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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 26

Avec plusieurs hommes
Suite :
Aussitôt, les gardes se mirent en place. Un d’eux s’allongea par terre et Jasmine, sans que personne de la force, se plaça sur lui. Elle guida sa queue dans sa chatte et aussitôt, l’homme entre ses jambes la laboura de furieux coups de hanches qui la firent gémir de plaisir. Puis, Jasmine écarta ses fesses d’une main et, de l’autre, lubrifia son anus avec de la salive. Les autres comprirent le message et un premier homme vint se placer derrière elle pour lui pénétrer le cul.
Cette double pénétration ne représenta en aucun cas un défi pour la Princesse et celle-ci apprécia d’emblée la double stimulation dans son ventre. Puis ce fût au tour de sa bouche d’être sollicitée par les autres queues attendant leur tour. Et bizarrement, ce sont ceux se faisant sucer qui se montrèrent les plus bourrins. Ils réussirent à enfoncer leurs engins le plus loin possible dans le gosier de Jasmine et plaquaient contre son nez leur pubis odorants.
Les gorges profondes se succédaient pour la princesse qui rougissait, ne pouvant à peine respirer, et qui recrachait régulièrement de longs et dégoûtants fils de glaires. Les gardes changèrent de position, ce qui permit à Jasmine de reprendre un peu son souffle. L’un des hommes la souleva en lui passant les jambes autour de ses hanches et s’enfonça en elle. Un autre la contourna et lui pénétra le cul.
Elle fut ainsi longuement baisée en double, suspendue au cou et aux hanches d’un garde, l’anus en permanence ramoné par les autres qui y passaient chacun leur tour. La Princesse, ayan enfin la bouche libre dans cette position, gémissait de plaisir, criait parfois quand un gros diamètre entrait dans son cul, et jouissait, souvent.
Puis ce fût au tour de celui qui la sodomisait de la maintenir en l’air en la soulevant par les genoux, les jambes grandes écartées. Et ce fût alors dans sa chatte que les gardes se succédèrent ensuite. Dans cette position, Jasmine était comme offerte à Jafar qui, a quelque mètre d’elle, se délectait de son visage couvert de bave, les yeux révulsés et la langue pendue, comme si la perversion possédait la Princesse. Quand les hommes prenaient place dans son sexe, elle continuait de regarder son futur mari par-dessus l’épaule de celui qui la défonçait.
Ces regards terriblement excitant ravageaient le Génie, désireux à la fois d’aller défoncer Jasmine à son tour et de massacrer les gardes pour la libérer de cette orgie. Jafar, lui aussi, ne tenait plus devant l’intensité de la scène et se leva à nouveau pour tester les orifices de la Princesse, interruption dont le Génie ne voyait pas l’intérêt.
Alors que les gardes c’étaient écartés et que Jasmine gisait à quatre patte devant son maître, celui-ci éprouva l’élasticité de son cul puis de sa chatte. Cette fois-ci, il pût admirer des trous béants aux diamètres impressionnants et pût enfoncer son poing dans les deux conduits royaux, pour son plus grand bonheur et celui des gardes qui regardaient, impressionnés.
Mais, à la surprise générale, il conclût qu’elle devait être encore plus ouverte et ordonna à ses hommes de reprendre l’orgie et de défoncer Jasmine encore plus fort. Mais les gardes se regardaient, ne sachant pas vraiment quoi faire de plus que baiser et enculer en même temps une traînée. Et c’est Jasmine qui leur vint en secoure :
— Mettez-moi deux bites dans la chatte… Ça va passer sans problème et ça m’élargira sans doute suffisamment pour mon maître.  
Les gardes ne semblaient pas vraiment comment débuter cette double pénétration vaginale et, à nouveau, c’est Jasmine qui leur montra comment faire. Elle demanda à l’un d’eux de s’allonger, se plaça à cheval sur lui, mais orientée vers ses jambes. Elle introduisit sa queue en elle puis s’allongea légèrement sur son amant tout en levant bien haut ses jambes écartées. Par son invitation royale, un autre garde se présenta devant sa chatte et appuya son gland entre le clitoris de Jasmine et la queue de son collègue qui, dans l’attente de la manœuvre, ne bougeait pas. Le gland s’enfonça dans le vagin bien rempli de la Princesse, fît sa place et coulissa le long de l’autre queue. Puis les deux compagnons d’orifice commencèrent à se mouvoir tandis que leurs sexes se croisaient ou se chevauchaient et que Jasmine, aux anges, s’abandonnait au plaisir.
