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Jazz au Portugal

Chapitre 1

Zoophilie
Jazz au Portugal !
Antoine et Brigitte sont un couple de jeunes retraités ; ils ont l’un et l’autre 62 ans, une belle santé, un physique que beaucoup leur envieraient au même âge et comme bon nombre d’entre eux ils ont suivi la mode qui consiste à s’installer au Portugal ; certes, ils en ont les moyens mais ils auraient eu également les moyens de rester en France dans ces belles régions que beaucoup d’étrangers nous envient. Allez comprendre !
Ils ont eu une vie riche et agréable, ce fût un couple uni et amoureux malgré quelques coups de canifs dans le contrat pendant leurs 37 ans de vie commune, mais sans réelles répercussions négatives sur le couple.
Ils ont laissé en France famille et amis, mais ce que les publicités immobilières ne disent pas c’est le risque de se retrouver seuls avant de se reconstituer un nouveau réseau d’amis. C’est le cas d‘Antoine et Brigitte qui s’ennuient un peu et qui, sur un coup de tête, décident de se procurer un chien qu’ils achètent au chenil de la petite ville voisine. L’élu est un Labrador retriever de deux ans couleur sable qui répond au nom de « Jazz » qui ne fût pas abandonné mais déposé par ses propriétaires qui partaient pour le Brésil.
Jazz est sympa, calme, et ne quitte pas d’une semelle soit l’un soit l’autre de ses nouveaux copains, de peur sans doute de se retrouver à nouveau dans une cage d’un mètre carré. A sa décharge, il faut dire que le couple lui non plus ne le quitte pas des yeux, tout heureux de leur acquisition.
Antoine et Brigitte ont gardé une vie sexuelle active et diversifiée, aucun tabou ne vient entraver leurs ébats ce qui, pour un couple de cet âge, pourrait paraître hors normes à certains ; ainsi, au bord de la piscine, nus comme des vers, Ils s’emploient activement dans un 69 de haut vol, lui dessous, elle dessus, sans se soucier vraiment de la présence de Jazz ; celui-ci n’a pas réellement connu les choses du sexe, une seule fois une chienne en chaleur s’était approchée de lui dans son ancien jardin, il avait alors ressenti son sexe grossir et sans savoir vraiment de quoi il retournait, ses anciens maîtres avaient chassé l’intruse, il était alors retourné à sa niche en se léchant la bite, restant puceau.
Il voit ses nouveaux maîtres dans une position étrange, mais surtout certaines odeurs viennent chatouiller sa truffe qui lui rappellent vaguement quelque chose ; les narines au vent inquisitrices essaient de capter les effluves en s’agitant dans tous les sens alors qu’il ressent son pénis sortir timidement de son fourreau ; de là où il se trouve il voit Brigitte s’agiter sur un objet long et épais, comme si elle mangeait une banane, mais ça n’a pas l’odeur de la banane ! Intrigué il se lève, se secoue énergiquement et vient voir de plus près de quoi il retourne ; Brigitte lâche la bite d’Antoine et l’entend dire :
— Jazz, qu’est-ce que tu fais là ?
Mais il ne comprend pas cette langue bizarre que ses nouveaux amis parlent et comme elle n’a pas l’air en colère il s’approche et attiré par une odeur singulière, se met à lécher ce bâton de chair où se mélange salive et liquide pré-séminal et lui trouve un goût agréable. Antoine qui ne voit rien, la langue dans la grotte de Brigitte et le nez sur son anus demande la voix pâteuse :
— Que se passe-t-il Brigitte ?— C’est Jazz qui te lèche la bite, mon chéri, répond-elle en éclatant de rire !
