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Jef fait du stop

Chapitre 1

Alice

Erotique
Alice était en colère. Elle venait de sortir de La Charité-sur-Loire dans sa Golf GTI et appuyait rageusement sur l’accélérateur.Sa rage, elle fallait qu’elle sorte !
Du calme ma vieille ! Les flics adorent ce segment de nationale ! Quand je repense à ce que m’a dit ce petit salaud ! Me planter là, comme une vieille chaussette pour "dépanner sa cliente". Non, mais ! Il me prend vraiment pour une gourde ! Je la connais, moi, sa cliente ! Si elle avait la tête et le tour de hanche de ma concierge, il aurait été moins empressé de la dépanner, sa cliente ! Seulement, il était bien trop fier d’avoir une "starlette" dans sa clientèle, ce crétin ! Il n’a pas pu s’empêcher de s’en vanter !
"Tu te rends compte, Chérie, je vais travailler pour une speakerine de la télé !"
Je t’en foutrais moi, des "chérie" !
"Je ne peux pas lui faire faux bond. Je lui ai promis !"
Menteur, cavaleur !Mais, ça, mon bonhomme, tu vas me le payer ! Je ne sais pas encore comment, mais sûr, tu vas me le payer !
Alice parlait toute seule, à voix haute, furieuse et vexée !En passant devant le radar de la gendarmerie, elle se dit qu’elle avait bien fait de tempérer sa colère sinon elle était bonne pour une belle amende à l’allure comme elle était partie !
Au loin, le bourg des Bertins apparaissait au détour des méandres de la route. Inconsciemment, elle était en train de chercher la façon dont elle allait pouvoir faire payer cet outrage à Gérard, son petit copain.

Ça faisait déjà trois mois qu’il avait posé ses valises dans son petit appartement. Elle était tombée amoureuse de ce beau brun pendant qu’il débouchait l’évier de la cuisine. Une maladresse de sa part avait transformé la cuisine en piscine et lui en chien mouillé. Après avoir poussé des hauts cris puis éclaté de rire en voyant sa figure penaude, tout cela avait fini dans son lit après une douche qu’elle qualifiait elle-même de torride !
Finalement, quinze jours plus tard, ils étaient devenus inséparables... jusqu’à ce matin où il lui annonça brutalement qu’il ne pourrait pas l’accompagner ce soir à la fête que ses copines avaient organisée et où elle comptait leur présenter officiellement "son amoureux" !
En tournant à droite sur la départementale 38 en direction de Prémery où se déroulerait la petite fiesta ce soir, Alice avisa à la sortie du bourg un auto-stoppeur qui lui faisait signe de s’arrêter.
D’un coup, la jeune femme est passée en "mode automatique".
C’était comme si ce n’était pas elle qui prenait les décisions, mais une petite voix au fond d’elle-même.
"La voici, ta vengeance, ma belle ! Il ne peut pas mieux tomber celui-là !"
Alice immobilisa sa voiture à hauteur du jeune homme.
Il est sacrément jeune se dit-elle en avisant l’adolescent duveteux, mais grand et bien bâti ! Mais il fera très bien l’affaire. Au contraire, je crois que je vais bien m’amuser !
Elle s’est penchée pour baisser la vitre de droite.— Vous allez où !— Dijon, Madame !— Et bien montez ! Je vais jusqu’à Prémery. Ça vous avancera déjà pas mal !— Oui ! Merci !— Mettez votre sac dans la malle !
Alice profita de ce court moment pour modifier son apparence.Sa robe chasuble en jean avait besoin d’un peu plus de fantaisie. Le deuxième rivet du haut et deux en bas défait d’un rapide coup de pouce, Alice jeta un regard sur elle-même.
Ouais ! Mais ce n’est pas suffisant. Comme ça, c’est mieux. Elle avait pris le bas de sa robe, l’avait remonté un peu, puis replié le plan de gauche, découvrant largement sa cuisse par le fait.
Voilà de quoi accrocher son regard ou bien il est pédé, se dit-elle !
Le jeune homme ouvrait la portière à ce moment-là.
— Installez-vous et mettez votre ceinture !— Merci encore, c’est sympa de votre part ! Ça fait déjà un bon moment que je suis là et personne ne s’arrête. Je n’ai pourtant pas l’air d’un voyou. Les gens ne sont plus aussi gentils qu’avant !
Alice redémarra, prenant bien soin cette fois de ne pas serrer ses genoux comme elle le fait quand elle devine les regards libidineux des camionneurs qui la surplombent du haut de leur cabine. Son passager s’était soudainement tu. Pour Alice, c’était l’évidence même ! Le poisson mordait à l’hameçon ! Il venait de découvrir la vue qu’il avait sur l’intérieur laiteux de sa cuisse dénudée.Le jeu commençait et la jeune femme avait bien l’intention de s’amuser et d’aller aussi loin et aussi longtemps qu’elle en éprouverait du plaisir.
— Vous êtes bien silencieux d’un coup ! Parlez-moi de vous ! Vous avez quel âge, 19, 18 peut-être ?
— Dix-huit, pas depuis longtemps ! Je rentre de chez mes parents justement pour y avoir fêté mon anniversaire. C’était samedi.
— OK ! Ça fait quoi de se sentir un homme ?
— Je ne sais pas ! Mais, dites-moi, cela se voit tant que ça ?
— Oui et non ! lui répondit-elle. Pour faire un peu plus vieux, je te conseille de te raser la moustache !
Le tutoiement lui était venu naturellement. Elle avait quand même six ans de plus !
— C’est vrai que j’y pense, mais si je commence, il va falloir que je le fasse tous les jours !
— Eh oui ! C’est la corvée de tous les hommes, mon garçon ! Au fait, tu t’appelles comment ?
— Jean-François, mais c’est Jef qu’on m’appelle le plus souvent.
— Va pour Jef ! Et tu viens d’où ?
— De Nevers. Je suis à l’université depuis cette année.
Le silence était retombé. Alice jeta un coup d’œil furtif sur sa droite. Le jeune homme louchait sur la chair découverte sans oser tourner la tête.
— À quoi penses-tu ?
Il était temps de passer à la vitesse supérieure.
— À rien !
— Je ne te crois pas !
— Si !
— Tu sais, à mon âge, je suis en mesure de deviner à quoi pensent les garçons de 18 ans quand il sont assis à côté d’une nana plus jeune que leur mère !
— Mais je...
— Je trouve cela tout à fait normal ! Ne proteste pas !
— Je vous assure que...
— Que tu es un menteur ? Oui, je le crois volontiers ! Si je te repose la question, crois-tu que tu es capable de me répondre sincèrement ? On essaie pour voir ?
Ce jeu l’amusait beaucoup. Jean-François se débattait comme un gardon pris au bout d’une ligne.
— C’est que …
— Je te propose un marché ! Toi, tu me réponds sincèrement et moi, je fais pareil si tu me demandes quelque chose, n’importe quoi ! C’est d’accord ?
