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Jean Dôm

Chapitre 7

Surprenante réception

Hétéro
En pleine nature, Jean Dôm marche sur un sentier. Il entre dans une forêt, avec des chênes et des sapins. Arrivé en plein milieu, il découvre un groupe de personnes habillé de vêtements blancs. Ce ne sont que des femmes et Jean les reconnaît : ce sont toutes les femmes avec qui il a pu coucher. De la première à la dernière, celle avec qui il a couché la nuit dernière. Il se demande comment il est arrivé là, comment se sont-elles rencontrées et que va t-il lui arriver.L’une d’entre elles, celle avec qui Jean a perdu sa virginité, se lève, se dirige vers lui et lui dit, d’une voix forte :
— Jean Dôm ! Tu t’es servi de nous afin d’obtenir ta vengeance, tout ça en couchant avec nous ! Tu mérites un châtiment !
Jean ne comprend pas. Il ne voulait que leur bien, rien de plus. Certes, il n’en a recontacté aucune, ni sorti avec l’une d’entre elles, mais il préférait ainsi. Pour son bien et leur bien.
— Tu vas subir une torture ! Nous allons tous coucher avec toi, à tour de rôle, sans s’arrêter. Jusqu’à ce que tu succombes. Mesdames, c’est à vous !
Les femmes se lèvent et s’approchent de lui. Elles le déshabillent entièrement puis lui attachent les mains et les pieds à un lit. Ensuite, elles se déshabillent également et s’approchent de lui, le caressent, jouent avec son corps, son visage, son sexe. Jean se demande s’il va pouvoir tenir, il ferme les yeux.On frappe à la porte. Jean ouvre les yeux. Allongé sur son lit, il tourne la tête de chaque côté et remarque qu’il n’y a personne. On frappe une deuxième fois à sa porte. Il se lève, regarde l’heure sur son téléphone, midi ! Il a fait la grasse matinée. Il se dirige vers la porte, l’ouvre en grand.
— Oh ! Bonjour ! Veuillez m’excuser ! Je vous réveille ?
C’est la réceptionniste. La jolie blonde au regard de braise et au sourire ravageur. Elle porte un chemisier blanc, légèrement ouvert mais qui laisse paraître un soutien-gorge en dentelle noir, une jupe moulante couleur crème et des chaussures à talons noirs. Elle est habillée tel une pin-up.
— Euh, oui... balbutie Jean, à moitié réveillé.— Excusez-moi ! Mais je me suis permis de venir car vous n’êtes pas descendu pour le petit-déjeuner, dit-elle en rougissant. Je voulais savoir si tout allait bien.— Oui, oui. Tout va bien. Je me suis couché tard, c’est pour ça.
Jean voit qu’elle rougit de plus en plus. Et pour cause, il est totalement nu, le sexe bien visible. Pourtant, il ne fait rien pour cacher ça.
— Bon. Si tout va bien, je vous laisse. Bonne journée à vous !— Merci, vous aussi !
La jolie blonde quitte son client, sans l’observer une dernière fois. Jean remarque qu’elle se mord la lèvre. En a t-elle envie ?Jean ferme la porte derrière lui. Il sourit, content que la réceptionniste soit tomber sous son charme. Il entre dans la salle de bain et prend une bonne douche. Il repense à elle, cherche un nouveau moyen à l’attirer vers lui. Il repense au rêve, à la signification qu’il pourrait avoir. Serait-il le moment d’arrêter ça ? En a t-il fait assez avec les femmes ? Il se dit que non, que ce n’est qu’un rêve. Et qu’elle sera la prochaine.
Il se prépare et quitte la chambre afin d’aller déjeuner à l’extérieur. Devant la réception, il croise la réceptionniste qui baisse les yeux en le voyant mais en souriant. Jean lui répond par un sourire et un clin d’œil ce qui lui fait tourner le regard. Il quitte l’établissement.
Il prend sa voiture et se dirige vers les terres. Il s’arrête dans un petit restaurant afin de se restaurer, puis se dirige vers la plage. Arrivé sur place, il se change et passe une tenue de bain. Il se pose sur la plage afin de profiter du soleil et d’observer les personnes présentes. Il remarque la présence de quelques jolies filles mais elles sont, pour la plupart, en couple. Il reste quelques femmes d’âge mûr mais Jean ne se résout pas à leur parler. Il finit par s’allonger et faire bronzette.
