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Jazz au Portugal

Chapitre 2

Zoophilie
Jazz au Portugal ! (2)

Brigitte et Vincent sont allés se présenter chez leurs plus proches voisins, français, bien entendu, Paul et Joëlle qui sont installés depuis deux ans ; légèrement plus jeunes ceci s’expliquant par le fait que Paul était chef d’entreprise et qu’il l’a vendue justement pour pouvoir partir en retraite.

Les deux couples s’entendent à merveille ; Joëlle est une jolie femme, grande, qui a su garder la ligne alors que Brigitte est légèrement plus enveloppée et plus petite ; lors de leur première rencontre le courant est passé et les voisins sont rapidement devenus amis.

Vincent et Paul ont choisi de sortir en mer avec un pêcheur local, alors que les femmes ont décidé de passer la journée à la piscine chez Brigitte.
Partis aux aurores les hommes ont laissé les femmes seules, Joëlle a rejoint Brigitte un peu plus tard dans la matinée ; après avoir pris une tasse de thé sur la terrasse en papotant, ces dames décident d’aller se baigner ; Brigitte prévient Joëlle qu’avec Vincent ils ont l’habitude de se baigner nus et lui demande si elle y voit un inconvénient : pour toute réponse elle se met à poil dans la seconde qui suit.

Les deux femmes matures en profitent pour jeter un regard inquisiteur sur le corps de l’autre ; certes, ce ne sont plus des mannequins post adolescentes, mais chacune a encore son charme, sa féminité, son sex-appeal, qui feraient bien les beaux jours de certains de ces messieurs en manque de consommation sexuelle. Chacune a gardé sa fourrure pubienne ce qui ajoute une note rétro à ces corps d’hier et les porte avec majesté.

Après avoir nagé quelques minutes les nymphes sexagénaires se sont étendues sur l’herbe d’un vert britannique, et sèchent silencieusement sous le chaud soleil d’Algarve. Joëlle perçoit comme des geignements qui proviennent de la remise voisine et s’en inquiète auprès de Brigitte :

— Tu entends ces pleurs, on dirait ton chien ?
— C’est lui, je l’ai enfermé dans la remise pour ne pas qu’il vienne nous ennuyer.
— Pauvre bête, tu es dure avec lui !

— Disons que je le connais et que je crains qu’il ne soit un peu trop entreprenant !
— Qu’entends-tu par-là ?
— C’est un peu gênant, il a tendance à s’exciter à la vue et à l’odeur de jolies femmes !
— Tu veux dire qu’il a envie de les baiser ?
— Tu as tout compris !
— Putain, Brigitte, fais-le sortir, ça m’excite terriblement.
— Je veux bien, mais je t’aurais prévenu !

Brigitte se lève et se dirige vers la remise ; dès que la porte s’ouvre Jazz bondit comme un fou, s’ébroue et saute sur elle comme pour la remercier ; elle le calme, il aperçoit Joëlle et se dirige vers elle, l’œil interrogateur, la démarche hésitante, et s’assied près d’elle ayant l’air de réclamer une caresse qui le rassurerait ; ce qu’elle fait dans l’instant qui suit, parcourant son pelage de longues flatteries qui met Jazz en confiance ; Brigitte les rejoint et s’assied près d’eux, remarquant que la main de Joëlle a tendance à s’approcher du fourreau de Jazz dont le bout de la bite commence à sortir ; Brigitte la trouve tout à coup bien entreprenante et sûre d’elle, le chien apprécie sa respiration accélérée et sa langue pendante et baveuse, quant à son pénis il est cette fois largement sorti de sa gaine.

— Je craignais que ce soit lui qui te saute dessus, mais je vois que c’est l’inverse, tu as déjà baisé avec des chiens ?
— Non, mais j’en rêve depuis longtemps, avec Paul on regarde quelquefois une vidéo sur la zoophilie et sans lui dire, je fantasme sur ce type de relation ! Et toi, tu as déjà baisé avec lui ?
— Oui, avec l’accord et l’aide de Vincent, c’est difficile à expliquer, un peu irréel, mais j’ai joui comme jamais !
— Tu me mets en appétit, par quoi tu as commencé ?
— Suces-le d’abord, tu vas pouvoir mesurer comme sa bite grossit.

