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Jean François

Chapitre 1

Divers
Mon chéri Jean François souffre le martyr dans sa chambre d’hôpital. Il a une maladie rare qui exige pas mal d’opérations, plus de 6. Il a été opéré la semaine dernière pour la première fois. Je n’habite pas près de l’hosto, alors je vais le voir le dimanche où je passe la journée. Il me dit être excité par une infirmière vachement sexy. Je ne la connais pas du tout. Je fais sa connaissance dès la mi matinée. C’est vrai qu’elle est sexy, surtout sans soutien gorge sous la blouse. Quand elle se penche toute sa belle poitrine est visible. moi-même je me sens attirée par cette jeune femme. Dès qu’elle sort je passe un bras sous le drap: Jean François bande. Je me méfie de l’irruption de l’infirmière, aussi j’embrasse mon chéri sur la bouche pour le faire un peu patienter. Je traîne pas mal pour le baiser, si nos lèvres sont soudées, ma langue entre dans sa bouche. Je serre sa bite dans ma main sans bouger. Je sais qu’il voudrait que je fasse quelque chose. Je le fais languir pour qu’il profite d’avantage de la suite. J’ai tout simplement peur que l’infirmière entre quand je le suce ou le branle. Tant pis je prend la décision: je vais voir la fille pour lui avouer que je vais donner du plaisir à Jean François.— Vous allez lui faire quoi?— Si je peux je le branlerai et le sucerai;— Je comprend, vous aussi avez envie.— Oui j’ai envie de baiser;— Je m’en souviendrai pour la suite au cas où vous ne reviendriez pas.Je ne sais pas exactement ce qu’elle veut dire par là. En tout cas elle ne viendra pas me déranger. J’entre à nouveau. Jean François me demande ce qui se passe: je lui rapporte la conversation. Sans tarder plus, je soulève complètement le drap. Il bande toujours. Nous avons le temps pour qu’il jouisse enfin. Je reprend sa bite dans ma main droite, caresse ses couilles avec la main gauche. Il commence à gémir de plaisir. Pourtant les mouvements de ma main sont presque inexistants. Je descends le prépuce juste pour libérer le gland. Je ne fais que frôler cette extrémité avec un pouce. Ma caresse est volontairement très douce, Je ne peux pas le faire jouir ainsi, je le sais bien, seulement je fais durer mon plaisir. Je l’embrasse encore plus profond que la première fois quand je commence à faire les allers et venues sur sa queue. Cette fois il gémit comme jamais: c’est même pour moi la première fois que je l’entends. J’arrête tout; je sors même ma main. Il se demande ce qui se passe: je lui fait lécher ma main avant de revenir sur sa bite. Cette fois je cesse le supplice, je le branle rapidement. Je regarde le méat pour voir sourdre son liquide. Je n’ai pas à attendre longuement: un premier jet propulse son sperme bien haut pour retomber sur son bas ventre, le reste se perd sur ma main. En tout cas il a bien joui. J’ai moi aussi envie de me faire du bien: il aime me voir me masturber. Au diable la morale: j’enlève ma culotte, relève ma jupe jusqu’à la taille. Je m’assieds sur la chaise, face à lui. Je caresse d’abord l’intérieur de mes cuisses avant de me toucher la chatte que je lui montre:— Tu as un joli con.— Et toi une belle bite que je sucerai tout à l’heure après mettre faite jouir. Je touche d’abord le haut de mes lèvres pour les écarter et faire ressortir mon clitoris qui bande déjà depuis un bon moment. Ses yeux sont fixés sur ma chatte. Je m’astique à peine quand d’un seul coup je jouis trop rapidement pour me satisfaire, alors je me met deux doigts dans la chatte, les faire aller et venir. Ce n’est pas suffisant, je prend de la cyprine de la main gauche et entre encore deux doigts dans le cul. Je me fait un genre de double pénétration. Là c’est trop bon, je jouis longuement en poussant, je les entends, de longs gémissements. Je reste comme je suis, le cul à l’air pour venir prendre la bite dans la bouche. Je sais qu’il adore que ma langue le lèche sur le gland et qu’il aime quand ma bouche lui sert de dépôt de sperme. Aussi je sors ma langue bien avant d’arriver sur sa queue. Elle me plaît drôlement cette queue. En plus elle a bon goût. Je lèche comme une friandise, longuement. Il se laisse aller complètement. Je me lasse un peu aussi j’enfonce sa bite totalement dans la bouche. Là je fait aller et venir ma tête sur sa pine. Elle est tellement bonne. C’est la première que je suce avec plaisir et pourtant avant lui j’en ai sucé. Je vais jusqu’au bout: il est au fond de ma bouche presque contre ma glotte, je retiens un début de besoin de vomir. J’arrive à retenir ma nausée. Enfin je sens sa bite gonfler un peu et il se lâche sans rien me dire. Heureusement qu’il a déjà joui, j’ai quand même une sacré dose de semence dans le bouche. Il faut que je le lui montre. Je me relève la bouche ouverte vers lui, sur ma langue il peut voir le sperme que j’avale à toutes petites gorgées. Dès que j’ai fini je l’embrasse sur la bouche: il peut goûter à son sperme lui aussi. Je crois que c’est la première fois entre nous. Il n’en dit rien.Je ressort après mettre remise en ordre pour revoir l’infirmière.