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Jean, sa nièce et l'amie de sa nièce

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Jean et sa sœur ainée Catherine se disputent comme d’habitude sur la vie de patachon que mène le jeune homme. — Quand te décideras-tu à te marier au lieu de papillonner de droite et de gauche. T’as pas envie de fonder une famille ? — Non, les gosses très peu pour moi. — Tu as tort. Regarde moi, je suis très heureuse avec Michel et Chloé, notre enfant. — Tu as peut-être raison, mais je n’ai pas encore trouvé la fille avec qui j’aimerai passer plus de temps qu’une simple rencontre. Alors, je cherche. — Bonne excuse pour justifier tes diverses conquêtes ! — Je t’assure que lorsque je l’aurai trouvé, je me calmerai. — Ce qu’il ne faut pas entendre ! — Je crois pas qu’il en prenne le chemin, renchéri Chloé qui assiste à la joute. Où est la blonde incendiaire qui se pavanait à tes cotés le mois dernier ? Après cette passe d’arme traditionnelle entre le frère et la sœur, Catherine aborde le sujet qui l’a fait venir. — Tu sais que Michel et moi devons nous absenter quinze jours. — Oui, tu m’en assez rebattu les oreilles. — Ça m’embête de laisser Chloé toute seule. — Elle est majeure si je ne m’abuse. Tu as organisé une grande fête pour son anniversaire, tu l’as oublié ? Ce n’est pourtant pas vieux, ça ne date que de quelques mois. — Tu es bête, bien sûr que je connais son âge mais cela ne me rassure pas, on sait jamais. Elle sera en vacances juste pour notre absence et je serai plus tranquille si tu acceptais de passer de temps en temps à la maison… Ne me dis pas que cela te dérange, tu t’es assez vanté qu’en ce moment, par manque de travail au bureau, on te laissait sortir quand tu voulais… Alors ? — Euh… Qu’est-ce que tu en penses Chloé ? Ta mère t’en avait parlé ? — Bien sûr, on ne se cache rien. Une visite journalière de mon oncle préféré est un cadeau du ciel. C’est que tu te fais rare ces temps-ci. — Tu veux que je passe chez toi tous les jours ? — Euh… Ça t’embête pas ? — Pas du tout, je me fais une joie de te voir. — Michel et moi partons dans deux jours, rappelle Catherine. Nous comptons sur toi. — À bientôt Tonton. — À bientôt, Chloé. Et toi, ajoute-t-il à sa sœur, amuse-toi bien avec Michel pendant ton séjour.
Trois jours plus tard, fidèles à sa promesse, Jean rend visite à sa nièce. En entrant dans la maison, une surprise l’attend : une autre jeune fille est dans le salon.
— Bonjour Jean, dit Chloé en l’embrassant. — Bonjour Chloé… Euh… Qui c’est ? demande-t-il en aparté.— Tu ne reconnais pas Joy, ma meilleure amie ? — Ça fait quelques années que je ne l’avais vu, elle a beaucoup changé. — Elle est venue passer quelques jours à la maison. Joy, viens embrasser mon Tonton. — Ta mère est au courant ? s’inquiète-t-il. — Euh… Tu ne veux pas rester pour le déjeuner ? « Ma sœur n’a pas été avertie de cette installation ! Pour des personnes qui ne se cachent rien… ! » s’amuse Jean qui dissimule un sourire. Il répond à sa nièce. — Je n’avais pas prévu. — Si Tonton, ça nous fera plaisir. — Restez Monsieur, s’il vous plait. — J’accepte, c’est si gentiment demandé. Au cours de la conversation, Jean ne cesse de loucher du coté de Joy. Il avait le souvenir d’une adolescente ingrate, et voilà qu’il découvre une magnifique jeune femme. En d’autres circonstances il lui ferait une cour assidue, mais là, devant Chloé, il n’ose. Il changerait peut être d’avis s’il entendait ce qu’elles se disent quand elles sont seules à la cuisine. — Tu as vu comme ton oncle me reluque ? — Ouais, il semble te trouver à son goût. Et toi, tu le trouves bien ? — T’es jalouse ? Tu sais bien qu’il n’y a que toi que j’aime, mais si on veut qu’il nous soutienne auprès de tes parents, laisse-moi faire. Demain, après demain au plus tard, quand je te ferai signe, tu feras semblant de partir et tu reviendras nous surprendre au moment opportun. Je garantis le succès ! Un tendre baiser, suivi de quelques caresses amoureuses calme Chloé. Les deux jeunes filles se délient à regret pour retourner au salon où les attend Jean tout sourire. Il se doute bien que les deux filles complotent mais à leur âge, cela ne peut être grave. Pourtant, durant le repas, l’attitude de Joy, qui lui fait du rentre dedans, le met mal à l’aise. Il aimerait répondre aux avances de la jeune fille mais la présence de sa nièce qui semble