Suite : Alors qu’ils arpentaient les rues d’Agrabah, ils croisèrent un autre bourgeois et son esclave enchaînée en train de marcher. Mais celle-ci avait les vêtements déchirés, était couverte de sperme et de poussière et avait les fesses et le visage rougis par de mauvais traitements. A priori, elle avait eu une journée bien remplie et fort agréable car, malgré son aspect, elle arborait une mine satisfaite et un sourire pareil aux fumeurs d’opium après une bonne séance. Elle boitait de l’arrière en marchant et du sperme coulait à l’intérieur de ses cuisses. Cela suffit à stopper le Génie dans son envie d’échanger cette esclave avec Jasmine et le convainc de changer de rue car, dans cette direction, nombre de passants devaient avoir les couilles vides ! Par contre, cela l’excita terriblement et il voulut aller plus loin dans la soumission de son esclave. Il décida donc de quitter ces quartiers populaires de la ville pour s’approcher du palais Alors qu’ils progressaient dans les rues, les bâtiments devenaient plus propres, plus grands et les gens qu’ils croisaient étaient mieux habillés et, surtout, moins nombreux. Les rues étaient plus larges et il n’y avait plus cette impression de boyaux sinueux et surpeuplés. Jasmine reconnût immédiatement le quartier et réagit :— Maître… vous vous approchez du Palais… Vous le savez ?— Évidemment, traînée… Je voulais tester les réactions des gens de rang plus élevé.— Mais… ils vont me reconnaître ! Je venais souvent ici avec mon père… Pouvons-nous rentrer, je ne me sens pas à l’aise ?— Tu plaisantes ?? Il faut bien que tu rencontres tes futurs amants ! — Mes amants, mais comment ça ??— Voyons Jasmine, quand tu seras l’épouse de Jafar, il t’offrira à ces amis quand il le voudra. Et avant ça, tu recevras beaucoup de visite lorsque tu iras au bordel.— Au bordel ?? Vous voulez faire de moi une pute ?? Le Génie gifla alors sèchement Jasmine qui tomba au sol et posa une main sur sa joue rougie. — Ne me parle pas sur ce ton, chienne ! Tu ne seras pas une pute car Jafar a interdit la prostitution. Tu seras un objet d’échange pour que je puisse baiser d’autres esclaves. Et quand les gens sauront qui tu es en réalité, je peux te dire que j’aurais toutes les femmes que je veux… D’ailleurs tu as déjà une personne intéressée…— Qui ?— Le maître de l’esclave qui t’a nettoyé l’autre jour pendant que tout Agrabah te jouissait dessus… Tu te souviens ?— Oui, je m’en souviens, Maître. Mais… Mais Jafar ne sera jamais d’accord ! Quand il l’apprendra, il…— Sache, idiote, que c’est lui-même qui a rouvert le bordel uniquement pour que je puisse t’y emmené… Soit honnête, Jasmine, cela t’excite déjà de penser à tous ces hommes qui vous te baiser et t’humilier !— Maître… Je ne me donnerai à tous ces hommes que si cela vous fait plaisir… Je suis votre chienne…— Tu ne réponds pas à ma question, là…— Je… J’avoue qu’en ce moment, l’idée de me faire baiser ne me dérange pas…
— Même avec le premier venu ?— Oui…— Allez, vient ! Le génie redressa alors Jasmine et ils continuèrent leur chemin. Ils passèrent à coté de 3 hommes qui discutaient de la situation économique du royaume quand l’un d’eux dit : — Princesse Jasmine ?!? Le Génie s’arrêta net et s’approcha des 3 hommes avec son esclave. — Messieurs…— Mon dieu, Princesse Jasmine, mais que faites-vous dans une pareille tenue ?? Jasmine qui avait reconnu les trois hommes, d’anciens proches de son père, baissa la tête et ne répondit pas. Le Génie la secoua : — Allons, esclave, répond à cet homme !— Monsieur, voyons, c’est à la princesse d’Agrabah que vous vous adressez, lui répond le vieil homme, scandalisé par la situation. Veuillez montrer du respect envers votre souveraine !!— Du respect ? Esclave, dois-je te montrer du respect ?— Non, maître…— Alors explique à ces messieurs pourquoi tu es dans cette tenue.— Oui maître… Messieurs, je suis Jasmine, Princesse d’Agrabah et future épouse de Jafar, notre sultan. Pour me dresser à être une bonne épouse, mon futur mari m’a confié à cet homme. Je lui dois la plus totale obéissance. — Mon dieu, Princesse, et votre tenue ??? Pourquoi la future souveraine devrait-elle être habillée de la sorte ?— Parce que Jafar veut que je sois la plus soumise et la plus salope des épouses. Aujourd’hui, mon maître me promène ainsi car je ne suis qu’un objet offerte à tous.— Parfaitement, rajouta le Génie. D’ailleurs, chienne, que m’as-tu dit il y a quelques minutes ?