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Jeanne en Chaleur

Chapitre 1

Chapitre 1 : Voici qui je suis

Hétéro
Oui, c’est moi. Comme le titre l’indique, je m’appelle Jeanne, Jeanne Limetroi pour être exacte et je suis en Chaleur. Je l’ai toujours été et ça ne semble pas changer.
Je suis une femme de 45 ans. Je me trouve assez désirable. Je fais 1m55, cheveux doux et châtain, presque blonds, yeux bleus, a un visage très harmonieux. Je suis svelte (55 kilos) et j’adore faire plein de sports. J’ai un cul ferme et petit, lisse et très blanc, une vraie lune. Je trouve mes seins petits (85B), mais assez fermes encore, des tétons assez gros, mais pas trop, des aréoles et larges. J’ai refusé d’allaiter mes enfants pour préserver ma jolie poitrine. Ah oui, je suis une maman de 3 enfants, deux filles et un garçon. Mes deux filles Murielle et Béatrice ont maintenant respectivement 23 et 21 ans. Jules, mon petit dernier vient de fêter ses 17 ans il y a quelques semaines. Ce que je disais sur l’allaitement n’est pas tout à fait vrai. J’ai voulu quand même essayer cette expérience dont toutes les femmes parlent avec mon dernier enfant. Je l’ai allaité ses 3 premiers mois et ensuite, il arrivait que jusqu’à ses 2 ans, il me réclame le sein.
J’insistais pour ne pas y céder et céder à ses caprices, mais quand ça devenait difficile avec les filles et le travail, lui donner le sein quelques minutes pour le calmer quelques heures était un petit sacrifice qui en valait la peine. En réalité, je ne sentais rien et n’éprouvais rien avec l’allaitement. Donc, ça ne me dérangeait pas tant que ça.
J’ai eu Murielle quand j’avais 22 ans. J’avais déjà 2 ans dans une grande entreprise multinationale après avoir fait la meilleure école de commerce du monde et être sortie parmi les premiers. Le compte vous paraît un peu louche, c’est parce que j’étais en avance sur mon âge. J’avais eu mon bac avec deux ans d’avance. Etre une grosse tête ne m’a jamais causé de soucis. J’avais plein d’amies et d’amis, je sortais et m’amusais souvent (avec modération et raison). Mes premières expériences sexuelles avaient étés au début de mon adolescence et j’ai perdu ma virginité très tôt (14 ans). J’ai pratiqué le sexe sans modération, mais avec beaucoup de précautions. Je papillonnais d’un garçon à un autre sans aucune hésitation, parfois même des filles, mais c’était juste pour essayer dans un cadre parfois propice (vacances en colonies, expérience de camp et plage naturiste avec des amies).
Vers mes 20 ans, ma famille m’a mis la pression pour me caser et arrêter mon papillonnage dont ils entendaient les ragots par les voisins et des filles jalouses, comme ma grande-sœur à qui je racontais tout. Je me suis mariée avec un homme adorable, mais pas très porté sur la chose et qui était de la même promotion d’école de commerce. Faire un enfant était comme un besoin physiologique pour moi, et la situation du mariage me forçait à trouver un exutoire. Mes conditions de travail (couverture santé, congé maternité, garderie à disposition dans nos locaux, discrimination positive pour les mères jeunes et mères célibataires...) n’ont fait que me donner plus de raison de faire un enfant. Et dans tous les cas, je voulais avoir au moins 3 enfants et le plutôt possible serait le mieux pour profiter d’eux et de ma vie.
Mon mari ne voulait pas d’enfant tout de suite ni autant d’enfants. Je ne lui ai pas laissé le choix et j’ai arrêté toute contraception. Il paraîtrait que par la suite, je suis une femme très fertile, car au bout de quelques semaines sans contraception et quelques rapports non planifiés par-ci par-là, j’étais enceinte. Mon mari n’a pas apprécié, mais a accepté. Il s’enferma dans son travail avant et après la naissance de Murielle. J’adore ma fille. Mon mari l’adore aussi. Il s’en occupait un peu, mais surtout, il ne s’occupait plus de moi.
