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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 11

Lesbienne
Suite :
Il réveilla Jasmine sans ménagement et l’envoya sans autre forme de politesse à l’APJ en précisant à Maîtresse Rose qu’elle n’était désormais plus vierge et qu’il fallait passer au stade supérieur de son entraînement.
Jasmine fut donc convoquée dans le bureau de Maîtresse Rose.
— Assied-toi, esclave, lui dit Rose d’un ton sévère.— Mon maître préfère m’appeler « traînée ».— Bien. Maintenant « traînée » si tu ouvres encore une fois la bouche sans que je t’en ai donné l’autorisation, tu t’en souviendras.
Jasmine baissa les yeux en signe de soumission.
— Parfait. Alors, il parait que tu t’es enfin offerte à ton maître… Il était temps ! Est-ce que cela t’a plu ?— Cela m’a fait un peu mal au début… Mais j’ai quand même pu jouir.— Un orgasme pour ton dépucelage ? Tu as de la chance, c’est rare. Ton maître t’a enculé également ?— Oui… mais pas très longtemps… son sexe est vraiment énorme et je ne suis pas vraiment habituée…— Ça viendra, et bientôt ton cul avalera n’importe quoi ! En tout cas, nous allons passer à un stade supérieur de ton apprentissage car, maintenant que ton maître t’a défloré, il m’a autorisé à user de tous les moyens pour faire de toi une salope de compétition et une chienne totalement soumise.
Rose se leva alors de son bureau et se dirigea vers une imposante armoire en bois située derrière elle. Alors qu’elle ouvrit de manière cérémonieuse les portes du meuble, Jasmine fut stupéfaite de ce qu’elle y découvrit : une impressionnante collection de sexes masculins sculptés en bois. Il y en avait des dizaines, tous plus beaux les unes que les autres, taillés dans les bois les plus nobles du monde connu. Leurs tailles allaient crescendo : ils allaient de la bite classique d’une quinzaine de centimètres jusqu’à des monstres de 30 voire 40 centimètre pour une largeur impressionnante. Certain, d’ailleurs, étant longs et fins quand d’autres étaient courts et épais. D’autres encore étaient à la fois très longs et très larges, ornés d’un gland décalotté immense et d’une paire de couille monstrueuse. Enfin, certains sexe n’était pas humains… Il y avait des sexes de chevaux, tous énormes, et d’autres que Jasmine ne sût identifier.
Rose se retourna vers Jasmine, manifestement très fière de sa collection.
— Voilà ce que les Romains appelaient des phallus… Déjà les Égyptiens, ceux qui ont battis les pyramides, s’en servaient pour les plaisirs solitaires ou même en groupe. Moi je préfère appeler cela « gode »… Il parait que cela veut dire Dieu chez certains barbares du nord… Ils te plaisent ?— Oui, maîtresse. Ils sont très beaux mais certaines sont… énormes !— Et bien sache que j’ai testé moi-même chacun de ces godes et que je suis même capable d’en utiliser deux à la fois, parmi les plus gros.
— Mon dieu, jamais je n’aurais…
Jasmine reçu alors une petite gifle sur la joue de la part de Rose.
— Je ne t’ai pas autorisé à parler, traînée ! Celle-là était gentille. Mais la prochaine fois…
Rose se releva la tête baissée de Jasmine et lui dit :
— Sache que chaque élève qui quitte cette école doit être capable d’utiliser le ou les godes de mon choix parmi cette collection. Si elle en est incapable, elle continue sa formation. Et je teste régulièrement les capacités « d’accueil » de mes élèves grâce à ses objets, notamment avant de vous offrir à des esclaves trop membrés qui vous déchireraient… D’ailleurs, rajouta-t-elle en se dirigeant vers l’armoire, je veux voir ce que tu es capable d’encaisser.
Poster devant sa collection, elle pointa du doigt le gode le plus à gauche, le plus petit. Jasmine fut d’abord soulagée de voir cela. Mais Rose, commença à remonter vers la droite la collection, toujours en pointant les phallus du bout du doigt.