Après un petit silence qui montrait combien cela se bousculait dans sa tête, Jef répondit d’une voix mal assurée.
— C’est d’accord !
— Alors, vas-y, réponds !
Après une bonne minute de silence où il se triturait les ongles, Jef s’est lancé, en fixant la route comme si c’était lui qui conduisait.
— Et bien, je pensais que vous avez de jolies jambes, lâcha-t-il comme s’il se débarrassait d’une corvée.
— Pourtant, tu n’en vois pas grand-chose ! continua-t-elle comme si de rien n’était.
— C’est que j’en vois déjà beaucoup, il me semble !
— Ah oui ? Et tu voudrais certainement en voir plus, non ?
En guise de réponse, certainement parce que l’émotion lui nouait la gorge, Jef répondit d’un hochement de la tête en soulevant les épaules.
Je vois que tu as décidé d’être franc. Juste une chose, si tu veux bien. Tutoie-moi ! Mon prénom, c’est Alice !
La jeune fille reposa sa question.
— Tu aimerais en voir plus ? Dis-moi !
Alice jubilait de voir le pauvre garçon empêtré dans sa timidité alors que son instinct de mâle le poussait dans l’autre sens.
— Bien sûr que si je pouvais en voir davantage, j’aimerai certainement !
Mon Dieu comme il est mignon, mais comme il est bête ! Elle se dit qu’elle n’avait pas fini de s’amuser avec celui-là ! C’était une bénédiction de l’avoir placé sur sa route !
— Et, que serais-tu prêt à faire pour en voir davantage, comme tu dis ?
— Rien ! Cela ne serait pas correct !
— Avec des idées comme celles-là, mon ami, tu ne vas aller bien loin ! Laisse tomber les bonnes manières que ta maman t’a apprises et dis-moi ce que tu as envie de faire, là, tout de suite !
Ils arrivaient dans Murlin, un petit village où systématiquement, la circulation est ralentie quand elle n’est pas totalement arrêtée.
— Là, maintenant, tout de suite ?
— Oui, pas demain ni la semaine prochaine ! Là, tout de suite !
Le jeune homme avait probablement rassemblé tout son courage pour oser dire :
— Maintenant, je... je voudrais pouvoir découvrir l’autre jambe !
— Et bien qu’attendu ?
— Je peux ? Je peux vraiment ?
— Tu veux une autorisation de ta maman ?
Alice savait qu’en lui disant cela il serait piqué au vif.
Sans hésiter, mais avec une main bien tremblante quand même, Jef attrapa l’autre coin du bas de sa robe et le tira vers lui découvrant par là même la cuisse droite de la conductrice.
Comme elle était en cet instant à l’arrêt, elle en profita pour se laisser glisser un peu plus en avant dans le fauteuil puis reprendre sa place ce qui eut pour effet de faire remonter sa robe de quelques centimètres, assez pour que Jef aperçoive sa culotte dépassant à peine sous la boutonnière tendue à l’extrême du troisième bouton de cuivre.
Le type immobile au bord du trottoir, idéalement placé pour mater ses jambes, lui lança un regard gourmand quand il a traversé la route ayant vu faire Jef lui découvrir les cuisses.Alice le laissa poursuivre sa route indifférente à ce qu’il devait penser d’elle.
— Alors, qu’en dis-tu ?
Le jeune homme avait les yeux rivés sur son nouveau point de vue. Les deux cuisses, blanches, soyeuses, très discrètement couvertes sur la face externe d’un duvet blond excessivement fin. Et puis, cette petite tache blanche qu’il entrevoyait aux confins des deux cuisses qui représentait le fantasme absolu des jeunes mecs. La petite culotte !
Jef prit sur lui et se fit violence pour répondre.
— C’est très beau ! Vous... tu as des jambes, des cuisses superbes !
Il fallait repartir et Alice se concentra sur sa conduite. Cela ne l’empêchait pas de parler.
— Et maintenant, je suis certaine que tu as une idée de ce que tu aimerais faire ! Dis-moi !
— Je n’ose pas ! C’est très gênant !
— Jef ! Nous avons convenu de ne pas avoir de secret ! Tu te souviens ?
Il osa un timide "Je peux te caresser ?"
— Ah ! Tu vois quand tu veux ! Oui, bien sûr, mais avant cela, tu ne voudrais pas autre chose. Disons que c’est une chose que tu me demanderais de faire, comme cela, juste pour te faire plaisir !
— Si !
— Quoi ?
— Tu peux déboutonner encore un peu ta robe ?
— Bien !!! C’est exactement ce que j’espérais que tu me demanderais ! Je vois que tu es en progrès !
Alice, d’un geste rapide de la main gauche, fit sauter le rivet de la boutonnière. Immédiatement, le tissu s’écarta découvrant en totalité la lingerie fine et transparente de la jeune femme. La tache un peu sombre de sa fourrure intime tranchait avec la blancheur de son ventre à travers la soie opaque de sa culotte.
— Alors, qu’attends-tu ? Caresse-moi !
Elle dut se concentrer un peu plus qu’à l’ordinaire pour garder le cap sur cette petite route qui ondulait entre les futaies sombres de la forêt de Prémery. La main gauche de Jef, nerveuse, malhabile, allait et venait, du genou jusqu’en haut de sa cuisse droite, glissait à intérieur, jusqu’à effleurer la soie de son sous-vêtement pour repartir vers son genou. Elle sentit son regard sur elle et tourna la tête brièvement. Elle rencontra son regard et lut dans ses yeux son désir, son envie d’aller plus avant, plus loin, plus fort.
Elle lui fit un sourire, mais du se pincer les lèvres et retenir son souffle. Il venait de lui appliquer la main directement sur son ventre, un peu au-dessus de sa culotte. L’instant d’après, elle sentit les doigts du jeune homme peigner les poils de son pubis puis descendre encore pour finalement saisir son bas ventre fermement.
— Doucement mon garçon ! Tu ne voudrais pas que nous ayons un accident ! Je te rappelle que je suis en train de conduire !
La main recula, s’échappa de la culotte en faisant claquer l’élastique, mais ne renonça pas à conquérir d’autres places fortes.
Certes, la ceinture de sécurité était un obstacle, mais cela ne l’empêcha pas de déboutonner un avant-dernier bouton puis enfin le tout dernier, libérant ainsi le corps de la jeune femme de son enveloppe tel un fruit dont on vient d’ôter l’écorce. Et cette fois il avait fait tout cela sans en demander l’autorisation, poussé par le désir !
Alice cherchait des yeux le sentier forestier, sur la gauche qu’elle connaissait si bien. C’était un de ces endroits discrets où elle avait déjà amené presque toutes ses conquêtes pour y batifoler sans risque d’être dérangée.
Elle ralentit, mis son clignotant et s’avança dans le chemin, entre les arbres.
