sont étalés comme des godemichets de formes diverses, des pinces ou des aiguilles chirurgicales. Un peu plus loin un râtelier où sont fixés différents fouets, cravaches et paddles de toutes tailles et d’étranges machines dont je devine que ce doit être des machines à baiser vu les phallus énormes qui les équipent.
Le majordome fait monter Jade sur l’estrade et lui demande de rester debout, bien droite, face à la porte. Il m’indique alors un canapé dans lequel je dois m’installer. Il fait alors un signe de la main et, sortie du noir complet dans lequel elle se trouvait, apparait une jeune femme blonde entièrement nue qui s’avance vers moi. Elle tourne autour d’elle-même et me montre la ceinture de chasteté qui empêche l’accès à ses reins et à sa chatte. Elle prononce alors ces paroles :
— Ma bouche et ma gorge sont à votre disposition quand vous en exprimerez le désir. Je resterai à vos pieds et sur un signe de vous je me précipiterai pour vous satisfaire. Vous pouvez toucher mes seins et les torturer si vous en éprouvez le besoin. Désirez-vous que je vous fasse jouir tout de suite ? Vous serez alors plus à l’aise pour voir la suite du spectacle que donnera votre soumise.
L’offre est très tentante. La femme est désirable. Sa poitrine de toute beauté. Et puis ? Je n’ai pas vidé mes burnes depuis près de quatre jours.C’est devant Jade qu’elle s’exécute. Elle défait ma ceinture, ouvre mon pantalon et extrait ma bite du caleçon dans lequel elle était logée. Elle embouche ma queue déjà dure. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je prends immédiatement l’initiative. Mes mains sur sa tête je force l’entrée de mon sexe au fond de sa gorge. Dans ma tête c’est la chatte de Jade que je fouille de mon vit en furie. Je suis tellement excité que je jute quasi immédiatement dans son œsophage. Elle avale tout et garde quelques secondes dans sa bouche mon gland qu’elle semble savourer.
Elle lèche ensuite les quelques gouttes de sperme qui ont débordé sur mon pantalon et s’assoie à mes pieds près du canapé dans lequel je suis installé. Ses seules paroles sont alors :
— Etes-vous satisfait de ma prestation ?
En réponse, je la flatte comme un animal en portant ma main sur sa nuque. Elle me sourit. Je lui demande de venir s’allonger sur le dos, la tête tournée vers mon entrejambe, prête à gober mon sexe. Je peux alors, à loisir, peloter se poitrine généreuse. Je ne m’en prive pas en tordant ses tétons dressés comme de petites bitesC’est l’instant où des projecteurs sont allumés éclairant à giorno l’estrade sur laquelle Jade, debout, a assisté à mes ébats avec la charmante inconnue. Un homme, très grand, noir ; il doit friser les deux mètres ; s’avance vers elle et la fait tourner sur elle-même. Il prend alors la parole :
— Vous êtes très belle et ce sera d’autant plus un plaisir que de vous faire subir les épreuves que vous allez traverser. N’attendez aucune aide de votre maitre qui va assister au spectacle. D’ailleurs il est déjà occupé avec Louise et vous a déjà oublié. Il faut dire qu’elle suce très bien et que tous les hommes adorent lui massacrer ses tétines. Avez-vous vu comment il a joui rapidement dans sa bouche et comment il lui pelote fortement sa poitrine en ce moment ?
Dans ses paroles on sent que d’emblée il veut la briser pour la mener à la faute. Elle devient vulnérable. Il met en doute sa capacité à surmonter les épreuves dès lors que je m’intéresse déjà à une autre femme. Tombera-t-elle dans le piège ? Il poursuit :
— Je suis le coach d’une équipe de basket et je tiens à récompenser mes meilleurs joueurs du moment. J’en ai sélectionné sept, avec moi ça fera huit. Pendant toute la nuit, jusqu’à dix heures demain matin, vous serez à notre disposition. Ils pourront vous faire subir les pires sévices sexuels. Nous aurons à notre disposition tout le matériel disponible dans cette salle. Ils sont jeunes, vigoureux, de plus bourrés au Viagra. N’attendez pas qu’ils se fatiguent, moi le premier. Je suis très endurant. Etes-vous prête et pleinement consciente de ce que vous allez subir ? C’est le moment ou jamais de vous désister.— Je suis prête ! répond Jade d’une voix ferme.— Très bien ! Dans ce cas avant de faire entrer l’équipe je vais m’occuper de toi le premier. (Il utilise désormais le tutoiement). Je vais te faire la totale. Déshabille-toi !
Max ; c’est son prénom ; en fait de même et se retrouve nu lui aussi. Elle découvre alors son sexe en rapport avec sa taille de géant. Enorme ! Elle écarquille les yeux à cette vue. Elle semble effrayée.
— Tu n’en a jamais vu d’aussi grosse ? Tu vas voir comment je vais te démonter avec. Approche-toi et prends-la entre tes seins !