Jean est de nouveau attaché. Les femmes s’occupent de lui. L’une d’entre elles est montée sur son sexe, ondule du bassin. Une deuxième s’est positionnée sur son visage, collant son sexe contre la bouche de l’homme, deux autres s’occupent de ses tétons avec leurs bouches. Elles changent systématiquement dès qu’il a joui. Elles ne le lâchent pas tandis qu’il finit par lâcher d’épuisement.
Un ballon de plage atterrit sur son ventre, ce qui réveille Jean en sursaut. Un père de famille s’excuse pour la gêne occasionnée mais Jean n’en tient pas compte. Il se lève, tracassé par ce rêve qui lui est revenu. Il décide de se baigner afin de se rafraîchir les idées. Après de très longues minutes dans l’eau, Jean remonte vers la plage et quitte l’endroit afin de rentrer.
En route, Jean repense à ce rêve. Les images défilent dans ses yeux. Cette fois-ci, il compte en tenir rigueur. Il cherche une signification au plus profond de lui-même mais rien ne vient. Il arrive à l’hôtel, entre pour y déposer ses affaires.
À la réception, il voit la réceptionniste, grand sourire lorsqu’elle l’aperçoit. Ce sourire lui chasse le mauvais rêve, il lui rend et lui fait un nouveau clin d’œil qui fait rire la jolie blonde. Arrivé dans sa chambre, il dépose la plupart de ses affaires dans la salle de bain afin de les sécher sur le porte-serviette. Il se déshabille intégralement afin de mettre une tenue pour sortir en ville. Mais il remarque une feuille posée sur la table base. Une adresse y est écrite avec une heure, vingt-et-une heures. Une écriture de femme que reconnaît parfaitement Jean. Il décide de se préparer à la perfection, il passe à la douche et s’habille à la perfection.
Jean quitte l’hôtel afin de se rendre à l’adresse. Il y arrive avec une dizaine de minutes d’avance, décide d’attendre l’heure. Il réfléchit à la teneur de la soirée, si ce sera une soirée classique, chaude ou très chaude. À vingt-et-une heures, il sonne à la porte. Elle s’ouvre.
— Bonsoir Jean ! — Bonsoir mademoiselle !— Je vous en prie ! Appelez-moi Clara !— D’accord Clara !
La réceptionniste l’invite à entrer dans sa modeste demeure. Une petite maison, avec un joli salon. Un long canapé avec un tapis en plein milieu.
— Comment ça va ? Je suis satisfaite que vous ayez trouvé mon petit mot.— Moi aussi, je suis très content de l’avoir trouvé. J’ai tout de suite su que c’était vous.
Clara sourit et l’embrasse directement. Ils échangent de longs baisers, avec de la passion. Il pose ses mains sur son dos puis les descend sur ses fesses. Elle retire ses lèvres des siennes, sourit, mais un sourire plein de malice. Elle le pousse sur le canapé, puis se met au-dessus de lui. Elle le tire par la chemise, reprend ses baisers. Sa malice est de plus en plus visible dans son regard.
— Tu as cherché à m’attirer vers toi. Finalement, c’est toi qui est venu à moi, déclare t-elle. Ce soir, c’est moi qui prend les rênes.
Et elle embrasse à nouveau Jean. D’ordinaire, il se réjouit quand sa partenaire prend l’initiative. Mais ici, Clara a l’air déterminé. Déterminé à prendre les choses en main et à ne pas se laisser faire. Elle le relève et l’invite à la suivre dans sa chambre. Une fois à l’intérieur, Jean remarque qu’elle est entièrement de couleur rouge ; entre les murs, les meubles et le lit couvert d’un drap et de deux oreillers de la même couleur. Elle l’embrasse de nouveau et lui arrache sa chemise. Ses baisers descendent sur le torse de l’homme, titillant les tétons avec sa langue. Elle le pousse une nouvelle fois, cette fois-ci sur le lit.
Jean se retrouve de nouveau allongé, sous les griffes de sa prédatrice. Cette dernière l’enjambe sur le lit, porte à nouveau des baisers sur son corps et remonte jusqu’à son visage. Les deux s’embrassent à nouveau. Clara lui prend les mains, lui lève afin de les mettre derrière les barreaux du lit. Elle sort des menottes cachées sur le matelas et les serre aux poignets de sa victime. Jean se retrouve bloqué par son hôtesse. Elle l’embrasse une dernière, se lève pour quitter la chambre.
— Où vas-tu ? demande Jean, interloqué.— Je reviens, répond t-elle sèchement.