Jef avait repris ses caresses en élargissant son aire de jeu. Il n’hésitait pas à peloter ses seins à travers le soutien-gorge assorti à la culotte, tout aussi transparent, tout aussi excitant, révélant sans les montrer les tétons bruns au mieux des mamelons blancs. À la vitesse où ils roulaient maintenant, ils ne risquaient plus l’accident !
Pour Alice, il était temps qu’ils arrivent. Jef commençait à lui faire de l’effet et sa conduite devenait imprécise pour ne pas dire hasardeuse !
Le sentier menait à une clairière et à une maison forestière.La jeune femme approcha la voiture jusqu’au pied du perron comme si elle arrivait chez elle.
Jef, étonné lui demanda :
— Il n’y a personne ? Tu connais ce coin ? Tu y es déjà venue ?
La réponse ne manqua pas de le surprendre.
— Vois-tu, quand j’étais petite fille, je jouais dans ce pré, je grimpais dans cet arbre, j’étalais toutes mes poupées sur ces marches et c’est même là que j’ai embrassé mon premier petit copain. Il devait avoir huit ans et moi sept !
Elle tendit le bras vers la boîte à gants, l’ouvrit, farfouilla un moment et en ressortit une grande clé en fer de vingt centimètres de long.
— Viens !
Jef, incrédule, défit sa ceinture, ouvrir la portière et rejoignit Alice qui venait d’ouvrir la porte.
— Entre et monte l’escalier sur ta gauche ! J’arrive ! Je vais brancher l’électricité.
Soudain, la lumière jaillie révélant les lieux jusqu’à là restés dans le noir.Une grande pièce vide occupait la quasi-totalité du rez-de-chaussée. Un escalier de bois sculpté permettait d’accéder à l’étage.
Jef s’était immobilisé au milieu de la volée de marche et regardait Alice venir vers lui. Sa robe ouverte sur sa lingerie fine découvrait ses jambes, son ventre laissait rebondir ses seins à chaque pas, mais elle n’y prêtait aucune attention. Elle souriait.
— Tu m’attendais ? Tu as peur dans le noir ?
— Non ! Je te regarde.
— Et alors ?
— Alors, tu es tellement belle !
— Tu as l’intention de rester là ?
Elle l’avait doublé et grimpait tout en parlant.
Jef la rattrapa en quelques bonds et lui saisit la taille.D’un geste vif, Alice lui glissa des mains en abandonnant volontairement sa robe. Elle se mit à courir et Jef se lança à sa poursuite, mais s’empêtra les pieds dans le vêtement de la jeune femme tombé dans l’escalier.
— Attends-moi !
— Attrape-moi, si tu peux !
Elle venait d’entrer dans une chambre en refermant la porte sans bruit quand le jeune homme arriva sur le palier.
— Où es-tu ?
... Silence !
— Si je t’attrape, tu vas vois, ça va être ta fête !
C’est bien sur quoi elle comptait !L’idée de se faire ce petit jeunot qui n’avait certainement pas ou presque pas d’expérience l’excitait au plus haut point. Elle allait pouvoir jouir de lui tout en lui faisant découvrir tout ce qu’il ignorait des femmes !
La chambre dans laquelle elle venait d’entrer contrastait totalement avec l’aspect du bas. Elle était meublée avec goût, dans un style romantique, plein de jolies choses suspendues ou posées sur des meubles gracieux et joliment choisis pour aller avec le décor des murs et des tapisseries.Trônant au milieu de la pièce, un superbe lit à baldaquins, à colonnes richement ouvragées, donnait une touche finale à cette ambiance raffinée.
Quand la porte s’ouvrit sur un Jef essoufflé, Alice était étendue sur le lit, nue, offerte, dans une position où elle ne lui cachait rien, absolument rien !
— Tu en as mis un temps ! Lui lança-t-elle sans même lever la tête.
Jef, appuyé au montant de la porte reprenait son souffle tout en promenant son regard à l’intérieur de la chambre. Cela ressemblait de plus en plus à un rêve. Il espérait seulement ne pas se réveiller trop vite !
Ayant retrouvé un minimum de calme au niveau du cœur et du souffle, il s’approcha du lit où Alice l’attendait, alanguie, les membres écartés, sans la moindre pudeur.
— Et si tu repartais d’où tu t’es arrêté tout à l’heure ? Ça commençait à me faire beaucoup de bien, tu sais ! J’ai même failli nous jeter dans le fossé à un moment !
Dans la voiture, le jeune homme avait fini par oublier sa timidité, sa gaucherie, son inexpérience. Mais là, devant cette sublime femme qui s’offrait à lui sans pudeur, il se sentait redevenir un petit garçon.
Alice, elle, loin de manquer de pratique connaissait très bien les hommes, jeunes comme vieux ! Elle avait le souvenir du dépucelage d’un jeune timide de l’âge de Jef qui lui avait laissé un très agréable souvenir ! Aussi, elle devinait dans quel état de panique il se trouvait juste à ce moment.Elle décida de le faire croître encore un peu plus !
— Ce qui ne semblait pas facile en voiture est maintenant aisé ! Enlève donc tes vêtements !
Elle avait dit cela d’un air détaché en se dressant sur un coude.Peut-être que, si elle ne s’était pas relevée, si elle ne l’avait pas regardé, il aurait pu ôter ses habits sans problème. Mais se sentir observé, scruté, jaugé, évalué par des yeux féminins, cela lui semblait au-delà de ce qu’il se sentait capable de faire.
Immobile au pied du lit, il faisait pitié à voir ! Alice était aux anges !
— Et alors ! Où est passé le jeune coq qui me tripotait les nichons dans la voiture ? Où est caché celui qui a glissé sa main dans ma culotte au risque de nous faire avoir un accident ?Tu n’as plus envie de moi ? Réponds !
— Si bien sûr, mais là...
— Là quoi ! Tu n’es pas capable de te mettre tout nu devant moi alors que tu as une vue imprenable sur ma chatte. En disant cela, elle s’était cambrée comme pour lui tendre son ventre.
— Tu as peur de moi ?
— Non !
— Alors, Jean-François, montre-moi que tu es un homme ou bien je me rhabille !
Mortifié, tremblant, Jef commença à déboutonner sa chemise.
En tailleur sur le lit, Alice n’en perdait pas une goutte sachant que plus elle le fixerait et plus il se sentirait mal à l’aise.
Le jeune homme se sentit happé par le regard attentif de la jeune femme et ne put plus s’en détacher. Après la chemise qu’il laissa tomber négligemment, les chaussures qu’il enleva en s’aidant de ses pieds, il déboucla son ceinturon, déboutonna sa braguette et fit glisser comme à regret son pantalon le long de ses cuisses.
Alice nota que l’émoi du jeune homme avait provoqué une d’érection qui le rendait encore plus mal à l’aise... si c’était possible ! Elle avait craint un moment que, paralysé par la peur, il eut été incapable de bander ! Il n’en était rien, bien au contraire ! Experte, elle devinait derrière l’étoffe souple tendue à craquer, un sexe de belle taille, promesse d’une suite intéressante !
