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Jean Dôm

Chapitre 3

Lou, l'amie de sa sœur

Hétéro
Le lendemain, Jean se réveille de bonne heure. Il quitte le domicile de ses parents et sort dehors afin de faire son footing matinal. Musique aux oreilles, il part pour une heure de course. Ce footing est vital pour lui et pour conserver un beau corps, surtout pour les femmes. À l’époque du lycée, les pratiques sportives ne lui disaient rien mais tout a été chamboulé après le lycée. Jean a eu une révélation, non seulement pour sa santé mais aussi pour plaire aux femmes. Une transformation totale a eu lieu durant ses études universitaires, passant d’un adolescent maigrichon et mal dans sa peau, à un jeune homme athlétique et sûr de lui.Après une heure de course à pied, Jean rentre à son domicile. Il passe devant la maison de sa voisine, avec qui il a couché la veille. Il repense à ce moment, sourit. Il rentre chez lui, prend une douche et rejoint ses parents pour le petit-déjeuner. Même s’il reste dans le domicile, Jean porte des vêtements élégants, à savoir une belle chemise blanche avec un pantalon de couleur noir. Sa mère est ravie de voir son fils aussi bien présentable.Vers midi, une voiture blanche se gare devant la maison des parents de Jean. Il s’agit d’Élise, la petite sœur de Jean. Cette dernière est infirmière dans une clinique et vient quelques fois passer le week-end chez ses parents. C’est une fille aux cheveux châtains, coupés au carré, et aux yeux bleus, tout comme son frère. S’ils se ressemblent physiquement, les deux sont très différents en terme de caractère. Si Jean est plus calme, plus réfléchi, Élise est beaucoup plus franche et impulsive.Mais ce qui fait réagir Jean, c’est la présence d’une jeune femme aux côtés de sa jeune sœur. Les deux femmes entrent dans le domicile et sont accueillies par la mère. Puis, elles entrent dans le salon où se tient Jean, debout derrière le canapé.  - Tiens ! L’adopté est là ! dit alors Élise.  - Tiens ! L’erreur est arrivée ! répond Jean.  - Dîtes ! Vous n’allez pas recommencer ! coupe le père qui vient de rentrer par porte de derrière.Le frère et la sœur se font la bise. Cette dernière se dirige vers son père. Jean, lui, se retrouve face à l’amie de sa sœur.  - Bonjour ! dit-elle timidement.  - Bonjour ! Je suis Jean !   - Je m’appelle Lou. Je suis une collègue d’Élise.  - Enchanté Lou !Les présentations faites, la famille ainsi que l’invitée de dirigent vers la cuisine où le repas va être servi. Jean se place en face de Lou, cette dernière lui fait un sourire qui ravit le jeune homme. Élise se place à côté de son amie et remarque les manigances de son frère. Le repas se passe normalement. Élise raconte son quotidien comme infirmière, sa relation de travail avec Lou, les tâches qu’elles effectuent. Jean observe la jeune femme, qui semble timide. Une petite rousse, tout frêle, toute blanche, avec des jolis yeux bleus. Elle porte des vêtements amples, un vieux pull noir et un vieux jeans, trop grand pour elle. Jean comprend que c’est une fille timide, qui a peu confiance en elle. Elle est censée passer le week-end avec Élise, son appartement ayant subi un dégât des eaux la veille. Il se dit qu’il peut lui ouvrir l’esprit sur pleins de choses. Le repas touche à sa fin. Les deux filles aident la mère pour la vaisselle et le rangement tandis que Jean se dirige vers le salon. Son père lui demande un coup de main pour réparer un bout de gouttière qui fuit. Il accepte et va se changer. Il rejoint son père dehors et ils commencent les réparations. Au milieu de l’après-midi, Élise et Lou sortent dehors et s’allongent sur les deux chaises longues. Si Élise s’est changée et a mis un short blanc ainsi qu’un mini t-shirt, Lou a gardé ses vêtements amples. Elles discutent de tout et de rien, de leur travail, de leur amis, elles rigolent parfois. Jean les observe et particulièrement Lou qui s’ouvre un peu plus. À un moment, leurs regards se croisent ; la jeune femme est troublée tandis que Jean se satisfait de ce trouble.Il quitte le jardin afin de ranger le matériel avec son père, les réparations étant terminés. Dans l’atelier, le père se tourne vers son fils.  - Elle est jolie la copine d’Élise...  - Ça va, répond Jean, qui fait mine de rien.  - Et puis, très gentille. Un peu timide, mais gentille.  - Faut qu’elle se décoince un peu.  - Elle serait parfaite comme belle-fille...  - Désolé, papa ! Mais ça ne m’intéresse pas.  - Il va bien falloir, si je veux être grand-père !Jean coupe la conversation en quittant l’atelier. Il s’aperçoit que les deux jeunes femmes ont quitté le jardin et sont rentrées dans la maison. Arrivé à l’intérieur, sa mère lui indique qu’elles sont parties se doucher et se préparer car elles sortent en ville pour la soirée. Jean décide lui aussi de sortir en ville ce soir mais sans en avertir sa sœur et son amie.Après une heure à s’ennuyer devant la télé, Jean se décide à aller se préparer pour la soirée. Il tente de rentrer dans la salle de bain mais celle-ci est fermée à clef.