— Que je voulais me faire baiser par le premier venu…— Oh, je vois… Les trois hommes étaient interloqués par ce qu’ils voyaient et entendaient. Leur princesse était là devant eux à moitié nue et faisait la confession qu’elle n’était qu’une salope prête à baiser avec n’importe qui. — Chienne, ces hommes ne pourraient-ils pas assouvir tes besoins ? Ils me semblent encore en forme malgré leurs âges avancés…— Oui, maître…— Voyons, c’est ridicule, s’exclama un des hommes. Il est hors de question que nous touchions à la princesse Jasmine ! — Pourtant, nombre de personnes de plus vile naissance que vous l’ont déjà touché… Et pas que touché d’ailleurs ! D’un geste, le Génie fit tomber au sol la tenue transparente de Jasmine qui se retrouva nue devant les 3 nobles. — Regarder son corps… Elle est superbe et vous est offerte totalement et sans aucune limite. — Mais c’est honteux !! Vous en avez fait une esclave non consentante. Jasmine, réagissez !!!— Non consentante ? Tu entends ça, putain ? Dis à ces hommes à quel point tu es consentante… N’est-ce-pas, petite pute bouffeuse de queues… Chienne avide de foutre… Alors qu’il l’insultait devant les nobles outrés, Jasmine leur dit :— Mmmhh, je suis… consentante… Mmhhh… J’adore le sexe sans… mmhh… aucune limite… Baisez-moi, mes seigneurs… je vous en prie… j’en meure j’envie… Haaaa… Alors qu’elle se mettait à genoux devant eux en les suppliant, le Génie fouilla dans sa chatte déjà très humide et montra ses doigts aux hommes : — Regardez à quel point elle est trempée ! Cela, messieurs, ne peut pas être simulé… Vous avez devant vous une chienne en chaleur qui ne demande qu’à vous satisfaire…— Non, c’est scandaleux, nous devrions en avertir Jafar !!— Mais faites donc… J’aimerai justement lui parler de vous. Il apprécierait sans doute de parler aux hommes qui ont désobéit à leur princesse et surtout au maître de sa femme à qui il a donné carte blanche… Les trois hommes blanchirent alors en entendant la menace à peine masquée et se regardèrent pour savoir ce qu’il fallait faire. — Messieurs, ne vous inquiétez pas. Laissez-vous faire. Jasmine avait en effet commencé à s’approcher d’eux à quatre pattes et sortit sans attendre un premier sexe mou d’un pantalon. Le sexe était petit et un peu perdu au milieu d’une touffe épaisse de poils pubien mais Jasmine pu tout de même lui donner une taille normale grâce à ces habiles coups de langues. Le Génie pris un peu de recul pour observer son esclave entamer sa première orgie véritable. Jasmine sortit les deux autres sexes et les suça à tour de rôle. Les hommes, d’abord timides, se lâchèrent et commencèrent à toucher le corps de leur Princesse. Jasmine était pelotée, caressée, doigtée et gémissaient de plus en plus fort tandis que sa bouche était en permanence pleine. Ne pouvant plus y tenir, l’homme qui la doigtait passa derrière elle et la pénétra. Il la baisa énergiquement alors qu’elle suçait ses deux amis, eux-mêmes apparemment aux anges. Ils répétaient, comme s’ils n’y croyaient pas, « princesse Jasmine, princesse Jasmine ». Ils commencèrent à s’échanger de place, ceux qui se faisaient sucer voulant évidemment tester la chatte de la Princesse. Celle-ci suça à nouveau la queue imprégnée de sa propre mouille sans la moindre retenue et se fit ainsi baiser en tournante de longues minutes. Dans la rue, les quelques passants regardaient, scandalisés, cette scène sans doute plus classique dans les bas quartiers. Il est vrai que même si les propriétaires d’esclaves venaient d’ici, ils descendaient chez les pauvres pour humilier leurs poupées ou allaient au bordel s’ils voulaient se les échanger entre riches. Les dames de la cour n’étaient donc pas habituées à un tel spectacle ici et certaines parlèrent de prévenir la garde. Pendant ce temps, l’orgie continuait pour Jasmine. En suivant le conseil du Génie qui le lui chuchota à l’oreille, un des nobles qui la baisait se retira de sa chatte et la sodomisa. La princesse ne réagit même pas à cette intromission si facile pour elle depuis que le Génie lui élargissait la rondelle avec fougue. Bientôt, ce fût des bites aussi bien aromatisées avec son colon qu’avec sa chatte qu’elle dût sucer au fur et à mesure que les hommes changeaient de place et de trou. Jasmine eut enfin un orgasme alors qu’on lui enfonçait des doigts dans le cul tout en la baisant. Ses cris attirèrent encore un peu plus l’attention sur le groupe et le bruit courût très vite sur le fait que la princesse était en train de se faire baiser dans la rue. Alors qu’un attroupement se créait, deux gardes du Sultan arrivèrent, dispersèrent la foule et voulurent interrompre les 3 hommes dans leur affaire. A suivre...