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Jenifer: J'apprends à être coquine

Chapitre 1

Trash
Je m’appelle Jenifer et j’avais 24 ans quand l’histoire que je raconte ici a commencé. En toute modestie, je suis une très jolie fille ! Je mesure à peine plus d’un mètre soixante mais je porte toujours des chaussures à talons pour donner de l’élégance à mon allure, j’ai des cheveux noirs ondulés mi-longs que je raidis parfois selon mes envies et j’ai le teint plutôt mat typique de mes origines corses. Mes traits sont fins et je fais du sport pour avoir une ligne irréprochable.
Longtemps, mes seins m’ont un peu complexée mais j’ai utilisé mes premiers salaires à 21 ans pour les faire refaire. Je fais maintenant un flamboyant 90D. J’ai eu un peu de mal à assumer au tout début mais aujourd’hui, je suis ravie de mon apparence.
Malheureusement, à cette époque tout n’était pas parfait dans ma vie. Alors que je cherchais un garçon sérieux avec qui m’installer, je venais de me faire plaquer pour la troisième fois consécutive en deux ans. A chaque fois cela s’était déroulé à peu près de la même manière: j’avais cru ces hommes très amoureux de moi mais sans que je m’y attende, ils m’avaient larguée après quelques mois.
Pour Romain, le dernier en date, cela avait été encore plus étrange: il m’avait invitée pour un week-end romantique à Rome. J’avais adoré cette escapade et je l’avait vue comme le signe que cette les choses étaient différentes. Mais au retour il ne m’avait pas appelé pendant plusieurs jours puis il était passé chez moi pour me dire que c’était fini une semaine plus tard. Cela été aussi surprenant que décevant.
Je savais que Romain avait eu des sentiments pour moi. Il m’avait regardé comme aucun homme ne l’avait jamais fait. J’ai laissé passé un mois puis je lui ai demandé avec insistance de déjeuner ensemble.
Pendant le repas, je l’ai cuisiné pour qu’il me dise ce qui n’allait pas chez moi. Je voulais une vie simple: rencontrer un garçon qui me corresponde et vivre heureuse avec lui. Si je faisais fuir tout mes petits amis, ce n’était pas prêt d’arriver.Il était gêné et ne voulait rien me dire mais j’ai insisté... et il a fini par me répondre.— Romain: "Je ne sais pas comment te dire ça de façon agréable mais tu as le droit de savoir après tout... Jenifer, tu es nulle au lit, complètement nulle".J’étais abasourdie: vexée et incrédule à la fois. J’ai balbutié quelques mots.— Moi: "Mais, je... je suis si mauvaise que ça ? ... — Romain: " Tu es un avion de chasse; une sorte de bimbo mais brune et super classe: le fantasme ultime... mais sexuellement t’es comme une promesse non tenue"
Ce connard parlait de mes performances au lit comme le jury de top chef commenterait la dégustation d’une assiette de fruits de mer. J’avais voulu qu’il m’explique et j’étais servie !— Moi: "Tu aurais pu m’apprendre. On était bien tous les deux quand même"— Romain: "Ne m’en veux pas princesse mais tu pars de trop loin".Il m’a dit qu’après cela nous aurions du mal à finir le repas normalement et il est parti me laissant seule à la table du restaurant.
Je suis rentré chez moi et j’ai pleuré. Puis j’ai maudit les hommes en comprenant que depuis le début de ma vie sexuelle, ils m’avaient tous quitté parce que je n’en faisais pas assez. Quelle bande de connards ! Tous des lâches et des pervers !J’étais triste et furieuse. Pourtant après quelques jours, je me suis reprise en main. Si tous mes ex avaient réagi de la même manière, il fallait me rendre à l’évidence: le problème venait principalement de moi. Les maudire et me voiler la face n’était pas la solution.

J’étais peut-être naïve mais je rêvais toujours du prince charmant. Je voulais être heureuse avec lui et qu’il le soit en retour, je voulais le combler y compris sexuellement et apparemment j’étais loin d’en être capable. Ça ne pouvait pas continuer ainsi; il fallait faire quelque chose.
Comme on me l’avait appris à l’IUT dont j’étais diplômée, j’ai analysé le problème et défini un plan pour le résoudre.
J’ai commencé par aller sur les sites pornos dont j’avais entendu parler. J’ai cherché les vidéos les plus vue et les mieux notées puis j’ai fait des classements et des tableaux en fonction de tous les critères possibles: pratiques sexuelles, attitude de la fille, du mec, durée du rapport, etc. Cela m’a pris deux jours complets mais le résultat était limpide. J’ai comparé ce qui intéressait le plus les hommes à ce que "j’offrais" comme "prestation": Il y avait un monde d’écart.J’ai regardé des vidéos ou les filles suçaient en gémissant comme si elles jouissaient, je les ai vues s’enfoncer des queues dans la gorge et les recracher avec le sourire en en redemandant. Je me suis revue sucer du bout des lèvres moins de 3 minutes en faisant à moitié la gueule: et dire que je pensais "faire ce qu’il faut": j’étais loin du compte !