Restait le moment de bravoure, l’instant fatidique !
— Allons ! Encore un petit effort, dit-elle avec un ton qui masquait difficilement sa jubilation.
Les yeux dans les yeux, hypnotisé, comme contrôlé à distance, Jef fit descendre son slip jusqu’aux genoux où il resta accroché. En secouant ses jambes il finit par tomber sur ses pieds. Ce geste ravit la jeune femme. Le sexe du jeune homme, pointant vers le plafond, se mit à dodeliner nerveusement, montrant à quel point il était tendu, raide et excité.
Comme si il était poussé dans le dos, il enjamba le tas de ses vêtements et s’avança d’un pas vers le lit.
— Ne crois-tu pas que tu es mieux comme ça !
Cette fois, l’érection parvenue à son apogée, Jef arborait une verge décapuchonnée, orgueilleuse et conquérante, qui ne cessait de battre au rythme des pulsations de son cœur affolé.
— Ta maman a été aux petits soins pour toi ! Elle t’a doté de quoi faire le bonheur des femmes, même des plus exigeantes !
Jef ne dit mot, se contentant de hausser les épaules comme pour dire "Je n’y suis pour rien."
— Par curiosité, tu t’en es servi combien de fois ? Allez, ne fait pas ton timide ! Maintenant qu’on est tout nu tous les deux, on peut tout se dire non ! Alors une, deux, trois ? Plus ?
Jef, resté à un mètre du lit, les bras ballants, d’un air penaud avoua qu’il n’avait eu qu’une seule et unique expérience. Cette fille, cette femme, leur situation à tous les deux lui ôtaient toute volonté. En d’autres circonstances, il aurait fallu le torturer pour qu’il admette n’être qu’un puceau à peine déniaisé !
— Une seule ! Mon pauvre garçon ! C’était bien au moins !
— Ça ne te regarde pas ! répondit-il d’un ton vif, contrastant avec son attitude qui trahissait sans ambiguïté son manque de maturité.
— Oh toi, si tu avais fait un malheur à ta première tentative, tu serais trop content de t’en vanter. J’en conclus que ça a été plutôt un fiasco, je me trompe ?
— Tu m’embêtes avec tes questions !
— Allez, viens là ! Assois-toi là et raconte-moi tout !
Là encore, quel pouvoir pouvait-elle avoir pour qu’il accepte de se confier aussi facilement ?
— Je n’ai pas grand-chose à dire seulement que, sur ce coup-là, je n’y étais pas pour grand-chose !
— Comment ça ! Je ne comprends pas !
— OK ! Puisque tu insistes ! Voilà !
Jef, résigné est venu s’asseoir sur le lit. Alice, peau contre peau, lui a passé son bras sur les épaules.
— Allez ! Je t’écoute. Après, je te ferais quelque chose dont tu garderas un très bon souvenir, tu verras !
Jef commença :
" J’étais avec mes deux cousines et une copine à elles. C’était cet été en vacances. Nous étions sur la plage, dans une petite crique en Loire Atlantique où l’on ne peut accéder qu’à marée basse. Au moins là, nous sommes sûrs de ne pas avoir d’importuns qui pourraient venir nous déranger. On ne voit même pas le sable du haut de la falaise ! Nous y étions depuis le matin et nous attendions la basse mer pour pouvoir repartir en jouant aux cartes après avoir nagé, joué au ballon, bref en ayant passé une journée super ! Moi, le poker, c’est pas mon truc ! On voit tout de suite que je bluffe ! Pour rigoler et aussi pour ne pas faire le rabat-joie, j’ai accepté qu’on joue nos affaires, enfin, notre maillot devrais-je plutôt dire, vu qu’on avait que ça sur les fesses ! Inutile de te dire que je n’ai pas mis longtemps à me retrouver à poils ! Elles se marraient bien toutes les trois. Je n’avais plus rien à jouer tandis que l’une de mes cousines avait raflé non seulement mon slip, mais aussi celui de mon autre cousine, qui se trouvait elle aussi dans la même situation vu que son maillot était d’une seule pièce. Elles étaient vachement excitées (moi aussi de voir ma cousine toute nue !) et c’est la copine qui a une idée complètement loufoque que mes deux cousines ont adoptée immédiatement. De toute façon, avec elles, plus c’est tordu et plus cela les amuse !
— Et alors, c’était quoi, son idée à la copine !
Tu vas voir ! Pour ne pas que Corine (celle de mes cousines qui était toute nue) puisse espérer regagner de quoi redevenir décente, elle devait se jouer, elle. Bien entendu, la même proposition m’a été imposée, à moins que je préfère rentrer au camping la bite à l’air !
— Je vois ! Ça devenait chaud !
Alors, nous avons fait une nouvelle partie. Seulement, manque de chance... ou coup monté, Corine a gagné, mais pas sur les deux autres qui s’étaient couchées, comme par hasard ! Une fois de plus, j’ai perdu ! Je me suis retrouvé devoir un gage sans rien avoir reçu en contrepartie ! Jusqu’à là, ça ne se déroulait pas trop mal. Seulement, au coup suivant, Corine a perdu et moi aussi, comme d’habitude. C’est la copine, Charlène, qui a gagné, récupérant un slip détenu par Françoise, mon autre cousine, le gage que je devais à Corine plus un autre gage soit deux que je devais désormais à Charlène. À ce moment, c’est Françoise qui a ajouté un point au règlement qu’elles venaient d’inventer toutes les trois ! Au bout de trois gages détenus par l’une ou l’autre, au cas où je perdrais une fois de plus, je devrais m’acquitter des trois gages immédiatement sans pouvoir contester en aucune façon la nature des trois gages. À vrai dire, je ne les ai pas vues venir ! Elles s’étaient associées toutes les trois pour se jouer de moi !
— Moi, si, mon pauvre ami ! C’était l’évidence même, mais tu es bien trop inexpérimenté avec les filles pour avoir vu le coup venir ! Et tu étais sacrément mal parti !
— Tu l’as dit ! Comme tu t’en doutes, je n’ai pas échappé au troisième gage et, malheureusement ou comme par hasard, c’est encore Charlène qui a gagné, se trouvant à la tête de trois gages pour moi, un pour Corine et un slip détenu par Françoise qui était la seule a avoir les fesses couvertes de nous trois.Je tombais sous le coup de la nouvelle règle et j’ai attendu avec angoisse le résultat de leurs élucubrations qu’elles menaient toutes les trois à quelques mètres pour que je ne les entende pas.Quand je les ai vues revenir, j’ai compris que ça allait être ma fête rien qu’à voir leur regard.
Jef, m’a dit Charlène, tu me dois trois gages. Commençons par la fin. J’ai décidé, en accord avec tes deux cousines, que ton troisième gage sera de subir, de la part de Françoise, une masturbation, menée à son terme bien entendu. Tu vois ce que je veux dire et tu comprendras pourquoi j’insiste sur ce point précis quand tu auras entendu les deux autres !
