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Jenifer: J'apprends à être coquine

Chapitre 5

Trash
Cela aurait pu durer ainsi longtemps; Mehdi et moi trouvions notre compte dans notre relation mais je sentais pourtant que j’arrivais à un tournant.
Durant une semaine entière j’ai dû aller à Paris pour le travail. Le dernier soir et durant tout le trajet retour, je n’ai pensé qu’à Mehdi... ou plutôt à nos retrouvailles. Je l’imaginais me faire tout ce que j’avais appris, j’étais en manque ! Dans le train, j’ai sérieusement envisagé d’aller aux toilettes pour me masturber mais j’ai finalement résisté en pensant à l’hygiène déplorable que devaient avoir ces WC.
Le train était en retard, je suis sortie de la gare à plus de 23 heures; heureusement Mehdi m’attendait. Je me suis jetée sur lui et je l’ai embrassé sans aucune retenue au milieu du parking, il a eu l’ai surpris mais il a tout de suite profité de l’aubaine.J’ai fermé les yeux et je l’ai laissé fourrer sa langue dans ma bouche et malaxer mes fesses. Je sentais qu’une érection des grands jours l’envahissait, j’avais envie qu’il me baise entre deux camionnettes.
Nous avons été raisonnables et avons finis par arrêter de nous donner en spectacle. Je suis montée en voiture et il m’a ramené chez moi en voiture, je l’ai laissé caresser mes cuisses pendant tout le trajet.
Une fois à la maison, je l’ai fait s’installer sur le fauteuil de ma chambre et je lui ai demandé de rester là. Je suis allée prendre une douche rapide et je suis revenue simplement vêtue de haut talons léopard. Je les avais depuis 2 ans mais je n’avais jamais trouvé l’occasion de les porter: Ce soir, ils étaient parfaitement dans le ton !
Mehdi m’a regardée avec admiration, j’étais fière de lui plaire autant, à lui qui voyait si souvent d’autres filles dans le plus simple appareil. J’ai lu sur ses lèvres: "T’es une bombe", j’en ai frissonné.Je me suis allongée sur le lit sur le dos et j’ai commencé à me toucher: J’ai caressé tout mon corps en m’attardant sur mes seins puis je me suis mise à 4 pattes.
Je n’en pouvais plus, je voulais que ce soit torride tout de suite. J’ai attrapé le lubrifiant sur la table de nuit et j’en ai versé entre mes fesses sans quitter mon amant des yeux puis je me suis mise à introduire mon majeur dans mon cul. J’ai gémi, j’ai passé ma langue sur mes lèvres et je me suis doigtée consciencieusement introduisant une phalange, puis deux et enfin mon doigt en entier. J’étais vraiment chaude ce soir.
J’ai joint mon index en miaulant et en soufflant des "oui" sensuels. Je voyais dans les yeux de Mehdi que je faisais mon petit effet.
J’ai rampé jusqu’à l’autre table de chevet et j’ai trifouillé dans le tiroir jusqu’à trouver le plug que je cherchais: 14 centimètres de long, un diamètre de départ de 2 centimètres mais qui monte jusqu’à près de 6 centimètres là ou il est le plus large.
J’ai repris place pour que Mehdi ne rate rien du spectacle et j’ai recouvert le plug de gel avant de le présenter à l’entrée de mon petit trou. De nouveau j’ai fixé mon amant en m’enfonçant le sex toy entre les fesses; c’était beaucoup plus large que mes doigts, j’ai ondulé mes hanches et écarté mes fesses pour faciliter l’accès. Je me sentais chaude et humide, le plug forçait ma rosette à se déformer dans une sensation que je maîtrisais maintenant. J’ai fait aller et venir le jouet, j’avais mis énormément de lubrifiant et je le sentais frotter mes parois intimes avec une sorte de douceur poisseuse.
J’ai pourtant froncé les sourcils au passage le plus large et poussé un "Hummm". Mehdi n’a pu s’empêcher de sourire, c’était une des choses que j’avais compris chez les hommes: ils ne sont pas loin de préférer quand ils voient que ça nous fait un petit peu mal mais nous l’acceptons quand même...
