De ces vacances c’est la première nuit que j’ai passée avec ma tante, celle qu’il y a an m’a inicié à l’amour entre un homme et une femme. Notre relation est très fusionnelle et pleine de tendresse. Ce sont les cigales qui nous réveillent... Le soleil brille derrière les volets et on entend nettement Eve parler « … pas trop vite … » Tous les deux emboîtés en cuiller profitons de la fraîcheur matinale, Jade dans mes bras donne des signes de bien-être, j’ai la trique du matin, la coquine par son jeu de fesses fait tout pour l’accentuer.Je l’embrasse dans le cou, ma langue souligne la jonction du pavillon de l’oreille avant de lécher le cartilage et de fondre dans le canal auditif, d’un petit coup d’épaule elle m’éloigne — Bonjour toi ! Bien dormi ?— Bonjour ! Oui très bien. Inutile de te demander si tu as la forme.— Coquine, mais à entendre il y en a d’autres qui ont la forme.— Ouais !... La jeunesse a des effets bénéfiques sur Théo ! Le salaud n’est pas comme ça de bon matin avec moi... Viens, on va les voir ! Dans le même temps elle se lève et m’entraîne pieds nus dans le couloir où nous déambulons mais personne dans la chambre de Eve... Silence de partout ! Jade jette un coup d’œil dans la chambre matrimoniale où son mari fait l’amour.Le spectacle qu’il nous offre, est purement pornographique. En travers du lit Eve est sur le dos, ses jambes posées sur les épaules de son amant, battent l’air, lui à genoux est penché sur la fille. Tels qu’ils sont accouplés probablement qu’il la sodomise. Les fesses de l’homme sont d’un érotisme extrême pour nous simples spectateurs. Les deux globes bronzés et glabres sont distendues, une peau plus claire due à un manque de soleil marque leur jonction. Au centre la rosace sombre d’au moins trois doigts de diamètre, est un appel au viol, à tel point que Jade me pousse en murmurant : — Vas-y ! Je ne peux résister, les six pas qui m’amènent au lit, me laissent le temps de décider entre doigts ou langue. En même temps que j’embrasse la fesse mes trois doigts couverts de salive pressent la pastille qui s’ouvre et les avale. C’est seulement à ce moment que Théo relève la tête et nous voit dans les armoires à glace face à lui. Tout en se faisant doigter il continue de forniquer : — Eve nous avons de la visite ! Elle sort la tête de son oreiller, la voix par saccade bousculée par l’action : — Bonjour les amoureux, bien niqué ? Vous n’êtes pas très discrets « Oui, oui, John, encule-moi plus fort » Il est toujours aussi bon ton amant ?— Merveilleux ma Chérie ! Par contre toi, tu passes du bon temps avec mon mari ! Le couple se sépare.Théo s’attache à ma verge, lui à genoux au pied du lit, m’impose de m’allonger sur le dos en écartant les genoux comme un chien pour lui flatter le poitrail. Il me pompe et me branle vigoureusement, punaise qu’est-ce qu’il aime la queue celui-là !. Il me masse les roustons, jouent avec comme deux dés, il me presse le jonc comme le pis d’une vache qu’on trait et il a un jeu de bouche incessant, il passe de la pointe à la base, de la lèche à la morsure.
Pendant ce temps Jane a rejoint Eve, elles s’embrassent amoureusement, s’allongent l’une contre l’autre. Leur relation est immédiatement intense. Les jambes, les bras s’enlacent, les corps se soudent, les mains courent, fouillent à la recherche des marques d’infidélité. C’est Eve qui conduit le couple dans une roulade sur le lit. Elle passe du dessous au dessus de Jade pour se placer entre ses cuisses et goûter aux jouissances asséchées de la nuit précédente. Les mains sur les seins de ma tante, la tête entre ses cuisses, elle lèche comme une assoiffée l’entrejambe, alors que Jade la conduit de ses deux mains sur la tête. Telle qu’Eve est placée j’ai un genou à mon épaule, son pied sur ma poitrine, ses fesses face à moi, l’œillet est enflammé et luisant de mouille. C’est la première fois que je vois ainsi son intimité toute féminine, l’abricot fendu d’une jeune fille et le cul d’une salope qui se fait démonter régulièrement. J’ai une érection presque douloureuse. Avec difficulté, je m’extrais des mains et de la bouche de mon oncle. Je me relève alors que Théo prend ma place sur le lit et commence à se palucher mais moi c’est le cul que j’aime et en parrticulier celui de Eve. A genoux au sol, appuyé des deux mains sur ses fesses, je lui fait une feuille de rose, pour la nettoyer des sécrétions de son précédent accouplement et la préparer à un nouveau. Je goûte avec délectation à ce cocktail un peu amer, je m’attarde sur la rosace largement ouverte, glisse sur le périnée, avant de m’introduire dans la fente étroite du tout jeune sexe. Je lèche le peu de sperme séché qui s’y trouve avant de revenir à l’œillet. Il se contracte et se relâche sous mes coups de langue, l’étirement de mes doigts lui donne une forme oblongue et me permet d’y pointer la langue. Eve écarte ses globes de ses mains, creuse les reins, comme une chienne elle veut la saillie. Je me relève pour m’installer sur le lit, elle garde les mains sur les fesses. Je suis tout contre elle, mon gland est sur la rosace, le petit trou est ouvert. J’ai tout juste la place d’être à genoux, je me tiens à son postérieur pour garder mon équilibre et c’est elle qui s’empale en se reculant. Ma verge pénètre sans difficulté les chairs fraichement labourées. Bien en place, je lui impose le rythme. Je suis en elle à la pistonner depuis un moment quand je la sens vouloir se retirer : — John, allonge-toi que je te chevauche comme Andromaque.