Dans un premier temps Joëlle hésite, elle jauge ce pénis tout rose, en érection progressive, quelques gouttes d’un liquide transparent jaillissent de temps à autre ; Brigitte met son chien sur le dos et invite son amie à prendre en bouche le pénis de Jazz qu’elle lui présente ; une dernière hésitation et elle plonge bouche ouverte vers ce curieux engin qui rappelle de loin la bite humaine. Pendant qu’elle se livre à une franche fellation, Brigitte regarde avec convoitise ce corps qui l’attire et lui caresse un sein alors que son autre main s’active sur la raie des fesses ; n’osant aller plus loin elle préfère demander à Joëlle si elle veut bien ?

— Continues, tu me fais du bien répond-elle!

Brigitte ne se le fait pas dire deux fois, attirée qu’elle est par ce corps harmonieux, même si quelques rides çà et là pourraient laisser croire qu’il est trop tard pour jouer avec, elle n’en a cure et bien au contraire elle sait qu’elle peut lui apporter les jouissances qu’elle réclame pendant que la bouche de Joëlle produit son effet sur le pénis du chien devenu énorme, violacée, strié de vaisseaux plus sombres , plus rien à voir avec la guimauve de tout à l’heure ; ses lèvres laissent échapper ce liquide diaphane qui dégouline sur les couilles rétractées de Jazz ; à l’autre extrémité du corps de Joëlle la langue de Brigitte parcourt la raie des fesses légèrement boisée de sa copine ; elle va et vient lentement de la corolle contractée de l’anus jusqu’à son clitoris gonflé, happant au passage la cyprine de la petite fontaine qu’est devenue sa chatte ; jetant un regard vers le chien elle aperçoit son énorme braquemart et dit à Joëlle :

— Je crois qu’il est prêt ; il va pouvoir te baiser maintenant ! Tourne-lui le dos et reste à quatre pattes, normalement il devrait comprendre et venir par derrière pour te baiser.

Joëlle s’exécute et Jazz comme le prévoyait Brigitte vient se placer face au cul de la belle mâture, un regard vers Brigitte comme pour lui demander la permission et monte sur le fessier, la bite démesurée allant de droite et de gauche cherchant l’entrée de la grotte au milieu de la forêt de poils, la trouve et s’introduit brutalement arrachant un cri de douleur ou de surprise à Joëlle. Jazz s’en donne à cœur joie, sans doute le fait qu’il se rend compte qu’une deuxième source de plaisir se présente à lui, il se démène comme un fou dans cette nouvelle chatte et la trouve tout à fait bandante, il se fiche d’ailleurs du physique de la belle, ce qui compte pour lui c’est d’assouvir ces envies bestiales comme le font d’ailleurs certains humains à qui la bite sert de cerveau.

Joëlle est sous le choc, la grosseur du sexe, la fougue de la pénétration, la rapidité des va et vient l’ont tétanisé et elle ne sait pas encore que le meilleur reste à venir. Jazz s’arrête net, elle n’a pas le temps de reprendre sa respiration qu’elle ressent la boule du pénis dilater l’entrée de son vagin et en bloquer l’issu. Elle se pose la question de savoir si Jazz va pouvoir ressortir et quand ? Brigitte la rassure mais excitée comme une puce de voir sa copine se faire baiser parle chien, elle approche sa chatte de la bouche de Joëlle qui sans hésiter se met à lui lécher sans retenue ; la boule de Jazz semble s’éterniser à l’entrée du vagin de Joëlle qui demande combien de temps cela peut durer ?

— Un petit quart d’heure, mais ne t’inquiète pas, elle finit toujours par ressortir ! En attendant continue à me lécher je sens que tu vas me faire jouir.

C’est exactement ce qui arrive, Brigitte se tortille et glousse sous les caresses linguales de sa copine et Jazz en profite pour quitter la caverne pleine de son sperme qui en rejette une bonne partie accompagnée de bruits d’évier qui se vide. (Pas très romantique mais je n’ai pas trouvé mieux).

Les deux femmes quittent l’herbe et vont se détendre dans les transats. C’est à ce moment que leurs maris reviennent de la pêche, ils semblent fatigués par cette journée en mer mais reprennent de la vigueur en apercevant leurs femmes nues les jambes écartées montrant ostensiblement leurs chattes ouvertes et manifestement très humides ; chacun d’eux scrute avec envie la femme qui n’est pas la sienne, ils se déshabillent et avant toute chose vont piquer une tête dans la piscine. Les dames s’assoient sur la margelle cuisses largement écartées pour montrer, un peu salopes, qu’elles sont prêtes à les accueillir ; ce n‘est pas le genre d’hommes à se poser trop de questions sur ce genre de sujet et ils s’approchent, Paul entre les cuisses de Brigitte, Vincent entre celles de Joëlle.

