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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
Suite :
Satisfait et d’humeur fêtarde, le Génie se rendit à la taverne. Il n’y avait que peu de monde, ce qui expliquait d’ailleurs que Jasmine n’avait pas été demandée pour servir ce soir, et seule Iris était de service. Elle avait la mine des mauvais jours et les traits tirés mais son visage s’illumina dès qu’elle aperçut le Génie.
Il s’assit à une table à l’écart et passa sa soirée à boire des verres d’un mauvais vin et à discuter et surtout flirter avec Iris, sous le nez de son père qui, apparemment bien aviné, ne remarquait rien. Puis, vers 1h de matin, et alors que le Génie, dernier client de la taverne, s’apprêtait à partir, Iris vint lui chuchoter :
— Attendez-moi dehors, je sors dans 10 minutes…— Et ton père ?— Il est ivre et va aller se coucher en me laissant tout nettoyer, comme d’habitude. Attendez-moi.— Ok…
Le Génie dût attendre presque 20 minutes avant qu’Iris ne se montre enfin.
— Désolé, mon père s’attardait…— Bon… et que faisons-nous maintenant ?— Pour commencer, il me faut vérifier quelque chose.
Iris s’accroupit et, sans demander la quelconque autorisation, baissa rapidement le pantalon du Génie.
— Ha oui, quand même… dit Iris, manifestement impressionnée par la taille de l’engin, pourtant mi mou, qu’elle avait sous les yeux. Votre esclave ne m’a pas raconté d’histoire !— C’est elle qui t’a parlé de moi ?— Oui, l’autre soir en cuisine, je voulais savoir si vous étiez un bon coup et elle m’a dit qu’elle ne savait pas puisqu’elle était encore vierge mais que vous aviez un sexe énorme et que les filles qu’elle vous avait vu baiser hurlaient de plaisir !
Pendant qu’elle s’expliquait, Iris avait commencé à branler le Génie et s’enthousiasmait de voir encore grossir la queue.
— Donc votre esclave n’a pas encore eu la chance de se faire transpercer par votre pieu… Quel gâchis ! — Malheureusement, non, mais cela ne devrait plus tarder !— Possible… Elle m’a dit qu’elle voulait vous faire plaisir mais elle est terrifiée à l’idée que vous la déchiriez… Mais ça chemine en elle, rassurez-vous !
Puis Iris goba la queue du Génie et lui fit une pipe des plus expertes. Cette jeune fille avait manifestement de l’expérience et savait se servir de sa langue. Elle le pompait divinement et était capable de le faire rentrer entièrement dans sa gorge, son gland étant alors dans son gosier et non plus dans sa bouche. C’était la première fois que le Génie pouvait enfoncer son sexe entièrement dans la bouche d’une fille. Iris se recula une première fois pour reprendre sa respiration, lui goba et lécha les couilles puis repris sa gorge profonde. Le Génie, cette fois, maintint Iris ainsi empalée sur la queue en la retenant par la tête et en lui enfonçant encore d’avantage son membre dans le gosier. Le nez de la jeune fille était perdu dans les poils pubiens du Génie et ses yeux commencèrent à se révulser. Il décida enfin de la libérer et Iris se précipita en arrière pour reprendre sa respiration, laissant entre ses lèvres pendantes et la base de la queue du Génie un grand fil de bave et de glaire.
Alors qu’il pensait qu’elle allait se plaindre de ce traitement brutal, Iris se contenta d’enlever avec sa main la bave dégoulinante, appuya sa tête contre le mur de la taverne puis dit :
— Baisez-moi la bouche !
Puis elle ouvrit grand la bouche en tirant la langue. Le Génie ne se fit pas prier et enfonça d’un coup sa queue dans la gorge de cette furie et lui lima le gosier avec entrain. Il se retirait de temps en temps pour la laisser respirant mais aussi et surtout pour la gifler avec sa queue et étaler la glaire sur le visage rougit d’Iris. Après de longues minutes de ce traitement violent, Iris finit par dire :
— Monseigneur, ma gorge commence à me faire souffrir et j’ai vraiment envie que vous abusiez un autre de mes orifices !
Iris se lève, se retourna et s’appuya sur le mur de la taverne en tendant son cul au Génie.
— Venez me montrer ce que vous savez faire !
