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Jenna se joue au poker

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Rolande ne se fait pas prier. Elle attrape l’objet qu’on lui désigne. Et sans attendre des consignes plus précises, elle se saisit sans douceur de la jupe de Jenna et l’arrache – plutôt qu’elle ne la descend - la jetant littéralement sur ses chevilles. Le tissu tombe mollement sur le sol, en dévoilant les belles fesses nues et plantureuses qui appellent la punition.La bourgeoise brune expose à tous de façon obscène et impudique son derrière bien épanoui.
Rolande ne s’émeut pas de ce beau spectacle et ne reste pas en contemplation devant lui. Elle a déjà le manche en main, et d’un bruit sec et claquant elle abat les lanières avec force sur les rotondités charnues de la malheureuse. Jenna pousse des cris stridents qui nous percent les oreilles – le son en effet résonne dans cette cave voutée. Elle semble plus meurtrie que si ça avait été l’un d’entre nous - un homme - qui la fustigeait. Est-ce surtout psychologique ou est ce que la poigne forte de la cuisinière alliée à la matière caoutchouteuse des lanières a un effet plus cuisant ? Il faut dire que Rolande ne ménage pas sa peine, elle y va de bon cœur : elle prend un grand élan à chaque fois sans que ça ralentisse son rythme et couvre l’ensemble du fessier, le bas des reins, et les cuisses charnues d’une grêlée cruelle. On dirait qu’elle a un compte à régler, une vengeance à accomplir, un différend personnel avec la quadra hautaine qui, pour l’heure, danse d’un pied sur l’autre et sur la pointe de ses bottes une espèce de danse de l’ours ridicule, et risible si la couleur que prend sa chair et ses cris horribles ne finissaient pas par nous apitoyer.
Maurice doit répéter deux fois à Rolande qui est toute en sueur d’arrêter, et même la menacer de lui faire subir le même sort si elle n’obéit pas.Pour ma part je serais prêt à m’acquitter de cette tâche, et à l’idée de revoir cette grasse cuisinière mafflue attachée en train de se faire zébrer ses grosses miches adipeuses me fait brutalement bander comme un âne en rut !Mais elle ne m’offrira pas ce plaisir car elle s’arrête après deux ou trois derniers coups bien sentis en travers la croupe de la brune. Je la soupçonne d’être jalouse d’elle à cause de son cul splendide.
Alors j’ironise en passant ma main sous la jupe de Rolande et en lui palpant ses grosses masses fessières :
« - Ne soyez pas jalouse, Rolande, vous avez-vous-même un gros cul somptueux qui donne envie de le zébrer à son tour… et de le sabrer. »
Elle me regarde avec un demi-sourire, un peu vicelard. Du coup, enhardi, j’appuie doucement sur ses épaules pour lui faire comprendre qu’elle doit s’agenouiller, ce qu’elle fait dans l’instant. Je sors mon gros bâton raide comme la justice, elle s’en saisit et commence à emboucher et sucer le gland.Je ferme les yeux et ronronne avec ravissement.
« - Bon, c’est pas le tout, il y a une qui attend de nous payer en nature ! »
C’est Jean-Robert qui vient de s’exprimer.Moi je laisse les autres s’en occuper. Pour l’heure, la diablesse de cuisinière me pompe avec des mouvements lents et appliqués, et je me cramponne à sa tête, les yeux à demi-fermés.
Lionel a entrepris d’écarter les fesses de notre Jenna et lui enduis copieusement de gel le sillon en insistant bien sur sa petite cupule froncée. L’opération, consciencieuse, prend une bonne minute. Pendant ce temps Jean-Robert s’est placée devant la bourgeoise entravée et l’a dépoitraillée violemment en arrachant – plus qu’en tirant – les pans de son décolleté, et en lui sortant sans douceur ses gros nichons en les tirant par les bouts. Jenna, évidemment, s’est mise à beugler. Soudain elle pousse un cri plus puissant, suivi d’un long râle : c’est Lionel qui est en train de lui forcer laborieusement le sphincter avec un gros gode en silicone.
