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Jazz au Portugal

Chapitre 3

Zoophilie
Jazz au Portugal ! (3)

Paul et Joëlle sont rentrés chez eux après cette journée chaude en émotions. Il fait remarquer à sa femme qu’il aurait préféré être présent lorsqu’elle s’est faite baisée par le chien, un reproche à peine camouflé, teinté d’une pointe de jalousie, alors qu’il ne semble pas affecté par ses parties de jambes en l’air d’abord avec Brigitte puis ce soir avec Vincent.
Joëlle, excédée par le ton que son mari emploie lui rétorque :

— Tu ne vas tout de même pas être jaloux d’un clébard ?
— Eh bien si, justement ; lorsque tu baises avec Brigitte ou Vincent tu me trompes, ça fait partie des choses de la vie, mais baiser avec un chien est inqualifiable !
— Tu as bien bandé quand Brigitte a raconté l’histoire de Jazz et ensuite ça ne t’as pas gêné pour me sauter dessus et de me baiser après Vincent. Tu es simplement jaloux de sa grosse bite !
— Ne sois pas stupide, essaies de comprendre ce que je dis, Ce n’est pas normal, c’est tout.
— Alors d’après toi ce n’est pas normal qu’il m’ait fait jouir comme jamais ?
— Tu m’énerves, je vais me coucher !

Chacun aura compris qu’il y a de l’eau dans le gaz au sein de ce couple. Mais cela va se gâter un peu plus lorsque Joëlle reçoit un appel de Brigitte qui lui demande s’ils peuvent garder Jazz quelques jours, le décès d’un vieil oncle les rappelant en France. Joëlle hésite un moment et dit à Brigitte qu’elle va en parler à Paul et qu’elle la rappelle.
Paul est vent debout devant cette éventualité, mais Joëlle arrive à le convaincre, arguant qu’il serait inconvenant de refuser ce service à des amis. Paul émet toutefois une réserve :

— Si le chien essaie de te baiser, je le mets dehors !

Paul a toutefois fait bonne figure lorsque Brigitte et Vincent ont amené Jazz. Le chien briefé par ses maîtres se comporte comme un gentleman et ne pose aucun problème au couple, ce qui détend un tant soit peu l’atmosphère.

Mais le soir au lit, Joëlle a beau user de tous ses talents, Paul se refuse à ses avances. Un matin elle descend à la cuisine préparer le petit déjeuner en nuisette. Lorsque Paul arrive il a sous les yeux le cul fascinant de sa femme, sa trique matinale quelque peu ramollie reprend vigueur et il plaque Joëlle contre le plan de travail, sa queue logée dans la raie des fesses. Celle-ci par des mouvements ondulants se fait désirer plus encore exacerbant les convoitises de Paul ; il pointe son gland sur la vulve de sa chérie et la pénètre sauvagement la soulevant de terre ; il la baise violement à la hussarde, puis reprend une cadence plus civilisée ; à ce moment il sent une présence derrière ses fesses, la langue râpeuse de Jazz lui lèche les couilles et le cul ; un instant décontenancé, il souffle à l’oreille de sa femme qui n’a rien vu :

— Putain, chérie, le chien me lèche les boules et l’anus !
— Et alors, mon amour, comment tu trouves cela ? lui demande Joëlle sur un ton narquois.

— Ne te fous pas de moi !
— Je la sens moi aussi sur mon clito, putain c’est bon ! Allez, avoues, dis-moi que ça t’excite ? Dis-moi que tu as envie qu’il continue.

Abdiquant en partie, il avoue qu’effectivement ça lui procure des sensations curieuses qui le font bander encore plus et lui donne envie de la baiser encore et encore. Tous les deux jouissent synchrone dans une débauche de cris et de grognements. Lorsqu’il se retire sa bite gluante de sperme est nettoyée vite fait par Jazz qui prend ensuite en main la chatte de madame. La volonté de Paul de virer Jazz s’il baisait Joëlle s’évanouit au profit d’un regard lubrique sur le cul de sa femme et la langue du chien qui récupère son sperme qui dégouline de sa chatte. La bite de Paul redevenue flasque se redresse à cette vue et il convient en son for intérieur que ce cabot et sa femme le font bander. Elle a compris que Paul ne mettrait pas ses menaces à exécution et se met à quatre pattes, le chien lui grimpe dessus dans la seconde, son pénis cherche l’entrée de la vulve, la trouve et il se déchaîne dans le vagin de la belle qu’il pilonne à toute allure avant de stopper net.

Paul a pris son portable et filme la scène ce qui l’excite au plus haut point. Il filme la boule qui se forme à l’entrée du vagin de Joëlle, puis le chien bloqué, il vient devant sa femme et filme son visage, ses rictus, son sourire furtif, la sueur qui perle sur son front et enregistre les sons bizarres émis par sa gorge en feu.

A ce moment, pour une raison inconnue, le chien fait volte- face et Joëlle et lui se retrouvent cul à cul, la bite de Jazz toujours ancrée dans le vagin de la belle mâture. Paul se déplace et au-dessus d’eux pour filmer cette nouvelle position, il aperçoit l’anus de sa femme comprimé par le vagin écartelé par la boule de Jazz ; dans un geste un peu fou il chevauche le couple soudé et pose son gland contre le cul de Joëlle et le pénètre à minima sous les cris déchirants de sa femme :

— Putain Paul, tu ne vas pas m’enculer maintenant !
— Juste le gland ma chérie, juste le gland.