J’ai aussi compris que c’est l’anal qui excite vraiment les hommes. Pour le sexe vaginal, il faut y ajouter quelque chose: se laisser tirer les cheveux, trouver une position vraiment hard ou autre chose. Ce constat m’a tout d’abord glacé d’effroi: j’avais toujours vu la sodomie comme une horreur, en plus d’être dégoûtant, je me doutais que cela faisait horriblement mal.
J’ai failli renoncer mais je voulais avoir le contrôle de ma vie et être prête pour mon prince charmant. J’ai fait une sélection de vidéos ou les filles semblaient aimer les pratiques qui me faisaient le plus peur et je les ai regardées en boucle plusieurs jours pour imprimer une image mentale de plaisir à la place de mon dégoût initial.
De mémoire, je pense que je regardais facilement 3 heures de porno par jour à cette époque. Cela a plutôt fonctionné: au bout d’un mois, j’avais intégré dans mon esprit comme normales des choses qui m’horrifiaient peu de temps avant.
Pourtant ce n’était que le tout début: après la théorie, il allait falloir passer aux travaux pratiques. Si mes futurs partenaires regardaient ce genre de choses... et soyons honnêtes, c’était sûrement le cas, sans devenir une actrice de film pour adulte, il allait falloir que je "progresse" sérieusement.
Mon dieu! Sans même parler de mon appréhension et mes réticences, je ne savais pas du tout comment m’y prendre.
J’ai commencé par prendre une décision: ne plus chercher à rencontrer l’homme de ma vie mais me considérer en formation durant les prochains mois. J’allais devoir baiser pour apprendre, ma morale et mon éducation grinçaient mais elles s’en remettraient.
J’étais résolue à sortir et rencontrer des garçons pour me dévergonder mais avant je devais pousser plus loin la découverte de mon corps. J’avais la même sexualité qu’au début de ma vie de femme, il fallait corriger cela. J’ai passé une commande de 400 euros sur internet dans un sex shop en ligne. J’étais honteuse et excitée quand le livreur est arrivé. Le colis était discret mais il y avait un tampon de 6 centimètres de haut sur le paquet, il représentait une jambe de femme avec une chaussure à talon et un bas. Je suis devenue écarlate quand le facteur m’a dit au-revoir avec un clin d’œil. Avait-il compris ?
Le soir même, je suis passé aux choses sérieuses. J’ai bu un grand verre de vin blanc pour me donner du courage et rentrer dans le rôle de la salope un peu nymphomane que je m’apprêtais à endosser. J’ai augmenté le chauffage et je me suis installée sur mon lit avec un porte-jarretelles, des bas et une jolie culotte. Je n’ai pas mis de soutien-gorge, mes faux-seins et mes jolis tétons me semblaient parfaits en liberté avec cette tenue.
J’ai pris un des godes de bonne taille parmi ceux que j’avais étalés devant moi et j’ai commencé à le lécher. Il devait faire 5 centimètres de diamètre et avait une forme et une couleur réalistes. C’était bizarre, ce n’était que du plastique après tout. Je me suis néanmoins forcée à continuer: J’ai empaumé mon sein gauche avec ma main libre et j’ai fermé les yeux.
J’ai pensé à un type que je croise parfois dans le bus et dont je ne connais même pas le prénom. J’ai senti le rouge me monter aux pommettes, j’ai ouvert grand la bouche et je me suis enfoncé le gode un peu plus loin. J’ai salivé et bavé comme j’avais vu les filles faire sur internet, j’ai sentie ma culotte s’humidifier: j’étais fière de moi, mon cas n’était peut-être pas si désespéré finalement.
J’ai fait coulisser mes lèvres sur la tige en plastique en les retroussant. Ce n’était pas désagréable du tout finalement; en tout cas c’était bien plus excitant que les pipes toutes pincées que je faisais jusqu’ici. Je me suis rendue compte qu’y mettre du cœur était gagnant-gagnant: à la fois plus troublant pour moi et sûrement meilleur pour mon partenaire.
J’ai essayé de m’enfoncer le gode plus loin dans la bouche, j’avais l’impression de l’avoir dans la gorge. J’ai fixé mes doigts là ou j’étais arrivé et je l’ai recraché pour voir ma performance. J’ai été déçue: à peine 9 ou 10 centimètres ! J’ai pensé avec admiration aux filles qui s’enfoncent des queues deux fois plus logues que cela. Comment faisaient elles ?
Toujours motivée, j’ai attrapé un tube de lubrifiant et je m’en suis versé une bonne quantité entre les seins. Je les ai serrés entre mes bras et j’ai maintenu le gode avec ma main droite puis je l’ai fait coulisser entre mes 2 mamelles. J’ai été troublée: j’ai tout de suite aimé cela. Mes tétons ont durci et j’ai sentie mon vagin s’ouvrir. Le lubrifiant aidant, le contact était chaud et doux, je me suis imaginée laisser l’inconnu du bus baiser ma poitrine comme cela et je me suis sentie sourire malgré moi. J’ai fermé les yeux et je me suis un peu forcée pour gémir en continuant l’exercice. Ce n’était pas vraiment simuler, mais plutôt une façon d’optimiser l’ambiance.