J’ai joué avec le gode en croquant Mehdi du regard, je faisais mine de jouir à chaque fois que je me renfonçait le sex toy certaine que cela le mettait dans tous ses états. Franchement, je pense que si j’avais vendu des places payantes pour ce spectacle, j’aurais pu me faire une petite fortune.

Une dernière fois, j’ai poussé le jouet en moi puis une fois qu’il fut en place en place, je me suis déplacée sur le lit à 4 pattes pour placer mes mains le plus au bord du matelas possible:— Moi: "Viens"
Mon homme ne s’est pas fait prier, il a fait tomber son caleçon et il a présenté sa queue devant ma bouche déjà entrouverte. J’ai roulé une pelle langoureuse sur son gland et je me suis enfoncée en me faisant toute moelleuse jusqu’à la moitié de sa tige de chair. J’ai fait plusieurs aller-retours jusqu’à ce point en sentant Mehdi soupirer sous ma caresse.
J’ai continué quelques minutes mais ce soir j’avais des envies un peu extrêmes: J’avais trempé ma culotte pendant plu d’une heure dans le train en pensant à ce que je m’apprêtais à faire.J’ai laissé descendre mes lèvres sur la bite de Mehdi jusqu’à sentir son ventre contre mon nez, sa queue m’emplissait la bouche et la gorge, cela m’avait manqué toute cette semaine. De la salive s’est échappée de mes lèvres, j’ai senti mon amant tressaillir: il adorait se sentir entièrement avalé.
J’ai fait glisser ma main droite le long de mes côtes, jusqu’à attraper la base du plug toujours vissé entre mes fesses puis je l’ai fait ressortir de quelques centimètres jusqu’à sentir la partie la plus large dilater ma corolle. Simultanément, j’ai reculé mes lèvres de quelques centimètres sur la verge de mon amant et j’ai à la fois fait pénétrer la queue de Mehdi au fonds de ma gorge et le plug au fonds de mon rectum.
Je me suis sentie me liquéfier, mon ventre était bouillant et mes joues se sont colorées. C’était hard et dégradant mais j’adorais ça. Je me suis activée lentement plusieurs minutes, offrant ma gorge à Mehdi et la vue du plug me déformant le cul en rythme. J’ai cru que j’allais jouir d’un improbable orgasme anal et bucal... Ce qui aurait été une première dans les deux cas... Mais il ne fallait pas rêver; ni l’un ni l’autre ne se sont produits même si mon plaisir était étonnamment intense.
J’aimais avoir la queue de Mehdi enfoncée aussi loin, de plus en plus au fil des semaines: Ce qui avait commencé comme une concession éprouvante et un défi était devenu une sorte de gourmandise .J’ai quand même du déglutir pour ne pas vomir mais cela ne m’a pas calmé.
Mehdi m’a caressé la joue en me soufflant: "J’ai envie de t’enculer maintenant", Je ne me suis pas offusquée, au contraire. Mon objectif d’être la petite amie ultime était de plus en plus proche !
J’ai lentement recraché sa verge puis je me suis retournée pour lui présenter mes fesses. Il a renfoncé le plug bien à fonds et il a amené son gland contre mon vagin avant de m’enfiler d’un trait. La sensation m’a électrisée, j’ai crié de plaisir.
Mehdi a compris que j’étais déjà au bord de l’orgasme, il a tiré sur le plug jusqu’à ressortir la partie large et il a reculé sa queue en même temps puis m’a tout renfoncé. J’ai failli m’écrouler tellement c’était intense. Mon amant ne m’a pourtant pas laissé de répit, il a continué à me baiser ainsi avec le plug et sa queue sans ménagement et j’ai eu un orgasme fulgurant au cinquième vas et viens.