Confrontés pour la première fois à ce type de situation ils délaissent leur 69, s ‘assoient face au chien et semblent lui demander ce qu’il recherche ; Jazz est assis lui aussi et les regarde, interrogatif, sa langue en mouvement récupère le reste de sa récolte. Antoine et Brigitte se tiennent la main, hébétés, voyant l’un et l’autre se profiler des jeux sexuels inconnus à ce jour ; ils sont attirés par le sexe de jazz qui, cette fois, sort très nettement de son fourreau excité qu’il est par une autre odeur qui lui titille la truffe, celle du vagin de Brigitte plein de cyprine qui dégouline dans l’herbe ; tout naturellement il la lèche d’abord difficilement puis plus facilement lorsqu’elle s’allonge et écarte les cuisses pour lui en faciliter l’accès ; à voir sa femme succomber sous la langue du chien, Vincent est cloué sur place, non par une quelconque jalousie mais par l’ardeur que mettent l’un et l’autre à ce cunnilingus d’un genre particulier !
Il bande comme un taureau et ne peut résister à l’envie de se faire sucer cette queue bien vaillante par Brigitte qui l’engouffre avec l’appétit d’une morte de faim ! Drôle de trio ! L’un et l’autre savent que ce type de relation existe, mais ils étaient à cent lieues de penser que cela puisse leur arriver ; et ni l’un ni l’autre n’avait imaginé ce type de relation lorsqu’ils ont acheté Jazz. Brigitte est particulièrement agitée, la langue du chien faisant son œuvre, les spasmes d’une jouissance agitent ce corps mature mais réceptif, elle lâche la bite de Vincent et lui dit :
— Putain Vincent, cette langue me fait jouir !— Je vois ça ma chérie, de mon côté, à vous voir, ça ne va pas tarder non plus !
Joignant le geste à la parole, Vincent se branle au-dessus de Brigitte et son sperme arrose les seins de sa femme ; un peu cochonne, elle en attrape avec les doigts et les lèche avidement et dit à Vincent
— Toujours aussi bon, mon chéri ; je ne voudrais pas te contrarier mais la langue de Jazz comparée à la tienne, c’est le jour et la nuit, jamais elle ne m’a fait autant d’effet !— C’est sympa, merci !
Jazz, attiré par le sperme de Vincent vient en lécher le restant sur les seins de Brigitte et le couple peut apercevoir avec stupeur le pénis du chien, énorme, rougeâtre, veiné de vaisseaux sombres, secoué de mouvements saccadés éjectant de temps à autre des jets de sperme quasi transparent. Ils se regardent décontenancés, les yeux de Brigitte se transforment en points d’interrogation que Vincent interprète par :
— Tu crois que je peux le sucer ?— Vas-y ma chérie, si tu en as envie, moi ça va me faire bander, j’en ai justement besoin.— Tu as vu comme il est gros et long ?— C’est vrai que comparé au mien, il en impose !
Brigitte se met sur le dos et se glisse sous les couilles du chien, prend le braquemart à pleine main et dirige l’embout vers sa bouche grande ouverte, soulève sa tête pour le gober et lui fait la fellation dont Jazz se souviendra ; Vincent s’empare de son téléphone et filme la scène, il sent sa bite reprendre du volume, dirige l’objectif vers la vulve de sa femme et la filme en train de taquiner son clitoris ; c’en est trop, il laisse tomber le téléphone et introduit sauvagement sa bite dans la grotte si souvent explorée de son épouse ; il peut la voir, tremblante, le sexe animal enfourné, les lèvres débordantes de sperme canin, les yeux révulsés, reprendre son souffle à intervalles réguliers puis rassasiée, lâcher enfin cette bite monstrueuse toujours agitée de spasmes incontrôlés. Vincent lui aussi se retire et devançant les pulsions de sa femme il lui demande de se mettre à quatre pattes !
— Vincent, tu veux qu’il me baise ?— Bien sûr ma chérie, tu ne vas pas t’arrêter en si bon chemin !— Mais il va me défoncer ?— Mais non, nous avons déjà regardé des vidéos zoophiles, ça se finit toujours très bien et ne fais pas ta mijaurée, je suis certain que tu en meurs d’envie !
