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Jenna se joue au poker

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Les mains attachées dans le dos et la robe troussée autour de la taille je me débats et essaie de me libérer.Impossible avec les mains liées et mes bottes à talons hauts ! Mes fesses sont écartées et massées. La sensation de plaisir est intense.
Maurice me dit :
« Sois bonne joueuse, tu as perdu, maintenant il faut payer. »
Sur ce, il ouvre son pantalon pendant que les trois autres m’attachent à nouveau penchée en avant. Mon bas-ventre repose sur le tronc d’arbre tombé en travers du chemin. Mes talons hauts relèvent ma croupe qui se retrouve bien offerte. Maurice se place face à mon visage. Il fouette mon visage avec sa bite. Je pousse un cri d’effroi :
« - Je ne suis pas ce genre de femmes » m’exclamé-je avec un reste de dignité.
Je sens un coup de ceinture déchirer mes fesses et pousse un cri :
« - Eh bien voilà Jenna, tu vas comprendre ! Soit tu obéis, soit tu vas avoir mal et nous savons infliger la douleur »
J’oscille entre plusieurs états. D’une part le vibro me rend folle de plaisir. D’autre part j’ai peur et je n’ai pas envie d’être brutalisée. Mais aussi il y a ce vieux fantasme qui remonte secrètement.Brisée je penche la tête en avant et gobe la bite de Maurice. Elle est bien raide déjà. Il voit que je ne suis pas experte à ce jeu, et s’emparant de mes cheveux, il bourre sa bite bien au fond de ma bouche. La joue d’un côté est déformée par une bosse. Quelle image incongrue : la femme hautaine et classe en train de sucer un homme dans les bois !
Lionel lui ne peut pas tenir plus longtemps. Il enlève le vibro. Sans hésiter il se met bien en place debout derrière moi : 
« - C’est l’heure de saillir la pouliche » déclare-t-il en riant. Il glisse son sexe dans ma chatte. Je suis trempée mais encore serrée. Cela lui importe peu car il veut juste me baiser et me souiller. Sa queue est vite rentrée entièrement en moi. Je couine mais fais attention de ne pas mordre Maurice.
D. qui a cessé de me fouetter rageusement regarde, attendant que je sois bien relâchée et écartée.
En se comparant à ses acolytes il voit qu’il est bien mieux gâté dans ce domaine et il veut montrer aux autres qu’il va me détruire. C’est d’ailleurs ce qu’il annonce presque solennellement aux autres.
Je hurle de terreur en entendant tes paroles :
"Oh non pitié, pas par là… Oh non… guuuuurrgggg"
L’homme remet sa bite en place.Il attrape ma tête et bourre ma bouche avec sa bite de plus en plus vite. Ils voient mes yeux grands écarquillés, mes narines qui s’élargissent. Je sais ce qu’il va faire, ce que personne n’a jamais fait avant.
Il grogne "Oh la salope, elle m’excite trop avec ses bottes… ! Ooohh quelle salope, prend ça… ! Ahhhhhrrrrrhhhhh !"  il ne peut se retenir plus longtemps : sa bite gicle toute sa semence dans ma bouche. Je n’avais jamais laissé un homme jouir dans ma bouche. Je crache autant que je peux ce jus acre et poisseux.
Maurice rigole : "Oh la pauvre princesse ! Pourtant, vu comment elle se pavane et aime attirer les hommes, elle doit aimer tailler des pipes. Allez montre-moi ma belle comment tu fais. " 
Comme je résiste et serre la bouche, je reçois deux nouveaux coups de ceinture sur les fesses. Pleurnichant je prends sa grosse queue dans ma bouche. Il prend un rythme intense et commence à me baiser la bouche.Je sens un homme qui se met derrière moi. Il me tient par les hanches et enfile son membre dans ma chatte. Je me tends, me tords mais il me pénètre.
"- Putain elle est serrée, oh la vache ! Hahhrrrr…  tiens !"
Il pousse plus fort et rentre tout son membre en moi. C’est Lionel qui en a marre d’attendre. Il me monte en me bourrant la chatte à grands coups de reins. Je suis embrochée et ne peux rien faire. Il est gros et passe bien sur mon point G. Je ne peux m’empêcher de devenir plus excitée. Il me prend de plus en plus vite ce qui me pousse sur la bite de Maurice. Je couine et grogne.
La scène excite tout le monde. Lionel est fougueux. D. l’encourage à m’ouvrir la chatte bien à fond. Je suis à leur merci. Je sens Lionel lâcher sa semence bien au fond de moi.Il se retire pour laisser place à Jean-Edouard. Quelle humiliation ! Celui-ci est encore mieux équipé. Il me bourre comme une bête. Je suis là, vêtue de ma lingerie et mes bottes comme dans mes fantasmes. Je couine et pleurniche car je sens ce que je ne croyais pas possible.
Soudain je suis submergée. Je me tends, me raidis, mes yeux roulent en arrière. Je suis en train de jouir sous les coups de pine d’un inconnu qui me baise.Tout le monde est ravi.
° ° °

Lionel est furax d’avoir joui si vite. Je crois qu’il avait d’autres idées en tête… mais trop tard.