Mes deux cousines ont pouffé de rire à ce moment-là et moi, j’avais l’impression de m’enfoncer dans des sables mouvants.
Pour le deuxième gage, il en sera de même, mais c’est Corine qui officiera !
Je redoutais la suite. Cela me semblait déjà tellement dingue ! Me faire jouir deux fois de suite !!!
Alice ne faisait aucune remarque, mais le récit de Jef commençait à l’émoustiller sérieusement.
— J’ai hâte de savoir ce qu’elles t’avaient réservé pour le premier gage !
Eh bien, justement, me dit-elle, comme tu t’en doutes, il est pour moi. Figure-toi que j’ai d’autres projets pour toi que de t’astiquer la bite ! Non, je vais me la mettre bien au chaud là où tu sais ! Mais, attention ! Il n’est pas question que tu en profites ! Ce n’est pas toi qui me baiseras ! Non, c’est moi qui vais te prendre et je ne dis pas "prendre" par hasard ! Je suis prête à parier que tu es puceau !Pour info, tes cousines te tiendront pour que tu ne bouges pas pendant que je ferai mu-muse avec ta queue !
Je n’en croyais pas mes oreilles, mais je n’ai pas eu le temps de réagir. En un éclair elles m’ont sauté dessus, m’ont immobilisé sur le dos, l’une assise sur ma poitrine et me tenant les bras, l’autre s’occupant de mes jambes. Charlène m’a branlé jusqu’à ce qu’elle estime que j’étais suffisamment raide et elle s’est empalée sur ma bite. J’avais beau essayer de me dégager, je n’y suis pas parvenu et elle s’est fait plaisir jusqu’à ce qu’elle obtienne ce qu’elle voulait. C’était donc la première fois que ça m’arrivait dans une nana !
— Mon pauvre vieux ! Fit Alice en retenait le rire qui lui gonflait la poitrine.
Pour moi, hélas, ça n’a pas été fini pour autant. Le deuxième gage tout comme le troisième, j’y ai bien eu droit. Dans la foulée, sans attendre seulement quelques minutes que je me remette de mes émotions, elles se sont relayées toutes les trois pour me branler, surtout pour la troisième fois. Une demi-heure, pas moins pour me faire jouir ! Elles ont employé toutes les possibilités qu’elles avaient pour parvenir à leur fin. Pipes, masturbations et aussi du dentifrice que Charlène avait dans son sac de plage ! Pire ! C’est Françoise qui en a parlé. Il paraît qu’on stimule l’éjaculation en caressant la prostate. Pour ça, tu le sais certainement, mais il faut passer par les voies naturelles. C’est Corinne qui m’a mis un doigt dans le cul et là, oui, j’ai joui, mais comme je t’ai dit, après trente minutes !
— Et bien, mon pauvre garçon, je comprends mieux que tu aies eu un peu de mal à sortir tout cela ! Mais, c’est bien d’en avoir parlé, ça soulage !J’espère qu’elles t’ont rendu ton maillot après ça !
— Oui, mais elles m’ont bien fait courir. Elles jouaient à se le lancer pendant que j’essayais de l’attraper. Ça les faisait rire de me voir cavaler à poil dans le sable pour récupérer mon slip avec ma bite qui battait entre mes cuisses !
— Compte sur moi pour te faire oublier cet épisode navrant de ta vie sexuelle. Approche ! Allonge-toi, ferme les yeux et détends-toi.
Alice, attentionnée, telle une professionnelle des massages orientaux, s’est occupée de son jeune auto-stoppeur. Multipliant les caresses, les baisers, les attouchements partout sur son corps, elle l’a doucement, imperceptiblement, irrémédiablement conduit dans les jardins du paradis.
Jef se tordait de plaisir, gémissait, soupirait. À force de tutoyer l’orgasme sans jamais y parvenir il a fini par le réclamer à pleine gorge, la supplier.
— Fais-moi jouir, je t’en prie ! Tu me rends dingue.
Ayant obtenu ce qu’elle attendait de lui, elle a forcé un peu la cadence, activé sa langue, redoublé ses baisers. Soudain, Jef s’est mis à hurler, hurler comme jamais. Un jaillissement s’est élevé dans les airs suivis de plein d’autres jusqu’à ce que la source semble tarie. Le jeune homme soufflait comme un bœuf à la recherche d’un peu d’oxygène. Des sortes de convulsions animaient son corps par moment lui arrachant un cri rauque.
Alice s’était levée. Elle alla à la fenêtre et l’ouvrirt non sans mal. La menuiserie grinça d’une façon lugubre, mais le battant consentit à s’ouvrir. Une bouffée d’air chaud envahit la chambre. Deux rayons de soleil à travers les volets à claire-voie pénétrèrent dans la pièce. Jusqu’à là baignée dans une obscurité relative, maintenant que les vitres crasseuses et recouvertes de toiles d’araignée ne leur faisaient plus obstacle l’un frappa directement le corps alangui du jeune homme, l’autre, presque parallèle, dessina un trait lumineux sur le parquet poussiéreux. Alice se retourna pour jouir du spectacle de ce jeune homme nu, maculé de son sperme, vaincu par ses caresses, totalement à sa merci. Elle songea un instant à Gérard. Heureusement qu’il n’était pas à la place de Jef. Elle l’aurait torturé !
La jeune femme inspecta le volet pour voir si elle avait une chance de pouvoir l’ouvrir entièrement. Le soleil était tellement beau et chaud en cette après-midi de septembre. À force de manipuler la tige métallique qui agissait comme un verrou, elle parvint à la faire bouger un peu. Encouragée par ce début de résultat, elle s’acharna tant et si bien que d’un coup le ventail de droite s’ouvrit et claqua sur le mur. Dans le même temps, la lumière vive de l’astre solaire éclaira toute la pièce orientée plein sud. Jef réagit à cette lumière qui le tirait de sa torpeur.Alice se rapprocha du lit pour constater que le jeune homme revenait doucement de la béatitude dans laquelle elle l’avait fait sombrer.
— Alors, Jean-François, comment te sens-tu ?
— Je ne sais pas ! Je croyais être mort il y a encore un instant ! Et puis il y a eu ce soleil et mon rêve a pris fin d’un coup !
— Tu as aimé ce que je t’ai fait ?
— Tu parles si j’ai aimé ! Bonté divine ! J’ai cru mourir de plaisir !
— J’en suis bien contente ! J’espère que cela aura contribué à te faire oublier tes ignobles cousines !
— Tu sais, mes cousines, elles, elles sont plutôt gentilles quand elles ne sont que toutes les deux. C’est leur satanée copine qui est un monstre. D’ailleurs, avant que je parte, elles s’étaient embrouillées avec elle et je crois qu’elles sont fâchées à jamais !
— Tu te sens en forme ?
— Euh ! À vrai dire, je n’en sais rien ! Pourquoi ?