  - Élise ! Dépêche-toi ! Tu es longue !La porte s’ouvre. Mais ce n’est pas la sœur qui se tient derrière.  - Désolé d’avoir tardé, je ne savais pas que tu attendais, répond Lou, intimidée.  - Euh... Pas de soucis. Je ne savais pas que c’était toi. Désolé de t’avoir dérangé.La jeune femme se précipite dans les escaliers. Elle porte un vieux t-shirt noir et un short blanc qui moule un peu ses petites fesses. Jean n’a pas pu s’empêcher d’observer et de sourire. Dans la salle de bain, une forte odeur de parfum englobe la pièce. Ce parfum enivrant plaît beaucoup à Jean. En a t-elle mis pour séduire le jeune homme ?Après s’être longuement préparé, Jean quitte la salle de bain et se dirige directement vers sa chambre. Passant devant celle de sa sœur, elle surprend une conversation qui le concerne :  - Mon frère ? Tu es dingue !  - Pourquoi ? Il est sympa avec moi...  - Il fait ça avec toutes les filles ! Juste pour coucher !  - Et alors ? Tu l’as bien fait avec Jérôme... - C’est différent ! On couchait ensemble au début, maintenant, nous sommes en couple. Là, mon frère collectionne juste des conquêtes ! S’il te fait du charme, c’est juste qu’il veut te baiser...La discussion s’arrête. Jean rentre dans sa chambre et commence à se préparer. Il réfléchit à la conversation, Lou aurait une attirance envers lui. Cela lui plaît. Il décide de tenter sa chance, sort le grand jeu. Il sort une belle chemise bleue, légère à manche longue avec un pantalon noir et ses chaussures noires. Il se regarde dans le miroir, se sent prêt. Il quitte la chambre ; au même moment, sa sœur et Lou sortent de la sienne.  - Tiens ! Tu sors aussi ? demande sa sœur.  - Oui, je rejoins Tom et Simon en ville. On va boire un verre devant le Foot. Et vous ?  - On va en ville aussi. Jérôme nous rejoins directement là-bas.  - On peut faire route ensemble si ça vous dit. Si tu rentres avec Jérôme après...  - Je préfère prendre ma voiture.  - On ne va pas gâcher de l’essence alors qu’on va au même endroit... - Ton frère a raison ! Puis, si on rentre avec Jérôme, on ne rentrera pas ici à trois voitures, reprend Lou.Ma sœur finit par accepter. Jean lui déclare qu’il ira dans un endroit différent du leur.Ils quittent le domicile parental pour le centre-ville. Élise monte à côté de Jean tandis que Lou se met juste derrière elle. Durant le court trajet, Jean observe sa passagère. Ce n’est pas la même fille qu’au quotidien. Elle porte un chemisier blanc, très classe avec un pantalon rouge, taille fine et des talons. Elle s’est maquillée de manière simple et porte le parfum que Jean a pu sentir dans la salle de bain. Lou croise son regard dans le rétroviseur, elle rougit, gênée. Élise observe son frère, elle a un regard noir. Arrivé en ville, ils descendent de voiture et marche vers le centre. Élise prend son frère à l’écart quelques secondes.  - Tu joues à quoi ? lui demande t-elle.  - À rien ! Pourquoi demandes-tu ça ?  - Ne tentes rien avec Lou ! Sinon, tu auras affaire à moi !Jean lui promet de ne rien tenter. D’ailleurs, leurs chemins se séparent lorsqu’ils arrivent sur la place. Les deux jeunes femmes se rendent dans un restaurant où les attendent leurs amis et le copain d’Élise, tandis que Jean se dirige vers un bar où il retrouve deux copains. La soirée se passe sans embûches. Jean et ses amis sont dans un bar où ils partagent quelques verres devant un match de football. À la fin du match, les trois hommes quittent l’établissement pour se rendre dans un autre bar. Ils y arrivent et commandent un verre. Jean observe autour de lui et remarque la présence de sa sœur et de ses amis, au fond de la salle. Jérôme, le copain d’Élise, l’aperçoit et l’invite à se joindre à eux.  - Hé ! Jean ! Comment ça va ? demande Jérôme.  - Bien et toi ?  - Qu’est-ce que tu fais là ? demande Élise, surprise de le voir ici.  - Bah, les potes voulaient venir ici après le match. Donc, voilà. Je ne pensais pas vous voir.  - Le patron est un ami, reprend Jérôme. L’ambiance est cool. Joins-toi à nous !  - Euh, c’est-à-dire...Il croise son regard avec celui de sa sœur qui, cependant, est d’accord avec son copain. Il croise aussi le regard de Lou qui affiche un sourire timide. Jean s’installe en bout de table, ses amis le rejoignant.Durant la soirée, Jean et ses amis discutent entre eux. Il observe discrètement Lou qui affiche toujours sa timidité, même auprès de ses propres amis. Au bout de quelques minutes, leurs regards se croisent ; il lui fait un clin d’œil, elle sourit et baisse les yeux, troublée. Un joli sourire qui ravit Jean.Vers une heure du matin, les amis de Jean s’en vont tandis que ceux de sa sœur se décident à aller en discothèque. Lou préfère rentrer.  - Oh ! Tu abuses ! dit alors Élise, déçue.  - Non mais je suis fatiguée. Je préfère aller dormir, répond Lou.  - Comment vas-tu faire pour rentrer ?  - Je vais prendre un taxi, ne t’inquiètes pas !  - Je peux te raccompagner... propose Jean qui arrive vers les deux filles.Lou et Élise se retourne et regarde le garçon.  - Tu ne vas pas en boîte avec nous ? demande Élise, surprise.  - Euh, non. Je suis fatigué aussi. Et les boîtes, très peu pour moi, répond Jean.  - Ça ne te dérange pas ? demande Lou.  - Bien sûr que non. De toute façon, on dort au même endroit, donc...Lou finit par accepter la proposition. Élise est déçue du choix de son amie, mais la comprend. Elle s’approche de son frère et lui murmure à l’oreille :  - Ne fais pas le con, s’il te plaît ! Sinon...  - On rentre à la maison. Rien de plus.Élise lui lance un regard menaçant, Jean lui promet de nouveau qu’il ne se passera rien. Jean et Lou quittent le groupe d’amis et marchent vers la voiture de l’homme. Un silence règne entre les deux, la timidité de la jeune femme est au maximum. Jean brise ce silence.  - Tu as passé une bonne soirée ?  - Euh, oui... répond Lou d’une petite voix. Très bonne.Jean sourit face à cette timidité, ou plutôt ce malaise.  - Tu ne parles pas beaucoup. Si tu ne te sens pas bien, tu peux le dire...  - C’est que je suis très timide. C’est maladif.  - Je vois ça.  - J’ai toujours été comme ça. Même au travail, que ce soit avec mes collègues ou les patients. Heureusement que mes amis me comprennent.  - Tu n’as pas de copain ?  - Non. J’en ai eu un au lycée mais ça n’a pas marché. Il était trop insistant.  - Trop insistant ?  - Il voulait qu’on le fasse mais je ne me sentais pas prête. Et il a préféré aller voir ailleurs. Depuis, je suis seule.  - Ça veut dire que tu n’as jamais...  - Non, jamais.Jean est surpris par cette révélation. Il la regarde, elle rougit de plus en plus. Il ne sait pas quoi penser, ni quoi faire. Car la situation est quelque peu délicate. Car même s’il aime collectionner les conquêtes, dans ce cas-là, il s’agit d’une première fois.   - Tu es sympa comme garçon, reprend Lou. C’est rare de nos jours.  - C’est gentil, répond Jean. Toi aussi, tu l’es.  - Pourtant, Élise m’a dit de me méfier de toi, déclare t-elle.  - Ah bon ? dit-il, faussement surpris. Pourquoi ?  - Elle m’a dit que tu aimais beaucoup les filles et que ça t’arrivait de collectionner les conquêtes.  - Disons que j’aime les plaisirs de la vie. Je veux en profiter le plus possible.Il regarde Lou qui sourit face à cette réponse. Jean est démasqué mais il assume cette part de lui-même. Ils arrivent à destination, entrent dans le domicile et se dirigent directement vers leurs chambres. Devant la porte de la chambre de Lou, ils s’arrêtent, se regardent. Le regard de la jeune femme a changé. Jean lui fait un baiser sur la joue.  - Bonne nuit ! dit-il à voix basse.  - Euh... Bonne nuit ! répond Lou, surprise.Jean se dirige vers sa chambre et y entre directement. Il entend la porte de la chambre d’amis se fermer derrière lui, il ferme la sienne. Il est debout, face au lit, repense à la soirée, à Lou. Il préfère de rien tenter, ne veut pas lui laisser de regrets. Il retire sa chemise, la pose sur la commode avec ses affaires. Tout d’un coup, on frappe à la porte. Surpris, il se retourne et l’ouvre doucement.  - Lou ? Tu as un souci ?La jeune femme se précipite vers lui et l’embrasse sur la bouche. Jean est surpris par l’initiative de la jeune femme. Il se laisse faire, les baisers sont de plus en plus passionnés. Au bout d’un moment, il s’arrête :  - Écoute ! Je ne sais pas si c’est une bonne idée...  - J’en ai envie ! répond t-elle, en l’embrassant.Les baisers reprennent de plus belle, Jean se laisse faire. Puis, son esprit séducteur reprend le dessus. Il serre Lou dans ses bras et la dépose sur son lit. Il continue ses baisers, pose ses lèvres sur le cou de la jeune femme. Il déboutonne son chemisier ce qui dévoile un soutien-gorge blanc. Lou se redresse, retire son chemisier ; Jean en profite pour dégrafer ce soutien-gorge et lui retire. Sa poitrine se dévoile, une petite poitrine mais très belle, avec des tétons bien roses et bien durs. Jean lui lèche, les mordille ; Lou pousse des petits gémissements. Il poursuit longuement ses baisers sur l’ensemble de son corps avant de l’embrasser de nouveau.Ensuite, Lou déboutonne son pantalon, le baisse et se retrouve en petite culotte, une culotte toute simple qui montre le manque d’expérience de la jeune femme. Jean poursuit ses baisers tout en la caressant. Il remarque qu’elle est complètement mouillée, il retire ce dernier rempart. Il se retrouve le visage face à son sexe, un sexe vierge de tout poil. Il commence par poser deux doigts dessus et le caresse. Les gémissements de la jeune femme sont plus forts.  - C’est bon, dit-elle entre deux souffles.Jean colle son visage à ce sexe et commence à la lécher. De légers coups de langues pour démarrer, mais les gémissements deviennent des cris. Il pose sa main sur la bouche de Lou afin qu’elle ne puisse pas réveiller les parents. Il lui donne son pouce à sucer, ce qu’elle fait. Elle le suce tel un enfant qui sucerait le sien. Jean reprend son cunni et s’applique à lui donner du plaisir, afin qu’elle n’oublie pas cette première fois. La mouille est abondante, elle coule à flots. Après de longues minutes de ce traitement, Lou pousse un long cri. Son corps entier se met à trembler, de haut en bas ; un orgasme puissant lui traverse le corps. Les spasmes durent plusieurs secondes, Jean l’admire avec satisfaction. Lou ouvre les yeux, les larmes coulent. Des larmes de bonheur. Il l’embrasse de nouveau à pleine bouche.   - Fais-moi l’amour, s’il te plaît ! lui demande t-elle.  - Tu es sûre ?   - Oui, j’en ai envie !Il l’embrasse une nouvelle fois puis se relève. Il retire son pantalon et son boxer et dévoile son sexe en érection. Lou reste bouche-bée face au membre de l’homme. Il s’allonge à côté d’elle et l’invite à monter sur lui. Elle se place au-dessus du sexe bien dur, et commence à descendre dessus. Elle descend doucement, le sexe la pénètre. Jean sent qu’il est à l’étroit puis touche le fond du vagin. Lou se replace correctement, puis commence à sauter sur ce sexe. Elle pousse de nouveaux cris de plaisir, Jean lui donne son autre pouce à sucer, afin d’atténuer les cris. Il lui caresse l’ensemble de son corps avec l’autre main, s’attardant sur ses seins et sur ses fesses rebondies.Après quelques minutes, Lou s’arrête pour souffler. Jean en profite pour l’allonger de nouveau. Il la pénètre de nouveau et commence de nouveaux va-et-vient. Il l’embrasse passionnément, lui pose ses lèvres sur le cou tandis qu’elle lui tire les cheveux. Il continue ses mouvements, ce qui provoque un nouvel orgasme pour la jeune femme. Cet orgasme provoque le sien, il jouit en elle.Jean reste un long moment en elle, le visage dans son oreiller. Il sent le souffle de sa partenaire dans sa nuque. Il se relève, la regarde. Lou ouvre ses yeux et sourit à nouveau, ce sourire timide. Jean l’embrasse tendrement puis s’allonge à côté d’elle. Cette dernière pose sa tête sur son torse tandis qu’il pose son bras le long de son dos. Ils s’endorment ainsi.Vers sept heures du matin, une voiture s’arrête devant le domicile. Élise et son copain rentre de leur nuit. Jean se réveille brusquement mais remarque que Lou a quitté sa chambre. Il se lève, remet son boxer et veut vérifier que Lou se trouve dans sa chambre. Elle s’y trouve, dormant à poings fermés. Il ferme la porte et s’empresse de retourner dans sa chambre.Jean se réveille. Il est midi trente. Il se frotte le visage, repense à cette nuit. Il est surpris que Lou ait quitté sa chambre. Peut-être avait-elle peur de la réaction d’Élise si elle les surprenait. Ou peut-être regrette t-elle ce qu’il s’est passé. Il se lève, s’habille rapidement et se dirige vers le salon où se trouve ses parents, Élise et son copain. Les parents se moquent du réveil tardif de leur fils et lui demandent si sa soirée fut bonne. Il leur répond que oui et qu’il est rentré avec Lou, ce qui provoque le rire de Jérôme. Jean lui répond qu’il ne s’est rien passé entre eux, qu’il a tenu la promesse faite à sa sœur.  - C’est peut-être pour ça qu’elle est partie... plaisante Jérôme.  - Elle est partie ? demande Jean, surpris.  - Oui, vers dix heures, pendant que nous dormions, répond Élise.  - Sa sœur est venue la chercher, reprit sa mère. Apparemment, elle devait aller à un repas de famille...Jean paraît impassible face à ce changement de dernière minute. Il passe le dimanche avec sa famille, entre discussions et occupations diverses. Mais dans sa tête, il s’interroge. C’est la première fois depuis longtemps qu’une fille lui pose ainsi des tracas.Cependant, en début de soirée, il va brièvement dans sa chambre et sort de son sac, son fameux carnet."Numéro 77 : Lou, la collègue et amie d’Élise. Nuit du samedi 4 au dimanche 5 juin."
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