Elle ferme la porte. Jean se retrouve prisonnier de son hôtesse, ne trouvant aucun moyen pour se libérer. Il se demande s’il n’est pas allé trop loin avec elle, s’il ne s’est pas trompé sur son compte. Cache t-elle bien son jeu ? Ça ne fait aucun doute. Il repense à son rêve, au fait qu’il y est aussi attaché. Serait-ce un rêve prémonitoire ? Elle ne va quand même pas amener toutes ces femmes dans cette petite chambre. Il est venu dans la région uniquement pour ses vacances, il ne connait personne. Il chasse cette idée et attend, tout en craignant le pire.Au bout de longues minutes, une musique démarre sur l’enceinte posée sur la commode, près du lit. Une musique langoureuse, qui appelle au sexe. La porte s’ouvre et Clara fait son entrée. Elle a complètement changé de tenue : les cheveux attachés, elle porte un corsage en cuir noir qui fait déborder sa poitrine déjà bien ronde, ainsi que des cuissardes également noires. La tenue parfaite pour une dominatrice. Jean est bouche-bée.
— Tu croyais pouvoir me mener à la baguette ? demande t-elle d’un ton ironique. J’ai tout de suite vu que tu étais un collectionneur de femmes. Ça me plaît. Je vais pouvoir jouer avec toi.
La belle blonde enjambe le corps d’Antoine, frôle ses lèvres sur celles de sa victime. Jean n’a jamais été un soumis, a toujours eu le contrôle sur ses partenaires. Mais là, il est piégé. Clara l’embrasse sur le cou, descend le long du corps. Elle s’attarde sur les tétons. D’abord, elle les frôle avec la paume de ses mains, les caresses du bout des doigts puis tire dessus. Elle en prend un en bouche, jouant avec sa langue puis le mordillant, tout en frottant l’autre avec sa main. Elle inverse, s’occupe de l’autre de la même façon. Jean se dandine, excité par cette pratique. Clara, elle, sourit. Un sourire mélangeant perversion et satisfaction. Elle se frotte contre le pantalon de son prisonnier, toujours enfermé dans son pantalon. Elle sent le sexe bien dur mais elle remonte vers son visage.
— Tu as faim ? demande t-elle, toujours avec perversion. Moi, j’ai très faim.
Jean croit alors qu’ils vont passer aux choses sérieuses mais c’est sans compter sur les idées de Clara. La maîtresse du soir se penche vers la table de nuit et en sort des pots de confiture, de la crème chantilly et un bol rempli de chocolat fondant.Elle prend une cuillère dans le premier pot et mange. Elle ferme les yeux, s’en sert une deuxième cuillère.
— Hmmm ! Délicieux ! dit-elle, avec gourmandise.
Elle en prend une nouvelle cuillère, l’approche de la bouche de Jean. De la confiture de fraise, un régal pour lui. Il se lèche les lèvres, Clara rigole. La cuillère arriva au bout des lèvres de Jean mais elle lui retire et la renverse sur son torse.
— Oups ! Que je suis maladroite ! répond t-elle en riant.
Elle approche son visage du corps de Jean et commence à lécher la tâche de confiture. Elle pousse des "Hmmm" de plaisir tout en regardant son soumis. Jean bouillonne de tout son corps, son sexe va exploser dans son pantalon. Le jeu de Clara dure de longues minutes. Elle change d’aliment, passant de la confiture à la crème chantilly. La blonde se régale, aussi bien en dégustant ces produits, mais aussi en rendant fou son prisonnier. Cette scène l’excite au plus haut point, c’est la première fois qu’il vit quelque chose comme ça.L’apothéose vient avec le chocolat fondant. Avant ça, elle retire le pantalon de Jean. Elle le retire difficilement mais parvient à libérer le sexe bien dur.
— Je sens que je vais me régaler ! J’adore cette viande, déclare t-elle.
Mais elle prend le bol de chocolat et en verse dessus. Jean est stupéfait, la sensation étant à la limite de l’extrême.
— Mince ! J’en ai encore mis partout, dit-elle avec ironie. Je vais encore devoir tout nettoyer.
