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Jade et Jules en vacances

Chapitre 4

Tout est permis, rien n'est possible

Trash
Dix minutes plus tard, Jade hurle de douleur alors que Brahim défonce ses reins avec son gros mandrin luisant de salive. Pourtant, elle avait sucé la grosse bite pour la lubrifier de son mieux, Brahim avait ensuite craché entre ses fesses avant de glisser deux doigts en elle. Tout ceci dans le but de d’assouplir ses muscles intimes et de faciliter la pénétration. Las, la jeune fille s’était crispée sous l’appréhension. Bien sûr, Brahim n’en avait pas tenu compte et avait forcé son engin raide, dilacérant les sphincters. 

La jeune fille pleure à chaudes larmes sous les coups de boutoir qui ravagent son fondement. Solidement agrippé à ses hanches, l’homme lui impose toute l’énormité de son membre, ne lui faisant grâce d’aucun centimètre.
Heureusement, la douleur reflue un peu, pourtant Jade met un moment à se rendre compte que l’épieu qui l’empale ne lui donne plus la sensation d’être déchirée, mais seulement distendue et emplie d’une manière différente. Malgré elle, la jeune brune pousse un soupir de soulagement, vite détecté par son suborneur. Il recule, sortant presque sa verge de l’anus qu’il perfore.
— Alors, tu commences à aimer ? C’est bien, remue, viens t’empaler, là, comme ça…
En gémissant, Jade tortille son postérieur et recule d’un mouvement brusque qui lui arrache un petit cri, mélange de surprise et de douleur. Encouragée par Brahim, elle recommence, encore et encore, malgré l’inconfort né de la distension extrême de son anus. Puis l’homme saisit fermement ses hanches et entreprend de la pilonner avec une vigueur renouvelée, satisfait des halètements et cris de gorges arrachés à sa victime.
Il éjacule après plusieurs minutes de cavalcade frénétique et reste immobile, bien planté dans le petit cul de la brunette qui comme lui reprend difficilement sa respiration. Puis, alors que sa verge ramollit, il se recule et lance, impitoyable :
— Allez, salope. Je devrais pas avoir à te le dire, tourne-toi et nettoie ma bite. Oui, avec ta langue et ta bouche.
Incapable de refuser, malgré la honte et la répulsion que lui inspire cette pratique, Jade entreprend de lécher la verge gluante et maculée à peine débandée. Elle la prend même en bouche pour mieux sucer la colonne de chair. À sa surprise, celle-ci reprend rapidement de la vigueur, emplissant sa cavité buccale et poussant sur sa luette. La jeune femme lève un œil interrogatif sur Brahim qui la fixe durement. Elle comprend ce qui l’attend et commence à pomper fort, et même à caresser les lourds testicules.
— Je vais te faire déguster de la bonne semence d’Arabe avant de revenir voir ton copain. Allez, continue, ma salope. Lèche bien, suce plus fort. Je veux sentir ta langue. Plus fort,, allez… ça vient, caresse mes couilles, allez, avale tout… Tu m’as bien vidé, je suis sûr que tu vas devenir une grande suceuse de bites.
Ils reviennent près du parasol, Jade marchant devant Brahim qui claque régulièrement ses fesses avec une longue branche. À ce rythme, le postérieur de la jeune fille s’orne rapidement de nombreuses stries qui virent au rouge. Elle n’ose protester, mais pousse de petits cris plaintifs et tortille joliment des hanches, ce qui ravit son tourmenteur dont la bite gonfle à nouveau, déformant rapidement son maillot de bain.
Jade est surprise en apercevant son compagnon. Si Jules n’a pas bougé, toujours agenouillé au même endroit, son visage et ses cheveux sont inondés d’une substance blanchâtre qui ne laisse aucun doute à la jeune fille : Jules est couvert de sperme. Il lève les yeux vers sa petite amie, des yeux larmoyants et rouges aux paupières gonflées. Il est évident qu’il a pleuré. Brahim ricane avant d’interroger son ami :
— Dis-moi, Nabil, comment ça s’est passé ici ?— J’ai eu pitié de la petite fiotte. Alors je me suis seulement fait sucer. Puis tous les hommes présents se sont vidés les couilles sur sa gueule d’ange. Et toi ?