Alors, je suis revenue à mes anciennes pratiques. Je rencontrais beaucoup d’hommes dans mon travail, certains souvent et qui sont devenus proches, et d’autres qui sont loin et donc on se voyait rarement. J’ai pris deux amants qui étaient dans des branches différentes et un peu distantes de la mienne et on se voyait quelques jours par trimestre. Les 2 ou trois nuits que je passais avec chacun à baiser comme des bêtes compensaient tout le sexe dont j’étais privé à la maison.
Mais depuis le début de ma carrière dans cette entreprise, j’ai rencontré un beau mâle venu d’un pays scandinave. Il y en avait plein dans notre entreprise qui venait à notre siège où j’étais en poste, mais lui, il était exceptionnel. Pourquoi ? Parce qu’il était une copie parfaite de l’homme idéal pour moi. On était sur la même longueur d’onde. On était passionné par les mêmes choses. On finissait les phrases de l’autre alors qu’on ne se connaissait que depuis quelques jours. Il était plutôt une copie masculine et séduisante de moi. Et je ne rêvais que de faire un avec lui. Il va sans dire qu’au bout de la première semaine avec lui, je l’ai accompagné moi-même à l’aéroport et qu’on s’est embrassé fougueusement, érotiquement, sans retenue pendant plus d’une heure. Et le pire, c’était que ce week-end était notre premier anniversaire de mariage avec mon mari. Et pour moi, ce n’était pas de l’infidélité, c’était une relation avec une copie de moi, elle est juste de sexe différent.
Inutile de vous dire que même si on ne se reverra pas pendant des années, nous sommes restés en contact. Nos échanges n’étaient pas vraiment chastes, loin de là, mais c’était surtout un flirt.
On ne se reverra qu’après presque 3 ans. Murielle était née, j’étais de retour au travail, mes amants me procuraient du plaisir et mon mari me laissait dans tous les domaines. Mais quelque chose me manquait. Un autre enfant, un enfant du désir, un enfant qui soit aussi une copie de moi. Et c’est là que j’avais décidé que je partirais chez mon ami dans son pays nordique. Je m’y suis attelée avec toute mon énergie et mon intelligence. J’ai trouvé la bonne excuse de passer presque trois semaines dans cette branche nordique. Il était content et il m’invita chez lui. J’arrêtai toute contraception. J’ai pris bien évidemment un hôtel. La boîte payait et j’y ai juste déposé une partie de mes bagages pour ne pas éveiller les soupçons et y ai dormi la première nuit après mon atterrissage tardif. Le lendemain, après le travail, je me suis dirigée vers la maison de mon ami nordique. Elle était cousue, mais parfaite, surtout pour ces longues nuits d’hiver qui nous attendaient.
Les deux premiers soirs, après le travail, nous nous retrouvons dans sa maison un peu tard, et nous flirtons de plus en plus. Caresses, baisers, des mains qui s’aventurent en dessous des vêtements et même des sous-vêtements... Je le sens hésitant, et je ne veux pas le brusquer. On s’endort enlacés dans le canapé nos mains sur l’autre. Au réveil, je le sens encore plus hésitant et il commence à murmurer des excuses pour ne pas aller plus loin. Je l’ignore ... Je vais atteindre mon objectif, même si je dois le forcer.
Vers midi de la deuxième journée ensemble, je lui dis à l’écart des autres :
— Je crois que je vais écourter mon séjour ici et revenir à l’hôtel demain. Si tu ne veux pas aller loin avec moi et me montrer tout ce dont nous avons discuté toutes ces années et me sauver du manque de plaisir et de satisfaction, de ne faire qu’un avec l’autre qui est un autre soi, je préfère rentrer et rester triste et seule.
— Non ! Pardon ! Je te veux ma Jeanne ! Je veux faire un avec toi. Si tu veux partir demain, soit, mais ce soir, nous ferons et nous serons un.
