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Jean Dôm

Chapitre 4

À L'oral de français

Hétéro
Plusieurs semaines sont passées depuis ce week-end. Jean a repris son travail comme professeur de français et donne ses derniers cours avant les vacances scolaires. Il n’a pas eu de nouvelles de Lou, ne cherche pas à en avoir. Il a recroisé son ancienne voisine, ils se sont salués mais n’ont pas réédité leur expérience.
Un vendredi après-midi, Jean est membre du jury pour l’oral de français, au Baccalauréat. Il écoute les oraux des différents candidats du Baccalauréat. À la fin de cette journée, il quitte sa salle d’examen et se dirige vers le bureau où se trouve les membres du jury afin d’effectuer les différentes démarches. Dans la salle, il croise une professeure qui l’attire depuis le début de la semaine. Une grande brune, les yeux marrons qui se cachent derrière des lunettes aux montures noires, un sourire ravageur embelli par un rouge à lèvres brillant. Elle porte un tailleur noir avec des collants en dentelle. Elle est assise sur une chaise, les jambes croisées, et prend des notes. Leurs regards se croisent, elle lui sourit de ce sourire ravageur. Depuis leur première rencontre, Jean n’a qu’une seule envie.
La professeure termine ses démarches, rend une pile de documents et salue les autres professeurs. Jean, l’ayant attendu, en fait de même et quitte la salle du jury. Dans le couloir, il suit la professeure. Elle s’appelle Ingrid, il a pu entendre le prénom dans la salle du jury. Il admire sa démarche, très gracieuse. Elle ouvre la porte, Jean se précipite pour sur celle-ci avant qu’elle ne se referme, mais la jolie brune la retiens.
— Merci beaucoup !— Mais de rien ! dit-elle avec ce même sourire.
Ils marchent côte-à-côte vers le parking. Jean continue de l’observer. Elle a ouvert son tailleur, un débardeur se tient en-dessous. Ses seins sont gros , bien ronds. Jean sent qu’il devient dur dans son pantalon. Arrivé devant sa voiture, Jean salue la professeure.
— Dommage ! dit-elle avec un sourire narquois.— Pourquoi dommage ? demande t-il de ce même sourire.— Parce que j’aurais bien voulu que tu me prennes... déclare la professeure. Vu qu’on ne se verra plus d’ici-là...— Je ne suis pas contre.
Elle sourit, satisfaite de cette réponse. Jean pose ses affaires dans sa voiture et suit sa nouvelle partenaire. Cette dernière s’est attachée les cheveux en chignon et a retiré la veste de son tailleur. Ses seins pointent à travers son débardeur. À peine arrivé à sa voiture, Jean remarque que les sièges arrières du monospace sont rabattus. La voiture est garée en retrait par rapport aux autres.
— Depuis lundi, je ne pense qu’à ça. À me faire baiser par toi, déclare t-elle.
Jean est satisfait d’entendre ça. Il sent qu’il va se régaler. Ingrid ouvre le coffre de sa voiture et s’assoit au bord. Elle pose ses doigts sur la braguette de son partenaire, l’ouvre et sort du pantalon l’objet de son désir. Elle se mord la lèvre en le voyant et regarde Jean. Ce dernier lui sourit, satisfait d’avoir cette femme à ces pieds. Elle prend le sexe en bouche, lèche puis suce le gland. Elle passe des coups de langues sur la couronne ce qui fait frissonner le professeur. Puis, elle lèche le membre, l’enduit de salive. Puis, elle le reprend en bouche. Cette fellation est la meilleure que Jean ait reçu, entre les coups de langue et les bruits de succion, le traitement imposé par la professeure est puissant. Pendant qu’elle le suce, elle malaxe les testicules de son partenaire ce qui décuple son plaisir. Cette femme est une experte, Jean le reconnaît.
Au bout de quelques minutes, Ingrid s’arrête. Elle retrousse la jupe de son tailleur et retire son string. Jean s’écarte pour lui laisser la place. Elle s’assoit au bord de l’habitacle. Lui, se place face à elle, approche son sexe du sien et entre d’un seul coup. Il démarre des va-et-vient puissants qui font crier la belle brune.
— Vas-y ! Baise-moi ! Défonce-moi ! crie t-elle.

