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Jean Dôm

Chapitre 1

La professeure S.V.T

Hétéro
Jean Dôm s’apprête pour une nouvelle journée de travail. Cet homme de trente ans est professeur de français dans un lycée. Il est grand, costaud, les yeux bleus et les cheveux châtains. Il prend son temps pour s’habiller, une belle chemise blanche, un pantalon bleu marine et des chaussures de ville noires. Il enfile une veste du même style que le pantalon et une casquette bleue marine, à l’ancienne. Il est prêt pour cette nouvelle journée. Il prend sa sacoche remplis de livres et de copies et quitte son domicile. Dans la rue, Jean marche tout en saluant son voisinage car il est bien connu dans le quartier. Arrivé il y a cinq ans suite à sa mutation dans la ville, il a choisi ce quartier car il le trouve agréable par sa tranquillité et qu’il est proche de son lieu de travail.Jean arrive au lycée. Il entre dans l’enceinte et se dirige vers la salle des professeurs, où se trouve plusieurs collègues. Ils sont, pour la plupart, plus âgés que lui. Il s’installe et se prépare pour les premiers cours. Au même moment, une collègue entre dans la salle et se dirige, énervée, vers le professeur de français.   - Dîtes donc, Monsieur Dôm ! Qu’avez-vous fait avec les Secondes B, hier après-midi ?  - Bonjour, Madame Terrier ! Je leur ai donné un cours.  - Et quel était le sujet ?  - Un cours sur le théâtre. Sur Molière, pour être précis. - Molière ? Tu te moques de moi ? Ils étaient insupportables, voir indisciplinés. Ils n’ont rien écouté à mon cours !  - Peut-être parce que vos cours de S.V.T sont ennuyeux ?  - Vous vous foutez de moi ?  - Je dis juste la vérité. Tous les élèves le disent.  - J’en parlerai au Principal.Elle quitte la salle des professeurs, énervée. Un collègue s’approche.  - Salut Jean. Qu’est-ce qu’elle avait, la mère Terrier ?  - Salut Michel. Rien de grave, soi-disant, qu’hier, j’aurais énervé les Secondes avant son cours...  - Laisse tomber ! En ce moment, elle est tout le temps comme ça. Depuis que son mari l’a quitté...  - Ah bon ? dit alors Jean. Depuis quand ?  - Depuis les vacances de Noël. Elle doit être en manque depuis, ironise son collègue.Jean réfléchit à ce que Michel vient de dire. Cette femme, la cinquantaine, est dans la force de l’âge ; assez attirante avec des formes qu’elle cache sous des vêtements amples, brune avec des yeux marrons et une bouche plutôt pulpeuse. Et si c’était ça le problème, et si cette femme était en manque.La matinée de cours se termine. Jean quitte la salle de cours et se rend en salle des professeurs afin de récupérer ses affaires. Il tombe nez-à-nez avec Madame Terrier.  - Comment ça va ? demande t-il.  - Qu’est-ce que ça peut te faire ? répond la professeure.   - Du calme. Je veux être sympathique.   - Fais ton boulot correctement ! C’est tout ce que je te demande.Jean est surpris par sa réponse et par le ton employé. La professeure prend une pile de livres dans son casier et quitte la salle et le lycée, Jean la suit.   - Si tu as des soucis, tu peux en parler. Entre collègues, on peut s’aider.
  - Je n’ai pas besoin d’aide.Au même moment, sa pile de livres tombe par terre et la lanière de son sac lâche. Jean lui vient en aide et ramasse les livres tombés tandis que la professeure fond en larmes. Il la raccompagne jusqu’à sa voiture, lui dépose ses livres et son sac. Elle tente de sécher ses larmes, il lui tend un mouchoir sorti de sa poche.   - Merci beaucoup.  - C’est normal. Tu vas réussir à rentrer chez toi ?  - Je pense, oui.  - Si tu veux, je peux venir. Si tu as besoin de compagnie...La professeure réfléchit et accepte la proposition. Ils quittent le lycée, à l’intérieur d’une berline noire. Pendant le trajet, Jean discute avec sa collègue qui finit par se confier. Corinne, de son prénom, a été mariée pendant plus de vingt-cinq ans. Son mari a demandé le divorce car il ne l’aimait plus. Elle s’est retrouvée seule puisque ses deux enfants ont quitté le domicile avant ce divorce. Elle raconte qu’elle s’est renfermée sur elle-même, qu’elle ne sort plus, ne voit plus ses amis. Jean la comprend mais l’encourage à reprendre sa vie en main. Il lui raconte qu’il lui est arrivé quasiment la même chose et qu’il a pu rebondir. Elle lui sourit, contente de pouvoir se confier à quelqu’un.Arrivés chez elle, Jean découvre une belle maison que Corinne a pu garder après son divorce. Elle rentre la voiture directement au garage, ils en descendent et entrent directement dans la demeure. À l’intérieur, une maison simple avec une cuisine aménagée et un salon assez spacieux. Corinne l’invite à déjeuner, elle met une pizza au four et sert un verre de vin blanc à son invité. Après ce repas, ils s’installent sur le canapé et poursuivent leurs discussions.Jean est attentif à ce que dit sa collègue, trouve des points communs avec elle ce qui la rend joyeuse. Il l’observe de bas en haut. Les yeux de la femme brillent, son sourire affiche de la joie ; elle semble heureuse de pouvoir parler à quelqu’un. À un moment, elle se tient le cou, Jean se saisit de l’occasion :   - Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as mal ?  - Rien. Je suis juste tendue à ce niveau-là.  - Tu veux que je te masse ?  - Ça va aller, répond t-elle. C’est déjà gentil d’être là.  - Laisse-toi faire. Jean s’approche de Corinne, se met derrière elle et commence à lui caresser la nuque puis le cou. Il s’applique, en utilisant ses pouces et le bout de ses doigts. Corinne apprécie ces gestes.  - C’est bon. Tu fais ça bien.  - Merci, répond Jean avec un sourire. Enlève ton pull, je vais te masser les épaules en même temps.Sans réfléchir, la professeure retire son pull. Elle porte un débardeur mauve avec de fines bretelles qui laisse paraître ceux de son soutien-gorge. Jean descend ses mains sur ses épaules et commence à les masser ce qui satisfait sa collègue. Au bout de quelques minutes, il approche son visage et commence à lui poser des petits baisers sur le cou.  - Que fais-tu ? demande Corinne, surprise.  - Laisse toi faire ! répond Jean. Tu n’en as pas envie ?Corinne ne répond pas, elle est comme hypnotisée par ces caresses et ces baisers. Jean, lui, sent que cela marche. Il pose ses mains sur la taille de la femme, puis lui attrape un sein et le malaxe. Corinne se retourne vers lui et finit par l’embrasser.Ces baisers sont fougueux. Corinne adore ça, elle se sent enfin désirée. Jean, satisfait par la tournure des évènements, lui retire son haut ainsi que son soutien-gorge. Ses seins sont énormes, de vrais obus. Ses formes lui vont à ravir. Il les malaxe puis commence à lécher les tétons avant de les mordiller. Corinne pousse des "Hmmm" de plaisir tout en caressant les cheveux de son collègue. Jean dévore ces seins tel un cannibale. Sa main descend et entre dans le pantalon de sa proie ; il lui touche le sexe, déjà trempé à travers sa culotte. Les cris de la quinquagénaire sont de plus en plus forts.Jean déboutonne le pantalon et le retire complètement. Corinne se relève légèrement afin de retirer sa culotte, toute trempée. Il approche son visage du sexe de la femme et commence à l’embrasser puis à le lécher. Il trouve rapidement son bouton magique et commence à jouer avec.  - Hmmm ! Oh, oui ! Continue !Jean lèche Corinne tout en appuyant sur le bouton magique. Son sexe est complètement humide, un vrai torrent de mouille. Le jeune homme boit ce breuvage tout en fixant sa collègue qui, les yeux fermés, profite de ce moment d’extase.  - Oh ! C’est trop bon ! Je vais jouir !Au même moment, Jean stoppe ce cunnilingus. Il se redresse, baisse son pantalon et sort son sexe. Corinne est surprise, impressionnée par la taille de l’engin, elle s’en mord les lèvres. Jean, lui, ne réfléchit pas. Il se positionne face à Corinne et entre d’un seul coup. Elle pousse un hurlement. Jean commence les va-et-vient de manière vive, il se sent à l’étroit dans cet antre tandis que Corinne poursuit ses hurlements de louve, hurlements remplis de plaisir. Elle tire la langue telle une affamée, comme une femme qui n’a pas été baisée depuis des semaines. Leurs regards se croisent, il voit qu’elle prend son pied et qu’elle ne va pas tarder à jouir. Il en sourit d’avance.Au bout de longues minutes et d’une séance intense, Corinne finit par pousser un nouvel hurlement, plus long. La jouissance est immense, son corps est transi de spasmes, les larmes lui montent aux yeux. Jean se retire, se masturbe au-dessus d’elle et finit par jouir sur son ventre et ses seins. Il regarde sa partenaire qui tente de récupérer de sa jouissance.  - Mon Dieu ! Que c’était bon ! Le pied que j’ai pris. Tu es vachement doué mon petit Jean ! Merci pour ce moment !  - Tout le plaisir était pour moi, répond t-il.Il remet son pantalon tandis que sa partenaire l’embrasse fougueusement de nouveau. Elle se dirige vers sa salle de bain afin de se nettoyer puis revient. Jean, lui, est prêt à partir.  - Tu t’en vas déjà ? demande Corinne, surprise.  - Euh, oui. J’ai complétement oublié que j’avais un truc de prévu cet après-midi.  - Oh, mince ! dit-elle, déçue. Tu veux que je te ramène chez toi ? - Ça va aller, je vais y aller directement à pied. Mais il faut que je parte immédiatement.Corinne se rapproche de Jean et l’embrasse de nouveau, un baiser toujours rempli de passion. - Bon. Et bien, merci encore pour ce moment ! J’ai adoré, dit-elle avec une voix sensuelle.  - Avec plaisir ! Ce fut un très bon moment, répond Jean.Ils se quittent en se promettant de renouveler ce moment. Jean se dirige vers la ville afin de retourner à ses occupations. Rentré chez lui, il pose ses affaires sur son bureau. D’un des tiroirs, il sort un carnet et un stylo. Arrivé à une page blanche, il note : "Numéro 75 : Corinne Terrier. Professeure de S.V.T et collègue de travail. Mardi 17 mai."
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