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Jane... ou John ?

Chapitre 4

Orgie dans les dunes

Orgie / Partouze
— STOP les mecs, pas sur la plage, venez dans les dunes !
Les dunes... le mot est lâché et Eve va se lâcher. Elle me prend par la laisse et emporte les serviettes, je la suis alors que mon gorille me prend par la taille. On s’enfonce dans la végétation et là, le spectacle est époustouflant... les bosquets forment des alcôves dans lesquelles se trouvent par-ci, par-là deux ou trois types se faisant du bien. Notre passage ne gêne en rien leurs accouplements. Eve continue à chercher l’alcôve qui lui convient, le gorille commence à se faire impatient, sa main me fouille l’arrière-train et a trouvé l’orifice recherché.
— Dis donc ma chérie, tu mouilles sacrément. Et ta queue en cage ? c’est ta copine qui se la réserve... Moi je m’en fous, je suis exclusivement actif.
Ça y est Eve a trouvé sa place à l’ombre, dans un bosquet, un chêne liège domine la végétation. Du tronc partent en V deux branches maîtresses entre lesquelles elle pose une serviette et m’oblige à y appuyer la poitrine en attachant ma laisse à la souche. Ainsi elle m’offre debout en levrette le fessier tourné vers le chemin et la tête vers la végétation, sans que je puisse voir ce qui se passe derrière moi. Elle s’allonge à côté de moi sur l’autre serviette. Les cigales chantent à tue-tête, il fait chaud. Le gorille est déjà en train de me faire une feuille de vigne bien baveuse. Je le vois s’astiquer Popol qui prend de l’ampleur, le gland est une poire brun foncé plus grosse que le manche. L’homme derrière moi disparaît de ma vue, me donne une grande tape sur les fesses et comme pour alerter l’environnement à haute voix :
— Mieux que ça, donne ton cul salope que je te défonce.
Machinalement je cambre les reins, je le sens contre ma rosette, il m’enserre les hanches, ses doigts se crispent et m’immobilisent. Son gland pointe l’anus. Il est puissant je suis souple, sa forme oblongue facilite l’intromission, par contre il n’en finit pas de grossir, mon anneau se dilate sous la pression, j’ai l’impression que c’est la main d’Eve qui m’ouvre les chairs, il va me déchirer. Une grande claque accompagne la poussée comme pour détourner l’attention et son fruit est logé :
— J’avais bien vu sur la plage que tu étais une bonne toi !
Eve allongée au sol, se fait brouter le minou par le copain du gorille et voit toute la scène :
— Pas mal Jane comme hors-d’œuvre.— ...
Peut-être bonne comme il dit mais lui, sait y faire, à peine mon anneau se décontracte qu’il se glisse dans mon fourreau jusqu’au fond, je sens sa forêt pubienne contre mes fesses. Le vainqueur apprécie la prise, ses mains se font caressantes, je sens les contractions de sa verge et mon sphincter y répond :
— Ouais … Jane comme ça, comme une vraie chatte... Putain que c’est bon !