— Parce que cela va être ton tour de me faire grimper aux rideaux, mon garçon ! Tu ne crois pas que je vais me priver de ça !
Joignant le geste à la parole, la jeune femme saisit à pleine main l’ensemble des organes génitaux de Jef. Il sursauta.
— Hé ! Doucement ! C’est fragile !
— Tu ne disais pas cela il n’y a encore qu’une petite demi-heure quand je te malaxais les couilles à deux mains. Te souviens-tu de ce que tu criais ?"Oh oui, oui ! Encore, plus fort !" C’est vrai ou non ?
— Oui c’est vrai et c’était merveilleux !
Alice avait relâché la pression de ses doigts, laissé retomber les testicules, mais avait enserré dans ses doigts la verge flasque et rabougrie. Elle s’attacha à lui faire prendre au plus vite une allure plus martiale ce qui arriva plus rapidement qu’elle n’aurait cru après le traitement de choc qu’elle lui avait administré !
Voyant que l’essentiel était fait à ce niveau, elle remonta sur le lit et s’installa à califourchon sur lui. Assise sur son sexe, les mains à plat sur sa poitrine, elle commença à monter et descendre en ondulant du bassin lui prodiguant ainsi un massage très particulier.
Jef, la queue coincée entre les cuisses d’Alice, sentait les lèvres chaudes et humides de son vagin le parcourir d’un bout à l’autre. Il lui semblait même par instant que son gland avait trouvé l’entrée de l’orifice brûlant et qu’il allait s’y engouffrer, mais cela n’arrivait jamais. La jeune femme faisait en sorte que son sexe ne fasse qu’effleurer le sien, pas plus. Elle en tirait d’ailleurs un plaisir infini. Elle en fermait les yeux et gémissait doucement de ses propres caresses.
Jef profitait d’un spectacle fabuleusement érotique et saisissant de beauté.
Frappés par le rai de lumière, ses seins dodelinaient doucement en cadence avec les mouvements de ses reins. Il trouvait cela divinement beau et aurait souhaité que cela ne finisse jamais. Seulement, il avait envie de les prendre à pleine main, de les caresser, de les malaxer, de titiller les petits boutons bruns qui dardaient et luisaient tels des fruits murs. Tant pis pour le spectacle, ses mains le démangeaient trop !
Alice attendait qu’il lui saisisse sa poitrine, qu’il lui pétrisse les seins. C’était important. En prenant cette initiative, Jef avait franchi un nouveau pas vers le plaisir charnel. Il ne se contenterait plus de subir passivement désormais. Il devenait un acteur à part entière dans leurs ébats. Il lui suffisait seulement de le guider, de l’encourager par des postures suggestives, des gestes qui lui indiqueraient la marche à suivre tout naturellement.
Maladroit, brouillon, il arrivait qu’il lui fasse plus de mal que de bien, mais Alice serrait les dents le temps qu’il s’aperçoive tout seul que ce qu’il faisait n’apportait pas le plaisir attendu. Jef progressait !
Non content de se satisfaire du va-et-vient que la jeune femme exerçait sur son sexe, Jef se mit lui aussi à accompagner le mouvement afin de l’amplifier. Il espérait surtout qu’en tendant son ventre, son sexe finirait par trouver l’entrée du vagin. Alors, d’un coup de rein il pourrait y pénétrer. Il lui suffirait alors de saisir sa partenaire par la taille pour qu’elle ne puisse s’échapper !
Alice avait compris son manège. Le coquin cherchait à prendre la direction des opérations !
Et puis quoi encore !
À peine dépuceler le voilà qu’il joue les machos ! Il avait beau se démener, elle prenait soin de ne pas lui permettre de s’introduire en elle. Par contre, les efforts qu’il déployait pour y parvenir intensifiaient considérablement son plaisir au point qu’elle dut se résoudre à changer de position. Elle s’avança sur les genoux jusqu’à buter sous ses bras.
Voyant qu’elle avait l’intention d’avancer encore, Jef passa ses bras entre les cuisses de la jeune femme profitant de cela pour lui saisir les fesses. C’était exactement ce qu’elle attendait de lui. Maintenant, elle pouvait encore progresser pour aller se placer à la verticale de son visage, sa chatte à quelques centimètres de la bouche du bien heureux Jef qui n’en croyait pas ses yeux.
Voilà bien une position tout ce qu’il y a de plus commode, se dit le garçon pour qui tout cela était nouveau et extraordinairement jouissif ! Il savourait de pouvoir caresser le cul de cette superbe fille qui ne lui refusait rien. Tenir ses fesses fermes et musclées, jouer à les soulever, les écarter, les pétrir, insinuer ses doigts dans la raie et caresser le petit trou qui paraissait tellement doux, tellement soyeux en glissant dessus, c’était un bonheur qu’il n’avait jamais imaginé.
Quand Alice s’est avancée, s’est assise sur sa bouche, quand soudain le goût suave de la femme lui est arrivé sur la langue, quand son odeur lui a empli les narines, Jef s’est dit que la plus belle chose au monde, il la tenait là dans ses bras, là sur sa bouche. Il n’a pas été nécessaire de lui expliquer ce qu’il lui restait à faire. Tout naturellement il a pointé sa langue à la découverte de ce nouveau terrain de jeu tellement prometteur de joies et d’émotions intenses.
Alice était curieuse de voir comment il allait s’y prendre lui qui n’avait apparemment jamais vu une chatte d’aussi près ! Par contre, pour son cul, il s’en donnait à cœur joie, le bougre ! Il s’intéressait même sérieusement à son anus et commençait à devenir furieusement entreprenant !
Qui sait, se dit-elle, peut-être bien que je parviendrai à lui faire faire la totale ! Qu’il s’amuse avec mon petit trou ! Ça s’avérera, sait-on jamais, utile dans l’heure qui vient !
Jef était aux anges ! Il avait découvert un tas de choses en fouillant avec sa langue dans les replis des lèvres intimes de la jeune femme. Tout d’abord, il ne savait pas qu’il y en avait tant. Or, sans les voir, il en comptait quatre, deux longues et très mobiles, mais encore deux autres, beaucoup plus petites, plus chaudes, plus douces. Mais il avait aussi découvert un petit bouton, dur et doux en même temps, caché dans un repli de peau, tout près de la fourrure naissante dans le bas de son ventre. C’était un bonheur de jouer avec sans compter que la demoiselle aimait cela. Il suffisait de l’entendre glousser quand il pointait sa langue dessus et la faisait vibrer comme celle d’un serpent. C’était encore pire quand il le prenait entre ses lèvres et qu’il l’aspirait ! Là, Alice durcissait ses cuisses, serrait ses fesses, poussait des gémissements et se mettait à respirer bruyamment comme un chien essoufflé. Plus il jouait avec et plus il lui semblait qu’il grossissait. "On dirait qu’elle bande !" se dit-il en l’aspirant encore plus fort.