Enfin, alors que Jasmine désespérait de la voir se diriger vers ceux les plus gros, Rose en saisit un en commentant :
— Il me semble que ton maître fait à peu près cette taille.
Jasmine, qui savait que son maître était en réalité un peu mieux doté, ne dit rien et se contenta d’observer le tout de même imposant phallus en bois que Rose venait de poser sur le bureau. Le travail de sculpture était magnifique, chaque détail étant parfaitement réalisé. On pouvait voir les plis de la peau du prépuce sous le gland décalotté, les veines qui parcouraient l’objet de bas en haut, etc. Seules les testicules, servant surtout de reposoir et de poignée étaient sculptées de manière plus grossière. Le bois était parfaitement lisse, poncé et ciré, et aucune fibre de bois, potentiellement très douloureuse, ne dépassait du membre.
— Viens ici, Jasmine…
La princesse sursautât en entendant son nom prononcé par sa Maîtresse.
— Evidemment que je sais qui tu es en réalité ! Je l’ai su dès le premier jour… Tu sais, Jafar m’a parlé de toi et je connaissais bien ton père. C’est lui qui m’a écarté de la Cours à cause de mes idées et de mes tenues trop provocatrices. Jafar m’a donné une seconde chance et m’a fait comprendre que je devais te traiter avec la plus grande sévérité ! Jasmine, mon enfant, je suis payée pour faire de toi une parfaite salope. Et je vais y parvenir… Maintenant, lève-toi !
Jasmine obtempéra et vint se placer en face de Rose. Elle la fît s’allonger sur le bureau puis écarter au maximum les jambes.
— Hum, superbe chatte… Je n’avais pas encore eu l’occasion de la contempler de si près…
Rose cracha dans sa main droite et enfonça deux doigts dans la chatte encore sèche de Jasmine, qui fit une grimace de douleur.
— Tu as encore mal ?— Oui, maitresse, un peu. — Alors je vais être prudente, en tout cas pour cette fois. Je sais combien la perte de virginité peut être douloureuse et bloquer, par la suite, le désir. Mais les prochaines fois, je m’y prendrai de la manière qu’il me plaira… Compris ?— Oui, Maîtresse.
Rose cracha à nouveau sur le sexe de la princesse et continua de la doigter délicatement. De sa main gauche, elle lui caressa le clitoris et sentit Jasmine se détendre progressivement. Rapidement, lubrifier son vagin devint inutile car Jasmine commençait à mouiller. Rose en profita pour retirer ses doigts et se saisit du gode en bois.
— Passons aux choses sérieuses, votre majesté.
Rose plaça le gode en bois à l’entrée de la chatte de Jasmine et appuya doucement pour l’y faire rentrer. Elle fut surprise de la facilité avec laquelle le gode, d’une taille correcte, rentrait dans son élève qui, de plus, semblait apprécier. Après quelques prudents allers-retours qui servirent à élargir Jasmine, elle pût la pénétrer avec la totalité du phallus à un rythme soutenu. Le gode qui entrait et sortait de Jasmine était luisant de mouille et révélait encore mieux les magnifique couleurs et nuances du bois. En le tenant par les couilles, Rose enfonçait l’objet de plus en plus vite et s’amusait à taper le plus profondément possible en faisant crier Jasmine de surprise et aussi, Rose devait bien l’admettre, de plaisir.
La princesse, allongée au milieu des parchemins et des notes qui recouvraient le bureau de Rose, commençait à sérieusement prendre son pied et se caressait les seins pour accompagner la masturbation efficace de la maîtresse. La sensation que lui procurait le gode était assez réaliste, même si son expérience en la matière était maigre. Hormis le fait que le gode était entièrement dure et rigide, contrairement à un vrai sexe, Jasmine avait vraiment l’impression de sentir son maître en elle.
Alors qu’elle faisait rouler ses tétons entre ses doigts et qu’elle sentait monter un bel orgasme, Rose retira la pièce de bois de son sexe.