— Crois-tu ? N’es-tu pas encore trop fragile ?— C’est moi qui décide ! Allez couche-toi ! Et toi Jade, viens avec moi, qu’il te suce. Tu es une salope encore pleine de sperme de partout ! Il n’y a qu’à obéir. J’ai déjà baisé Eve plusieurs fois mais toujours tranquillement en missionnaire, dans une position moins profonde. Je la laisse faire .A califourchon elle s’empale lentement sur mon tronc, par petit coup s’enfonce jusqu’à rejoindre mon pubis. Toute ma verge est en elle... Elle se couche sur moi, m’embrasse sur les lèvres : — Tu vois John... C’est merveilleux, je te sens bien tout au fond de mon ventre.— Oh, oui ! Je suis tout en toi, c’est aussi vrai que nature, je sens même tes contractions !— Jeu d’abdominaux ! Elle rigole, se relève et invite Jade à m’enjamber. J’ai la vulve de ma tante sur la bouche et sa position fait que des sécrétions vaginales continuent de couler. Les deux femmes s’activent sur moi, chacune à sa manière probablement tout en se bécotant. C’est encore Eve qui dirige l’action — Dis-moi Théo, tu me disais que j’avais le plus beau cul de fille que tu connaisses … Ça ne te dit pas de t’en occuper ? Punaise la salope, elle veut une double ! Il est vrai qu’il ne doit pas y avoir de contre-indication, son vagin est bien souple, bien en place alors... Alors, elle cesse sa chevauchée, tend les fesses, je sens Théo s’appuyer et écarter un peu plus mes jambes, probablement il lui fait une léchouille par plaisir plus que par nécessité puisque j’étais à cet endroit il n’y a pas 10 minutes. Ça y est, il prend place, Eve se détache encore un peu de moi, relève les fesses, je sens la verge de mon oncle contre la mienne, je lui sers de guide, il la pénètre, ma queue est comprimée dans le vagin, Eve redescend sur mon ventre, je sens l’autre membre dans le trou d’à côté, il continue à le pénétrer. Puis tout s’arrête chacun, chacune à sa place. On reste ainsi un moment à ne pas bouger. Les deux femmes murmurent, c’est incompréhensible, elles s’embrassent, probablement se caressent. On entend des gémissements étouffés. Les deux s’animent. Jade se balance d’une jambe sur l’autre et frotte sa chatte à mes lèvres, Eve par son bassin commence à aller et venir et entraîne Théo à la sodomiser librement, je sens parfaitement sa verge dure comme du bois et ses couilles glabres, glisser contre moi. Je laisse faire. Les femmes s’excitent. Je suis presque immobile, seules mes mains caressent et rencontrent celles d’Eve sur les seins de Jade. Je ne contrôle rien, je ne peux rien contrôler, mon sperme jaillit dans le vagin... Jade me déverse un flot de cyprine . Je sens Théo accélérer sa danse puis d’un coup s’immobiliser, je le sens jouir, je sens la verge se raidir par spasmes puis se détache de notre amas de chair. Eve libérée se relève, ma bite flasque sort du trou et tombe sur mon ventre. Le quarto se disloque, chacun s’affale d’un côté ou d’un autre... Reprend son souffle.Après un quart d’heure de repos, Théo nous propose d’aller préparer le petit-déjeuner et tous les trois, après une douche, nous nous retrouvons sur la terrasse.Les vacances familiales sont très agréables mais se terminent dans quelques jours. Je dois rentrer pour préparer ma 3ème année de licence et revoir mon maître de stage pour la soutenance du mémoire.On bavarde tranquillement, appréciant le moment présent quand Jane nous annonce : — John tes vacances passent trop vite, tu rentres déjà à la fin de la semaine. Avec Théo nous proposons de faire une petite fête à la maison en ton honneur avec Joyce et Polo qui viennent de rentrer de vacances. Bien sûr rien à voir avec ce qu’on a fait l’année dernière pour tes 19 ans, d’abord parce que nous avons perdu le contact avec Adam et ses potes Moussa et Trespatas et parce que ton anniversaire est à la fin du mois... sans compter que Eve sort d’opération, alors pas d’excès. Par contre même à six, on peut faire la fête, il y aura trois couples, vous deux, formerez un joli petit couple !— Ouais, sympa, qu’en dis-tu Eve ?— Que tu sois mon mec ? Je croyais que tu étais une fille, que tu étais ma sœur...— Bon Eve, ma chérie … On voudrait donner un thème d’habillement : Noir et Blanc.— D’accord, moi tout en blanc, je suis une vierge... (on rigole et se moque un peu) OK ! presque... et j’espère ne plus l’être après cette fête.— C’est parfait, donc moi... tout en noir. Qu’en dites-vous avec mon pantalon de marin et un chemisier ?— Oh, oui ! mon chéri. Ça ne te plairait pas Eve, avec son corset, des mocassins et un joli chemisier transparent... tu passerais chez le coiffeur et chez mon esthéticienne, pour être une merveilleuse androgyne.— OK Jade... je veux mon mec soumis, avec des bas et son collier de chien !— Waouh ! Eve tu le veux très sexe... On a retenu samedi soir avec Joyce. Tous trois sommes d’accord et continuons à bavarder et à rire beaucoup sur ce sujet.
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