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Jane... ou John ?

Chapitre 7

Soirée en Noir et Blanc

Orgie / Partouze
En préparation de la soirée "Noir et Blanc", organisée par mes oncle et tante pour la fin de mes vacances, avec Jade et Eve nous faisons une sortie entre filles pour acheter mes mocassins, des bas couture et un chemisier noir aussi fin et transparent que les bas. Le samedi matin je passe chez l’esthéticienne pour un maquillage léger et la coiffeuse pour rafraîchir ma coupe après ces deux semaines de bains de mer.

Ça y est, le soir de la fête est arrivé et tout est fin prêt. Théo est habillé de jeans et débardeur blancs, Jade a choisi sa robe longue noire, ultra sexy faite de deux pièces de crêpe de chine montées aux épaules et retenues à la taille par une large ceinture de cuir qui souligne la poitrine et la taille.
Eve est en Vestale, une robe longue, blanche et vaporeuse, retenue à la taille par une boucle dorée alors que je suis en pantalon et chemisier noirs et à la demande de Eve je porte un collier de chien.

A 19 heures arrivent nos amis, Polo en djellaba noire et Joyce en blouse de coton largement ouverte et jupette blanche.

Le jardin est éclairé par des chandeliers outre les lumières sur la terrasse et on entend une musique orientale en sourdine. C’est Jade qui les accueille :

— Alors les vacanciers de retour ?
— Bonsoir ma chérie, oui de retour et très contents de vous retrouver !

Tout le monde se congratule, s’embrasse. Joyce semble particulièrement contente de me revoir avec Eve :

— Regardez-moi ce joli petit couple ! On va les marier, Eve ma chérie, tu es resplendissante, une vraie femme que je suis contente de te voir ainsi et toi John avec ton collier, déjà soumis à ta belle, tu es magnifique... Incroyable comme tu as changé en un an !

D’admiration elle me prend par la taille, sent mon corset. Immédiatement sa libido se réveille, elle me plaque contre elle et m’embrasse à pleine bouche en caressant mes cheveux.

— Hum, toujours aussi affriolante ! Tu sens bon.

Jade et Eve servent déjà le champagne et les petits fours alors que Joyce me garde près d’elle sur la balancelle. Théo et Polo chacun dans un fauteuil bavardent. Jade choisit son premier partenaire en s’asseyant sur les genoux Polo et laisse mon oncle aux mains de la jeune femme :

— Je lève mon verre à la santé de Eve, une femme accomplie et de John un homme qui sait jouer avec la nature... Je lève mon verre à notre amitié et au plaisir de nous retrouver.

Après avoir trinqué, Joyce nous parle de ses vacances : Une croisière naturiste en méditerranée.

— Nous avons embarqué à Sète à bord d’un magnifique deux mâts le "Messaline". Nous étions une douzaine de couples. Immédiatement nous avons mis le cap sur Ibiza et dès la sortie du port, un pot d’accueil du capitaine nous a permis de faire connaissance avec nos compagnons de voyage, 3 couples de jeunes mariés, les autres entre 40 et 60 ans. Rapidement, le 1er soir nous avons lié amitié avec nos voisins de cabine, un couple du Nord avec un accent terrible et croyez-moi de chauds lapins.
 " Le lendemain matin nous avons bien ri des vocalismes nocturnes de Madeleine et arrivés sur l’île nous avons décidé de partir la visiter tous les quatre. Le soir nous nous connaissions mieux et nous sommes allés dans un club libertin où nous avons rencontré 3 autres couples du bateau. Ce fût une soirée mémorable et de retour sur le bateau les uns et les autres se regroupèrent par affinités. Le virus du libertinage était monté à bord du bateau et de fil en aiguille le "Messaline", devint un vaste club échangiste, même nos jeunes mariés se sont mélangés et ont participé à la fête.
    " Notre voyage Baléares, Sicile, Sardaigne, Corse, fût une semaine d’orgie. Le capitaine nous dit que ça arrivait de temps en temps entre deux, trois cabines, mais que la croisière se transforme ainsi, c’était la première fois.
    "La soirée du capitaine a été inoubliable. Avec l’équipage nous étions une trentaine de personnes, nos échanges ont gagné en couleur et en exotisme. Un jeu de ronde a permis à tous de se connaître et reconnaître... Tout le monde suçait et se faisait sucer. Ce soir-là je me suis faite sauter par au moins dix mecs. Un moment on était six nanas en levrette, l’une à côté de l’autre et les gars passaient d’un cul à l’autre alors que le même scénario se jouait avec nos bouches. Quelle orgie, mes amis !