Mehdi a ressorti le sex toy et sa verge de mon intimité alors que je n’avais même pas fini de jouir et il m’a enfoncé son calibre entre les fesses sans me laisser souffler. J’ai senti son gland parcourir mon rectum jusqu’à ce que son ventre claque contre mes fesses, je ne sais même pas si j’ai crié, j’ai eu l’impression de ne plus rien voir ni entendre pendant quelques secondes.
Mehdi m’a sodomisée à un rythme de métronome en poussant au maximum chaque pénétration. Mon cul me faisait un peu mal mais à peine, j’étais sous le charme de cette étreinte brutale et de ma propre performance.
J’ai poussé des "han" à chaque fois que je me sentais empalée à fonds et j’ai glissé une main sous mon ventre pour caresser mon clitoris. Dès le premier contact, j’ai compris que de nouveau il ne me faudrait pas grand chose pour m’embraser, je me suis caressée doucement pour ne rien précipiter.— Moi: "Longtemps. Je suis juste au bord; c’est trop bon"
Mehdi a été parfait, il a conservé exactement le même rythme entre mes fesses en continuant à ressortir jusqu’à la base de son gland et en me prenant à fonds à chaque vas et viens. J’ai réussi à me garder au bord de l’orgasme clitoridien pendant presque cinq minutes puis quand j’ai sentie Mehdi prêt à craquer, j’ai accéléré le rythme de mes doigts alors que mon amant en faisait de même au fonds de mon cul.
Comme j’en avais rêvé dans le train l’après-midi, j’ai joui en sentant mon amant m’enculer bien à fonds puis Mehdi a doucement ressorti sa queue pour éjaculer sur mon anus dilaté.
Il était déjà une heure du matin, Mehdi s’est endormi rapidement et de mon côté, je ne pouvais m’empêcher de réfléchir malgré la fatigue: J’étais arrivé au bout de ce que j’avais prévu et cette soirée le prouvait, j’étais prête. J’avais appris à tout pratiquer et tout aimer.
J’étais impatiente et inquiète en pensant à ce qui arriverait ensuite.
Le lendemain, je me suis réveillée avant Mehdi, je me suis habillée et j’ai attendu mon amant dans la cuisine; Il est arrivé en caleçon en se grattant la tête, je lui ai dit: "je voudrais qu’on parle".
Il m’a regardée avec l’air triste comme s’il savait déjà ce que je voulais lui dire. — Mehdi: "Tu me laisses deux minutes ?"
Il s’est fait couler un café et est retourné vers la chambre puis il est revenu habillé et s’est assis à table, je lai laissé boire sa tasse avant de parler.
— Moi: "Mehdi, c’est fini. Je ne veux pas te raconter de bêtises, je n’ai pas de bonne explication. Il faudra que tu te contente de ça"
Il m’a souri.— Mehdi: "Ne t’inquiètes pas. Cela va bien se passer".
Il repris un peu de café. — Mehdi: "Je savais que ça arriverait, je sais aussi que tu n’as jamais été amoureuse de moi. A vrai dire je ne sais pas ce que tu faisais avec moi".
Je ne savais pas quoi dire, il était bien plus lucide que je ne l’avais cru.— Mehdi: "J’ai essayé de ne pas tomber amoureux de toi. Je n’ai pas vraiment réussi mais tant pis".
Je me suis rendue compte que je ne lui avait laissé aucune chance, je commençait presque à avoir des regrets mais il fallait être forte. Je lui ai dit "merci" en étant pas très loin de verser une larme puis il s’est levé et il est allé chercher le sac qu’il avait préparé. Enfin, il est venu m’embrasser sur le front en me disant "prends soin de toi".
Il gérait cela avec beaucoup d’élégance, j’étais en train de me dire que c’était vraiment un garçon bien; en plus, il était beau comme un dieu et c’était un amant exceptionnel: Il ne méritait pas que je lui fasse ce que j’étais en train de lui faire.
Et moi, pour qui est-ce que je me prenais pour croire que je méritais tellement mieux que je pouvais me permettre de froidement le congédier ?
Ma volonté était sur le point de fléchir mais j’ai chassé ses pensées: je devais être forte et m’en tenir à mon plan initial.
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