Je le remplace : je me positionne au cul de la salope, la queue bien dressée, et sans avoir besoin de viser ni de prendre de précautions – sa chatte est baveuse, les lèvres bien ouvertes, comme une pouliche en chaleur qui a perdu tout contrôle – je l’enfile d’un seul coup et jusqu’au fond !Elle pousse un long feulement, qu’on entend car ça se passe au moment où il y a un changement de queue dans sa bouche de grosse pute.Je l’attrape par les seins, à pleines mains, je me mets à presser ses grosses mamelles comme des outres, les tire à fond, je les essore…
Un des acolytes rigole :
« - Eh bien dis-donc, tu n’y vas de main morte sur ses gros nichons… ! Continue et à ce rythme-là, si on fait tous comme toi, ils lui tomberont sur les cuisses ! »
Je ne me laisse pas distraire par sa réflexion, mais au contraire, plus excité que jamais je me mets à lui pilonner la chatte : je lui envoie de vrais coups de boutoir, des coups de bélier comme si je voulais enfoncer une porte et la faire céder… Je suis certains qu’on ne lui a jamais défoncé la chatte de la sorte ! Elle beugle, essaie de ruer, d’échapper à cette saillie bestiale… mais en même temps elle a l’air de prendre son pied comme jamais… Et ça doit être une double source d’humiliation pour elle : être ainsi notre objet, être pareillement avilie, baisée comme une pute à dockers à grands coups de pine et sans ménagement …et aimer ça et prendre son pied à cause de ça !
Je ralentis un peu, fatigué, et décidé à ne pas jouir trop vite, à ne pas me faire dépasser par mon plaisir comme Lionel. D’autant que j’ai un autre projet en tête, une autre ambition, et je ne m’en cache pas d’ailleurs ; j’annonce la couleur, en retirant toute la longueur de ma queue :
« - Bon, on va passer aux choses sérieuses à présent : cette salope canadienne qui nous a pris de haut et nous a gratifié de son mépris, il est temps pour elle de payer… Il est temps de l’enculer ! »
Et pour illustrer mon propos, je prends l’extrémité du gode qui occupe encore son rectum, qui l’a fait décoller, et lui retire lentement ; ça n’est d’abord pas facile car il était bien calé dans son canal étroit et il ressort avec un bruit de succion, obscène et caractéristique. Je ne laisse pas se refermer et mon gland prend le chemin du petit œil borgne encore ouvert. Je la saisis fermement par les hanches et m’enfonce lentement dans son conduit brûlant…
« - Putain, mais qu’est-ce qu’elle est serrée, cette salope ! Son cul se referme et se spasme… elle essaie de m’empêcher de l’enculer… mais qu’elle veuille ou non elle est en train d’y passer… ! »
Elle beugle, supplie, proteste, se rebelle, jure…s’indigne, comme une jeune fille prude… mais c’est trop tard ! Accroupi au-dessus de son fessier je lui envoie toute la longueur de mon membre et il arrive bientôt en butée… Je suis tout au fond de ses intestins et crie victoire ! :
« - Ah tu faisais ta mijaurée, tu nous traitais avec dédain, tu croyais t’en tirer avec une reconnaissance de dette et ne jamais payer… Tu croyais nous baiser… Eh bien c’est toi qu’on baise : te voilà enculée. Tu vas être défoncée, sodomisée, enculée comme tu n’as jamais été enculée… et ces sept hommes bien sous tous rapports, hauts placés, et de la grande bourgeoisie, vont tous te faire le cul, l’un après l’autre !Tu devrais être contente, honorée, et t’estimer chanceuse… parce qu’on aurait pu te faire bourrer le cul par nos jardiniers, hommes de main, et palefreniers !Et crois-moi, eux, ils auraient d’autres manières… ils n’auraient pas dit non, et ils t’auraient prise brutalement, t’auraient souillée sans aucun égard… Péter le cul à une bonne bourgeoise en bottes comme toi, chaussée de bottes qu’ils ne pourraient pas payer à leur rombière avec deux mois de leur salaire… Je suis sûr qu’ils t’auraient foutue à plat ventre dans la boue et t’auraient prise à sec, t’auraient détruit le sphincter en deux temps trois mouvements…
— Remarque, il n’est pas encore trop tard » s’esclaffe Lionel
« - Ah oui… Et au fait c’est qui les deux derniers lascars qui gardaient la porte du bout du bois et qui nous ont rejoint en dernier ? Vous les connaissez-vous ? Parce que moi non… Ils sont masqués et je me demande… » rajoute Maurice avec ironie.
Moi, elle m’excite, j’exulte, je la pilonne, la pine à grands coups de reins comme un marteau pilon et lui claque ses belles fesses bien fortement en même temps…
Puis, je me calme, je me retire, laisse la place à un autre type qui s’enfonce avec délice dans le beau fondement, la faisant gueuler de plus belle.
Je me saisis d’une cravache, et tout en la contemplant en train de se faire défoncer, la pointe de ses bottes faire des tranchées dans la boue, j’attends patiemment, bien décidé à lui cingler encore les fesses et les cuisses entre deux saillies, avec déjà des idées bien ancrées dans ma tête…
(A suivre…)
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