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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 1

Divers
Jasmine, la princesse salope.
Cette histoire est librement inspirée du jeu « princess trainer » d’Akabur, jeu terriblement excitant selon moi. Si vous aimez les parcours initiatique menant une noble et pure jeune fille à devenir la pire trainée qu’on puisse imaginer, je vous conseille d’y jouer.
En attendant, voici une adaptation libre de ce jeu, en espérant que cela vous plaise.

Les contes pour enfants se finissent toujours bien. C’est d’ailleurs pour ça qu’ils sont pour enfants car dans la vraie vie, ce sont souvent les méchants qui gagnent. En l’occurrence, la vraie histoire d’Aladin, celle que Walt Disney n’a jamais voulu raconter, se finit mal. En effet, Aladin a tout simplement et logiquement trouvé la mort dans la tour du palais dans laquelle Jafar l’avait expédié à l’autre bout de la terre et qui chuta au fond d’un précipice. Suite à cette victoire, Jafar avait asservi l’ancien Sultan d’Agrabah avec la ferme intention de prendre pour femme Jasmine, la belle princesse rebelle. Mais celle-ci n’accepterai jamais d’épouser Jafar, et il le savait bien. Si puissant qu’il était, il ne pouvait pas l’obliger à l’aimer. Pas plus que le génie d’ailleurs pour qui ce vœu était impossible. Il avait enfermé Jasmine dans une cellule, l’avait menacée puis battue, avait fait châtié son père, avait finalement fait tué son tigre… Rien n’y faisait, elle refusait obstinément de se soumettre, prête à se laisser mourir s’il le fallait.
Ivre de colère, Jafar avait donc utilisé son dernier vœu pour enlaidir Jasmine, la défigurer, la rendre ignoble. Le génie, épris de la princesse depuis la mort d’Aladin, avait refusé ce vœu révoltant puis, pour la première fois depuis des millénaires, c’était attaqué à son maître. Mais l’esclave de la lampe, avait malheureusement échoué, perdant tous ces pouvoirs à cause de cet acte de rébellion. Il se retrouva bannit, réduit au rang de simple humain, sans pouvoir et esclave à vie de son ancien maître. Jafar, dépossédé de son troisième vœu, retourna cet échec à son avantage. Il allait se servir de cet homme amnésique et servile pour arriver à ses fins. Car l’homme qui était enchainé devant le sultan ne savait ni qui il était, ni ce qu’il faisait là.
— Alors vieil homme, est-ce que c’est compris ? demanda Jafar depuis son trône— Hein ? Je…— Et bien, répond, esclave ! As-tu compris ta mission ??— Heu… Oui, votre majesté, répondit l’homme simplement vêtu d’un cape de mendiant, conscient qu’il ne valait mieux pas lui faire répéter la question.
Jafar, sultan d’Agrabah ? Quelle était cette histoire de fou ? Il ne se souvenait de rien. Ni de son nom, ni de ce qui l’avait amené ici. Mais il se souvenait de l’ancien sultan et de sa fille, la princesse Jasmine. Qu’étaient-ils devenus ?? Le tirant de ces pensées, Jafar reprit :
— Donc, tu dois faire en sorte que Jasmine devienne une épouse obéissance et dénuée de toute fierté. C’est clair ?— Heu… oui très clair.— Et je veux aussi que le peuple d’Agrabah la déteste, n’éprouve que dégout pour elle.— Oui, mais ils l’aiment, Monseigneur…— JE SAIS, ESCLAVE !! Et moi, ils me détestent ! Si j’épouse Jasmine de force, je serais éternellement le méchant, le monstre ! Et je pourrai exécuter autant de manants que je voudrai, cela ne changera rien ! Je veux que leur haine se dirige contre leur chère princesse !— J’ai compris… mais comment dois-je….— C’est ton problème, esclave. Fais d’elle une trainée servile et humiliée et tu seras libre. Echoue et je te fais couper les mains, puis les pieds, puis la langue et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de toi ! Tu peux la faire travailler, la dresser comme un animal, la corriger autant que tu veux. Fais-en un jouet ! Tu as carte blanche.
— Bien… Je verrais ce que je peux faire… Il me faudrait de l’or pour l’entretenir.— Tu recevras de l’or régulièrement pour subvenir à vos besoins… Je veux que tu la dresse comme il faut, alors ne regarde pas à la dépense… C’est le peuple qui paie, hahaha !!
Puis Jafar se tourne vers un garde :— Faites entrer la Princesse !