— Parfait. Ma petite chienne s’est fait enculer comme une reine. Elle était vierge du cul, je suis son premier. Elle a aimé ça, en plus. Ensuite elle m’a taillé une bonne pipe pour me remercier.— La petite pute ! Viens me montrer comment tu suces ! Je pourrai comparer avec ton mec, comme ça.
La petite brune jette un regard à la dérobée sur Brahim qui, pour toute réponse, donne un violent coup de branche sur ses fesses déjà bien marquées. Résignée, retenant ses larmes, elle s’agenouille devant Nabil qui baisse sans attendre son maillot. Sa bite n’est qu’à moitié bandée, violacée et fine, la circoncision dégage nettement un gland épais à la fente charnue.
Jade la saisit d’une main et caresse les couilles de l’autre, tout naturellement sa bouche s’ouvre pour accueillir le gland. Les joues creusées, elle commence à pomper avec vigueur, éprouvant une trouble satisfaction à sentir durcir et gonfler la colonne de chair. Les mains de Nabil viennent encadrer sa tête et l’enjoignent de prendre plus de sa verge, elle tente l’impensable quelques jours auparavant : franchir la barrière de sa luette pour accepter toute la bite.
— Avale, salope , éructe Nabil, ravi de la docilité de la jeune fille. Suce mon dard, je veux que ton nez touche mon ventre ! Là, continue, tu vas y arriver, tu es une chienne, je vais te larguer tout mon jus dans la gueule… Avale !
Jade ne peut faire autrement, en vérité. L’homme se vide directement dans sa gorge, elle comprend aux soubresauts que de nombreuses rasades de semence lui tapissent l’œsophage. Elle lève les yeux sur Nabil pour savoir s’il est satisfait, ce qui semble être le cas. Alors elle recule pour nettoyer la colonne qui débande un peu de quelques coups de langue précis. Elle reste à genoux après avoir fini, interrogative. Son anus est douloureux, elle espère qu’ils ne vont pas la sodomiser à nouveau.
— Bien, on va vous laisser, les tourtereaux. Mais soyez prêts, ce soir je veux que vous soyez à 22 heures devant le bar le Triangle, c’est dans Saint Mathieu, dans une petite rue. Le patron est un ami, il veut de l’animation pour ses clients et ses amis. Alors je ne veux pas qu’il se plaigne de votre attitude demain, compris ? Ça se finirait très mal pour vous. C’est clair ?
Les deux jeunes bredouillent un oui, le visage défait. Ils n’oseraient pas lui désobéir, Brahim le sait déjà. Il les toise en silence une longue minute avant de reprendre :
— Vers 19 heures, on vous livrera au camping votre tenue pour ce soir. J’insiste bien, vous ne porterez que ce que vous recevrez et rien d’autre, compris ? Il y aura deux plugs, vous les mettrez dans vos culs après vous être nettoyé en profondeur. Sinon, ne venez pas vous plaindre si on vous fait sucer des bites merdeuses cette nuit. Compris ?
Honteux, Jules et Jade émettent un timide oui. Satisfait, Brahim cogne du poing sur le bras de son ami et commence à s’éloigner ; il se retourne une dernière fois et lance :
— Ne me décevez pas, je m’attends à ce que vous obéissiez au doigt et à l’œil à mon ami. Il me fera un rapport, et me signalera vos plus petites hésitations, et je vous punirai tous les deux. Une voiture viendra vous chercher à 21 heures.
Les deux hommes partent en riant, laissant les Stéphanois se remettre de leurs émotions. En silence, ils enfilent leurs maillots et se jettent dans la mer pour nettoyer leur corps de toute trace de stupre. Leur peau est facile à laver, mais leur esprit beaucoup moins. Ils reviennent au camping en silence, chacun plongé dans ses pensées. Enfin, Jules prend la parole :
— Tu crois qu’on pourrait partir d’ici, revenir à Sainté ?— Je ne sais pas ; ils ont l’air capables de tout. Je pense qu’il vaut mieux obéir, quoi qu’il nous en coûte.— C’est vrai, ce qu’il a dit ? demande Jules.— Qu’est-ce qui est vrai ?— Que tu t’es fait… sodomiser et que tu as aimé ça ?— Eh bien… J’ai eu très mal au début, mais ensuite, c’est pas aussi terrible que je pensais. Tu crois que toi aussi…
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