Pendant qu’elles se font brouter le minou les deux femmes se regardent, souriantes, appréciant ce moment de haute intensité sensuelle, elles savourent franchement que ce ne soit pas le mari habituel qui leur lèche la chatte. Quant à Paul et Vincent, leurs têtes enfouies dans l’entre cuisses, on ne peut pas connaître leurs impressions, mais gageons qu’ils se régalent.

D’un commun accord ils sortent de l’eau leurs bites en porte-drapeaux, les femmes d’un coup d’œil jaugent la bite inconnue, celle de Vincent longue mais pas très épaisse, contrairement à celle de Paul plus courte mais trapue, elles  s’allongent dans l’herbe et réceptionnent l’hommage de ces gaillards avec l’appétit de nonnes cloîtrées ; Vincent trouve que la chatte de Joëlle lui semble bien trempée, mais pris par l’action il ne s’arrête pas à cette considération, quant à Brigitte elle apprécie le pénis de Paul qui lui rappelle celui de Jazz en plus court. Ce quatuor de sexagénaires bien fringuant joue sur le gazon une petite musique de chambre à un rythme soutenu, les hommes ramonant les chattes dans un sprint effréné, les femmes se tenant la main, hoquetant sous les secousses, quelques notes aigues perçant le silence du soir ; les orgasmes qui s’ensuivent laissent les interprètes dans un demi-coma que d’aucuns décrivent comme la petite mort.

Comment ces deux couples ont-ils pu changer de partenaires sans même se concerter ? Chacun d’eux se pose la question et n’ont d’autres réponses que le sexe échappe à tout raisonnement rationnel et que les pulsions qui en découlent sont incontrôlables. Jazz ne se pose pas ce genre de questions, il a assisté à la scène, stoïque ; les hommes ayant laissé le champ libre il s’approche de ces dames et leur lèche le minou se demandant pourquoi Vincent et Paul ne l’ont pas fait, il attribue cela à une désinvolture inqualifiable. Ceci fait il se couche entre Joëlle et Brigitte.

Les messieurs reviennent de la maison toujours à poil, les couilles et la guimauve ballotant entre les cuisses, un plateau, des verres, des glaçons et une bouteille de Scotch à la main. Aucun d’entre eux ne semble gêné par ce qui vient de se passer et les doubles Scotch largement servis par Vincent ont tôt fait de les désinhiber s’il en était besoin.

Il semble que les partenaires récents se soient appréciés puisque Paul se colle à Brigitte et Joëlle a la tête posée sur le ventre d’Antoine, allongé ; et Jazz dans tout ça ne sait plus trop où donner de la tête et se demande s’il ne ferait pas mieux de retourner dans la remise, mais il n’en fait rien et trouve une place au beau milieu de ces corps amalgamés ; la pêche en mer est au centre de la discussion avec diverses anecdotes lorsque Paul demande tout à coup :

— Et vous les filles, quel a été votre programme ?

Un long silence s’installe; empruntées, les filles vident un peu plus leurs verres et finalement Brigitte se jette à l’eau :

— Il a fait si beau que nous avons passé le plus clair de notre temps au bord et dans la piscine avec Jazz qui nous a tenu compagnie.

Vincent fait immédiatement le lien entre Jazz et le fait qu’il ait trouvé la chatte de Joëlle détrempée et sans vraiment réfléchir aux conséquences demande :
— Et comment s’est comporté le chien ?
— Pourquoi poses-tu cette question, il a l’air parfaitement calme, demande Paul ?

Au malaise qui s’ensuit, Paul comprend que quelque chose lui échappe et dit :

— Quelqu’un peut-il me dire quel est le problème ?

Brigitte prend son courage à deux mains et part dans un long monologue décrivant les aventures du chien depuis son achat jusqu’à cet après-midi ; Joëlle est pétrifiée, Jazz devinant que l’on parle de lui dresse les oreilles, Paul d’abord incrédule voit sa bite prendre du volume, imaginant sa femme se faire baiser par le chien, celle de Paul lui emboîte le pas au grand soulagement des femmes, et le brave chien, héros sans le vouloir, se lève pour lécher les queues des garçons, redevenues présentables.
Paul se dirige vers sa femme qui ouvre largement ses cuisses pour y accueillir sa belle pine, Jazz s’empresse de sauter sur Brigitte qu’il n’a pas encore honoré aujourd’hui, il reste à Vincent le triste privilège de masturber ou de se servir un autre double Scotch…Il opte pour le Scotch !

A suivre.

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