Elle approche sa bouche du membre imposant et couvert de chocolat. Elle commence par lécher les gouttes posées sur le bas ventre et sur les cuisses de Jean. Ce dernier sent le souffle de sa maîtresse sur son sexe, ce qui décuple son excitation. Il s’énerve quelque peu, se débat, tente de se libérer mais les menottes cognent contre les barreaux. Clara rigole, se lèche les lèvres. Elle prend ensuite les testicules à pleine bouche, les aspirant afin d’en retirer la texture. L’effet est là, la respiration du prisonnier s’accélère. Elle pose enfin ses lèvres sur son membre enduit de chocolat.
Quelle bouche ! Clara le suce avec gourmandise et expertise. Jean souffle de plus en plus fort. Avec ce traitement, il ne tiendra pas longtemps. Elle le sait, elle accélère le rythme. Le chocolat a disparu du sexe, quelques traces demeurent. Elle continue de le sucer avec passion, son regard fixant celui de Jean qui sent la jouissance venir. Il la prévient mais elle poursuit jusqu’à l’éjaculation. Il jouit dans sa bouche mais c’est ce qu’elle voulait. Il lui remplit la bouche ; jamais il n’a déversé autant de sperme. Son corps tremble.
Clara se relève. Sur son menton, un mélange de salive, de sperme et de chocolat. Son regard montre toute la perversion et la gourmandise qu’elle possède en elle. Elle se lèche le menton, se régale.
— Hmmm ! J’ai bien mangé, dit-elle en plaisantant. Un vrai régal. J’espère que tu t’es régalé aussi.— À vrai dire, je n’ai rien mangé, répond Jean pour la provoquer. Je reste un peu sur ma faim.— Oh ! Tu n’as rien eu à manger ? reprend t-elle d’une voix maternelle. Attends, je vais te donner quelque chose.
Elle se lève, enjambe le visage de Jean et se met à genoux au-dessus. Elle lui tire les cheveux, lui colle le visage entre ses cuisses, la bouche sur son sexe.
— Vas-y ! Mange moi ! Mange ma petite moule ! ordonne t-elle d’une voix forte.
Jean commence à lécher cette moule. D’abord, des petits coups de langue sur les lèvres. La mouille est épaisse, déborde et se colle sur sa bouche. Puis, les coups de langue sont plus prononcés, plus profonds. Clara, qui le tire toujours par les cheveux, se tient à un barreau du lit. Ses soupirs sont de plus en plus forts, le plaisir monte en elle. Puis, il prend son bouton en bouche. Son clitoris est bien gonflé, bien gros. Il lui aspire, la fait crier. Elle lâche sa tête mais colle carrément sa vulve sur sa bouche, obligée de se tenir à deux mains au lit, tellement la sensation est forte. Au bord de l’étouffement, il s’arrête ce qui permet à la réceptionniste de se retirer.
Après une séance de nettoyage, Clara se place sur le sexe de Jean et le fait entrer dans le sien. Elle a retiré son corsage et libéré ses seins. Deux seins de la taille d’obus qui saute pendant qu’elle s’amuse sur le membre. Jean, lui, aime la voir ainsi mais aimerait reprendre les choses, ce qu’elle refuse. Pour le punir, elle s’arrête et se met dos à lui. Elle continue ses sauts, puis se met à onduler du bassin. Les sensations lui sont meilleures, elle est au bord de l’orgasme. Après de longues minutes ainsi, Jean jouit une deuxième fois en elle. Elle se retire, le regarde, lui et son sexe.
— Encore fini ? dit-elle, hilare. Moi qui croyait que tu étais performant...— Si tu me détaches, je peux te montrer de quoi je suis capable, répond Jean pour la provoquer.— Bien sûr ! J’ai compris qui tu étais. Un mec qui s’amuse avec filles faciles ou facilement influençable. Tout ça pour satisfaire ton égo surdimensionné. Mais ce soir, tu ne feras rien. C’est moi qui décide !
Jean sourit. Tout l’après-midi, il a cherché un stratagème pour l’amener à lui mais c’est l’inverse qui s’est produit. Mais il est temps pour lui de reprendre le dessus.
— En fait, tu te sers des hommes pour assouvir tes pulsions ? demande t-il.— Oui. Et alors ?— Et bien, je pense qu’il s’agit d’autre chose. Tu es jolie, tu dois avoir tous les hommes à tes pieds.— Plus ou moins, oui.— Mais tu n’es pas satisfaite dans ta vie. Réceptionniste dans un hôtel, qui aimerait faire ça. Tu dois faire face à la colère des clients, de ton patron. Tu dois faire le sale boulot. Et puis, tu es célibataire. Aucun mec qui peut te combler le soir. Alors, quand tu rencontres un mec et qu’il te fait du charme, tu l’attires ici et lui fait ton numéro de dominatrice. Une vraie vie de frustrée !