« - Elle a beau avoir été bien travaillée par-là ces dernière semaine » annonce-t-il, « son cul reste toujours aussi difficile à pénétrer… hummm…— Quand elle viendra bien régulièrement à nos soirées, à force de se faire défoncer, ça finira par rentrer comme dans du beurre. A tel point qu’on finira pas ne plus même savoir si on est dans son cul ou dans sa chatte. » réplique Jean-Robert en lui travaillant méchamment les tétines de ses doigts puissants »
Jenna gémit, tant sous l’action des doigts de Jean-Robert que des mots qu’elle vient d’entendre. Et celui-ci n’en reste pas là : il se saisit du martinet en caoutchouc et se met à cingler lentement, méthodiquement, et avec application les mamelles de la soumise, tant en s’efforçant de viser les mamelons sombres.Elle se remet à crier de plus belle, proteste :
« - Non, pas mes seins ! Aïe ! Aïe ! Arrêtez !— Oh, ça suffit, faite la taire. » dis-je d’un air excédé, « qu’on lui mette une queue dans la bouche. »
Les autres, du coup, la détachent et la portent jusqu’au cheval d’arçon où des bras puissants la couchent à plat ventre. Le cheval d’arçon est court si bien que devant sa poitrine est dans le vide, et derrière, sa chatte est appuyée sur le cuir, juste au bord. Ses cuisses sont écartées, à cheval, et on lui lie les chevilles et les poignets aux pied de ce meuble.La voilà donc à nouveau immobilisée, dans une position des plus adéquates pour lui faire subir les outrages qu’elle mérite… et espère !Ses gros seins désormais pendouillent lamentablement dans le vide. Lionel, qui lui a placé et fiché dans le cul un plug de bon calibre, choisit une belle paire de pinces et s’attache à lui fixer sur les mamelons : ils les étire l’un après l’autre et ferme la petite mâchoire sur le bout de chaque sein. Bien que la pince choisie ne soit pas la plus puissante elle arrache à Jenna des cris désespérés. Inflexible, il mène à bien la mission qu’il s’est donnée et va même jusqu’à y suspendre un petit poids en acier. Elle se met à beugler de plus belle, surtout quand, pour s’amuser, les hommes se mettent chacun leur tour à faire osciller les chaînes et les poids. Ses tétons sont étirés, ses gros seins allongés, le tableau est charmant.
« - Elle m’énerve cette pisseuse, mais qu’on la fasse taire, donc ! » dis-je, alors que la bouche de Rolande, décidemment experte, fait des merveilles.
Jean-Robert ne se fait pas prier : il sort sa queue arquée, lui soulève le menton, et lui engouffre la colonne de chair toute entière dans sa petite gueule de grande bourgeoise. Les cris deviennent des gargouillis étouffés, d’autant que mon compagnon se met à lui besogner la bouche sans douceur, façon gorge profonde. Rapidement elle se met à baver, ça déborde. Elle a l’air pitoyable ainsi : l’humiliation et la dégradation s’accentuent, c’est une longue descente aux enfers de la soumission pour elle… mais c’est ce qu’elle voulait.
Lionel n’a pas perdu son temps non plus : il s’est placé au cul de la salope, et après une dizaine de claques bien sonores sur les fesses déployées, il a enfoncé son vit raide dans la chatte qui baillait, bien offerte, et d’une seule poussée l’a enfilée. Il se met à lui imprimer des coups de boutoir bien sentis tout en jouant avec le plug.Jenna, la bouche pleine, émet des bruits au rythme des coups de pine, mais la tonalité très vite devient différente : on comprend rapidement qu’elle est en train de jouir. Ses cuisses et ses jambes tremblent, elle prend son fade sous la saillie énergique et les différentes stimulations… et sous la sensation croissante d’être une chienne de plus en plus avilie !
Je fais comprendre à la cuisinière fellatrice que je préfère qu’elle arrête pour le moment. Elle se relève et semble alors se réjouir du spectacle. Avec un plaisir un peu sadique elle se met à jouer avec les chaînes qui pendent au bout des tétons de Jenna et leur fait prendre de la gite. Je l’encourage tout en lui pelotant ses grosses mamelles à elle. Elle semble très excitée et ses propres mamelons sont durs er turgescents.