En plus de cela, il avait trouvé que l’autre orifice avait beaucoup d’attrait ! Il avait à l’esprit le traitement que Charlène lui avait fait subir. Bien sûr, il aurait mieux aimé que cela se fasse avec son consentement. Il n’empêche que, même s’il n’avait pas envie d’en parler, il avait éprouvé une sensation plutôt agréable quand elle avait introduit son doigt par là. Alors, il n’y avait pas de raison qu’Alice ne ressente pas un plaisir analogue ! Il avait malgré tout le souvenir qu’elle avait pris quelques précautions avant de le pénétrer. Jef fit de même et, petit à petit, minute après minute, il avait la nette impression que l’orifice devenait de plus en plus souple, de plus en plus... accessible. Preuve en était qu’il parvenait sans peine à y introduire deux doigts et de les faire bouger à l’intérieur. Alice n’avait pas protesté. C’était signe qu’il ne lui faisait pas mal ! Jef tenta d’y enfoncer un troisième doigt. Il s’attendait à une réaction de la part de la jeune femme, mais elle ne dit rien sinon gémir un peu plus fort. Alors il enfonça index, majeur et annulaire entièrement sans la moindre difficulté !
Alice, bien que très heureuse des initiatives de Jef se dit qu’il serait certainement temps de faire remonter la pression dans la tête du jeune garçon.
Elle se pencha un peu en arrière pour saisir sa verge délaissée depuis trop longtemps. Jef bandait encore, mais pas assez pour ce qu’elle envisageait pour la suite !
Au bout de quelques minutes pendant lesquelles Jef avait œuvré au point qu’il en était à mettre ses quatre doigts et de les branler rapidement sans craindre de la blesser, elle rompit la position.
Elle se laissa tomber sur le dos en travers du lit, les cuisses ouvertes, les reins creusés, ses mains sur les seins, roulant ses tétons entre pouce et index.
— Viens ! Prends-moi !
Au comble de l’excitation, Jef se redressa d’un coup, s’avança pour s’installer entre les jambes d’Alice.
— Sois doux, mais ferme en même temps ! Mouillé comme je le suis, tu ne devrais pas avoir de mal à entrer. Allez, mon garçon, montre-moi que tu es un homme !
Sans réfléchir, sans se poser de question, sans même se rendre compte du bonheur qu’il avait de baiser, pour la première fois de sa vie, une pareille beauté, Jef posa son gland entre les lèvres qu’il avait si généreusement léchées. Son regard planté dans celui d’Alice, il s’est introduit lentement jusqu’à ne plus pouvoir aller plus avant. La jeune femme a retenu sa respiration en se mordant la lèvre inférieure.
Pour l’instant c’est parfait ! Se dit-elle en cramponnant les draps.
Jef s’étonna de la facilité qu’il avait eue à la pénétrer. Mais ce qu’il le surprenait encore plus c’était le plaisir qui venait de le saisir au ventre. Quand il se décida à bouger, ce plaisir alla en croissant d’autant plus qu’il sentait le ventre d’Alice emprisonner sa verge de la même façon que lorsqu’il était dans sa bouche et qu’elle le pompait en serrant les joues. Ses reins se mirent naturellement en mouvement tandis qu’il lui saisissait les seins. La respiration bloquée il la chevaucha furieusement.
Alice intervint.
— Doucement, doucement ! Respire ! Ne bloque pas ta respiration sinon, tu vas jouir dans la minute qui vient. Prends ton temps ! Je ne vais pas me sauver, tu sais ! Je suis trop bien !
Jef l’écouta et ralentit ses assauts précipités.
— Sors ! Reviens ! Recommence ! Ne me pénètre pas toujours de la même façon ! Varie le plus possible. Pour moi comme pour toi, cela n’en sera que plus agréable ! Oui, c’est bien comme ça ! Juste le bout, pas plus !Très bien ! Tu sens la différence ! Fais-toi du bien ! Recherche ce qui te procure le plus de sensations, mais ne m’oublie pas. Moi aussi, je dois éprouver du plaisir.
Jef était bon élève. Le moment passé de folie et d’excitation, il retrouva son calme et la maîtrise de son plaisir. En appliquant les conseils d’Alice, tout devenait différent. Il ne s’agissait plus seulement de la baiser, mais de lui faire l’amour. Ce qui lui importait le plus maintenant c’étaient les réactions de sa partenaire.
Alice avait trouvé sans le savoir un gars fantastique et un amant de première ! Après le moment de folie, il s’était calmé. Maintenant, il agissait avec douceur, sans précipitation. En quelques minutes, le plaisir s’était installé dans son ventre, dans sa poitrine, dans son cœur ! Elle savait qu’il allait la faire jouir comme jamais Gérard n’avait su le faire !
"Celui-là, il était bon pour prendre sa valise !"
Soudain, une intense émotion accompagnée d’un formidable frisson la parcourut du haut en bas lui arrachant un soupir profond.
— Oh oui Jef ! Vas-y ! Baise-moi fort ! Ne t’arrête pas ! Oui, comme ça ! Encore ! OUUIIIII !!!!
Le jeune homme avait vu le regard d’Alice se troubler, devenir fuyant puis soudain intense, passionné. Elle se mordait les lèvres dans un rictus qui aurait pu lui faire croire qu’elle souffrait le martyre.
Il lui souleva les jambes qu’il repoussa jusqu’à ce qu’elles touchent le lit, encadrant la tête d’Alice. Sa chatte béante, luisante de mouille et de salive, n’attendait plus que lui ! Les jambes tendues il s’enfonça du plus qu’il put d’un rageur coup de reins.
Alice s’emprisonna les jambes entre ses bras et hurla plus qu’elle ne cria :
— Fais-moi jouir ! Prends-moi comme une bête ! Baise-moi, putain !!!
Jef cramponna la jeune femme aux hanches et commença une chevauchée à une cadence effrénée. Ignorant les cris stridents, les gros mots, les prières de la jeune femme, il la pistonna comme un fou.
Le bonheur n’arrive jamais seul dit-on !
Ce jour-là, le bonheur était dans les deux amants qui jouirent ensemble dans un concert de cris, de soupirs, de jurons.
Jef s’écroula sur Alice qui eut un mal fou à se dégager du corps du garçon alors qu’elle-même était quasiment cul par-dessus tête.
Un grand silence remplaça le vacarme des deux jeunes gens.
Un volet claqua sur le mur, mais personne ne s’en soucia. Il n’y avait plus que les abeilles qui bourdonnaient dans le jardin. Les deux rayons de soleil avaient parcouru la totalité de la pièce et venaient de disparaître.
Jef s’était assoupi. Alice regardait le plafond, la tête vide. Le sperme de Jef lui coulait entre les fesses et ça lui faisait froid. Elle était bien et n’avait pas l’intention de bouger avant longtemps !
Ça fait plus d’un an que je n’aie pas été aussi comblée en faisant l’amour ! dit-elle tout haut.
Son esprit se mit à vagabonder pendant que son cœur ivre de bonheur tentait de trouver un rythme plus raisonnable.