Jean regarde autour de lui, afin de ne pas se faire repérer. Il continue dans sa lancée. Il retire un sein du débardeur de la professeure, le prend en bouche, le téton est bien dur. Les gémissements de la brune sont de plus en plus prononcés. Il lui donne son pouce à sucer, elle le suce de manière torride.Au bout de quelques minutes, Ingrid le stoppe et se place à quatre pattes dans sa voiture. Jean se place derrière elle et la pénètre de nouveau. Il la prend bien par la taille et lui met de grands coups de butoir. Il lui agrippe ses fesses.
— Vas-y ! Claque-moi les fesses ! Donne-moi la fessée ! crie Ingrid.
Jean ne se fait pas prier. Il lui met une grande fessée, ses fesses blanches rougissent au fil des claques. Ingrid hurle, à la fois de douleur mais aussi de plaisir. Il la pénètre avec des coups puissants et de manière vive. La jouissance ne va plus tarder.
— Je vais jouir, lui dit-il.— Attends !
Jean s’arrête et se retire. Ingrid se retourne et lui retire le préservatif. Il croit qu’elle veut avaler le sperme mais elle a une autre idée.
— Tu vas me remplir le cul. D’accord ?— Si tu veux ! répond Jean, avec un sourire.
Ingrid se replace à quatre pattes tandis que Jean se remet derrière elle. Il prend de la mouille du sexe de sa partenaire et lui enduit son anneau. Il plonge deux doigts dedans afin de préparer cet anus étroit. Ingrid pousse de petits gémissements. Puis, Jean se replace derrière elle, place son sexe contre la rondelle d’Ingrid et s’insère dans son anus. Il y va doucement au début, puis accélère le rythme. La professeure se mord les lèvres puis crie, un cri mélangeant la douleur et le plaisir. Jean s’agrippe de nouveau à sa taille et lance de nouveaux coups de reins puissants. La chaleur se lit sur son visage, la jouissance est proche.
— Ça y est ! Je vais jouir ! râle t-il.— Vas-y ! Remplis-moi ! crie Ingrid.
Jean jouit dans les entrailles de l’enseignante. Une quantité de sperme impressionnante, comme à chaque fois. Il se retire de cet anus, l’admire. Il est bien dilaté, bien rempli. Du sperme coule le long des cuisses. Ingrid, elle, reprend son souffle.
— Regarde dans la boîte à gants ! Il doit y avoir un plug, dit-elle entre deux souffles.
Jean est étonné d’entendre ça. Il remonte son pantalon et passe à l’avant du véhicule. Il ouvre la boîte à gants et met la main sur le plug, un plug en métal avec un diamant. Il se rapproche d’Ingrid et lui insère, tel un bouchon. Elle se relève, remet en place à jupe et son débardeur.
— Il faut que je me dépêche. Mon mari va se demander où je suis, dit-elle, pressée.— Ah ! Parce que tu es mariée ? demande Jean, surpris.— Oui ! Et il doit m’attendre avec les enfants...— Bah dis donc ! Il ne doit pas s’ennuyer.— Tu parles. Il ne me touche plus depuis la naissance de mon deuxième. Trop occupé avec sa secrétaire... En tout cas, merci beaucoup ! J’ai pris beaucoup de plaisir ! déclare t-elle avec son sourire charmeur.— Au plaisir ! Par contre, tu as du sperme qui coule encore sur tes cuisses.
Ingrid regarde et effectivement, du sperme coule encore. Elle le retire avec ses doigts et les porte à sa bouche.
— Hmmm ! Délicieux ! Un vrai régal ! dit-elle en lui faisant un clin d’œil.
Jean lui sourit et la quitte. La voiture démarre derrière lui et quitte le parking. Il retrouve la sienne et quitte l’endroit également, des souvenirs pleins la tête. Arrivé chez lui, il sort le carnet de son bureau et écrit à la page suivante :
— Numéro 78 : Ingrid Mincez. Professeure de Français, jury de l’Oral du Bac Français. Vendredi 1er juillet.
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