Maurice a soudain une idée lumineuse. Sans attendre que Lionel sorte son vit et éjacule sur les fesses rougies de Jenna il se met au devoir d’équiper sa cuisinière d’un impressionnant gode-ceinture. La forte femme, son gros cul à l’air, arbore maintenant fièrement le gros membre de silicone couleur chair et le maintient dressé comme s’il s’agissait d’un phallus viril. Et tandis que Jean-Robert crispe ses deux mains sur les côtés du visage de la brune et dans un râle rauque et puissant se répand dans sa bouche, en lui forçant à tout avaler, Rolande s’est déjà placée derrière les fesses de la bourgeoise, qu’elle écarte et se met à retirer lentement le plug.
Elle s’amuse maintenant à faire glisser le membre artificiel sur le sillon ouvert de la quadra et présente le gland en plastique sur l’orifice encre ouvert de Jenna.Elle ricane, contente d’elle :
« - Je suis sûre, Madame de la Haute, que vous ne vous êtes jamais encore fait enculer par une femme !?— Oh non… s’il vous plait, pas ça… » se met à gémir Jenna en essayant tant bien que mal de recracher ce qu’il lui reste de semence de Jean-Robert.
Mais déjà Rolande enfonce le membre de silicone dans le sphincter ouvert et progresse avec difficultés. Jenna se met à beugler.
« - Ta gueule, salope ! » l’interrompt Rolande d’une violente claque sur la fesse, « concentre-toi, et savoure le plaisir que tu aimes qu’on t’inflige. Arrête tes simagrées, ça n’est pas la peine de faire des histoires… mon patron m’a raconté comment tu prends ton pied en te faisant défoncer par ton petit trou ! »
Et la grosse Rolande se met à lui besogner la rondelle à grands coups de reins souples et avec force ahannements, d’abord lentement, puis en accélérant, et avec vigueur.
Lionel s’est placé devant Jenna et lui soulève la tête en tirant sur sa tignasse brune :
« - Alors, Madame prend son pied ? Qu’est-ce que ça fait de se faire sodomiser par une femme, par une cuisinière ? Tu t’imagines une fois rentrée chez toi au Canada te faire prendre et besogner ainsi par tout ton petit personnel, hommes et femmes ? »
Personne ne sait si c’est l’effet des paroles qu’il vient de prononcer ou les coups de bélier de Rolande dans son cul mais la brune se met à pousser des « HAAA » désespérés : les yeux partis, ne se contrôlant manifestement plus, elle est en train de jouir comme jamais.
Je m’approche de Rolande, lui caresse les fesses et lui dis doucement et vicieusement à l’oreille :
« - Et vous Rolande, vous vous êtes déjà fait enculer pendant que vous sodomisiez une femme ?— Ah ça non, mon gros loup » dit-elle d’une voix gourmande.« - Eh bien il faut un commencement à tout… » réponds-je en écartant la lanière du gode-ceinture et lui glissant déjà un doigt dans son petit trou bien souple.
En deux temps-trois mouvements je me suis placé derrière elle le vit dressé. J’attends qu’elle s’enfonce dans Jenna et présente le bout gonflé de mon nœud sur sa petite rosette.Et sans excès de douceur mon membre commence à forcer sa rondelle.
« HAAA… HAAA » fait elle, la tête renversée.« - Telle est prise… »
J’enfonce ma queue lentement et avec peine tout au fond de son cul. Je bute contre ses grosses fesses moelleuses. Je me mets à la besogner lentement. Je pétris ses grosses loches qui tombent un peu. Puis après quelques aller-et-retour bien sentis, je l’attrape par les hanches à pleines pognes, et d’une main ferme, collé à elle, je la fais reculer, et presque ressortir du cul de Jenna. Je fais de même du sien. Puis je la fais réavancer, puis je m’enfonce à nouveau en elle. C’est divin !Je contrôle ainsi la sodomie de Jenna et celle de Rolande. J’encule deux femmes à la fois. Une grande première pour moi aussi, je l’avoue.J’envie Maurice d’avoir une pareille femme à son service. Il ne doit pas s’ennuyer, ce sacré jouisseur.Je sens que je vais lui emprunter de temps en temps. Contre une enveloppe supplémentaire, net d’impôts, je suis sûr qu’elle ne se fera pas prier pour faire des extras chez moi.En plus c’est une excellente cuisinière. 