Le Génie s’approcha alors de la belle brune et appuya son gland sur sa chatte trempée. Mais Iris le retint et dirigea avec sa main son sexe vers un orifice moins conventionnel.
— Je suis vierge, monseigneur, et il faut que je le reste ! Mon père me tuerait…— Il n’en saurait rien…— Vous croyez ? Sachez qu’il vérifie presque tous les soirs lui-même…— Quoi ?? Il te…— Évidemment !! Depuis que maman est morte et que le bordel est fermé, il n’a plus personne pour tirer sa crampe. Alors, après le travail, il vient dans ma chambre, vérifie si mon hymen est intact et me baise la bouche ou le cul pour se soulager… Il dit que je vaux plus cher en restant vierge !— Quel salopard… Et est-ce ton seul amant ?— Vous rigolez ?? Mon cul est un des plus fameux et réputé de la ville ! Mais j’avoue n’avoir encore jamais eu de membre aussi imposant à l’entrée de mon fion… Allez-y, assez parler. Enculez-moi aussi fort que vous le voulez !
Le Génie, qui s’était reculé durant cette conversation, remit son sexe sur l’œillet d’Iris qui s’ouvrit sans mal sous la pression. Le sphincter avala l’énorme queue, s’ouvrant progressivement pour s’adapter à une largeur impressionnante. Iris, appuyée sur le mur de la Taverne où son père dormait, ivre, soufflait fort et ouvrait la bouche, comme une sportive réalisant un effort surhumain.
Alors que le Génie n’avait rentré que moitié de son membre dans l’anus de la jeune fille, elle le repoussa un peu en appuyant sur son ventre et l’incita à y aller plus progressivement. Il commença donc à se retirer puis se renfonça doucement pour détendre l’anus d’Iris. Il fit ainsi quelques allers-retours dans ce petit fion et se retira pour observer avec perversité le trou béant. Il se lubrifia le sexe avec la mouille qui suintait du sexe d’Iris et retourna dans son cul.
Cette fois, il put la prendre jusqu’à la garde en la faisant gémir de plaisir. Iris faisait son maximum pour ne pas hurler à quelques mètres de la fenêtre de son père mais le Génie la ramonait plus puissamment que quiconque ne l’avait jamais fait. Il accélérait, tapait contre ses fesses avec son pubis, lui attrapait les seins pour tirer sur ses tétons.
Le Génie sentit à nouveau une étrange force affluer en lui. Il se sentait surpuissant. Il sortit du cul d’Iris, essoufflée, et se concentra pour faire grossir son sexe. Il le vit alors gagner en largeur et en longueur, prenant alors des proportions vraiment animales. Il retourna dans le fion de la jeune serveuse qui ne pût retenir un cri de surprise en sentant le membre l’écarteler.
Il saisit Iris par la nuque et l’obligea à se mettre à quatre pattes au sol, le cul bien relevé. Durant ce changement de position, il resta enfoncé en elle et, une fois installé, il la défonça violemment. Il se retirait pour écarter encore un peu les parois de l’anus de la pauvre jeune fille et se renfonçait en elle avec toujours plus d’ardeur. Iris, de son coté, se mordait les lèvres pour ne pas hurler, gémissait et pleurait de plaisir. Elle s’écartait elle-même les fesses pour faire de la place au Génie, le visage écrasé contre les pavés de l’arrière cours de la taverne.
Profitant de sa force, le Génie attrapa Iris par la taille et la souleva en même temps qu’il se redressait. Puis, ainsi suspendue en l’air, toujours empalée, il l’a fit monter et descendre sur sa queue en la tenant par les cuisses. Iris, qui n’avait jamais été baisée de la sorte, se couvrait la bouche pour étouffer ses cris et pleurait de plaisir. Elle passa une main sur son ventre et fut alors choquée de sentir les allers-retours du Génie dans ses entrailles. Elle fit glisser sa main vers son sexe, exposé et écarté dans cette position suspendue, et se masturba pendant qu’on lui ramonait comme jamais le colon. Elle se fit ainsi jouir à deux reprises après avoir déjà reçu plusieurs orgasmes provenant de son cul, ravagé. Sous l’effet de ce plaisir immense, elle faillit perdre conscience. Elle logea sa tête dans sa nuque musclée de son amant et s’abandonna totalement au plaisir, en bavant bouche ouverte et langue pendue.
