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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 28

Avec plusieurs hommes
Suite :
Le Génie rentra donc chez lui sans Jasmine et il sentait qu’il était en train de l’abandonner en enfer. Cela le ravageait mais que pouvait-il contre Jafar et sa garde ? Sa force inexpliquée et ses « pouvoirs » sexuels ne lui seraient d’aucune utilité, se dit-il en marchant dans les rues d’Agrabah.
Dans la rue, il apprit par le biais de crieurs que la cérémonie de mariage se déroulerait le lendemain, en fin d’après-midi et que Jafar présenterait ensuite sa nouvelle femme au peuple d’Agrabah. Le sultan n’avait pas perdu de temps en faisant annoncer son mariage alors qu’il offrait sa future femme à sa garde et à un cheval…
Lorsque le Génie arriva chez lui, Rose l’y attendait, allongée par terre comme un animal attendant son maître.
— Maître, dit-elle en l’apercevant, vous voilà enfin ! Comme Jasmine est enfin partie, me voilà, entièrement soumise à vos moindre désir. — Enfin partie ?? nota le Génie avec un regard rempli de colère. Tu crois qu’il m’a été agréable de la rendre à Jafar, chienne ?— Je… Je ne sais pas… Mais c’était ce qui était prévu ? — Et ce qu’elle a subit là-bas, était-ce prévu également ? Tu étais au courant de ce qui l’y attendait ?
Rose baissa les yeux et le Génie comprit alors qu’elle savait exactement ce que Jafar allait faire de la Princesse. Il comprit aussi d’où venait ce fantasme de la bite de cheval : Rose avait dû assister à des scènes avec des esclaves qui lui avaient donné envie d’essayé elle-même. Le Génie rentra alors dans une colère noire. Il attrapa Rose par les cheveux et la tira dans la maison. Là, il la ravagea.
Sans qu’elle conteste le moins du monde ce que le Génie lui faisait, Rose fût baisée, molestée et humiliée de la manière la plus extrême qu’elle n’est jamais vécu. A l’image de ce qu’avait vécu Jasmine, le Génie baisa et encula Rose le plus violemment possible en redoublant d’imagination et de perversité. Il la fista tout en l’enculant, l’étouffa avec son sexe à la limite de la perte de connaissance, gifla ses seins, son visage, son cul, sa chatte, l’humilia en lui crachant dans la bouche ou en lui pissant dessus et en l’obligeant à avaler son urine chaude. Le Génie prit notamment énormément de plaisir à faire grossir son sexe de manière démesurée pour donner une fidèle impression à Rose que d’être défoncée par un étalon en rut.
Alors qu’il pensait qu’après un tel traitement, Rose allait s’enfuir, voire même allait aller se plaindre au sultan, le Génie fût surpris de la voir rester et même de le remercier pour tant de plaisir. Elle resta chez lui, à la manière de chienne, durant le reste de la journée, allongée par terre ou suivant le moindre pas de son maître à quatre pattes. Elle ne prononça pas un mot de la journée ni durant la journée suivante, mis à part pour gémir et jouir lors de sa sodomie matinale.
Durant l’après-midi, alors que la ville était en effervescence à cause du mariage royal, le Génie se décida à quitter la ville et ne plus jamais y revenir afin d’oublier Jasmine. Alors qu’il se rendait au marché pour faire des provisions, il croisa Lily qui le convainc de tout de même se rendre à la cérémonie publique.
— Je sais que vous l’aimez, mon ami, mais il vous faut affronter cette épreuve pour elle, argumenta Lily.— Pour elle ?   — Oui, pour elle. Elle sera sans doute humiliée par Jafar qu’elle déteste profondément même si vous lui avez appris à lui obéir, et elle sera face à une population qui n’éprouve plus que du mépris pour elle, voire de la haine. — Et en quoi lui serais-je utile ??
— Elle vous cherchera du regard pour tenir le coup car, elle aussi vous aime, c’est évident. Si elle ne vous voit pas au premier rang, elle pensera que vous l’avez abandonné.— Mais c’est ce que j’ai fait ! — Sans doute… Mais peut-être tout n’est pas encore perdu, ajoute-t-elle en l’éloignant, laissant le Génie seul pour prendre sa décision.
