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Jade : elle voulait devenir soumise...

Chapitre 21

Trash
J’appelle Georges. Il est très content. Ils nous rejoindront au restaurant pour vingt heures. J’effectue la réservation ; pas de problème en semaine. De plus nous serons au calme. Il est situé sur les bords de Seine.
Jade se prépare. Comme d’habitude, elle met une robe très décolletée et se garde de mettre des sous-vêtements. Ce soir ce sera « queue de cheval » pour ses longs cheveux bruns. Nous arrivons quasiment ensemble au restaurant. Elsa et Jade sont sublimes. Je le leur dis et Georges confirme. Elles sont aux anges. Les rares clients mâles nous regardent avec envie au grand dam de leurs épouses ou petites amies.
Nous nous dirigeons vers notre table située dans un box, à l’abri des regards. Quelques minutes et le maitre d’hôtel prend nos commandes. Ce sera pour tous ; pour faire plaisir à Jade ; homard à l’armoricaine le tout arrosé d’un Sancerre blanc 2017. La table est ronde ce qui nous permet d’être proches de nos deux compagnes et donc, à portée de main…
En attendant nos plats, nous prenons une coupe de champagne. Au moment de trinquer, Georges prend la parole et porte un toast en l’honneur de son épouse. Il nous explique qu’ils ont décidé d’un commun accord d’avoir un enfant.
Compte-tenu de ses éjaculations rétrogrades ils utiliseront la méthode qui consiste à centrifuger ses urines, afin d’isoler le sperme et de l’utiliser pour réaliser une fécondation assistée par insémination intra-utérine. Ils en sont déjà à la troisième séance. Le médecin est très optimiste sur le taux de réussite car leurs analyses respectives sont excellentes.
Elsa est radieuse. Comme elle a arrêté de prendre la pilule, elle nous précise que dans les clubs libertins, qu’ils continuent tous les deux à fréquenter, Georges a verrouillé sa chatte par un cadenas passé dans les anneaux de ses petites lèvres vaginales. Elle ne peut être prise que par le cul ou dans la bouche. Sauf cette nuit ; Georges a confiance en moi ; pour me permettre de lui travailler sa chatounette. Il sait que j’aime ça.
Nous les félicitons, Jade et moi, très heureux de cette bonne nouvelle. Je leur demande une faveur : pouvoir la prendre vaginalement le premier dès son troisième mois de grossesse.
— Accordé ! disent-ils d’une seule voix.— Cochon ! répond Jade en riant. Tu ne perds pas une occasion de vouloir la baiser.— Ne t’inquiète pas je m’occuperai de toi pendant ce temps-là ! reprend Georges.
Pendant le repas, je laisse trainer ma main sur la cuisse d’Elsa. Elle écarte les cuisses pour faciliter la manœuvre. Je relève sa robe et je lui doigte la chatte. Elle pousse un petit cri et s’adresse à son mari :
— Marc me pénètre le con avec son index.— Ça tombe bien j’en fais autant à Jade. Elle est même en train de me masser la bite. Tu devrais lui faire la même chose.
On voit les deux filles se tortiller sur leur chaise. On sent à leurs mimiques, qu’elles sont sur le point de jouir. Elles se maitrisent pour ne pas crier et finissent ensemble, en silence.
C’est le seul intermède érotique de ce diner. Nous rejoignons mon domicile. La soirée ne fait que commencer. Dès la porte franchie, l’échange se fait. Elsa est dans mes bras et Jade dans ceux de Georges. Nos compagnes se retrouvent nues en deux coups les gros.Sans nous consulter, on les couche chacune sur un des canapés. Doigts en crochet dans leur con respectif, on se met à les branler à une vitesse folle pour solliciter au maximum leur point G.Leurs cris envahissent la maison, leurs corps s’arquent et, brutalement, un jet de liquide jailli de leur urètre. Femmes « Fontaine » elles sont, femmes « Fontaine » elles resteront…Alors qu’elles se remettent de leur émotion je prends Georges en aparté et je lui dis que je voudrais faire une surprise à Jade. Il lui a déjà fisté la chatte à deux mains, j’aimerais qu’il lui « manucule » le rectum jusqu’au coude. Autrement dit qu’il lui fasse un « fist elbow ».