C’est à ce moment que Jazz s’éjecte de la chatte qui déborde de sperme canin, la place libérée permet à la bite Paul de s’enfoncer profondément dans l’anus ; Jazz vient lécher la chatte tuméfiée et détrempée de sa chienne de service, au passage les couilles et l’anus de Paul en profitent à sa grande satisfaction, qui s’est vite converti à la zoophilie qu’il reprochait hier encore à sa femme. Dans le même temps il ramone la cheminée anale de Joëlle qui n’en peut plus après les ravages subis dans sa chatte par l’énorme chibre du chien, c’est la queue de Paul qui lui lime le cul. Aux saccades de cette bite bien-aimée elle sent tout à coup qu’il se vide les couilles, un ultime orgasme lui arrache ses derniers grognements, Paul se retire et elle s’affale sur le carrelage, détruite par cette frénésie de sexe.Plein de compassion il la prend dans ses bras, la monte dans la chambre, la dépose sur le lit et la couvre de baisers. Joëlle s’assoupit, lorsqu’elle ouvre un œil, le plateau de petit déjeuner est posé sur le lit prêt à être dégusté.

Le soir, sur la terrasse, devant un verre de vin du cru ils regardent le film du matin avec la star Jazz, la tête de Joëlle nichée contre l’épaule de Paul tels deux jeunes amoureux. Des doigts graciles furètent l’entre jambes de Paul, s’immiscent entre son short et la cuisse, captent le pénis aimé ; les images ont fait leur effet, il est tendu, raide, dur, et le masturbe doucement tandis que la vidéo se termine. A genoux entre les cuisses de Paul elle rend hommage à cette queue mille fois sucée, branlée, son index s’évade derrière ses couilles et caresse une seconde son anus avant de l’introduire dans le cul de Paul qui aime ce câlin particulier et Joëlle le sait bien. Jazz est à leurs pieds mais ne bouge pas laissant les amants à leur intimité. La bouche gloutonne quitte la queue et Joëlle lui demande :

— Tu aimerais…, ce soir ?

D’un signe, il fait signe que oui, ils se lèvent et se dirigent vers la chambre, se mettent nus et tandis que Paul se met sur le lit elle prend un gode ceinture ; c’est leur petit secret, Paul est bi mais tous deux préfèrent que cela reste entre eux et c’est donc elle qui va l’enculer comme ils le font régulièrement. Il a eu de temps en temps des amants occasionnels, mais depuis qu’ils sont au Portugal ils ont opté pour cette solution qui les unit un peu plus encore et ça reste très discret.

A quatre pattes sur le lit Paul ressent les premiers effets de sa femme qui lui lèche l’anus, sa langue aiguisée titille sa rondelle et s’introduit par petites touches dans son anus le mouillant de salive. Puis Paul se remets sur le dos, écartent les cuisses et, en missionnaire, accueille le gode que sa chérie introduit dans son intimité ; elle le baise calmement tout en le masturbant à la même cadence la main autour de sa queue.

Jazz qui passait par là rentre dans la chambre et regarde ce curieux attelage, il s’assied et se pose des questions qui restent sans réponses et en conclut que dans la famille des mammifères, les humains sont tout de même des individus très bizarres, le mâle à la place de la femelle et inversement, ça dépasse ses capacités de réflexion! Décontenancé, il redescend au salon.
 
Joëlle accélère sensiblement ses mouvements, le gode pénètre le cul de Paul presque entièrement, son corps se tortille sous l’effet de l’orgasme qui le submerge, la branlette de Joëlle porte ses fruits, ses couilles se vident, le sperme recouvrant la main de sa femme ; elle se retire, se débarrasse de ce gode encombrant, s’allonge sur lui, l’embrasse, heureuse de l’avoir fait jouir.

Brigitte et Vincent ont annoncé leur retour par SMS le lendemain. Dans le courant de l’après-midi ils arrivent fatigués par la longueur du trajet. Jazz leur fait la fête, Paul et Joëlle les embrasse et leur offre un rafraichissement sur la terrasse ombragée. Après les premières paroles banales de circonstance la discussion se porte sur Jazz et son comportement. Tout comme l’autre fois un court silence parle mieux qu’un long discours et fait comprendre aux arrivants qu’il s’est passé des choses qui leur paraissent encore inavouables ; c’est Brigitte, curieuse, qui essaie de détendre l’atmosphère en disant :

— Allez Joëlle, raconte nous si Jazz a été coquin ?

Celle-ci rouge de honte jette un regard désespéré vers son mari, l’appelant au secours.

— Je vous confesse, dit Paul, que je n’étais pas très heureux d’avoir appris par Joëlle qu’elle avait participé avec Brigitte et Jazz à une partie zoophile.

Comme l’avait fait Brigitte quelques jours plus tôt, il se lance dans un long récit de son couple baisant avec le chien pendant leur absence, mais garde pour lui le petit extra seul avec safemme. La curiosité de Brigitte satisfaite, ils remercient leurs amis d’avoir bien voulu garder Jazz et rentrent chez eux se reposer.

A suivre.
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