ne s’apercevoir de rien, le bloque. Au moment de prendre congé, après avoir reçu un chaste baiser de Chloé, il tend la joue à Joy. A sa grande surprise, la jeune fille se love dans ses bras. — A demain monsieur. — Pas monsieur, appelle-moi Jean, ça me fera plaisir. — A demain… Euh… Jean. Durant ce court dialogue, Joy n’a cessé de se frotter contre lui dont cette proximité exaspère les sens. « Pas possible qu’elle ne s’aperçoive pas de l’effet qu’elle me fait ». La jeune fille se délie avec un grand sourire : — A demain. Perplexe Jean les quitte. Est-ce une invite de la part de Joy où un produit de son imagination ? Avec ces jeunes on ne sait jamais. Le lendemain, il se présente à la porte de Chloé, pour honorer la promesse faite à sa sœur se convainc-t-il, mais aussi pour revoir Joy. Les deux filles le reçoivent avec chaleur, trop de chaleur juge-t-il quand Joy se colle contre lui réveillant sa virilité. « Comment fait-elle pour ne pas remarquer qu’elle me fait bander ? » pense-t-il, scrutant le visage angélique de la jeune fille. — Tu manges avec nous n’est-ce pas ? demande Chloé. — Mais non, je ne voudrais pas vous déranger. — Tu ne nous déranges en aucune façon, n’est-ce pas Joy ? Sur le sourire approbateur de sa copine, Chloé poursuit :— D’ailleurs, tu nous l’as dit toi-même, en ce moment ce n’est pas le travail qui t’étouffe, tu peux nous consacrer quelques heures de ton précieux temps. A la fin du repas Chloé, après un clin d’œil de sa copine, s’excuse : — Je suis obligé de m’absenter un moment, m’en veuillez pas. Jean pense profiter de l’occasion pour s’éclipser mais Joy n’est pas de cet avis : — Nous patienterons. En attendant, nous ferons la vaisselle, n’est-ce pas Jean ? Elle lui lance un regard enjôleur. Comment résister à une pareille invite ? — Euh… Fais ce que tu dois faire Chloé, reviens-nous vite. — Attendez-moi une minute, dit Joy quand ils se retrouvent seuls, je me prépare pour la vaisselle. « Se préparer pourquoi ? » s’interroge-t-il. Une minute plus tard, Joy parait à la porte séparant la salle à manger de la cuisine. Elle a enfilé un tablier qui couvre tout le devant du corps et descend au dessous des genoux. — Voilà, je suis prête. On commence ? — Quand tu veux, je te suis. Quand elle se retourne, Jean avale sec ! La jeune fille a quitté jupe et culotte et exhibe des fesses nues ! Son instinct de chasseur refait surface : pour une préparation, c’est réussi ! Pas question de laisser filer l’occasion ! Il la rejoint à l’évier. — J’ai enlevé la jupe sous le tablier, j’avais peur de la salir, explique la jeune fille. — Je te comprends, tu as raison, approuve-t-il tout en malaxant le postérieur offert à sa concupiscence. Elle écarte un peu les cuisses. Il en profite pour porter la main à la vulve et forcer du doigt l’entrée du vagin. — Aah ! — Elle a envie d’une queue cette chatte ! — Mmmh… — Qui c’est qui attend qu’on lui bourre le con ? — Mmmh… Jean défait sa ceinture. Le pantalon aux chevilles, il sort sa bite et l’enfonce sans hésiter dans le sexe de la jeune fille, accoudée à l’évier. — Hein que tu en avais besoin ! — Aah !… Aah !… Aah !… A cet instant la porte s’ouvre sur Chloé. — Tonton ! Qu’est-ce que tu fais à Joy ? T’as pas honte ! Qu’est-ce qu’elle va dire maman lorsque je lui raconterai ? Jean remonte précipitamment son pantalon. Les explications familiales risquent d’être ardues. — Ta mère… Euh… Ma sœur n’a pas besoin de connaitre ce qui s’est passé. — Dire que je te faisais confiance… Il surprend le clin d’œil qu’échangent sa nièce et son amie. Cela le fait réfléchir. Ne serait-ce qu’un coup monté ? — Si tu dévoiles que Joy et moi… Euh… Ben c’est vous deux qui en pâtirait. — Comment ça. — Ta mère me fera la tête, bien sûr, mais aussi elle ne voudra plus que tu voies ton amie. C’est ça que tu souhaites ? — Euh… La perspective fait réfléchir la jeune fille. Elle n’avait pas pensé à ça. Le chantage se retourne contre elle ! — Euh… Bon j’ai compris, on laisse tomber. — Qu’est-ce que vous espériez obtenir de moi ? De l’argent ? — Non… On lui dit ? propose Joy. — Promets-nous que tu ne te fâcheras pas. — Je promets. Joy s’approche de son amie, l’embrasse sur la bouche et annonce : — Chloé et moi nous nous aimons depuis deux ans. — Oh ! Vous… — Tu as promis de ne pas t’énerver. Oui nous nous aimons, mais le secret nous pèse, enchaine sa nièce. Nous aimerions le faire au grand