Notre activité : claques, gémissements et commentaires attirent l’attention. Un visiteur fait le tour de notre groupe et se présente de l’autre côté de l’arbre face à moi. Un monsieur pas très jeune, chauve, heureusement svelte, se caresse doucement le sexe peu viril
— Allez Jane réveille monsieur, tiens je te donne le rythme !
Volontairement il ralentit alors que le monsieur me présente sa queue pendante et molle. La poitrine appuyée sur la serviette entre les branches, je le prends en main, une lui malaxant les couilles, deux noix dans un sac beaucoup trop grand, l’autre lui relevant le gland pour le prendre en bouche et en commençant à lui masser la tige pas très grosse et toute souple.Avec beaucoup d’attention et de patience je le suce, le masse, le branle. Peu à peu la tige grossit, devient plus ferme, j’ai même l’impression que le scrotum se remplit progressivement. Ce qui est certain c’est que le monsieur apprécie, il me prend la tête à deux mains et accompagne mon va-et-vient.A mes pieds Eve s’est mise en levrette sur la serviette et le copain la sodomise allègrement. Mon gorile a repris le rythme :
— Jane tu réveillerais un mort... Dis-moi Lili (en s’adressant à son copain) elle est bonne ta nana ?— Putain Bob.. et sacrément !
Depuis un moment le vieux monsieur que je suce a pris de la vigueur, une belle bite bien dure. Je le sens à peine se contracter et il me lance toute sa sauce, presque du lait . J’assure le nettoyage. Il me quitte en me remerciant.A ce moment Bob me lâche et se plante direct dans le cul de Lili. Les deux ont visiblement beaucoup de pratique ensemble et les voilà forniquant ma petite Eve, Lili à genoux et Bob derrière accroupi.Bob m’a à peine quittée qu’il est remplacé par je ne sais qui. L’homme me paraît très grand, la queue est plus fine et plus longue. Il fléchit les genoux pour me pénétrer, son gland tape directement sur la prostate et glisse profondément sur mon fourreau. Il est sur mon dos, tyrannise un téton et manipule ma cage comme pour la détacher. Il me susurre à l’oreille avec un fort accent anglais:
— You smell good my little Sissy. I like your cage. Fell me well ? I’m not as fat as the man before.— Not so fat is better. I love how you take me. You are much longer..
Je n’ai pas le temps de terminer qu’un black me fourre sa queue en bouche :
— Suce salope.
Je suis habituée aux gros morceaux et là je ne suis pas déçue. Il me traite comme une pute, je n’ai qu’à me soumettre, c’est ce que voulait Eve. Les deux hommes se mettent au même rythme, les deux me baisent. L’arbre fait que seul l’anglais peut me peloter :
— You have girl’s tits. I would wank you !— Impossible we haven’t key !
J’entends des murmures de part et d’autre, il y a du monde qui arrive. Un p’tit jeune se fait sucer par Eve, un mec s’assoit entre mes jambes, il me caresse le ventre, me titille le périnée probablement pelote aussi les couilles de l’anglais, un autre se branle contre ma cuisse... Il attend son tour.Je garde le rythmeL’anglais m’encule vachement bien en me caressant régulièrement la prostate de sorte que je jouis sans contraction prisonnier dans ma cage. Je me vide sur le mec assis entre mes jambes qui s’accroche à mes hanches comme à un arbre et colle ses lèvres à ma source. L’anglais accélère dangereusement sa fornication et se vide longuement en moi, il me met la dose. En se retirant de mes fesses un flot de sperme coule sur mes cuisses
— Oh yes ! You’re good boy suck me ! Clean me well !
Probablement le mec au sol lui fait après le mien, un nettoyage approfondi, alors que le branleur s’impatiente en me doigtant le trou débordant de mouille, enfin il se place et d’un coup son pubis glabre tape mes fesses. Un « Floc » résonne, lié autant au jus inondant mon rectum qu’au choc de nos corps.Du côté de Eve les choses bougent aussi puisque sur ses genoux elle suce et branle les trois mecs qui s’occupaient d’elle.Maintenant, je suis sérieusement bousculée entre celui qui me caressait de sa queue et le black que je suce en limitant à deux mains la gorge profonde qu’il m’impose. Peut-être déçu, il sort de ma bouche, me baisse la tête, se couche sur mon dos, il me mord et me lacère le dos de ses ongles. Mon "caresseur" a changé de registre puisque maintenant il me fesse. Un dialogue commence entre les deux :
— Putain qu’est-ce qu’elle suce bien la salope, tu devrais essayer sa bouche !— Une vraie pute, elle aime la bite, son cul te masse la queue, tu veux qu’on change ?— Ouais, Mec !
En même temps je sens de temps en temps des bites qui me caressent les hanches ou les flancs ou des giclées de sperme sur mes cuisses, je ne sais combien de types nous entourent, deux types se branlent dans le dos d’Eve alors qu’elle en suce trois
Je ne réagis pas quand les deux intervertissent les rôles. Un tout jeune en profite pour me présenter sa queue à sucer en même temps que mon "Caresseur" j’ai ainsi deux belles bites toute veinées et très dures à branler et à sucer alternativement. Le black doit se faire une place à sa taille, il y va prudemment et comme pour une naissance, quand la tête est passée le corps suit... Encore une poussée avant d’ouvrir le passage aux intestins. Et les trois me soumettent à leurs envies. C’est le dernier arrivé, le jeunot qui succombe le premier à ma branlette probablement par manque d’habitude rapidement suivi par celui que je pompe. Ils m’ont à peine quittée que Eve se met face à moi, me relève et m’embrasse à pleine bouche goûtant aux dernières salves reçues. Je suis épuisée, mes jambes flageolent, le black me relève en me prenant le sexe et la poitrine et en m’adossant à son torse.
Il continue de me sodomiser, mon ventre est liquéfié, il semble bailler, je n’en peux plus, heureusement je sens qu’il va juter, se vider, il accélère, ses coups sont plus violents, j’ai l’impression qu’il me soulève à chaque fois. Effectivement il se cambre, bombe le torse et me soulève de terre. Il explose dans mes intestins avec au moins cinq contractions. Encore empalée sur sa queue, il m’embrasse dans le cou :
— Putain, t’es une bonne toi... C’est la première fois que j’te vois.— …
Eve répond à ma place,
— Oui elle est en vacances.— Dommage avec des potes on lui aurait fait une fête d’enfer.— Je crois bien avec ce que tu lui as mis double dose... Allez ciao ! Viens Jane on va se baigner.
Nous quittons le bosquet... Sur le chemin Eve me prend par la taille et me fait face :
— Tu as été merveilleuse !
Je l’entoure de mes bras, son dos est plein de sperme mais peu m’importe, on se fait un long baiser amoureux.
— Attends Jane que je t’enlève ton collier.
On accélère le pas, elle dépose collier et serviettes à notre place et nous courrons vers la mer. Je sens le sperme couler sur mes cuisses, j’en ai partout, jamais je n’ai subi un tel gang-bang. L’eau est fraîche mais ne ralentit pas notre course, j’ai une telle envie de me débarrasser de ces souillures qu’ayant de l’eau juste au dessus du genou je plonge et fais au moins trois brasses sous l’eau.Je nage encore un moment seule avant de chercher du regard Eve. En une dizaine de brasses je la rejoins. Plonge près d’elle pour embrasser son sexe et remonter à la surface en me plaquant à son corps. Elle m’embrasse :
— Ça va ?— Oui ça fait du bien, je me sens toute propre.— Viens on va se reposer avant de rentrer.
Allongées sur les serviettes près l’une de l’autre on parle doucement :
— Tu as eu du succès Jane, une nuée de mecs autour de toi.— Tu as fait en sorte, je crois que quatre se sont vidés en moi plus trois que j’ai avalés...— Plus tous ceux qui se sont branlés sur toi.— Mais toi aussi.— Moi, juste le petit jeune qui m’a sucée le bouton et m’a sodomisée avec beaucoup de tendresse, puis son copain l’a enculé, ils sont en couple.— Avec le gorille ?— Ouais, tout poilu... il l’a sacrément bousculé. On ne me baise pas, ma chatte je la réserve pour l’instant à la famille ! Sinon j’ai beaucoup sucé.
On reste ainsi un moment, à se câliner, à éloigner les visiteurs jusqu’à ce que le soleil soit trop chaud et nous oblige à rentrer.
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