Ah ! Ce beau maître-nageur, l’année dernière à Biscarosse ! Une semaine de baise à tout va ! Quel pied ! Et le serveur de la brasserie, juste avant ! Lui aussi, ça avait été un bon coup ! Dommage qu’il avait la fâcheuse manie de courir après trente-six filles en même temps. Les parties à plusieurs, c’est pas mon truc !
Quoique, la fois où je me suis retrouvée en sandwich entre le petit copain de ma sœur et son frère, j’avais eu, bien malgré moi, une expérience enrichissante ! C’est ma sœur qui n’a pas aimé, mais alors pas du tout !
Depuis, elle ne me parle plus et elle a changé de copain dans la semaine suivante ! Ça serait bien que je la rappelle. Peut-être qu’elle ne m’en veut plus ! Je n’ai même pas pu lui expliquer qu’ils m’avaient un peu plus que baisée, ces deux petits salauds ! Il n’empêche que la double pénétration, j’en ai gardé un bon souvenir !
— Qu’est-ce que tu racontes ?
Jef venait de se dresser sur un coude, l’air d’avoir dormi dans une machine à laver réglée sur essorage !
— Rien ! Je rêvassais !
— Drôle de rêve ! Je t’ai entendu parler de baise, de double pénétration ! Tu jouais dans un film porno dans ton rêve ?
— Mais non ! Dis-moi plutôt comment tu te sens !
— En pleine forme ! Et j’ai encore très envie de toi !
— Ça tombe bien ! Moi aussi !
Alice, espiègle, lui a sauté dessus avant qu’il n’esquisse le moindre geste. Elle s’est assise sur lui, mais dans le sens qu’elle avait envisagé pour la suite de leurs ébats. Jef, la tête coincée entre ses cuisses n’avait d’autre recours que de s’occuper de son postérieur. C’est bien ce qu’elle entendait qu’il fasse.Continue ce que tu me faisais tout à l’heure, c’était super et ça va te servir dans pas longtemps ! Moi, pendant ce temps-là, je redresse la situation si tu vois ce que je veux dire par là.
Jef avait tout compris ! Il avait beau être novice, il avait vu suffisamment de bouquins de cul pour savoir à quoi elle pensait en lui permettant de lui tripoter le trou de balle. Rien qu’à cette idée, sa bite s’était tendue sans qu’Alice n’ait beaucoup d’efforts à fournir !
— Dis donc ! C’est vrai que tu es en pleine forme ! Tu bandes déjà comme un âne !
Plus Alice le masturbait et le suçait et plus il s’acharnait sur l’orifice qui commençait à se rouvrir largement ! Il lui était de nouveau aisé d’y entrer ses quatre doigts ce qu’il se plaisait à faire tout en enfonçant son pouce dans la chatte encore toute baveuse de ses derniers exploits. Ainsi cramponné, il appliquait des pressions rapides et saccadées dans son petit trou qui, depuis déjà un moment n’en était plus un.
Jef n’a pas attendu que ce soit Alice qui lui donne le feu vert. D’une façon autoritaire, usant de la force de ses muscles, Alice s’est vite retrouvée sur les genoux, fesses en l’air, le nez dans les oreillers.
Il n’était pas peu fier de lui !
Ce n’était plus un trou du cul qu’elle avait là, Alice ! C’était une bouche de métro ! Se glisser à l’intérieur fut un jeu d’enfant ! Y circuler ne présentait pas plus de problème. Il s’enfonçait jusqu’à faire claquer ses couilles sur son périnée en poussant des soupirs d’aise pour se retirer entièrement et recommençait son va-et-vient à un rythme d’enfer.
Alice, au début n’avait pas résisté. Elle s’était installée au mieux pour lui faciliter la tâche et, elle devait bien l’admettre ; pour un débutant, il s’y prenait tout à fait comme il faut ! Ce à quoi elle n’avait pas pensé, c’est au plaisir qui allait lui donner. Pour elle, le gamin allait jouir en deux minutes, surexcité par cette nouvelle façon de faire l’amour. Or, il n’en était rien. Bien au contraire ! Un piston animé par une machine à vapeur n’aurait pas fait mieux ! Jef, déchaîné, défonçait littéralement le cul d’Alice qui faisait des bonds en avant à chaque fois qu’il heurtait de son ventre son derrière avec un claquement sec. En peu de temps, son visage touchait le bois du lit et c’est en s’arc-boutant dessus qu’elle se préservait de se faire des bosses à répétition. Elle aurait voulu lui dire quelque chose, mais elle ne parvenait qu’à pousser un cri aigu à chaque fois qu’il heurtait de fonds de ses entrailles jusqu’à ce qu’il ne devienne plus qu’une modulation continue accompagnant les craquements du sommier et les claquements des corps se percutant sauvagement.
Jef sentit monter son orgasme et se retira rapidement. La bite à la main, il guida les jets de sa semence sur le dos d’Alice qui continuait sa litanie bien qu’il ne soit plus en elle. Des reins jusqu’à dans ses cheveux, le sperme traça sur sa peau claire des serpents brillants, des taches reflétant les dernières lueurs du soleil couchant.
Jef, essoufflé par cette fougueuse chevauchée, se laissa retomber sur ses talons. Son sexe, tout juste apaisé, laissait s’échapper quelques dernières gouttes translucides sur ses cuisses jointes.
— Putain ! Ça, c’est de la baise où alors, je n’ai rien compris ! Je ne m’étais jamais éclaté autant ! Je suis en sueur ! Et toi, ma belle, ça va ?
Alice se laissa tomber sur le côté, les cheveux en bataille dans le visage, les yeux cernés, maculés de son maquillage. Elle donnait l’impression d’avoir été déterrée ou encore, d’être passée sous le train.
— Mon salaud ! Qu’est-ce que tu m’as mis ! Je m’étais déjà fait enculer, mais jamais comme ça ! Tu es une vraie machine, un robot ! J’en ai pleuré tellement tu m’as fait jouir ! Tu m’as complètement vidée ! Il faut que je dorme !
Sans rien dire d’autre, sans faire un mouvement de plus, la jeune femme a fermé les yeux. Trois minutes plus tard, elle dormait à poings fermés.
Jef jeta un regard circulaire et avisa une porte qu’il n’avait pas encore remarquée. Elle donnait, comme il l’avait supposé, sur un petit cabinet de toilette équipé de la façon la plus moderne. Une douche, froide, le ragaillardit. Il lui fallait bien ça pour compenser la fatigue de ces dernières heures.
Tiens, au fait, il est quelle heure ? Dix-huit heures ! Comme le temps passe ! Heureusement que personne ne m’attend !
C’était une habitude qu’il avait prise. Ne jamais dire ni quand, ni à quelle heure il arrivait ! Ainsi, personne ne se faisait de souci ! Il ne lui restait plus qu’une seule chose à faire. S’allonger à côté d’elle et faire une petite sieste !

À suivre... si vous le voulez bien !
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