Suite : — Mon dieu, que t’est-il arrivé ?? — C’est ce bourgeois et ses fils…. Ces salauds m’ont reconnus et ont voulu m’humilier ! — Ils t’ont violé ?— Non… mais c’est pire ! cria-t-elle en pleurant— Va prendre un bain et raconte-moi, dit le Génie avec un regard d’une rare colère. Alors que Jasmine tenta d’enlever l’odeur et la souillure de son corps, elle raconta sa mésaventure. Alors qu’elle nettoyait le sol de la maison, le vieux bourgeois s’était assis derrière elle. Il lui a ensuite demandé d’enlever manteau et, la voyant en tenue bleue, avait immédiatement reconnue en elle la princesse. Ce que Jasmine ne savait pas, c’est que l’ancien Sultan avait fait arrêter l’un de ses fils pour mauvaise conduite et abus d’alcool. Il tenait donc sa vengeance. Il lui avait d’abord demandé pourquoi une princesse faisait la bonniche puis, comme elle refusait de répondre, l’avait frappé. Au sol, il lui avait déchiré ses vêtements, lui avait écarté les fesses et lui avait enfoncé un doigt dans le cul. Puis il se redressa et sortit un sexe totalement mou. Manifestement impuissant, il avait trouvé une autre façon de l’humilier. Il avait commencé de lui pisser dessus, visant son visage, ses seins ou son cul. Puis il avait appelé ses deux fils pour qu’ils se soulagent sur elle également. Dégoûtés par l’aspect et l’odeur de Jasmine, ils n’avaient pas voulu la baiser mais ils s’étaient vidé les couilles et la vessie sur elle pour enfin s’essuyer la bite avec ses cheveux. Elle avait dut rentrer chez elle dans cet état, sous les bousculades et les crachats des gens. Lorsqu’elle eut finit de raconter son histoire, elle s’effondra dans les bras de son maître, en pleur. — Je vais les tuer… Je te jure que je vais les tuer sur le champ, s’écria le Génie.— Non, ne partez pas… Rester avec moi, je vous en prie, supplia Jasmine en serrant le Génie encore plus fort. Je ne veux plus vous quitter, avec vous je suis en sécurité… Alors qu’elle pleurait encore un peu mais essayait de se reprendre, sa main glissa vers l’entrejambe du Génie et palpa son sexe.
— Esclave… Tu n’es pas obligée, tu dois te reposer…— Et si j’en ai envie ?— C’est moi qui n’ai pas envie… Je suis trop en colère !— Ne me rejeter pas ce soir, maître… Je… Je veux m’offrir à vous… entièrement ! Il la regarda, incrédule, tandis que, sans rien demander, Jasmine s’accroupit pour sortir son sexe et le sucer. La pipe était absolument divine. Jasmine mettait du cœur à l’ouvrage et pompait le Génie avec la plus grande passion. Elle lui suçait le gland tout en le branlant et en palpant ses couilles. Puis elle enfonçait le membre puissant le plus loin possible dans sa bouche, restait ainsi empalée pour, enfin, reprendre sa respiration en frottant le sexe sur son visage, mélangeant sa salive au reste de ses larmes. Elle le dévorait littéralement, s’abandonnait totalement au plaisir de sucer. Soudain, elle se redressa, pris son maître par la main pour l’entraîner dans la chambre. Elle s’allongea sur le lit, écarta au maximum ses jambes, offrant ainsi son sexe trempé au Génie. — Je suis prête, maître. Baisez votre esclave, baisez votre traînée ! Le génie s’installa entre les jambes de Jasmine et frotta son gland contre les lèvres dégoulinantes de la princesse. — Tu es sûr ?— Oui maître… Baisez-moi ! Si quelqu’un doit me prendre ma virginité, ce doit être vous ! Le Génie continua encore de frotter son sexe sur Jasmine et s’amusa à le placer sur son ventre, pour se rendre compte que son gland dépassait le divin nombril de la princesse. Elle le caressa avec ses deux mains en gémissant : — Je veux l’avoir en moi… Le Génie recula alors ses hanches, plaça sa bite à l’entrée du vagin et s’y enfonça doucement. Il sentit rapidement l’hymen intact de Jasmine qui empêchait toute progression. Il appuya alors un peu plus fort, fit grimacer de douleur la princesse, puis sentit la fine membrane se rompre pour enfin permettre à sa queue de s’enfoncer un peu plus. Le sexe de Jasmine était très humide mais très serré et il dût se retirer pour permettre à son esclave de se détendre et de laisser la douleur diminuer. Après moult efforts et précautions, il put enfin la pénétrer jusqu’à la garde mais ne pouvait évidemment que faire de timides et prudents aller-retour. Jasmine respirait fort et tentait de se détendre au maximum. Elle demanda à son maître de se retirer pour un petit instant. — Tu peux continuer ? demanda le Génie.