Le soir même, il était au premier rang, devant l’estrade montée sur la place principale d’Agrabah, pour assister à la présentation de la femme de Jafar.
Le sultan fût le premier à monter sur l’estrade, habillée d’une magnifique tenue de mariage blanche et or, le visage finement maquillé et paré de ces plus beaux bijoux.  
— Agrabiens, Agrabiennes, mes chers amis, laissez-moi vous présentez ma femme et votre nouvelle sultane… la Reine Jasmine !  
L’ex princesse fit alors son entrée sur l’estrade sous les huées de la foule, ce qui attrista le Génie. Pourtant, alors qu’elle montait les marches de l’estrade et apparaissait progressivement, il fût subjugué par sa beauté. Elle portait une robe blanche moulante magnifiquement ornée d’étoffes de soie bleues et de bijoux. Ses cheveux étaient noués d’un ruban bleu et or et son visage était maquillé subtilement pour effacer les traces de fatigue dues à une nuit sans doute encore chargée. Décrite ainsi, rien ne pouvait choquer dans cette tenue. Sauf que Jafar avait évidemment apportée des touches personnalisée dans la robe de mariée de Jasmine. L’étoffe qui lui couvrait la poitrine était transparente, si bien que ses seins étaient parfaitement visibles. Son ventre était également nu et son sexe n’était couvert que par un bijou nouant de fine bandes de tissu qui serpentaient vers ses jambes et ses fesses. Même si Jasmine était habillée, on pouvait voir 80 % de son corps.
Malgré la vulgarité évidente de la tenue, malgré les cris scandalisés dans la foule, le Génie sût, à cet instant, qu’il aimait Jasmine plus que tout.  
Jafar commença un long et ennuyeux discours sur l’importance de l’obéissance d’un peuple envers son chef et sur l’importance des valeurs comme le fait que la femme doive servir l’homme. Il déclara que le mariage avec Jasmine s’inscrivait dans ce principe de valeurs et qu’elle était son esclave, sa chienne.
Les huées envers l’ancienne princesse redoublèrent à la grande joie de Jafar et les insultes commencèrent à fuser. Le visage de Jasmine rougissait à vue d’œil car le plaisir montait en elle de manière irrésistible. Elle chercha du regard le Génie et le trouva enfin au premier rang. Celui-ci serra les poings autant pour montrer sa colère envers Jafar que pour dire à Jasmine de résister. Mais elle semblait paniquée :
— Jafar… Maître, chuchota Jasmine, demandez-leur d’arrêter, je vous en prie…— Pourquoi ferais-je cela, chienne ? répondit-il en chuchotant également.— Je… ces insultes… ça me…
Alors qu’elle essayait de trouver ses mots et qu’elle fixait toujours son ancien maître, son corps tremblais de plus en plus et elle serrait les jambes pour s’empêcher de se caresser le sexe. Mais son attitude était troublante pour les gens qui l’insultaient d’autant plus.
« Chienne, catin, bouffeuse de foutre, nymphomane » pouvait-on entendre dans la foule, venant surtout des femmes, outrées de l’attirance que provoquait Jasmine envers les hommes.
— Maître, faites-les taire, pitié… Je vais… craquer…— Tu vas quoi ? Tu… Tu es en train de jouir, chienne ?? — Je… ne peux pas…. me retenir…  Pitié…
Mais alors que l’insulte « princesse salope » commençait à être scandée dans la foule, Jasmine craqua et jouit en plaqua sa main sur son sexe pour dissimuler la marque de mouille sur le tissu et en essayant de ne pas crier. Dans la foute, des gens commençait à se demander ce qui se passait avec elle, ce qui lui prenait.
Jafar reprit la parole et annonça :— Mes amis, Jasmine vient en effet de jouir devant vous uniquement du fait de vos insultes !! — Non, c’est faux ! essaya de répondre Jasmine qui se sentait humiliée devant tout Agrabah— Ha oui ? Et bien nous allons voir…
Jafar se saisi alors des deux mains de Jasmine qu’il brandit en l’air et ordonna à la foule de l’insulter à nouveau. Immédiatement, les pires horreurs furent balancées au visage de Jasmine qui tremblait sur ses jambes. Un second orgasme lui arracha un bref gémissement qui seul le premier rang de la foule, y compris le Génie, entendit. Mais les gens se passèrent le mot et continuèrent de l’insulter provoquant une série d’orgasmes.