Le garde pousse alors Jasmine dans la salle du trône en s’excusant à voix basse. Il l’adorait, l’avait vu naitre et grandir. Mais il se devait de servir le nouveau sultan.
— Jafar, fils de chien ! Que me voulez-vous encore ??— Oohhh, Princesse… C’est justement pour ce genre de mots à mon encontre que je vous ai fait venir… Vous allez suivre cet homme.— Qui est-il ?— Votre nouveau maître. Pour un temps…— Mon maître, ce manant ??— Ce manant, comme vous dites, a mon total soutien pour faire de vous une épouse soumise. Il vous dressera pour vous transformer en chienne.— QUOI ??? Comment osez-vous ?? Je suis la princesse d’Agrabah et je ne serais jamais la chienne de personne ! Encore moins votre épouse, serpent !!— C’est ce que nous verrons… Garde, emmenez-les dans la maison que je leur ai réservé. Vieil homme, prend le temps qu’il te faut mais ne me déçoit pas !— Oui, votre altesse.
Jasmine et le génie furent emmenés dans une petite maison dans un quartier populaire d’Agrabah. La Princesse fut couverte, par-dessus sa si belle et si connue tenue bleue, d’un modeste manteau à capuche pour lui couvrir la tête. Le peuple d’Agrabah connaissait bien la princesse mais ne la reconnaitrait jamais ainsi habillée. De plus, Jasmine avait été équipée d’un collier relié à une chaine que tirait le génie. Elle était donc officiellement reconnue, aux yeux de tous, comme son esclave.
Depuis que Jafar avait pris le pouvoir, il avait promulgué un certain nombre de lois pour asservir les femmes, qu’il méprisait au plus haut point. Chaque homme pouvait avoir une ou plusieurs esclaves, du moment qu’il pouvait les entretenir. Ces esclaves étaient, le plus souvent, des esclaves sexuelles, propriétés de riches marchands ou de nobles et étaient envoyées à l’école des courtisanes, établissement créé par Jafar pour apprendre l’obéissance et l’absence de fierté aux femmes les plus récalcitrantes. Autant Jafar était détesté du peuple, autant il avait su donner aux riches ce qu’ils voulaient : encore plus de pouvoir et la liberté d’asservir des femmes pour en faire leurs jouets sexuels. Il avait également fait fermer tous les bordels de la ville car cela ne lui rapportait rien. De ce fait, la prostitution était interdite et beaucoup d’hommes avaient acheté des esclaves pour les inscrire à l’école des courtisanes, un établissement créé par Jafar. Le système marchait parfaitement, d’autant que Jafar avait évidemment un droit de cuissage sur chaque élève. Mais deux choses manquaient au tyran : une large popularité et une femme obéissante.
Dans la chambre mise à sa disposition, le génie ne savait pas où commencer mais il commençait à recouvrer la mémoire. Il ne savait toujours pas qui il était mais se voyait dans les geôles de palais de Jafar, se souvenait discuter avec d’autres prisonniers de la situation d’Agrabah et se souvenait de l’existence de l’école des courtisanes. Il décida que c’était parfait pour commencer l’apprentissage de la Princesse. Il décida d’aller parler à Jasmine pour s’expliquer. Il frappa à la porte de sa chambre. Aucune réponse ; il insista.
— Laisse-moi tranquille, vieil homme ! Sale chien, tu ne seras jamais mon maître !!
Le génie sentait monter une colère féroce contre cette femme, soi-disant Princesse, qui lui parlait avec tant de mépris depuis le début de la journée. Il allait peut être prendre plus de plaisir que prévu à la soumettre.
Le lendemain, il alla, avec Jasmine tirée par la chaine, à l’école des courtisanes, surnommé par les habitants APJ : Académie des Putes de Jafar…
Une superbe femme aux longs cheveux roux les accueillit. Elle était vêtue d’un voile légèrement transparent qui lui couvrait le bas du visage et d’un corset rouge très serré soutenant une poitrine opulente à peine masquée par la dentelle du corset. Ses tétons, durs, se voyant sans mal au travers du tissu. Sa robe était noire et longue mais fendue devant et derrière au trois quart. A chaque pas qu’elle faisait pour s’approcher du génie et de son esclave, elle laissait ainsi apparaître ses longues et magnifiques jambes jusqu’en haut des cuisses. Quelques centimètres de plus et le génie aurait pu contempler son sexe fraichement épilé, qu’aucun sous vêtement ne couvrait.