Les conversations sur nos vacances se poursuivent et éveillent si besoin était la libido de chacun... Les caresses deviennent rapidement érotiques et comme dictées par les commentaires de Polo sur son voyage. Joyce est très entreprenante avec moi, en flattant le plastron de mon pantalon sous lequel elle sent ma verge plaquée au ventre, elle me murmure à l’oreille :

— Je suis très heureuse de te retrouver.

Jade change de musique et met une compilation de slows avant de m’arracher des bras de Joyce :

— Pardon... John veux-tu ouvrir le bal avec moi ?

Sur le carrelage de la terrasse nous commençons à danser langoureusement. Ma tante est une excellente cavalière, tout son corps, ses mains m’entraînent. Les deux autres couples nous rejoignent, se sont alors confidences, rires et gloussements. Les mains sont investigatrices, coquines parfois très entreprenantes.

— John, tu danses de mieux en mieux ! je suis tellement bien avec toi, et malheureusement tu vas déjà repartir !

Repartir et changer de partenaire puisque Eve me prend par le bras et tout de suite devient très autoritaire :

— Tu veux m’échapper ?
— Non, Eve, ça faisait longtemps que...
— N’oublie pas que tu m’appartiens et que tu m’es soumis !
— Oui, Eve je suis à toi.

Elle se plaque à moi, je chiffonne sa robe de vestale, ouvre la boucle de la ceinture, elle garde la robe sur les épaules mais je l’ai nue contre moi sans que personne ne s’en rende vraiment compte, je la caresse de partout. Son pubis se frotte au mien.

— Tu bandes sacrément, je te veux la première ! tout en m’embrassant avec fougue.

A ce moment, c’est Joyce qui m’arrache de ses bras, elle a juste le temps de boucler sa ceinture et de refermer sa robe. A l’opposé de ma tante, Joyce danse de manière...indécente ! Une main sur mon postérieur, arc-boutée contre mon ventre, elle ouvre mon chemisier et le retire, sa langue court sur mes lèvres avant qu’elle ne me morde.

La danse se poursuit un peu avant que Jade nous demande de passer à table. Toutes les chemises sont tombées, Joyce a abandonné sa blouse et se retrouve seins nus, pour ne pas être en reste Jade fait glisser à la taille le haut de sa robe. Seule Eve garde sa robe, comme pour protéger sa virginité.

Une jolie table de fête est dressée sur l’arrière du jardin, près de la piscine à l’abri des regards. Ma tante a demandé à un traiteur de nous préparer le dîner froid ce qui permet à tous de profiter de la soirée : Pâté en croûte, Poisson mayonnaise, Fromages et Bombe glacée. Le rosé est frais et coule à flot. Ceci étant prudence, sexe et alcool ne font pas bon ménage... Jade en maîtresse de maison bien organisée nous propose :

— Les amis, je vous propose de vérifier nos connaissances et pour ce de faire un Trivial poursuit.
— Euh, tu crois, y a pas mieux à faire ?… c’est nul ton truc.

Bronca générale mais elle ne se démonte pas :

— Si si je crois ! Pour commencer et pimenter la suite de notre soirée. Écoutez... Les vainqueurs seront les maîtres et puniront les vaincus.