Vu la taille de Max, elle n’a juste qu’à se baisser légèrement pour faire coulisser son vit entre eux. Avec ses mains elle presse les globes pour bien l’enserrer. Elle peut même sucer son gland. Ce qu’elle fait avec délectation.
— Ta poitrine est vraiment au top. Vu ton âge c’est normal. Elle est bien ferme et tes tétons bien proéminents. C’est un vrai plaisir que de te faire une cravate de notaire. Mets-moi un doigt dans le cul et masse -moi la prostate, ça va me faire durcir encore plus. Tiens je vais tirer un peu sur les anneaux qui équipent tes tétons. Je veux voir des larmes dans tes yeux.
Jade crie. On voit que ça lui fait mal mais elle résiste.
— Tu es vraiment un très bon élément. Mes gars vont bien s’amuser. Lèche ton doigt et va t’appuyer contre le cheval d’arçon. Il est temps de tester tes autres orifices. J’ai envie de ta chatte et de ton cul. Ecarte bien les cuisses et mets bien tes bras en l’air de l’autre côté comme si tu voulais grimper dessus. J’arrive.
Jade s‘exécute, se dirige comme indiqué vers l’accessoire de gymnastique et prend la position demandée.Dans le même temps, Max prend dans le râtelier un martinet et, sans prévenir, lui cingle les fesses plusieurs fois. Elle crie, plus de surprise que de douleur mais ne bouge pas. Il commente son action :
— C’est très bien tu résistes bien ! J’aime ça. Depuis que j’ai fait ta connaissance je suis fou de tes seins. Voyons comment tu réagis encore à leur manipulation.
Ses mains viennent les empoigner en se glissant entre elle et le cheval de cuir. Ses doigts pressent ses mamelles et étirent ses tétines, la faisant gémir. Je suis sûr qu’à ce moment précis sa chatte commence à s’humidifier. Comme s’il lisait dans mes pensées, il tient à s’en assurer. Libérant l’une de ses mains, il lui écarte les cuisses et lui doigte la chatte par derrière.
— Mais c’est que tu mouilles petite salope. Ta réputation n’est plus à faire. Tu aimes le sexe. Tu es bonne pour faire connaissance avec mon braquemart dit-il en mordillant son oreille.
Pour être à bonne hauteur, il la fait basculer plus en avant. Ses pieds ne touchent plus terre. Il se colle à son dos. Sa bite se cale entre ses fesses. Elle peut désormais sentir la grosseur du membre qui va la pourfendre. Il ajuste son tir et l’enconne d’une seule poussée. Elle est écartelée par ce sexe hors du commun et pousse un cri. Il la soulève alors dans ses bras, tel un fétu de paille, pour l’empaler au maximum. Il pétrit à nouveau ses seins qui lui servent de poignées.
La vision est incroyable. Jade semble minuscule dans ses bras. La colonne de chair n’est pas encore entièrement en elle. Debout il la fait alors monter et descendre jusqu’au moment où elle absorbe l’entièreté de la verge. Dès le début de la pénétration on voit qu’elle a souffert mais son visage devient vite extatique. C’est incroyable ! Elle prend son pied. Elle le crie.
Oh mon dieu ! je viens de sentir sa bite entre mes fesses. Elle est énorme ! Heureusement que je mouille un peu ; j’adore quand on pétrit mes seins et qu’on étire mes tétons. Ça y est, il est entré ! On ne peut pas dire qu’il ait pris beaucoup de précaution. Je viens de crier mais c’était plus par la soudaineté de l’attaque que par la douleur. Il faut dire que Marc m’a bien préparé. Maintenant je suis complétement empalée sur son mandrin. Oh que c’est bon ce qu’il me fait subir ! Ça y est ! Je jouis ! Oh c’est trop bon !
— Un vrai plaisir de te baiser. Ma bite coulisse bien en toi comme dans un écrin de velours. Tu mouilles à souhait. Tu l’as aimée ma queue parce que je sais que je viens de te faire jouir ? N’est-ce pas ? — Oh oui elle est bien grosse. Vous avez senti comme mes muscles internes vous l’ont massée ?— Oui tu as déjà beaucoup d’expérience. Ton maitre Marc t’a bien formée. Pour le remercier je vais lui donner les clés de la ceinture de chasteté de Louise. Comme ça il pourra la baiser et l’enculer pendant qu’il te verra en action. C‘est une juste récompense.
Jade toujours empalée sur sa verge, il se dirige vers son pantalon posé sur une chaise, en extrait une clé qu’il me jette en me disant :
— Louise est à vous. C’est un bon garage à bites. Faites en ce que vous voulez ! Vous pouvez utiliser les accessoires si vous voulez.