— Ca y est vous l’avez branlé.— Oui, il a bien aimé depuis le temps. — Et vous?— Je me suis masturbée, il aime me voir quand je me donne du plaisir.— C’est normal. J’aimerai bien vous voir aussi, j’aime bien les femmes vous savez.Je ne répond pas. Le dimanche suivant je revois mon homme à la veille d’une deuxième opération. Nous faisons comme la dernière semaine, nous nous branlons, disons que je le branle et il me regarde. Je repense à l’infirmière que je regarde plus comme une femme. Un peu anormale, mais digne d’intérêt. Elle m’accueille gentiment:— Ca y est vous l’avez branlé?— Oui et moi aussi.- Je suis à votre disposition, je dispose d’une bonne heure devant moi de libre, je pourrai vous apprendre des choses que vous ne connaissez sans doute pas.— Je veux bien. Elle ne sait pas qu’aujourd’hui je suis venu en pensant à elle. Quand elle vient vers moi j’ouvre à moitié la bouche pour recevoir mon premier baiser d’un autre femme. Elle ne s’y trompe pas, elle m’embrasse drôlement bien, sa langue dans ma bouche fait des ravages: elle me fait mouiller alors que je me suis satisfaite il n y a peu. Il faut dire que toute cette semaine mes fantasmes étaient sur elle. Je me branlais en pensant à son sexe. Adieu Jean François, je vais baiser avec une fille. Elle passe ses mains sur mes cuisses, par-dessous la robe. Elle les monte jusqu’à mon string. Un doigt curieux passe sous le vêtement Elle sait parfaitement ce qu’elle fait. Elle ne me fouille pas la chatte, c’est plus subtil que ça, elle me masse le pubis lentement jusqu’au moment où je la supplie de me caresser la chatte. Elle me fait mettre nue et se déshabille aussi. Je vois enfin ses fameux seins qui sont durs bien hauts et pointus. J’ai envie de les sucer, comme elle me fait maintenant avec les miens. Elle m’excite tellement que je n’en peux plus:— Baises moi vite.— Patiente un peu.Elle fait comme j’ai fait à Jean François. Je me sens fondre de l’entre jambe. Vite qu’elle me branle ou me suce, je n’en peux plus. Elle me fait m’asseoir sur un genre de fauteuil. J’écarte les jambes à peine assise, j’avance mes fesses tout au bord. Dans mon inconscient j’espère quelle me touchera l’anus.Elle est accroupie devant moi, les genoux écartés ce qui me permet de voir toute sa féminité. Elle écarte avec ses main le haut de mes lèvre pour faire ressortir le clitoris, à peine sortit, il reçoit sa langue. Quel délice que cette langue. Avec ses lèvres elle l’avale presque comme une petite bite. Je ne tarde pas à me tendre en appuis simplement sur mes épaules et les talons. Je jouis comme une folle, c’est aussi bon qu’une bite dans le trou. Elle continue cette fois en insérant sa langue dans mon puit. Là je ne sais pas ce qu’elle fait: je jouis encore, quand enfin elle pose sa langue sur l’anus. Je m’attendais à cette caresse, pas à la suite, elle l’enfonce dans mon cul. Ce n’est pas profond, c’est simplement jouissif. — Maintenant à toi de me faire jouir. — Comment tu veux?— Branle moi. Après il sera trop tard, les autres viendront.Qui sont les autres je ne sais pas. Elle prend ma place: cette fois je vois toute sa chatte. Je ne peux m’empêcher d’y mettre ma langue, juste comme ça pour la goûter. Je passe derrière elle, au passage je caresses ses magnifiques seins. Mes mains sont sur son ventre pour descendre vers son pubis. J’y trouve sa fourrure que je survole pour aller me perdre dans son sexe. C’est drôlement chaud: je comprend quand les hommes disent aimer pénétrer le vagin. Je ne cherche que très vite le clitoris: il est plus long que le mien. Je le frotte lentement, comme pour moi.— Vas plus vite.Je vais plus vite, elle se tend elle aussi en jouissant, je continue elle jouit encore. — Merci, à dimanche prochain. Ainsi elle m’attend pour tirer un coup avec moi. Pourquoi pas, c’était agréable même pour moi une femme attirée par les hommes.
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