Le tour est joué. Je vais avoir ma baise cette nuit et bien sûr les autres nuits du reste des 3 semaines.
Nous n’avons pas fait long feu cette après-midi. Nous partîmes assez tôt. Nous allâmes dans un restaurant coquet qui prépare des mets gourmets mais surtout aphrodisiaques (fruits de mer, chocolat, épices ...). Le ton est mis. A 19h30, nous étions déjà dans sa maison. La cheminée est allumée, mais elle sera de trop pour nous réchauffer. Elle mettra juste une ambiance romantique. Nous nous retrouvons assez rapidement tout nus tous les deux. Nous explorons nos corps. Les préliminaires vont durer deux bonnes heures. Il est assez entreprenant après quelques verres de son alcool préféré.
Ses doigts me fouillent, me caressent la chatte. Il adore mes seins et les suce sans merci, en les mordillant et en tirant dessus. Venant d’un homme excité, ça m’existe à fond. Sa langue et ses lèvres parcourent mon buste, ensuite ma nuque, mes oreilles, mon visage et s’enfoncent dans ma bouche. J’essaye de le caresser, de lui rendre la pareille, mais il ne me laisse aucune option. J’arrive tout juste à empoigner ses couilles d’une main et sa bite de l’autre et je commence à les masser délicatement. Je veux que toute sa semence soit en moi.
Nous gémissons, nous prenons un plaisir fou à être ensemble et à avoir franchi le pas. Au bout d’un long moment, je le pousse à se mettre en 69 et il l’accepte volontiers. Manger une bite est un de mes exercices favoris. Tenir la bite d’un homme dans ma bouche et ses couilles entre ma main me donnent un sentiment de puissance et de contrôle absolus.
Il n’est pas très doué dans le cunnilingus. Il est assez entreprenant et un peu bordélique. Un peu violent même, mais il veut bien faire. Sa copine l’a quitté après 6 ans de vie commune et une des raisons qu’elle a invoquées était son manque de volonté d’apprendre à bien manger sa chatte (et aussi son goût prononcé pour l’alcool fort surtout avant de baiser et maintenant je découvre ses travers).
Mais rappelez-vous, je détiens le contrôle et j’en abuse. Quand il devient trop rude, je me mets à aspirer très fort sur son méat et son gland, comme si j’essayais d’extraire du venin ou le sperme de sa bite par l’aspiration. A ce moment, il halète et ne peut plus respirer. Il gémit et hurle (de plaisir bien sûr) et se décolle de ma chatte. Sinon, j’appuie légèrement sur ses couilles en mordillant sa queue et il ralentit sa cadence et redevient plus doux. Les bites, je les connais bien. Je sais ce qu’elles aiment et ce qu’elles apprécient.
A un moment, emporté par le plaisir et par sa volonté de me posséder, il introduit 4 doigts dans ma chatte et 2 doigts dans mon anus et il continuait à me sucer le clitoris. Je défaillis au début et il me donna un orgasme puissant, mais il continuait alors que c’était douloureux. Pour tout arrêter, j’ai aspiré fort sa queue et ma langue tournoyait comme une folle sur son gland et j’ai fini par introduire un doigt dans son cul. La réaction ne se fût pas attendre. Il décolla comme une fusée de ma chatte, hurla de tout son être et lâcha un raz de marée de sperme dans la bouche. J’avalais tout. Le goût n’était pas fameux, mais du sperme, j’en ai bu des tonnes et beaucoup étaient âpre et presque dégoûtant. Faire l’effort d’avaler au moins cette première fois lui fera le plus grand plaisir et le mettra définitivement à ma botte pour les prochaines semaines.
En plus, je ne serai en ovulation que dans 2 ou 3 jours, donc, je peux gâcher un peu de sperme tout de suite.
On se repose un peu. Il se servit encore plusieurs verres d’alcool fort. On discuta et on reparla des commentaires de son ex-copine et ce dont je pensais. J’étais trop généreuse et pas très honnête tout en lui disant que je préfère avoir plutôt une bite dans la chatte et très rarement dans le cul (pas si vrai) et que le cunnilingus n’était pas dans mes préférés (pas vrai du tout), mais que je lui ferai beaucoup de fellation sans hésitation. Je pense qu’il m’a cru.
