A la fin du repas, alors que mon oncle et ma tante se sont mis sur la balancelle de la terrasse, Eve me prend par la taille et m’entraîne dans sa chambre, ce qui était ma chambre avant qu’elle ne s’installe avec mes parents. Elle l’a réaménagée, a modifié la disposition du lit et de la commode, placé un miroir de modiste sur pied et à trois faces. Une grande photo d’une jeune fille dénudée sur une plage signée David Hamilton orne le mur, la surprise : un énorme gode posé sur la table de chevet. Je trouve que l’installation est beaucoup mieux qu’avant. A peine entrées, elle devient très caline, je retrouve Eve connue l’année dernière, moins taquine et plus coquine. Elle me fait face, ses yeux brillent d’envie, en s’accrochant à mon cou, elle me saute à la taille et m’entoure de ses jambes. Immédiatement je la soutiens par le fessier. Nos lèvres se joignent, nous nous embrassons longuement, avec beaucoup de tendresse. Avec des « Mmm, Mmm » nos visages virent lentement les nez passent d’un côté à l’autre. Sa langue me semble particulièrement longue, elle touche mon palais, glisse profondément dans ma bouche. — Waouh... ta langue est si longue ?— C’est pour mieux t’embrasser mon enfant ! Le miracle d’un petit coup de bistouri sur le frein !
Je la place dos au lit, lâche ma prise et la laisse tomber en arrière en m’affalant sur elle en travers du lit. Je garde mes lèvres soudées aux siennes et prends sa tête à deux mains. Elle fébrile tire l’arrière de ma blouse de mon pantalon et commence à vouloir la déboutonner. Je l’aide en creusant le ventre et relevant le bassin puis en position de sphinx j’abandonne blouse et brassière pour être torse nu. Je continue en passant mes mains sous son débardeur pour l’en débarrasser. En un instant elle m’offre la vision de ses seins d’adolescente aux tétons matures. L’attraction est immédiate sur ma bouche et mes mains. Je la caresse, l’embrasse tendrement, je la lèche, titille les pointes qui durcissent, les aréoles qui se contractent. Progressivement mon baiser s’appuie, ma bouche tète le mamelon, le suce avec force, il s’allonge, grossit, je le pince des dents. Eve gémit appuie ma tête à deux mains. Ma tendresse devient féroce, mes dents se plantent dans un sein, ma main presse l’autre, le pétrit. J’ai toujours été séduite par ses petits seins, résultat d’hormones et de massages.Satisfaite de ce premier contact, elle tire ma tête vers la sienne pour reprendre notre baiser amoureux et à nouveau me faire sentir la longueur de son appendice. Commence un nouveau corps à corps et sous sa poussée je vire sur le dos en l’entraînant surmoi. J’ai les jambes dans le vide alors qu’elle en grenouille me chevauche le bassin. Je retrouve Eve très coquine, très sensuelle. Tout en m’embrassant à pleine bouche son bassin se trémousse et me fout le feu au ventre. Je bande comme un âne. Elle le sent et s’en amuse : — Qu’est-ce qui t’arrive Jane ? Ton clito... devient énorme ! Elle se relève, me regarde, le plastron de mon pantalon est à peine déformé, tant mon slip contraint mon érection. — Ben on voit moins qu’on ne sent... (et tout en ouvrant la fermeture éclair latérale) Je te veux NU ! D’un coup de reins je me débarrasse du pantalon et du slip et libère mon sexe. Elle glisse à genoux au pied du lit en entraînant mes habits au sol. Toute ma féminité a disparu, je suis John et je veux que cette salope me suce. Je relève mes pieds au bord du lit, écarte mes genoux et lui offre ma bite...Et Eve... elle en veut de la bite. Elle la prend à deux mains, tire le prépuce sur la hampe comme pour le déchirer et d’un coup avale une grande partie de ma queue. Elle revient en arrière en suçant la tige, elle lâche le tronc pour s’intéresser aux deux fruits. Elle sait tout de la fellation, ses lèvres collées au prépuce montent et descendent, sa langue lèche, titille, pointe le méat, ses dents appuient sur la hampe... elle accélère le mouvement, elle ne veut pas faire durer le plaisir, une main me presse les burnes, une autre astique le manche, la bouche aspire... Mes « Oui, oui » répondent à ses « Han, han ». A ce jeu, je ne résiste pas et libère ma semence, en quatre jets puissants.