Il me répond qu’il est d’accord mais en contrepartie, il veut me former à cette pratique. Autrement dit pendant qu’il s’occupera de Jade, il me montrera comment faire la même chose avec Elsa. Par contre il faut qu’elles se fassent un lavement pour qu’elles soient bien propre intérieurement. C’est ce qu’on leur demande de faire immédiatement. Elles ont l’air surprise mais ne mouftent pas. A leurs yeux, on voit qu’elles se rendent compte qu’elles vont prendre grave.
Une heure après elles sont vidées… On les emmène à la cave et on leur demande de s’allonger chacune sur un banc de musculation inclinable, la tête vers le bas. On prend leurs jambes, on les replie sur leurs cuisses et on lie le tout. On relève leurs fesses en plaçant un coussin sous leur ventre.
Georges me demande si j’ai un spéculum anal de marque Triune, idéal pour les écartements extrêmes. Il a la particularité d’être un anneau sur lequel sont fixés symétriquement quatre écarteurs mobiles. Au départ, concentrés au centre de l’anneau, d’une longueur de huit centimètres, on les fait entrer dans l’anus. Il suffit alors d’agir progressivement sur les vis réglables sur lesquelles ils sont fixés pour dilater au maximum les deux sphincters, soit neuf centimètres de diamètre. Une fois cette dimension acquise on peut alors faire pénétrer sa main à l’intérieur.
Très fourni en accessoires SM, il se trouve que j’en ai deux dans un tiroir, achetés de longue date.Sous les directives de Georges, après les avoir enduits de graisse à fist, on commence leur intromission dans les culs d’Elsa et de Jade. De concert, on agit sur les vis. La dilatation commence. Pour les détendre pendant cette opération, on leur doigte la chatte.
Leurs gémissements se font entendre et nous stimulent. Ça y est le maximum est atteint, leurs anus sont béants. Nous pouvons désormais faire entrer nos mains dans leur rectum. Georges prend alors la boite de graisse à fist et bourre le cul de Jade, j’en fais autant avec celui d’Elsa.
Il est temps désormais d’agir sans appareillage. On retire les spéculums après avoir desserré les vis progressivement. Leurs trous du cul sont béants et débordent de lubrifiant. On enfile des gants en latex et on commence l’introduction de nos mains. Georges donne des directives à nos deux femelles :
— Comme vous l’avez deviné, maintenant que vos popotins sont bien dilatés, on va vous enculer d’abord avec nos mains puis avec nos bras. Cette opération doit se faire en toute confiance. Vous devez vous manifester continuellement en disant si ça vous fait du bien ou du mal.
Il commence avec Jade et lui travaille l’anus pendant de très longues minutes : d’abord trois doigts, puis cinq et enfin le poignet en entier qu’il fait tourner dans son rectum désormais bien rempli. Jade respire fort et gémit. Elle dit qu’elle n’a pas mal et qu’il peut continuer. Elle ajoute même que ça lui fait du bien. Il en profite pour lui titiller le clitoris de son autre main faisant monter le désir en elle. Elle commence à juter de la chatte.
Je regarde ce que fait Georges et m’appuyant sur son exemple je fais la même chose à Elsa. Moins adroit, elle pousse de petits cris quand je force trop. J’arrive au même résultat mais en prenant plus de temps. Je sens à sa respiration qu’elle aussi prend du plaisir. Elle me demande de lui ramoner le conduit. Qu’elle est prête pour recevoir mon avant-bras tout entier !