— Désolée, trainée… Je ne suis pas là pour te faire jouir mais pour te former. Si tu veux prendre ton pied, tu le demanderas à ton maître ! D’autant qu’avoir un orgasme avec ce genre de pénétration ne représente en rien un exploit… Par contre, par ici…
Rose plaça alors le gland en bois sur le trou de balle de Jasmine et commença à appuyer pour l’y faire rentrer.
— Non… Pas par là…. commença de protester Jasmine.
Rose gifla alors violemment la princesse à deux reprises. Jasmine, les joue rougies, se tut immédiatement et laissa Rose continuer d’enfoncer le gode dans son cul. Pourquoi avait-elle essayé de protester alors, qu’hier, elle avait laissé son maître l’enculer ? Surtout, pourquoi protester alors qu’elle avait envie de recommencer ? Car Jasmine devait bien se l’avouer : elle aimait le sexe, la luxure… Elle aimait quand son maitre l’exposait à des inconnus et lui demandait de s’offrir à eux. Et finalement, a tout bien réfléchir, elle ne s’était jamais sentit aussi désirée et aimée par son peuple qu’aujourd’hui. Elle n’avait jamais autant éprouvé de plaisir qu’aujourd’hui. Et finalement, elle ne s’était jamais sentie aussi vivante que ces dernières semaines, surtout comparé à la vie d’oisiveté et d’inutilité totale qu’elle avait connue jusqu’ici.
Lorsque Jasmine cessa de réfléchir à sa situation et revint à la réalité, Maîtresse Rose avait enfoncé le gode à moitié. Ce fût d’ailleurs l’étirement de son anus et la sensation de douleur l’accompagnant qui sortit la princesse de ses pensées.
La progression se faisant difficile, Rose retira le gode et lubrifia le fion de Jasmine en le léchant avec gourmandise. C’était la première fois qu’une langue féminine venait à cet endroit de son intimité mais Rose, elle, était manifestement expérimentée. Sa langue récupérait la mouille dans le vagin de Jasmine et venait la déposer sur les parois de son colon. Rose enfonça profondément sa langue dans le fondement de la Princesse puis pris le gode en main et entreprit de le « sucer ». L’objet en bois était long et large mais cela n’empêcha pas Rose de l’introduire entièrement, et sans la moindre grimace, dans sa bouche, déformant au passage sa gorge.
Lorsqu’elle le ressortit, il était enduit de bave et ne s’enfonça que plus facilement dans le cul de la Princesse. Rose fit pression sur l’objet jusqu’à ce que les faux testicules touchent les fesses de Jasmine et fit ensuite plusieurs allers-retours assez lents mais très amples. La totalité du gode rentrait et sortait du cul de Jasmine qui respirait fort et fermait les yeux, se concentrant pour ne pas défaillir. La sensation était intense, mêlée de douleur, d’excitation et d’un peu, Jasmine devait bien se l’avouer, de plaisir.
Pour la ménager, Rose retirait parfois le gode du cul royale pour l’enfoncer dans la chatte, non moins royale, de Jasmine. Mais lorsqu’elle voyait cette dernière s’approcher de l’orgasme, elle retourner immédiatement lui défoncer le cul pour la calmer…
— Parfait, finit-elle par dire en retirant le gode, pour une fille qui était vierge hier, tu es bien large.— Merci… Je suppose…— Ne crie pas victoire trop vite. Il y a encore du monde dans cette armoire pour toi avant d’être diplômée de cette école ! — Je ne crois pas que quelque chose de plus gros pourra rentrer en moi, Maîtresse.— Bien sûr que si, trainée ! Tu pourras prendre bien que long et large que ça ! Et de toute façon, je te souhaite d’y arriver car lorsque Jafar t’aura sous sa coupe, il ne te ménagera pas ! — Mais maîtresse… Si je puis me permettre, comment voulez-vous qu’un truc pareil rentre dans un corps humain ?? demanda timidement Jasmine en pointant le gode le plus gros de la collection de Rose.— Haaa, celui-là, il n’est pas pour tout le monde, c’est sûr. Mais c’est possible, je te l’assure ! Tu vas voir…
A suivre...
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