Les autres gardes, d’abord amusés, regardaient avec intérêt leurs deux copains en train de s’activer dans le même trou et se disaient que, finalement, ils essaieraient bien, eux aussi. Jasmine connût alors une nouvelle succession d’amants dans son sexe, dans cette position puis dans une autre, plus classique, où elle était doublement pénétrée par derrière. Certains gardes, pour éviter de trop frotter contre les queues de leurs collègues ou pour varier un peu, retournaient parfois dans l’anus de Jasmine.
Dans cette position, lorsque son vagin était rempli par deux membres en même temps, l’anus de Jasmine était inutilisé mais peu accessible. Évidemment, certains hommes la doigtèrent de ce côté pendant qu’ils la baisaient, la faisant hurler de plaisir. Mais rien d‘autre ne semblait possible. Pourtant, un des gardes voulut tenter le coup. Il enjamba le dos de Jasmine, la plaqua en avant contre le torse d’un collègue et dirigea sa queue vers son cul. Celui qui la baisait par derrière, comprenant le but de l’opération, se recula légèrement pour lui faire de la place, sans pour autant se retirer.

Et à la surprise de la Princesse qui écarquillait les yeux de plaisir et d’appréhension, une troisième queue entra en elle, la sodomisant, certes péniblement, pendant que deux autres lui élargissait la chatte. La Princesse bavait, la bouche grande ouverte, tant la sensation d’étirement, voire de déchirement, était forte… mais terriblement agréable.
Plusieurs gardes se succédèrent alors dans son cul, même si la difficulté de maintien dans cette position ne permettait pas une succession de queue aussi dense que précédemment. D’ailleurs, celui qui la baisait par derrière et contre qui les culs de ses collègues frottaient, commençait à en avoir marre. Il repoussa celui qui enculait Jasmine et se dit que pour être tranquille, il fallait que ce trou soit occupé.
Il souleva le cul de la Princesse, faisant sortit de son vagin son sexe et celui de son pote. Puis il redressa Jasmine vers lui en lui tirant les cheveux et l’empala à nouveau sur le dard de son collègue mais en visant le fion, largement ouvert. Puis, à son tour, il s’enfonça dans le cul de Jasmine, lui offrant ainsi sa première double pénétration anale.
Mais tandis que Jasmine, apeurée, essayait de le repousser, il accéléra et la laboura comme un fou. Jasmine, dont le colon était défoncé comme jamais, pleurait et suppliait qu’il arrête. Le Génie se leva d’abord pour faire cesser cela mais Jafar lui ordonna de rester à sa place. Il ordonna cela dit au garde de se calmer, lui expliquant qu’une femme dont l’anus serait déchiré ne l’intéressait pas vraiment.
L’intéressé, calmé par l’ordre et par les pleurs de sa princesse, se retira pour laisser sa place à un autre et alla remplir le gosier de Jasmine. Les minutes qui suivirent virent donc se prolonger la double pénétration anale, tous les gardes voulant essayer et profiter de cette occasion exceptionnelle.
Mais, enfin, après une orgie dantesque, certains gardes commençaient à montrer des signes de fragilités, étant probablement au bord de l’orgasme depuis un moment. Ils étaient de plus en plus nombreux à prendre un peu de recul en regardant Jafar.
Le Génie comprit qu’il leur avait ordonné de ne pas jouir, sans doute pour mettre en scène un grand final. D’ailleurs, il claqua dans ses mains pour signifier à ses hommes la fin de la séance. Les gardes se relevèrent tous, laissant Jasmine, épuisée, allongée au sol.
Jafar se leva et alla une dernière fois éprouver les orifices de sa future femme. Il dût enfin admettre que l’ouverture de ces derniers était exceptionnelle et qu’il ne pourrait pas avoir plus sans risquer de handicaper durablement sa promise.
Il félicitât donc ses hommes et les autorisa à jouir. Mais alors que le Génie s’attendait à un déferlement de foutre sur le corps de la Princesse, il vit une esclave apporter une grande coupe en or dans laquelle les gardes éjaculèrent les uns après les autres. Des heures de baises et, manifestement, des jours d’abstinence forcée, firent que les hommes jutèrent des quantités incroyables de sperme. Lorsque la quinzaine de gardes qui avaient baisé Jasmine furent soulagés, l’esclave se rendit vers d’autres gardes du palais, qui eux n’avaient pas bougé de toute la séance car devant assurer la sécurité de Jafar, et les branlèrent pour qu’ils remplissent à leur tour la coupe. L’esclave fît ainsi le tour de la salle du trône, allant de garde en garde et revint vers Jafar. La jeune tendit alors la coupe au Génie qui déclina d’abord la proposition d’y ajouter sa contribution.