— Waouh John tu m’a donné ma dose, avec Théo je ne suis plus habituée à une telle générosité.— Théo ?— Ben oui c’est le seul mec disponible dans la maison, alors avec Jade on se le partage.— Jade et toi !— Bien sûr John, tu as oublié la liberté de la maison, pourtant à Paris il me semble... Allongé sur le dos, elle sur le ventre à mon côté, appuyée sur ma poitrine, nous parlons longtemps de la vie qu’ils mènent à trois. Elle me confirme s’être séparée d’Adam et de ce fait d’avoir perdu le contact avec Moussa, Monique et tous les autres. Par contre avec Joyce et Polo ils se retrouvent régulièrement.Tout en parlant, je lui caresse négligemment le dos alors que ses caresses me remettent en forme : — Ah oui, beaucoup plus généreux et avec une caresse ça repart. Viens dans mon petit trou, j’en ai très envie. Elle se lève, me tourne le dos, quitte son futal en lycra qui lamoule comme une seconde peau, elle grade son slip brésilien rouge, par pudeur ? Je ne le crois pas. Debout elle se met en levrette en s’appuyant d’une main sur le lit et cache ses coucougnettes de l’autre, tout en tirant le slip de côté pour dégager son œillet. Placés comme nous sommes elle me voit dans son miroir de modiste, alors que je m’accroupis pour lui faire une feuille de rose elle m’arrête : — Non, non, John prend moi à sec que je te sente bien. J’en ai tellement envie que je ne cherche pas midi à quatorze heures et pointe ma verge raide comme un bâton. Je la prends par les hanches et d’un coup sans savoir si c’est elle qui s’est emmanchée ou moi qui l’ai pénétrée, je suis en elle. Un second coup de reins et mon pubis est sur ses fesses : — Dis donc, il y a du passage par ici.— Oui... Jade est une merveilleuse amante et le joujou sur la table est infatigable ! Je la sodomise lentement, longuement, je maîtrise, je m’économise, je ralentis ou accélère, je retarde mon éjaculation, elle prend beaucoup de plaisir à contracter en rythme ses muscles et me masser dans son fourreau... fourreau de geisha me dit-on.J’appuie ma poitrine à son dos, prends ses seins en mains, m’accroche à ses tétons, de vrais tétons de femme. Sa main sous son ventre ne cesse de se branler, je sens régulièrement ses doigts quand mes couilles frappent ses p’tites couilles. Je commence à fatiguer et me libère en partie en elle et en terminant sur ses fesses et ses reins qui reçoivent deux longues giclées. D’un saut elle se jette à plat ventre sur le lit : — Waouh ça fait longtemps que je n’ai été prise ainsi. Je lèche mes longues traînées de sperme sur son dos.Il fait nuit noire à présent, comme d’habitude les portes des chambres restent ouvertes pour la circulation de l’air, notre chambre est dans la pénombre alors qu’en face, la chambre de mes parents est encore éclairée. Jusqu’à présent nous n’y avons pas porté attention mais maintenant nous entendons des murmures, des rires étouffés, des bisous...Je rejoins Eve à quatre pattes et m’allonge près d’elle en poussant un long soupir de satisfaction. — On est bien tous les deux, me dit-elle. Alors que je commence à somnoler, elle se tourne vers moi et se pelotonne dans mon bras. Les yeux fermés, instinctivement je commence à lui caresser les seins pour rapidement aller sur son ventre, son slip arrive un peu sous la taille et lui couvre tout le pubis. Par dessus le tissu je vais à la rencontre de son vermisseau... Je descends, ne trouve rien, j’appuie et touche une fente. A cet instant brutalement je me relève, elle d’un geste retire son slip, entre ses cuisses serrées et sous son pubis glabre rien ! Un moment après, elle écarte les cuisses et découvre une longue fente toute fermée. — Jane ! je suis femme à part entière avec des seins et un vagin. — EVE ! Tu es devenue femme... — Oui... ma réassignation sexuelle est la cause de ma séparation avec Adam, il voulait me garder comme tu m’as connue.