Il était un peu éméché quand sa bite est redevenue dure entre mes doigts. Il a commencé à me prendre en missionnaire, mais il fatiguait très vite et ses va-et-vient sont devenus très saccades. Je l’ai allongé sur le lit et je l’ai chevauché. Il ne mit pas longtemps à se répandre en moi et encore moins longtemps à se rendormir.
C’est sûr que ce n’était pas la baise du siècle, mais soit. Je ne suis pas venu pour avoir des orgasmes sans fin. Je suis là pour avoir un homme dans mon lit et en moi pendant 3 semaines. Un homme qui me ressemble comme deux gouttes d’eau et qui me fera un enfant.
A son réveil, il me trouva en train de préparer un léger petit-déjeuner, il se confondit en excuses :
— Ma belle Jeanne. Je suis désolé pour hier. J’ai fait de toi une femme infidèle, et je trompe ma copine qui m’a quitté il y a quelques semaines. Je ne suis même pas capable de rester réveillé et sobre toute la nuit pour te faire jouir comme tu m’as fait jouir. Je suis pitoyable et je te demande pardon.— Non ! Ce n’est pas vrai ! J’ai bien joui hier, plusieurs fois (un peu vrai, au moins une fois avec sa bouche, pas sa bite). Et j’ai surtout passé une nuit agréable avec toi, et toi en moi. Ce n’est pas de l’infidélité, c’est de la l’amour et du désir. Et toi et moi, on est pareil, alors ce n’est pas si grave. C’est ce qui importe. Je veux passer les autres nuits comme ça, avec toi, si tu le veux. — J’ai éjaculé en toi hier, n’est-ce pas ?— Oui, tu m’as bien inondée. Ma chatte était déjà bien remplie de mouille, mais ton jus l’a fait déborder.— Tu ne risques pas de tomber enceinte. Je ne veux pas gâcher ton mariage et ta famille ou te force à avorter.— Non mon beau ! J’ai un stérilet hormonal et je prends la pilule (oh le gros mensonge, ça ne va même pas ensemble, mais qu’est-ce qu’il en sait. Il a une jolie bite et sa copine était stérile).
Et c’est reparti. La journée, c’était travail acharné. On ne se croisait presque plus au travail. Mais le soir tombé, on rentrait rapidement chez lui, on ne dînait presque plus, et on se mettait nus devant la cheminée, soit sur le lit soit sur deux peaux de mouton par terre (le cliché).
J’ai réussi à le ralentir un peu sur la boisson pour finir la nuit au moins capable de bien me défoncer la chatte et surtout espérer au moins deux éjaculations dans ma matrice par nuit, surtout vers la fin de la première semaine ou plutôt ma période d’ovulation.
Mais à chaque réveil, j’avais le droit au même discours, aux mêmes lamentations, mêmes excuses, mêmes regrets ... que j’ignorais.
Je me rappelle bien de ce cinquième jour, c’était un samedi. On s’est réveillé un peu tard pour récupérer de toutes ces nuits de baise. Nous sommes allés nous promener dans son beau pays, sur la plage, à la forêt sur les bords du fjord, dans une marina. Bien sûr, il a commencé à boire des bières assez tôt dans la journée et quelques apéritifs et digestifs au restaurant, à part le vin. On rentra un peu tard, très fatigués, mais j’étais intraitable sur le baiser. J’avais un pressentiment. Cette nuit, pas de préliminaires ni de préparatif, à part moi à genoux devant lui, encore avec ma robe en train de lui pomper la bitte pour la rendre dure. L’alcool dans son sang n’aidait pas. Quand il était prêt, m’allongeait mon buste sur le canapé, enlevais ma culotte, remontais le bas de la robe et l’invita à me prendre sans ménagement, ce qu’il fit. Ça ne dura pas cinq minutes et il m’emplit la chatte. J’étais sûr qu’il m’avait engrossée.