Une superbe femme, dominatrice et expérimentée. La simple vision de cette beauté fit bander le génie. Il ne souvenait d’ailleurs pas depuis combien de temps il avait été avec une femme pour la dernière fois. Etrange… Tout était encore flou dans sa tête. Il se souvenait de l’ancien Agrabah, du temps de l’ancien Sultan. Il se voyait dans les rues, sûres et festives. Il se souvenait surtout de la Princesse, si belle, si envoutante. Et là, elle était à côté de lui, à sa botte…
— Bonjour, je suis maîtresse Rose, dit-elle d’une voie enjouée, sortant le Génie de ses pensées. Bienvenue dans mon établissement !— Merci, je vous présente Jas… mon esclave.
Le génie préférait garder secret l’identité de Jasmine pour le moment. Mais celle-ci ne pût s’empêcher de faire « sa princesse » :
— Je peux me présenter moi-même, vieillard !! Je suis…
SLAP !! Maîtresse rose venait de gifler violemment la joue de Jasmine qui s’arrêta de parler, choquée.
— On ne parle pas sur ce ton à son maître !! Tu vas apprendre la discipline ici, chienne !— Mais je suis… essaya de répliquer Jasmine— SILENCE !! Tu es une esclave et tu dois obéissance à ton maître !
Puis Rose se tourne vers le génie :
— Effectivement, elle a besoin d’un sérieux dressage… Nous dispensons des cours d’obéissance et de cours de morale… ou plutôt d’immoralité… — D’immoralité ?— Oui, une bonne esclave se doit d’avoir perdu toute estime de soi, de n’avoir aucune honte, aucun scrupule, d’être prête à tout pour vous servir.— C’est parfait… — Nos cours sont adaptés aux débutants mais vous avez aussi un niveau confirmé et expert. Ils coutent évidemment plus chers mais le résultat est au rendez-vous, je vous le garanti. — Puis-je vous demander une démonstration de la qualité de votre enseignement ?— Évidemment !
Rose se lève et entre dans la salle d’à côté. Pendant ce temps, Jasmine se tourne vers le génie.
— Comment as-tu pu m’envoyer dans cet endroit ?? — Pour vous apprendre l’obéissance ! Et parce que Jafar me l’a ordonné…— Tu n’es que l’esclave de ce fils de chacal de Jafar…— Je sais, tout comme vous… Mais la différence entre vous et moi, c’est que vous êtes pour le moment MON esclave. Maintenant, silence.
Rose fait alors son entrée dans la pièce en tirant par une chaine une magnifique jeune fille brune, entièrement nue. Ses petits seins étaient encore marqués d’anciens coups de fouets qu’elle avait reçus pendant son dressage. Elle baissait les yeux en signe de soumission.
— C’est la fille d’un riche marchand promise à un noble. Elle nous a été envoyée il y a 15 jours car elle avait giflé son futur époux.— 15 jours seulement ??— Et oui… De rebelle à soumise en 15 jours… Notre méthode est infaillible ! Demandez-lui ce que vous voulez…— Bien. Commence par t’agenouiller devant moi, chienne.
La jeune fille s’exécute aussitôt.
— Bien… Retourne-toi et écarte tes fesses. Montre-moi ton joli cul.
Devant le visage ravi de Rose et le regard scandalisé de Jasmine, la jeune fille se retourne et écarte au maximum ses fesses pour exposer son cul et sa chatte au Génie. Cédant à la tentation, le génie lécha un de ses doigts et l’enfonça directement dans l’anus de la jeune fille. Celle-ci ne broncha pas, ni n’émit le moindre son. Il doigta longuement le cul de cette beauté puis se tourna vers Maîtresse Rose :
— C’est magnifique… Et tentant, je dois l’admettre.— Vous souhaitez la baiser ?— Je peux ?— Évidemment, c’est une esclave sexuelle avant tout. Allez-y, mais évitez de la mettre enceinte.— Entendu…
A suivre...
Cette histoire est encore en cours de rédaction et même si le fil conducteur est le même que dans le jeu, vous pouvez me proposer des actions que vous auriez envie d’imposer à cette pauvre Jasmine.
Pour les validateurs, j’ai essayé d’adapter cette histoire au maximum en enlevant les allusions à la prostitution qui est pourtant la base du jeu. Il n’y aura pas de sexe tarifé mais je vous laisse seuls juges de l’acceptabilité de l’histoire. En cas de refus, j’essaierai de m’adapter. Merci d’avance.
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