jour. — Nous avons imaginé ce petit scénario pour que tu nous aides à l’annoncer aux parents de Chloé. — Tu n’as jamais eu l’intention de t’en aller, n’est-ce pas, demande-t-il à celle-ci. Tu es restée cachée en l’attente du moment favorable ? — Euh… On pensait qu’en te surprenant en mauvaise posture… — …J’accepterai de faire l’avocat de votre cause auprès de ma sœur… C’est du propre ! C’est très grave ce que vous demandez là. Une telle décision ne peut se prendre à la légère. Je dois y réfléchir. Je vous dirai demain ce que je compte faire. Au revoir les filles. — Je ne pense pas qu’on se soit fait un allié, grommèle Chloé après le départ brusqué de Jean. — Je crois que si. Il nous aurait fait la morale autrement. — Tu crois ?… Dis… Tu devais seulement l’exciter, t’avais pas besoin de te faire baiser. — Euh… Il m’a surpris… Tu aurais du intervenir plus tôt… T’es jalouse ?… Tu n’as pas de raison, c’est toi que j’aime. Chloé tente de refuser le baiser de Joy, n’y parvient pas et se laisse aller dans les bras de son amie qui l’entraîne vers la chambre…
— Deux gouines, ma nièce et son amie sont deux gouines ! soliloque Jean en rejoignant le bureau. Qui l’aurait soupçonné, pas lui en tout cas. Ah ! Elles ont bien caché leur jeu, Joy en particulier ! Dire qu’il pensait plaire à la jeune fille… Faire semblant de se laisser séduire pour mieux le piéger !… Pourtant, à la réflexion… Il suffisait qu’il soit surpris pantalon baissé et le sexe à l’air lors de l’irruption de Chloé, pourquoi se faire baiser ?… Ce n’est pas qu’il regrette évidemment pas mais elle n’avait nul besoin d’aller si loin pour leur petit scénario… Ça n’avait pas l’air de lui déplaire… Vu la facilité de l’introduction, ce n’était pas la première queue que sa chatte recevait… Et Chloé, est-ce qu’elle est toujours pucelle ?… Deux lesbiennes… Depuis combien de temps cela dure-t-il, déjà ?… Deux ans… Et dire que personne ne s’en est aperçu… Qu’en pensera sa sœur ?… Oui, il plaidera leur cause… Joy lui en sera peut être reconnaissante… Il aimerait assister à leurs ébats… Ce doit être charmant… Deux filles qui se caressent… Jean se redresse l’œil égrillard : il sait comment espionner sa nièce et son amie sans qu’elles s’en doutent. Le lendemain après midi il sonne chez Chloé. — On t’attendait pour le déjeuner, déclare celle-ci, tu es fâché ? — Pas du tout, je n’ai pas pu me libérer plus tôt. — Alors ? interroge Joy. — J’accepte de parler à ma sœur quand vous voudrez. — Oh merci Tonton ! Chloé se jette au cou de son oncle et l’embrasse sur les deux joues. Joy ne dit mot mais ses yeux brillants parlent pour elle. Jean, satisfait d’avoir conquit les bonnes grâces de la jeune fille fait semblant de prendre congé. — Bon… Ben… Je vois que tout va bien. Je ne peux rester, je vous laisse… Ne faites pas de folies ! — Oh ! Tonton… Au lieu de sortir, il se dissimule dans leur chambre, dans la penderie dont la porte est à claire voie. Il n’a pas long à attendre. Les deux filles s’asseyent sur le lit. — Tu vois Jean est de notre coté, murmure Joy. — Tu avais raison, il ne nous en veut pas… Embrasse-moi ! Elle enlace son amie. Elles basculent sur la couverture. Pendant que leur baiser se prolonge, leurs mains partent à la découverte de leur corps. Bientôt leurs vêtements les gênent. Elles les quittent avec hâte. Par les jours de la porte, Jean admire sa nièce dénudée. Il n’en avait plus eu l’occasion depuis plusieurs années. Qu’elle est belle ! Jean en ce moment aimerait être à sa place de Joy qui parsème les seins de baisers. Oh non ! C’est de sa nièce dont il s’agit. Un inceste ! Vite concentrer son regard sur l’amie. Qu’elle est belle aussi ! Jean a devant lui les fesses de la jeune fille, cela lui rappelle la veille dans la cuisine. N’y tenant plus il sort le sexe et le caresse. Joy est maintenant placée entre les cuisses de Chloé qui gémit en tournant la tête de part et d’autre et en fourrageant les cheveux de son amie. Quand sa nièce rend la politesse, Jean n’y tient plus et décharge dans un mouchoir avec un long gémissement qu’heureusement les filles n’entendent pas. Il s’éclipse en silence lorsqu’elles vont se doucher. Le soir, dans son lit il revoit en esprit la séance à laquelle il a assisté l’après-midi. Ah ! Les fesses de Joy ! Pouvoir y remettre la queue !… Il tâche les draps comme un jeune adolescent…
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