Il alla s’endormir et je restais dans cette position une bonne heure, le cul relevé et la tête en bas pour que son sperme rentre dans mon utérus et me féconde. Au réveil, le lendemain, je me sentais heureuse, rayonnante, lucide. Je baignais dans un bonheur et une félicité indescriptible.
J’arrêtai de boire après ce samedi. Je me ménageai au travail. Je ralentis même le sexe avec lui le mardi suivant et après. Ma période féconde est passée. Pas la peine de pousser le bouchon trop loin.
Je redoutais le départ, le retour à mon mari, la découverte de la grossesse, l’annonce que je devais lui faire à lui et à mon mari, et les conséquences. Le jour de mon départ à l’aéroport, après avoir déjà entendu le même discours habituel au réveil, il me surprit à moitié quand il m’annonça :
— Ma Belle Jeanne ! Ma Douce Jeanne ! Ma Magnifique Jeanne ! Ma chatte adorée ... ! J’ai adoré notre aventure, mais je ne peux plus la supporter. Le poids de ton infidélité avec ton mari est sur mes épaules. Je ne veux pas être la raison de votre déchirement et encore moins des mensonges. Je veux regagner le cœur de ma copine et j’espère que tu pourras être heureuse avec ton mari et ta fille. Je te dis adieu. Je ne veux plus qu’on reste en contact et qu’on se revoit. C’est trop douloureux pour moi.— D’accord. Adieu !
Et je m’en allai. Ma réponse a été toute simple, froide et directe. On ne s’embrassa pas. On ne se toucha même pas. Je lui ai tourné le dos et je suis partie vers la salle d’embarquement. Ça réglait définitivement une grande partie du problème et répondait clairement à mes craintes. Il ne reste que mon mari.
Ah ... mon Stoffen ! Si tu savais comme notre fille Béatrice a grandi et est devenue une magnifique jeune fille. Elle est le meilleur de nous. Un corps splendide, des formes généreuses, mais fermes, une peau douce et claire, des cheveux d’un blond saisissant, des yeux bleus clairs radieux ... Moi, une Parisienne catholique BCBG avec une bonne situation et toi un beau fantasme scandinave, on a fait une fille qui ne laisse personne indifférent. Et en plus, elle a hérité de mon caractère et heureusement pas de tes défauts (elle ne boit pas une goutte d’alcool).
Bien sûr, quand il était confirmé que j’étais enceinte, je l’annonçai à mon mari. Dire qu’il n’avait pas apprécié d’être cocufié est un doux euphémisme. Il savait que le bébé n’était pas le sien et se mis à me traiter de tous les noms. Il me renvoya la faute pendant des semaines et se prépara à me quitter. Je lui avais dit que je ne cherchais que le sperme d’un autre pour avoir un enfant que lui me refusait, mais que pour moi, il serait le père de ce bébé s’il le voulait. Après des semaines de menaces de divorce, il se résigna à accepter cette fille qui était dans mon ventre et la considère sa fille.
Nous aurons vécu ainsi presque 4 ans. Un bonheur tout simple. J’accouchais de Béatrice et mon mari la reconnut comme sa fille. Il l’aima, cette gamine dès qu’il l’a vue. Nous étions une famille. Nous faisions chambre à part, nous n’avons plus jamais étés intimes. L’amour de mes enfants a compensé l’absence d’intimité entre nous ou avec quiconque. Il s’occupait parfois des filles quand je voulais prendre du temps pour moi, mais il passait surtout son temps à travailler et à essayer de ramener le maximum d’argent.
Vous imaginez bien que ça ne durera pas longtemps. Ma chatte n’appréciait pas le célibat forcé. J’étais en chaleur et j’avais peur de me perdre. Moi, la petite pute comme certains m’appelaient, la femme en chaleur, la chatte en chaleur qui adore le sexe, je n’allais pas me laisser dépérir.
Je vous raconterai la suite ... La conception de mon fils, ma débauche, et tout ce qui suit...
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