— Oui, maître… Ça me fait un peu mal mais vous allez pouvoir y aller à nouveau…— Parfait, alors viens là. Le génie retourna alors Jasmine et la mit à quatre pattes. Il lui appuya sur le dos pour le creuser un peu et ainsi bien relever son vagin et son cul. Il se renfonça en elle doucement et la lima doucement, presque amoureusement. Il entendit alors distinctement Jasmine gémir de plaisir. Il accéléra alors la cadence en la prenant plus profondément. Avec le pouce d’une de ses mains qui tenaient les fesses écartées, il joua avec l’anus de la princesse puis y enfonça une phalange. En entendant Jasmine gémir encore un peu plus fort, il enfonça la totalité de son doigt dans le petit cul serré de la princesse, ce qui décupla son propre plaisir, son pouce faisant pression sur la queue. Son esclave ne contestait nullement cet attouchement, se contentait de gémir, de dire qu’elle adorait ça, d’en réclamer encore. Le Génie s’abandonna alors à sa perversion et joua avec l’anus de la princesse comme il l’entendait. Il y enfonçait ses deux pouces, tirant ensuite sur les parois. Il y enfonçait son majeur, beaucoup plus long et s’amusait à appuyer sur sa bite au travers de la fine peau séparant le colon du vagin de Jasmine. Celle-ci avec d’ailleurs la tête dans son oreiller et criait de plaisir. N’en pouvant plus, le Génie se retira et présenta son gland devant l’anus détendu de Jasmine. Celle-ci releva la tête et dit, alors qu’il s’attendait à ce qu’elle conteste : — Allez-y maitre… Enculez-moi ! Enculez-moi comme les autres putes que vous avez rencontré ! Le Génie ne se fit pas prier. Il enfonça son gland sans trop de difficultés dans le cul de Jasmine puis progressa en elle. Mais plus il la pénétrait, plus il sentait que le conduit était très serré et plus il voyait que Jasmine se retenait de ne pas crier de douleur. Il prit donc énormément de précaution et se retira de nombreuses fois avant de pouvoir enfin limer son petit cul. L’étroitesse du conduit ne faisait que renforcer son plaisir et il se délectait de sentir le sphincter s’ouvrir sous la pression de son sexe et de le voir se refermer doucement lorsqu’il se retirait. — Maître ? Puis-je me remettre sur le dos ? Je veux vous sentir contre moi… dit Jasmine entre deux soupirs.— Avec plaisir, Jasmine. Ne se rendant pas compte qu’il venait s’appeler son esclave par son prénom pour la première fois depuis des semaines, le Génie se retira, retourna la princesse et lui pénétra à nouveau le vagin en l’enlaçant et en l’embrassant. Celle-ci, manifestement en pleine passion, lui rendit fougueusement son baiser et entoura sa taille avec ses jambes. Le Génie la baisa ainsi profondément et délicatement avant de retourner dans son cul. Il prit un peu de recul pour observer le visage très expressif de Jasmine alors qu’il lui explosait le cul, ainsi que sa chatte distendue dégoulinante de mouille et ses gros dont les tétons pointaient fièrement. Les deux doigts qu’il enfonça dans son sexe alors qu’il l’enculait eurent un effet immédiatement : il sentit un puissant orgasme monter en lui. — Je vais venir, esclave…— Revenez en moi ! Jouissez dans ma chatte, maître ! Jouissez en même temps que moi !! Le Génie se retira d’un coup et se renforça jusqu’à la garde dans une chatte effectivement trempée et gonflée par un orgasme imminent. Il la défonça aussi profondément que possible durant quelques allers-retours et se vida en elle alors qu’elle hurlait de jouissance et l’étreignait avec ses bras et ses jambes. Ils restèrent ainsi enlacés un long moment avant qu’enfin le Génie ne se retire en laissant échapper un suintement de foutre du sexe de Jasmine. Celle-ci se mit sur le côté et remercia le Génie d’avoir été si doux et de lui avoir donné tant de plaisir. Elle s’endormit rapidement. Le Génie, de son coté, sortit de la maison alors qu’Agrabah était endormie depuis longtemps, pour se rendre chez le bourgeois qui avait agressé Jasmine. Le lendemain, on retrouva le père et ses fils ligotés, des manches à balai profondément enfoncés dans leur cul et la maison mise à sac. Assis sur son lit, alors que Jasmine dormait encore malgré le soleil était déjà haut et que la nouvelle de l’agression se rependait, le Génie ne savait plus quoi penser. Il n’avait pas pu tuer ces salopards, sa main refusant d’obéir à sa tête alors qu’il tenait par le coup le bourgeois. Impossible de serrer plus les doigts pour l’étrangler alors qu’il en mourrait d’envie. Par contre, lorsqu’il fallut les maîtriser, les ligoter et mettre à sac la maison, tout avec été simple et rapide. Il était à nouveau doué d’une force inimaginable et il avait l’impression de pouvoir faire tout ce qu’il voulait. Mais ce qu’il ne comprenait pas, c’est que ce n’était pas lui qui avait enfoncé ces balais dans leur cul… Il l’avait par contre souhaité de toutes ces forces sur le chemin du retour, regrettant de ne pas avoir eu la force de les faire souffrir s’avantage… Qui avait fait ça ? Serait-ce lui mais sans s’en souvenir ? Alors qu’il regarda Jasmine dormir sereinement, il fit également un constat terrible : il l’aimait. Il était fou amoureux d’une esclave qu’il allait devoir rendre à Jafar bientôt. Et il se laissait attendrir au point qu’il disait oui à tout ce que Jasmine demandait, qu’il l’appelait pas son prénom et, qu’hier, il ne l’avait pas baisé… il lui avait faire l’amour ! Cela devait cesser. Dorénavant, il allait se montrer plus dur, plus violent et allait la pousser dans ces limites. Il fallait que Jasmine le déteste pour qu’une fois le moment venu, elle rejoigne Jafar sans regret. Et ça commencerait maintenant ! A suivre...