Je ne sais trop comment faire. Georges m’explique que le rectum franchit, je dois passer le muscle qui ferme l’accès au colon sigmoïde avec mes doigts, tout en douceur car il est résistant au passage. Je dois bien écouter les retours d’Elsa et surtout ne pas insister si je lui fais mal.
Dans le même temps il applique le même traitement à Jade. Ça y est son bras est entré jusqu’au coude et… elle jouit de cette pénétration monstrueuse qu’elle accompagne d’un jet de liquide qui sort de son urètre.
Je suis ses conseils, mon avant-bras distend les chairs d’Elsa et disparait en elle. Elle pousse un cri à l’entrée dans son colon. Je la ramone longuement et l’amène au septième ciel en quelques minutes de ce traitement.
Nos deux femmes ont pris leur pied en faisant connaissance avec le « fist elbow ». Elles sont épuisées.On ne peut pas se vider les couilles dans leur cul respectif. Il va falloir attendre un bon moment avant que leurs anus se referment ! On choisit de juter entre leurs fesses qu’on presse entre nos mains pour bien serrer nos bites dans leur raies culières.
Après les avoir détachées, une courte toilette et on monte se coucher.Lorsque nous nous réveillons, il est dix heures du matin. Nous convenons avec Georges, qu’une bonne séance de fouet sera idéale pour les mettre en forme pour la journée. On leur enjoint de prendre la direction de la cave. Elles ont du mal à marcher compte-tenu de leurs anus encore dilatés. Après les avoir suspendues, on se concentre sur leurs seins en visant bien les tétons. Leurs cris retentissent montrant que nous visons juste…
C’est en pleurs qu’on les libère. Nous n’avons alors que des mots d’amour pour elles. Chacun va alors faire l’amour à sa propre compagne, tout en douceur, en prenant garde à leurs corps meurtris.Je tente une anale avec Jade ; alors qu’elle est appuyée, mains en avant contre un mur. J’ai l’heureuse surprise de constater que ses sphincters se sont bien resserrés. Ils massent d’ailleurs tellement bien ma bite que j’éjacule rapidement dans son cul. Elle n’a pas joui. Je ne peux la laisser dans cet état. Je la couche sur une table à proximité, jambes grandes ouvertes. J’écarte ses petites lèvres en m’aidant des anneaux qui les percent et j’approche ma bouche de son antre ruisselant. Je la lèche de plus en plus profondément ; de temps en temps la pointe de ma langue s’égare sur son clito, affleurant le barbell qui équipe son capuchon. Jade pousse de petits cris montrant qu’elle apprécie et presse ma tête entre ses cuisses.
De mes mains libres j’empaume ses deux seins et je viens titiller ses tétons par de petites pressions. Je décide alors de porter l’estocade. Je vais la faire juter comme je l’ai fait hier soir avec Elsa. Mon bras droit caressant son flanc gauche, descend vers son puits d’amour. Tout en continuant mes attaques linguales, je fais pénétrer deux doigts en crochet dans son vagin liquoreux, sa respiration s’accélère. J’effectue alors des va-et-vient rapides et énergiques, la paume de ma main tapotant son berlingot. Elle halète comme un petit chien, puis prononce des mots d’amour comme elle sait si bien le faire, puis devient ordurière : « J’aime ce que tu me fais ! Je veux ta bite ! Baise-moi ! C’est trop bon ce que tu me fais ! Ah ! Ça y est je jouis… »
La fontaine est amorcée. Un jet de liquide jaillit en haut de sa fente m’aspergeant le visage, concrétisant ainsi son orgasme fulgurant. Son corps arqué tout ce temps, retombe, inerte.C’est vers dix-huit heures qu’Elsa et son mari nous quittent. Je l’ai enculée violemment une dernière fois en la faisant crier de plaisir. Il faut dire que je n’y ai pas été de main morte en lui tordant les tétons. Georges a voulu encore fouetter Jade puis a fini dans sa bouche.
Ils nous souhaitent bonne chance pour le concours et ne doutent pas que Jade va l’emporter.
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