Je ne vais pas m’en priver car elle me convient tout à fait. Max continue son travail de sape et fait encore jouir ma compagne. J’ai encore joui. Mais qu’est-ce qu’il fait ? Pourquoi il me pose à terre à quatre pattes ? Ah j’ai compris il veut me sodomiser. Il va me déchirer l’anus… Qu’est-ce qu’il dit ?
— Il est temps de te défoncer le fion. Je vais changer de trou et tu as intérêt à bien écarter les fesses si tu ne veux pas souffrir. Mets la tête sur ce pouf et relève ton cul ! Tu vas déguster ! En position !
Oh putain je vais prendre grave. J’ai intérêt à faire comme il dit. Je sens son gland sur mon anus. Aieeeeee ! Oh ça fait mal ! Je ne peux pas m’empêcher d’hurler. Il s’est enfoncé d’un coup. Son champignon a écartelé mes chairs au maximum. Heureusement je m’étais préparée en mettant du lubrifiant au silicone. Oh il me reprend dans ses bras comme tout à l’heure quand il me baisait. Ça y est, il joue à l’ascenseur avec mon corps. Il est costaud. Mon anus est distendu. En plus il joue avec le barbell qui équipe mon clito. Je sens à nouveau monter le désir en moi. Je contracte mes sphincters. Je voudrais qu’il jouisse en moi. Il m’encule avec son marteau-piqueur, sans défaillir, au rythme lancinant d’un métronome.
— C’est un vrai délice que de te prendre par le cul. Ton anus est étroit comme je les aime. Tu vas hurler encore je n’en ai pas fini avec toi. Allez ! Crie que je t’entende !
Il la massacre encore plus. La tête de Jade est ballotée dans tous les sens, son chignon s’est défait. Elle beugle que ça lui fait mal mais il n’en a cure. Transcendée, malgré la douleur, elle a un orgasme violent.
— Ben alors ma belle ? Tu es montée encore au septième ciel avec tonton Max ? Allez je vais t’achever en beauté ! Moi aussi je veux jouir. Je vais finir dans ta gorge !
Qu’est-ce qu’il fait encore ? Il veut finir dans ma gorge ? Il vient de déculer et maintenant il me retourne la tête en bas. Il me soulève par les cuisses et présente son chibre ; qui sort de mon cul ; devant ma bouche…
— Allez ! Ouvre la bouche ! Je vais te laisser descendre le long de ma queue qui va s’enfoncer jusqu’au fond de ta gorge. Tache d’être efficace car je veux finir dedans avant de te donner à mes joueurs. J’espère que ton cul était propre sinon tu vas bouffer ta merde.
Son sexe s’enfonce inexorablement dans ma bouche ouverte. Il me laisse tomber petit à petit. Mes lèvres sont distendues vu la grosseur de l’engin. Je suis entièrement sous son contrôle. Il peut m’étouffer s’il en a envie. Je fais tourner ma langue autour, autant que faire se peut. Ma luette est atteinte. Je respire profondément pour faire des provisions d’air. Il la franchit. Le gland est désormais dans mon œsophage. J’ai pratiquement tout avalé. Par de petites pressions de mes lèvres je masse la base de sa queue. C’est alors que je sens entre mes cuisses qu’il a écartées, sa langue qui lèche profondément ma chatte. Il attaque mon clitoris en le suçotant, puis il le mordille légèrement. C’est divin. Il sait vraiment y faire. J’aurais envie d’exprimer les sentiments que je ressens mais je ne peux le faire bâillonnée comme je le suis.
Il me soulève alors et libère ma gorge ; j’aspire un grand coup ; mais c’est pour mieux s’enfoncer encore. Il répète l’opération plusieurs fois utilisant ma bouche comme il l’a fait pour mon sexe ou mon cul. C’est épuisant. Je bave, je crache et au moment où je m’y attends le moins, il éjacule au fond de ma gorge. Je peux sentir de longs jets de sperme qui tapissent mon palais. J’avale tout.
Il se retire et me pose à terre et, chose surprenante, il prend ma bouche pour un baiser violent. Galvanisée par le cunnilingus qu’il m’a prodigué je réponds à son baiser. Il en profite pour me doigter le con et y enfoncer trois doigts en crochet. Il me travaille alors la chatte en s’attaquant à mon point G. En quelques secondes, telle une femme fontaine, mes glandes de Skene éjectent un liquide à la sortie de mon urètre, me procurant un énième orgasme. Je crie encore une fois. Si ça continue comme ça, demain je n’aurais plus de voix.
— Le moins qu’on puisse dire c’est que tu es un bon coup ! dit Max. C’est un bon point pour toi. Ta gorge était un vrai délice pour ma bite. J’ai adoré les pressions que tu as effectuées sur ma queue avec tes lèvres. La soirée ne fait que commencer. Va remettre de l’ordre dans ta tenue et te faire belle pour mes gars. Il y a une salle de bains juste à côté. En attendant je fais entrer mes joueurs pour les briefer.
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