C’est vrai qu’elle en a envie, une seule chose la perturbe c’est le moment où le chien va se bloquer en elle, elle craint que sa boule ne lui fasse mal.Vincent attire Jazz vers les fesses offertes de sa femme et instantanément le chien se soulève et entreprend d’enfiler Brigitte maladroitement ; c’est Vincent qui s’empare de sa queue et l’introduit dans la chatte déjà bien juteuse. Jazz semble réfléchir un instant, le souvenir de la chienne lui chatouille les neurones, aurait-il connu les mêmes sensations avec elle, la chatte qu’il investit aurait-elle été la même ? Mais l’instinct reprend le dessus et il met en route une succession de va et vient que Brigitte encaisse avec ferveur, cet énorme bite lui rappelant un instant les concombres qu’elle s’enfilait lors des longues absences de Vincent, mais l’engin glisse agréablement grâce aux giclées de sperme qui inonde sa caverne.
Jazz semble ne jamais en finir lorsque brusquement il s’arrête ; Brigitte ressent tout à coup une grosse boule se former à l’entrée de sa chatte ; elle sent ses chairs se distendre, s’écarter, mais rien de vraiment douloureux comme elle le craignait ; la queue du chien continue de gicler et l’orgasme gagne insensiblement le bas-ventre de Brigitte qui explose en borborygmes incompréhensibles. S’ensuit une longue attente, Jazz voulant assurer la pérennité de son œuvre et ne ressort sa bite que de nombreuses minutes après dans un « sploch » disgracieux. Le vagin de Brigitte rejette une partie du sperme canin qui dégouline le long de ses cuisses ; dans un geste chevaleresque Jazz vient le nettoyer et va se coucher à quelques pas.
Vincent qui n’a rien raté est troublé, il se demande si tout cela est bien réel, mais il bande et sans se poser trop de questions il approche le fessier de sa femme qui n’a pas bougé, prostrée dans un état second, et pénètre violemment la chatte, façon de dire à Jazz que c’est sa propriété et qu’il entend bien la conserver ; il se décharge presque aussitôt de sa semence en bien moindre quantité.
Sans dire un mot, tous deux lèvent et sautent dans la piscine dans un geste purificateur.Ils en ressortent quelques minutes plus tard et entament la conversation sur ce qui vient de se passer ; Brigitte dit :
— Tu crois que ce que je viens de faire soit bien raisonnable ?— Raisonnable, je ne sais pas, mais tu as pris ton pied et dans une moindre mesure moi aussi ! La question est de savoir si nous en faisons un cas unique ou si tu as l’intention de remettre ça ?— Jazz y a goûté une fois, je crains qu’il ait envie de recommencer.— Tu as sans doute raison, et est-ce que tu en as envie ?— Là, tout de suite, non, mais tu me connais, j’ai toujours beaucoup de mal à refuser les avances masculines.— Dans ce cas, laissons venir les évènements, c’est Jazz qui décidera. Dans un premier temps essaie de ne pas trop l’aguicher !— Une petite pointe de jalousie, tu crains que je finisse par préférer sa bite à la tienne ?— Ne sois pas idiote, tu sais très bien que malgré nos petits écarts respectifs nous sommes toujours revenus l’un vers l’autre et ce n’est tout de même pas le chien qui va mettre fin à notre vieille entente.
Ils décidèrent toutefois de dresser Jazz de manière à ce qu’il n’ait pas de pulsions envers Brigitte n’importe où, n’importe quand. Le chien, bon enfant, appris vite que baiser Brigitte relevait d’un cérémonial précis et que tout écart le voyait priver de sa friandise préférée.
Vincent participait à chaque fois, Brigitte appréciant particulièrement lorsque le chien et son mari jouissaient, l’un à jets continus et en grande quantité dans sa chatte, l’autre en quelques giclées et plus modestement dans sa bouche. C’était pour elle une satisfaction troublante de recueillir ces éjaculations simultanées une sorte de domination de deux mâles qui lui rendaient hommage en même temps. Dans les premiers temps les séances avec Jazz étaient quasi quotidiennes, nouveauté oblige, mais ce sont limitées ensuite à une ou deux par semaine, laissant à Brigitte et Vincent le temps de s’occuper d’eux, seuls.
Le soleil, la mer, l’amour, tout semblait donc aller pour le mieux dans le meilleur des mondes et le Portugal, seconde patrie de ce couple, tenait finalement ses promesses.
A suivre.
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