— Esclave, ajoute ta semence dans cette coupe pour que ta Princesse puisse se désaltérer. C’est un ordre ! lui dit fermement Jafar.
Le Génie se leva donc, sortit sont sexe, évidemment très dur et dont la taille fît ouvrir grand les yeux de la jeune esclave devant lui. Il se masturbât en regardant malgré lui Jasmine qui c’était relevée et observait depuis le début la coupe qui lui était destinée se remplir de plus en plus. Elle ne semblait ni écœurée ni excitée par ce qui l’attendait. Elle était résignée, elle n’était qu’une chienne.
Le Génie éjaculât lui aussi une belle quantité de sperme qui vint s’ajouter à l’impressionnante soupe blanchâtre qui remplissait au tiers la coupe. L’esclave déposa ensuite la coupe par terre, devant le trône de Jafar qui ordonna dans la foulée à Jasmine de venir s’y désaltérer.
— Je me doute, qu’après ces efforts, cela vous fera du bien et vous redonnera de l’énergie car j’ai encore une surprise pour vous, ma chère. Évidemment, en ces temps difficile, il ne serait pas acceptable de gâcher autant de nutriments… Vous veillerez donc à tout avaler, jusqu’à la dernière goutte.— Oui, votre majesté, répondit Jasmine en s’agenouillant et en se penchant vers la coupe.
Le spectacle fût alors affreusement humiliant, avilissant pour Jasmine et dévastateur pour le Génie qui eut grande peine à la regarder. Elle plongea la tête dans la coupe pour aspirer avec ses lèvres de grandes gorgées de foutre. Elle relevait de temps en temps la tête pour regarder Jafar et le Génie en léchant avec sa langue le sperme qui lui maculait la bouche, le menton et le nez. Puis elle retournait boire ce qui allait sans doute constituer son alimentation principale dorénavant. Une fois que le niveau de sperme dans la coupe ne permit plus de l’aspirer, elle lécha les bords et récupéra avec ses doigts la moindre goutte, comme on lui avait ordonné.
Fière d’elle, elle brandit enfin la coupe, absolument propre, à Jafar qui semblait ravi. Il frappa dans ses mains et déclara :
— Esclaves, donner un bain bien chaud à la Princesse pendant que je prépare la salle… Débarrasser-la de toute odeur masculine.
Puis il se tourna face au Génie :
— Tu as vraiment bien travaillé, esclave. Tu peux aller dire un dernier mot à Jasmine pendant que je m’occupe de la suite. Lorsque je t’appellerai, tu me l’emmèneras et tu pourras assister à une scène incroyable. Ensuite, tu seras libre de tout engagement envers moi.— Bien votre majesté, répondit le Génie en sentant une étrange impression de légèreté sur ces épaules…
Dans la salle de bain royale, Jasmine était déjà dans l’eau lorsque le Génie fût autorisé à y rentrer.
— Comment vas-tu, Jasmine ?— Vous ne m’appelez plus « esclave », maître ?— Je ne suis plus ton maître. Et tu es de nouveau ma Princesse. Peut-être devrais-je te vouvoyer à nouveau…— Oh non, maître… Vous êtes et vous resterez l’homme qui a révélé ma vraie nature. Et je serai votre chienne pour toujours. Pour répondre à votre question, je vais bien mais j’ai un peu mal et j’ai la nausée…— Je m’en doute. As-tu pris du plaisir, au moins ?— Oui, beaucoup, j’ai joui un nombre incalculable de fois. Je pense que Jafar est content de moi !— Oui, il semble l’être mais il prépare autre chose et je m’en méfie.— Oh, ne vous inquiétez pas… Vous m’avez bien entraînée et, après cette séance, je pense pouvoir gérer ce qu’il m’a préparé.— Je l’espère. Tu sais, une fois cette « surprise » passée, on ne se reverra plus. Je… te souhaite un beau mariage…— Merci, maître. Mais une fois Reine, je vous ferai appeler pour me baiser. Si Jafar accepte, évidemment.— Évidemment.
Le Génie et Jasmine échangèrent encore quelques mots puis Jafar les fit appeler. On essuya Jasmine mais elle descendit nue dans la salle qui lui était réservée. Lorsque le Génie pénétra dans la pièce, il comprit tout de suite ce qui attendait Jasmine qui, elle, ne semblait pas réaliser.
A suivre...
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