Bientôt il y a trois de mes compères qui l’entourent. Deux lui tripotent les seins, un troisième lui branle la chatte avec deux doigts. Sans cesser ses mouvements de va-et-vient dans le cul de Jenna elle se met à prendre son pied bruyamment.Moi il ne m’en faut pas plus pour que mon plaisir monte douloureusement et je lâche tout dans son gros cul.
Le tableau est digne d’une orgie romaine, ça finit en apothéose.Il reste Maurice qui n’a pas encore pris son pied. Il demande à Rolande de se retirer du cul de Jenna et se mettant au cul de la belle brune, il lui enfonce son vit dressé d’un seul coup. L’orifice est resté bien ouvert, et il n’a aucune peine à lui défoncer la rondelle à grands coups de reins.Sadiquement il se met à jouer avec les chaînes qui tendent les bouts de ses seins, tirant encore plus dessus, lui arrachant des cris aigus comiques. A grands coups de bélier il lui ébranle le cul et il ne faut pas plus d’une minute pour que Jenna se lâche, crie sa jouissance, er que Maurice parte en rugissant, la remplissant de foutre.
Quand tout le monde commence à reprendre ses esprits, et son souffle, Maurice demande à Rolande de la détacher et de l’emmener dans l’autre partie du sous-sol, qui est aménagé en sauna, hammam et douches. Il donne des ordres aussi pour que nous passions tous la nuit là, pour récupérer.
« - Ainsi, mes mais, nous pourrons tous profiter demain matin du hammam, après le petit déjeuner.Vous restez également, Jenna ? Vous n’êtes pas contre ?— Oui, ça n’est pas de refus, je suis fourbue… »
Tout le monde éclate de rire.
« - En effet » dis-je, « vous vous êtes bien donnée…— Elle s’est donnée à fond ! » ajoutai-je.
Le lendemain matin tout le monde est là, en peignoir, sur la fabuleuse terrasse de Maurice, en train de prendre le petit-déjeuner au soleil.Jenna est détendue, presque souriante.
« - Eh bien, ma chère Jenna » dit Maurice, « vous repartez bientôt au Canada ?— Oui je dois rentrer après-demain.— Mais vous reviendrez nous voir, j’espère ? »
Après un silence :
« - Je crois que je ne suis pas très douée au poker » dit-elle avec humour… « En tout cas pas au poker « menteur » »— Voudriez-vous dire que vous avez fait exprès de perdre… ?— Ou plutôt que vous, m’avez d’abord laissée gagner ?— C’est peut-être les deux, qui sait ? » rajoute Lionel tout sourire.
Après un long moment, elle reprend :
« - Si vous m’invitez, lors de mon prochain séjour en France, et que vous me promettez que nous ne jouerons pas aux cartes, je reviendrai sans aucun doute passer une agréable soirée en votre compagnie… Messieurs.— Mais il y a d’autres jeux que les cartes… » dit Maurice.« - Tout à fait… Je suis prête à rejouer à ces jeux-là, ces jeux où il n’y a ni gagnant ni perdant… Et je suis prête à apprendre plein de nouveaux jeux. — Ho ho » fait Lionel— …avec vous et avec votre charmante cuisinière » ajoute Jenna qui vient de passer sa main sous la jupe de Rolande qui était en train de se baisser pour reprendre un plateau.
Rolande ferme ses yeux à demi. On devine que Jenna a trouvé le chemin de sa chatte, ses doigts sont glissés sous sa culotte et farfouillent déjà entre ses lèvres mafflues.
« - J’ai toujours aimé récompenser les domestiques… et les punir si elles ne s’acquittaient pas bien de leur charge…— Vous me préviendrez à l’avance » dit Maurice, « et je pourrais engager une femme de chambre rien que pour vous, jeune et potelée… pour votre service… et votre plaisir. »
Jenna ôta ses éternelles grandes lunettes de soleil qui lui mangeaient le visage. Ses yeux brillaient :
« - Hummm… Je serai gâtée, mon cher Maurice.— Mais vous nous le rendrez bien, ma chère Jenna. — Je sais me donner sans compter… pour remercie les amis de leur générosité. »
Tous levèrent leur verre de jus d’orange et portèrent un toast à tant de futures soirées de plaisir.

FIN
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