— Ma chérie, l’essentiel est que TU te sentes bien dans ton corps, tu es merveilleuse.— Je suis contente que tu me comprennes, tu sais ça a été une décision difficile, Adam n’a rien compris, Jade a tout compris et m’a beaucoup aidée, elle m’a accueillie, m’a accompagnée tout au long de ce chemin. Il y a six mois, les médecins ont fait de ma verge un vagin, ce fût une opération délicate.— J’imagine et comment ça s’est passé ?— Ils ont retiré les testicules pour faire cette jolie fente. Puis ils ont disséqué le pénis en protégeant, l’urètre, les vaisseaux sanguins et les terminaisons nerveuses et ils ont créé une cavité vaginale sous le méat en protégeant la prostate. La peau de pénis et une greffe prise au bas de mes reins ont tapissé l’intérieur du vagin. Voilà le résultat, la cicatrisation est terminée, les trois premiers mois ce n’était pas chouette, tu as de la chance de me voir ainsi... Hier l’urologue était très satisfait du résultat et m’a annoncé que je pouvais commencer à avoir des rapports. — ...— John... Je suis vierge... Je sais que tu es sensible et attentionné... Avec Jade nous en avons beaucoup parlé.— ...— Je suis à toi ! La jeune femme nue, allongée sur le dos et les jambes jointes, me regarde avec intensité et sérieux : — Viens, embrasse-moi, fais-moi l’amour ! Je me sens presque gêné, je me couche à son côté et l’embrasse. Son baiser ardent m’encourage, d’une main je caresse longuement sa poitrine, descends sur son ventre et rencontre sa main. C’est elle qui me conduit à son pubis, les cuisses s’ouvrent, mon doigt, le majeur glisse entre-elles et couvre la fente sur toute la longueur. Eve s’écarte de ma bouche, tout en souriant : — Viens me découvrir. Je me déplace vers ses cuisses, ma bouche tète une fois encore le mamelon, parcourt le ventre et plonge sur le pubis. Les cuisses s’écartent, pivotent sur l’extérieur, découvrent le fruit du jardin d’Éden... Je l’embrasse du bout des lèvres avant que ma langue ne le touche. Mes mains sur ses hanches, mes pouces ouvre l’abricot fendu et dégagent le clito : — C’est impressionnant de réalisme, une vraie vulve avec un bourgeon... très gros.— Oui le clitoris a été construit à partir du gland et je l’ai voulu particulièrement développé... en opposition à ma p’tite bite !... (ensemble nous rigolons) La plaisanterie me donne confiance, de la pointe de langue je titille le bouton et lèche sa courte tige. — Oooooh ! John, c’est hyper-sensible, doucement. Je glisse sur les lèvres et m’enfonce entre les deux toute petites fesses serrées, c’est ma langue la première qui touche le puits d’amour. J’écarte le fruit et trouve l’ouverture allongée de 2 -3 centimètres qui n’est pas très humide, comment le pourrait-elle ? J’y apporte une solution en déversant abondamment ma salive et léchant l’orifice. Eve participe en gémissant et lançant son ventre à ma bouche... je pointe mon doigt couvert de salive à l’entrée du vagin, il glisse sans difficulté dans le puits. — Ton fourreau est tout doux ! — Comme une femme ?— Moins humide.— Ben oui... c’est normal. J’embrasse à nouveau la vulve, je passe du bourgeon rouge carmin aux petites lèvres rosées, je suis impressionné par la similitude à une vraie chatte. Le clito est particulier en taille et en sensibilité. Depuis plus d’un quart d’heure je découvre ce sexe, baisers, coups de langue, suçons se succèdent en rivalisant de douceur.Eve commence à m’accompagner d’un mouvement de bassin rythmé : — Viens John ! Elle relève ses genoux ouvre ses cuisses, le fruit m’est offert, il est étrangement de la même couleur que la coupe sur lequel il est posé, un sexe de vierge sa carnation s’assombrira avec le temps. La vulve s’ouvre à peine, je me place entre les cuisses, je bande dur, appuyé sur un coude, je tiens ma verge d’une main, le gland tout contre l’orifice du vagin, je contrôle ma poussée. — Fais doucement... Oui, comme ça c’est bien. Les chairs s’ouvrent doucement, je tiens toujours ma queue, le gland disparaît, je suis en elle — Oh je te sens bien, c’est merveilleux comme tu ouvres cette voie nouvelle. Ma hampe pénètre le fourreau étroit, comme lorsqu’une main essaie un gant neuf... J’ouvre pour la première fois ces chairs, lentement, régulièrement... avec précaution. — Ça va ?