Clara l’attrape par le cou. Jean, d’abord surpris, sourit de satisfaction face à la tournure des évènements.
— Tu me provoques ? dit-elle avec une pointe de colère. Ne joue pas à ça ! Tu pourrais le regretter.— Qu’est-ce que je disais ? répond Jean. Une vraie frustrée de la vie. Tu as juste besoin d’être comblée. Je l’ai senti pendant que je te léchais.— Et tu crois que tu y arriveras ? Vu comment tu as joui les deux premières fois...— Parce que tu menais la danse et que je suis sensible à ça. Enfin, tous les hommes sont sensibles à ça. Mais si tu me laisses faire, je peux te faire jouir d’une façon qui stoppera toutes tes frustrations.— Et si tu échoues ? demande t-elle pour le provoquer.
Jean ne répond pas. Il la regarde avec la certitude de parvenir à ses fins. Clara sourit. Elle le détache du lit, il se retrouve libérer du joug de sa dominatrice. Il l’embrasse une nouvelle fois et l’allonge sur le lit. Il s’occupe de son corps, en s’attardant sur la magnifique poitrine. Les tétons bien durs ainsi que la fermeté des deux seins révèlent toute l’excitation de la blonde. Il descend vers son sexe, bien mouillé. Il s’en délecte, s’abreuve de cette source qui continue de couler. Il reprend les coups de langue ce qui la fait gémir. Elle se dandine sur le lit, Jean est obligé de la tenir par les cuisses pour la maintenir. La jeune femme approche de l’orgasme.
Jean stoppe le cunnilingus et la pénètre d’un seul coup, plongeant son sexe au plus profond de l’antre. Il s’appuie sur le coudes, son visage collé contre celui de sa partenaire, l’embrasse pendant qu’il assène de coups sa vulve. Clara gémit de plus en plus forts, elle ferme les yeux, ne veut pas regarder son amant du soir. Lui, la regarde, voit qu’elle va faillir. Elle finit par jouir.
— Oh ! Putain !
Ses cris sont forts, tout comme les spasmes qui traversent son corps. Jean admire ces tremblements, il est arrivé à son but.
— Tu vois que j’y suis arrivé, lui chuchote t-il à l’oreille.
Clara, toujours les yeux fermés, se mord les lèvres. Un mélange de honte et de joie lui traverse l’esprit mais elle se sent satisfaite. Elle finit par ouvrir les yeux et regarde son amant. Elle l’embrasse, un baiser rempli de passion. Mais Jean n’en a pas fini avec elle. Il la retourne, la place à quatre pattes. Il écarte ses fesses et crache sur son anus.
— Attends ! Que fais-tu ? Oh !
Clara n’a pas eu le temps de finir que Jean a déjà plongé son membre dedans. Elle se sent déchiré, son conduit étant très étroit. Il ne réfléchit pas, il lui met de grands coups de butoir qui la font crier, un cri de douleur mêlé à la jouissance. Jean la sodomise de façon intense. Il l’attrape par les bras, la redresse tout en poursuivant le rythme. Il l’embrasse dans le cou et s’approche de son oreille.
— Tu croyais pouvoir me dominer ? Finalement, c’est moi qui t’encule.
Il la lâche et continue ainsi. Ils jouissent ensemble, Jean se déversant une troisième fois dans son cul. Ils s’allongent sur le lit, reprennent leurs souffles. Ils se regardent, Jean voit qu’elle est comblée. Clara l’embrasse une nouvelle fois.Durant toute la nuit, Jean et Clara s’adonnent au plaisir de la chair. Ils parcourent l’ensemble du domicile, joue diverses rôles. Il se fait prodiguer une branlette espagnole alors que les seins de la jeune femme sont enduit de chocolat. Ils terminent cette nuit sous la douche après une énième jouissance et finissent par s’endormir sur le lit.Vers sept heures du matin, Jean se réveille. Clara est à ses côtés, endormie et apaisée. Il se lève, ramasse ses affaires, s’habille rapidement et quitte le domicile. Il rentre à l’hôtel, retourne directement dans sa chambre et se couche dans son lit. Avant ça, il n’a pas oublié de noter sur une nouvelle page du carnet.
— Numéro 81 : Clara, la réceptionniste de l’hôtel. Nuit du dimanche 17 au lundi 18 juillet.
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