Le Génie accéléra encore son mouvement en faisait aller et venir sur sa queue le corps d’Iris, réduit à un simple fétu de paille, dont les seins ballotaient de haut en bas sous les secousses. Enfin, il sentit l’orgasme monter, donna encore quelques coups en elle et se répandit au plus profond des entrailles de la jeune fille qui resta empalée sur lui.
Puis, calmé et vidé, il sentit la force quitter ses bras et dût rapidement reposer Iris au sol. Il se retira alors de son cul, laissant échapper un peu de sperme et, surtout, libérant un anus qui ne ressemblait plus qu’à un cloaque informe. Iris tomba à genoux au sol, épuisée, et gardait son cul tendu en l’air pour amoindrir une douleur vice qui montait entre ses fesses, à présent que l’excitation était retombée.
Le Génie, d’abord inquiet de l’aspect d’Iris, fut rassuré de voir son trou du cul reprendre progressivement allure normale.
— Je te laisse, lui dit le Génie en se rhabillant. Fais-moi signe quand tu veux !— M… merci monseigneur… Je crois… qu’il va me falloir un peu de temps… pour m’en remettre…
Il l’aida à se redresser puis, une fois Iris rentrée chez elle, il retourna dans sa maison. Il alla voir dans la chambre de Jasmine et l’y découvrit endormie, nue et dans une position très érotique. Il eut immédiatement envie d’elle mais se retint de la réveiller.
Alors qu’il se déshabillait pour prendre un bain puis aller se coucher, il eut la surprise de recevoir la visite de Jasmine qui l’avait entendu.
— Je peux faire quelque chose pour vous, maître ? lui avait-elle alors demandé en se frottant les yeux, encore un peu endormie.— Nettoie-moi la queue, elle en a besoin.
Et alors que Jasmine s’agenouillait pour commencer à lécher le sexe mou du Génie, elle lui demanda :— Vous avez baisé une esclave ce soir ?— Qu’est-ce que ça peut te faire ? Tu es jalouse ?— Non, je suis juste désolée de ne pas pouvoir vous satisfaire à ce niveau… — Sache que, même lorsque je te baiserai aussi souvent que j’en ai envie, cela ne m’empêchera pas d’aller voir ailleurs si je le veux ! — C’est naturel, Maitre… Mmhh, il me semble que vous l’avez sodomisé également, cette esclave… lui fit elle remarquer alors qu’elle lui astiquait le gland.— Ça te gène ?
Elle répondit simplement en faisant non de la tête tandis qu’elle gobait une des grosses couilles du Génie.
Jasmine eut encore droit à une dose de sperme comme souper, même si le Génie n’avait plus grand chose en réserve et, pour la première fois depuis le début du dressage, ils dormirent ensemble, à la demande de la princesse qui ne voulait pas rester seule.
Comme promit, le lendemain, Jasmine échappa à l’APJ et pût rester la matinée à dormir. Mais l’après-midi, le Génie voulut profiter de cette pause pour, à nouveau, promener Jasmine dans les rue d’Agrabah mais à visage découvert, cette fois.
Pour cette première « vraie » sortie en public, le Génie ne voulut pas faire passer la Princesse comme son esclave. Vu sa popularité, les gens n’auraient pas compris et il aurait probablement été lapidé par ses fervents défenseurs. Il devait encore continuer de propager et d’alimenter les rumeurs en la faisant travailler ou en l’exposant en tant que simple esclave au visage voilé ressemblant terriblement à la princesse, instiguant ainsi le doute dans l’esprit des gens… Mais pour l’heure, il allait simplement se faire passer pour son garde du corps et la princesse jouerait son propre rôle, livre de ses mouvements, en tout cas en apparence.
— Considère cette sortie comme un cadeau, comme une pause dans ton dressage, trainée.— Et je vous en remercie, maître… J’ai toujours aimé ces balades dans Agrabah.— Je serai ton garde du corps et c’est toi qui, en apparence, donneras les ordres. Mais si tu t’avises d’aller trop loin ou d’essayer de t’échapper, je te le ferai payer très cher, compris ?— Ne vous inquiétez pas, maître… Vous sortez votre chienne en promenade et vous avez juste laissé la laisse à la maison. C’est comme ça que je vois la chose.— C’est parfait, alors.
A suivre....
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