— Oui doucement, c’est étrange comme je m’ouvre, une sensation inconnue dans l’autre voie, cette pénétration est intense, indolore, sans fin... — Eve tu es femme ! Toute ma hampe est en elle, nos pubis se touchent, je m’allonge sur elle, allège mon poids en me reposant sur les coudes et les genoux, mes deux mains sur ses joues. Nos regards sont fixes, ses yeux plein de larmes, je lui fais plein de petits bisous du bout des lèvres. — John ! Je suis ta femme, je te sens profondément dans mon ventre, c’est tellement différent de l’habitude... Ne bouge pas ! Le fourreau qui paraissait sans vie s’anime : — Eve, je te sens bien, je sens tes contractions comme dans ton petit trou ! Elle me sourit : — ... Petit trou... pour l’instant j’ai l’impression que tu y es, il faut le façonner pour qu’il s’élargisse et qu’il devienne vraiment une chatte. Alors que je suis immobile en elle, nous nous bécotons, apprécions notre union. Ma verge donne des signes d’excitation en se contactant régulièrement. C’est Eve qui amorce une danse du bassin, je l’accompagne timidement, nos ventres se détachent et se retrouvent, s’éloignent et se rejoignent. Notre danse s’amplifie. Eve m’encercle les jambes avec les siennes, ses mains sur mes fesses accentuent la cadence, son ventre vient à ma rencontre. Le fourreau se façonne. La poche, la cavité devient vagin, chatte, moule. Sans retenue à présent je la baise. La vierge est devenue femelle. Notre slow est devenu tango, salsa. Tout son corps bouge en rythme avec mon pilonnage. Les murmures de retenues, d’attention sont devenus gémissements de plaisir, d’audace. Les respirations s’accélèrent, s’amplifient résonnent dans la chambre En une demi-heure la pucelle est devenue femme assoiffée de sperme et je la comble, je jouis, j’explose, ma verge se contracte violemment trois quatre fois, arrose ses chairs enflammées. On reste un moment inerte, je l’écrase de mon poids, ma tête plongée dans l’oreiller au creux de son épaule. Eve m’embrasse dans l’oreille me murmure : — Mon chéri... on a des spectateurs ! Je relève la tête et vois dans l’ambrasure de la porte mon oncle et ma tante, ils nous sourient, nous lancent un baiser et se retirent. — Tu es lourd, tout en me poussant sur le côté. Ensemble nous virons face à face sur le côté, ma tête toujours au creux de son épaule. Mes doigts prennent la place mon sexe, le sperme couvre toute la fente et un filet épais s’échappe du vagin. Je me déplace sur son ventre et lui fait une léchouille avant de m’appliquer à lui faire un nettoyage complet, je retrouve le fruit fendu, l’incision est rouge, couverte de semence, elle s’ouvre facilement baignée d’un sperme épais et blanchâtre. Je lèche comme un chat par petit coups répétés, m’en abreuve, puis ma langue pénètre les deux petites fesses jusqu’à atteindre les lèvres de l’orifice qui dégorge de jute, en deux-trois coups de langue j’ai lapé l’essentiel, je lèche toute la surface de l’abricot avant de titiller le clito et de pénétrer le vagin de la pointe de la langue. La chair est enflammée et rouge, même s’il n’y a pas eu déchirement d’hymen il y a eu transformation, l’œuvre est accomplie, Eve est femme avec un vrai sexe de femme. Je reviens près d’elle, par mon baiser je partage la liqueur de son puits d’amour. Après son passage à la salle-de-bain, nous nous embrassons face à face jusqu’à ce que Morphée nous emmène.
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