A ce moment, sous une pluie d’applaudissements et de rires, il y a adhésion à l’idée et le jeu commence, s’anime avec beaucoup de rigolades et d’injures ou d’exclamations de joie. Rapidement Joyce et Eve gagnent alors qu’avec Jade je suis le perdant. Pour arrêter le jeu, Théo et Polo se déclarent à égalité et observateurs de la punition.
Les deux gagnantes se concertent et décident, Eve disparaît un instant et revient avec une large tapette en cuir :

— Vous deux à poil ! Et plus vite que ça !!

En un mouvement Jade ouvre sa ceinture et laisse tomber sa robe, alors que moi défaire les boutons du pantalon, quitter chaussures, pantalon et slip me prennent beaucoup plus de temps. Je suis encore en corset et bas couture, ce qui me vaut quelques exclamations de Théo et Polo « Elle est toute mignonne la petite avec un beau p’tit cul » C’est Eve alors qui me prend par l’oreille comme une maîtresse d’école un garnement :

— On n’est pas pressé ça te vaudra double peine !

Joyce est déjà assise et prend Jade à califourchon sur un genou, la couche sur son autre cuisse, la tête dans le vide. Eve toujours en robe, s’assied sur une chaise, me met sur son côté et me couche au travers de ses genoux mon ventre d’un côté et ma poitrine de l’autre. La tête relevée je vois Joyce tenir ma tante d’une main par les côtes et de l’autre caresser malicieusement les fesses avant de lui mettre une claque suivie d’une deuxième et de reprendre ses caresses. De surprise Jade pousse un petit cri.

A son tour Eve d’une main me caresse le derrière et de l’autre me tient les épaules m’invitant à baisser la tête. Ainsi couché, je vois mes jambes. Avec tendresse elle me caresse en rond alternativement chaque fesse alors qu’à côté le rythme des claques sur les fesses de Jade s’accélère. Je me laisse aller à la douceur de la main quand plus surprenant  que violent elle m’assène une première claque de bas en haut. Je ne peux m’empêcher de crier un« Aïe » de surprise tout en fermant les yeux.

A l’exemple de Joyce elle alterne à présent caresses et claques de part et d’autre de mes fesses en variant la frappe, à plat, sur le côté, sur le bas des fesses, lorsque qu’une avalanche de claques de plus en plus fortes me tombe dessus. D’une main elle me fesse sans prêter attention à mes cris, à mes supplications, de l’autre elle plaque mes épaules sur sa cuisse. Mes fesses me brûlent, peut-être que sa main lui fait mal aussi. Elle s’arrête et me caresse à nouveau, me masse avec douceur un moment, un moment de répit. J’ouvre les yeux et je vois deux jambes immobiles à mes pieds. Qui m’observe ?

Je n’ai pas la réponse alors que Eve tout en ne cessant de me caresser les épaules, reprend la fessée mais avec la tapette en cuir. Ça me paraît moins brutal, plus souple que la main, mais les tapes se succèdent beaucoup plus rapidement. Mon derrière est en feu et au moins une vingtaine de coups se succèdent.

Brusquement les frappes sont remplacées par des baisers. On m’embrasse le derrière, je regarde entre mes jambes c’est Théo à genoux qui me lèche à présent, sa langue me paraît fraîche et me fait du bien. A ce moment on me relève la tête en me tirant par les cheveux et c’est Polo qui me fout sa queue en bouche :

— Suce salope, voir si tu n’as pas perdu l’habitude... Ouvre mieux que ça !

Je me tiens à son mollet, me redresse, m’accroche à sa fesse, et commence à le sucer, il est épais mais pas trop long et je lui fais une gorge profonde bien baveuse sans trop de difficultés :

— Ah ! Oui, tu as même pris de l’expérience.

Il commence à me baiser la bouche quand sa femme lui demande de la rejoindre, il me lâche pour aller s’occuper de ma tante. A son exemple mon oncle qui me suçait le petit trou, se relève et me plante d’un coup sa bite au fond de mon ventre.
La soirée ne fait que commencer.
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