Vaincue, Jasmine s’abandonna au plaisir et écarta les jambes. Le nœud qui reliait les bandes de tissus au  niveau de son sexe était trempé et de la mouille coulait sur ses jambes. Elle ne retenait plus ses gémissements et jouissait bruyamment, devant toute sa population.   
Tout en maintenant les deux poignets serrés d’une main, Jafar déchira la robe de Jasmine avec l’autre main, au niveau du nœud de tissu. Le sexe de Jasmine était donc entièrement visible et tout le monde pouvait le voir trembler de plaisir et suinter de mouille en continu. Dans le dos de la Princesse, Jafar sortit son sexe et la pénétra coup sans la prévenir. Jasmine gémit de surprise et de plaisir comme une véritable chienne et se laissa baiser en public. Jafar libéra les bras de sa femme et déchira le tissu transparent qui couvrait sa poitrine. Les gros seins de Jasmine ballottaient donc dans tous les sens alors qu’il la baisait de toutes ses forces.
Les gens continuaient d’insulter la princesse et encourageaient Jafar à la défoncer. C’est d’ailleurs ce qu’il fît en se retirant et en la prenant par le cul sans préparation préalable. Même si l’anus de Jasmine avait été copieusement élargi la veille, l’intromission surprise de la longue queue de Jafar lui arrachât un cri de surprise bientôt suivi par des gémissements de plaisirs.
L’ambiance survoltée de la scène et la pression accumulée dans ses couilles depuis la veille eurent raison de l’endurance de Jafar qui jouit bruyamment dans le cul de Jasmine, la laissant tomber au sol, épuisée.
En se rhabillant, Jafar déclara :
— Le mariage de votre sultan est maintenant consommé. Et pour vous montrer ma gratitude, je vais vous offrir ce que j’ai de plus cher… Ma femme.
Il prit alors Jasmine par les cheveux  et la fît se redresser, provoquant de fait la sortie du foutre contenu dans son fion qui vient couler le long de ses cuisses.
— Jasmine sera à votre disposition sur la grande place d’Agrabah pendant deux jours et deux nuits. Chacun de vous, puissant ou pauvre, vieux ou jeune, pourra venir profiter de sa princesse durant cette période. Ensuite, elle retournera au Palais. Cela vous convient-il, ma bien-aimée ?— Oui…. Mon époux… Je ferai selon vos désirs…
Une salve d’applaudissement vint conclure ce discours et le couple royale disparût derrière l’estrade. Le Génie était bouleversé car Jasmine allait vivre 2 jours d’enfer mais surtout il n’avait pas quitté des yeux la princesse durant l’annonce de Jafar et avait vu dans son regard une réelle terreur de ce qui l’attendait. Elle l’avait ensuite regardé et c’est cette fois le désespoir que le Génie avait lu dans ses yeux.
Le soir même, un carcan était installé sur la place et Jasmine y était attachée, la tête et les bras coincés, le cul tendu en arrière et les jambes maintenues écartées par des chaînes. Elle était entourée en permanence de 4 gardes qui devaient veiller à sa « sécurité ». Deux esclaves étaient également là pour la nettoyer de temps en temps car son aspect allait rapidement se dégrader.
Il se forma rapidement une imposante file d’attente, composée essentiellement d’homme mais aussi de femmes, impatiente de se défouler sur cette salope de Jasmine. Le calvaire de la princesse commença alors que le Génie, à l’écart, ne voyait pas comment la sortir de là. Jusqu’à la tombée de la nuit, les hommes se succédèrent dans sa chatte et son cul, tandis que les femmes venaient pour lui cracher au visage ou lui pisser dessus. Jasmine avait commencé par jouir et apprécier (dans une certaine mesure) ces traitements mais, le temps passant, souffrait de plus en plus et ne pensait plus qu’à une chose : mourir, pour que tout s’arrête.
Le Génie décida d’agir et se rendit au bordel puis à l’APJ.
A suivre...
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