Je suis redescendue sur terre une minute plus tard, j’étais toute excitée. J’ai glissé ma main dans ma culotte, c’était tout poisseux. J’ai caressé mon clitoris avec beaucoup plus de plaisir que je n’en avais jamais eu lorsque j’avais tenté de me masturber par le passé.
J’étais vraiment toute chaude. J’ai enlevé ma culotte et pris un autre gode, vibrant cette fois, dans le carton. Je me suis mise à 4 pattes, le visage contre l’oreiller et j’ai présenté la bite en plastique à l’entrée de mon vagin. Je me sentais respirer plus fort, j’ai poussé mon nouveau compagnon en moi lentement en me concentrant sur la sensation de mes petites lèvres écartées par le passage du sexe virtuel. Je ne me reconnaissais pas, moi qui avait toujours fait l’amour avec un petit sentiment de honte, j’étais en train de me masturber avec délice comme une vulgaire salope. J’ai fait coulisser le gode plus intensément puis j’ai enclenché les vibrations. C’était étrange mais la surprise passée, c’est devenu vraiment bon: j’ai poussé quelques petits cris sans avoir besoin de vraiment en rajouter.
J’étais motivée pour ce premier soir, je me découvrais bien plus douée que prévu et cela me donnait des idées. J’ai attrapé le tube de gel et je m’en suis versé sur les doigts de la main droite tout en maintenant le gode en moi avec la gauche. J’ai rougi mais je me suis dit intérieurement: "courage pétasse !"
De nouveau, j’ai fermé les yeux puis j’ai retenu ma respiration et j’ai commencé à masser du bout des doigts l’entrée de ma petite porte tout en augmentant les vibration du gode dans ma chatte. C’était loin d’être désagréable: J’avais honte mais j’étais troublée.
Depuis le début de la séance, c’était ce qui me perturbait le plus: accepter que mon cul puisse être un jouet de plaisir pour mes partenaires et pour moi, c’était à l’opposé de mon état d’esprit depuis toujours... Mais j’étais résolue.De nouveau j’en ai rajouté; surmontant ainsi ma timidité, j’ai gémi plus fort et j’ai ondulé mon bassin puis j’ai soufflé quelques obscénité:"Oui, comme ça""Ho oui! baise moi"" Vas-y caresse mon cul".
A ces mots, j’ai poussé mon majeur lubrifié entre mes fesses. Mon corps a dit non mais j’ai insisté poussant mon doigt malgré mes petites fesses toutes serrées. C’était bizarre mais pas vraiment douloureux: la finesse de mes doigts de fille et le lubrifiant m’aidaient.
J’ai réglé le gode sur les vibrations maximales et j’ai fait coulisser mon doigt en même temps sur les 3 premiers centimètres de mon rectum. Je me suis remise à faire la coquine: J’ai couiné et j’ai soufflé comme les actrices que j’avais maintes fois regardées.
J’ai sentie mon ventre se réchauffer, je me suis dit que j’étais une "petite salope"; cela m’a fait sourire." Oui, j’aime ça"
Je n’arrivais pas à croire que c’était ma voix." Oui, oui, oui"
D’un coup j’ai enfoncé mon majeur jusqu’à la garde, j’ai crié mais cette fois je ne jouais plus: J’y étais allé un peu fort et mon anus encore vierge s’offusquait de ce traitement. Je m’en moquais: J’ai fait coulisser mon doigt dans mon cul sans trop le ressortir et j’en ai fait de même avec le gode vibrant dans ma chatte ; Malgré l’étrange sensation entre mes fesses, j’ai continué à gémir:"Oui, oui, oui""C’est bon"
Je me suis vue le visage rougi contre le drap, à 4 pattes, un gode enfoncé en moi et en train de me doigter le cul en même temps: J’ai pensé à Romain qui ne voulait même pas m’apprendre à être une meilleure amante. J’étais certaine qu’il aurait changé d’avis s’il m’avait vu à cet instant. Tant pis pour lui !
J’aurais voulu jouir mais cela n’en prenait pas le chemin, la sensation entre mes fesses était trop perturbante pour que je puisse me procurer un orgasme clitoridien ou vaginal en même temps.
J’ai arrêté pour ce soir après quelques minutes supplémentaires non sans miauler en ressortant mon doigt et le gode de mon intimité.
Je me suis laissée tomber sur le côté, je me sentais souillée: mes deux orifices étaient moites et hypersensibles et j’avais encore les seins poisseux de gel lubrifiant.
Je suis restée quelques minutes les yeux dans le vide puis je suis allé me doucher.
Une fois revenue dans le salon, j’étais ravie: j’allais devenir la petite amie parfaite. C’était sûr !
Ma séance auto-sexuelle avait été une réussite: Cela ne m’avait pas dégoûté, au contraire, j’avais trouvé tout cela amusant et excitant. J’ai passé ma langue sur mes lèvres: "vivement la suite !".
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