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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Jérôme, Virginie et .....

Chapitre 7

Inceste
Après avoir repris conscience maman se leva immédiatement et alla se laver sa cavité d’amour pour éliminer tout le venin dont mes couilles l’avaient remplies. Lorsqu’elle revint j’étais toujours allongé seul le bas du ventre recouvert du drap le regard de maman se porta à la hauteur de mon bas-ventre.--- ’Que faut-il faire pour te calmer?,tu es à nouveau prêt à satisfaire une femme alors que nous venons de terminer et je pense que tu as dut faire la même chose avec Virginie pendant notre absence, mais pour l’heure moi je suis fourbue et je vais me mettre au lit ? Bonne nuit trésor’.Elle m’embrassa et quitta la chambre en faisant attention à ce que personne ne la remarque. Une fois seul, je pris un bouquin et me mis à lire pour oublier le libertinage et calmer la partie basse de ma personne. Finalement je pense mettre endormi sur les coups de deux heures du matin mais la nuit ne fut pas longue, le livreur de journaux me tira de mon sommeil à 6hrs du matin. Que faire maintenant tourner et retourner sur le lit, je décidais de me lever et d’aller me promener dans la nature à cette heure rien de tel pour ètre en forme, je pris une douche rapide et enfilais un short et un tee-shirt et me voilà partit en direction du belvédère que j’atteignis après une vingtaine de minutes. Ici rien n’a changé tout est resté tel que je l’avais connu avec mamie,Virginie et Colette bien évidemment. La cabane de l’ermite toujours présente seule la porte à disparue, j’allais m’asseoir au pied du belvédère pour comptempler le panorama et perdu dans mes pensées je ne fis pas attention quelqu’un venait dans mon dos j’en fus conscient quand la personne s’installa à mes cotés, tournant mon visage vers elle. Surprise c’était Colette.---’J’étais sur de te trouver ici c’est pour cela que je suis venue, j’aimerai que tu me pardonnes pour les choses horribles que je t’ai dites et que tu reviennes chez nous à l’hôtel.’---’Non, Colette il est désormais trop tard pour faire machine arrière, nous deux c’est terminé, plus rien ne sera comme avant, il fallait comprendre que je n’était pas moi-même et que quelques choses me manquait.’---’Si tu veux tu pourras venir les voir, je ne te l’empêcherais pas tu pourras y venir à ta guise.’--- ’Pour l’instant c’est non, retourne chez toi je veux faire le vide plus tard peut ètre,mais maintenant sois gentille laisse moi seul’.Elle voulut me faire la bise mais je refusais, elle se leva et partit. Dix minutes passèrent et je me levais pour retourner à la villa, là je devais constater que tout le monde dormait encore, j’allais me changer pour mettre un caleçon de bain afin de passer le reste de la matinée à la piscine. Je regagnais donc la cuisine pour le petit déjeuner et Virginie m’avait devancé elle ne portait que sa nuisette qui ne cachait absolument rien et montrait qu’elle était totalement nue mon sang ne fit qu’un tour et je me mis à bander.Appercevant cette grosse protubérance.---’Je constate que tes levers sont toujours aussi démonstratifs mon cher frère ’me dit elle en se collant à ma bosse. Pour toute réponse je la pris par la taille pour l’asseoir sur la table de la cuisine, me positionnait entre ses cuisses et baissant mon caleçon pour en libérer mon gourdin j’investissais sa fente d’un seul coup de reins.--- ’Oui baise moi fort, j’en ai envie vas-y mets la moi bien profond ’A son invite je redoublais de violents coups de reins et me libéra au fond de son vagin,d’ou nous nous trouvions j’étais le seul qui pouvait voir le couloir et je vis Carole qui arrivait vers la cuisine, nous avait-elle vu ? Nous allons être fixer car rien n’échapper à son regard. Virginie étais toujours assise sur la table et moi je m’étais empresser de remonter mon caleçon. Quand elle déboucha dans la cuisine je devais constater que comme sa mère elle portait la même tenait mais avec un string en plus, lequel string n’était là que pour la forme puisque totalement transparent. Elle nous salua en nous faisant la bise.---’Que fais-tu assise sur la table maman ? et toi tonton que faisais-tu penché sur elle ?---’Ta mère se plaignait d’avoir quelque chose dans l’oeil et c’est ce que je regardais ’M’a telle crut j’en doute car la connaissant je ne me faisais guère d’illusions elle était assez futée pour cela. Maman arriva contrairement à tout le monde, elle était déjà douchée et habillée. Nous lui dîmes bonjour et tout le monde passa à table pour le petit déjeuner.--- ’Virginie, crois-tu que ta tenue est décente, tu aurais put mettre une petite culotte il y a un homme avec nous maintenant’--- ’Oh ce n’est que tonton ’Dit Carole ---’Ce n’est pas une raison.’---’Mais maman il n’y a pas de mal à cela tout le monde est nu à présent ou que tu ailles on ne voit que des gens nus ou pratiquement nus.’--- ’Bon je vois que j’ai encore tort, n’en parlons plus’.De mon coté, je lorgnais vers Carole sa chemise laissait voir sa jeune poitrine les mamelons biens érigés tendaient le léger tissu qui les couvraient. Insatiable je me remis à bander, et à bander bien dur. Le petit déjeuner englouti je me levais et aller déposer mon bol dans l’évier, me retournant pour sortir vers le jardin je vis le regard de maman qui désignait le bas de ma personne à Virginie. Elle semblait lui dire que cela était de sa faute, Carole elle aussi se leva et demanda.--- ’Avez vous besoin de moi, ce matin’--- ’Non répondit maman’,’J’aimerai que tu remettes ta chambre en ordre ’lui dit sa mère. A contre coeur elle obéit et moi je m’en allais tranquillement me baigner et calmer mon ardeur. Après avoir fait une dizaine de longueur je m’étendais sur ma serviette de bain et fermais les yeux. Une bonne heure venait de s’écouler quand j’entendis des pas sur le gravier qui menait à la piscine et des rires accompagnant ses pas. Ouvrant les yeux je vis Virginie et maman s’étendrent près de moi.---’L’eau est-elle bonne?’demanda maman.---’Un peu fraîche mais supportable’répondis-je.Maman se décida à s’immerger tandis que Virginie opter pour un bain de soleil.---’Jérôme, je voudrais te parler, tu veux bien m’écouter ?’.---’Je veux bien mais si c’est un sermon que tu veux me faire, tu peux tout remballer ou je quitte à nouveau la maison, c’est bien compris ?’--- ’Comme tu veux’--- ’Ce n’est pas comme je veux, si tu ne veux pas avoir de relation avec moi, pas plus que maman ou......vous n’avez qu’à vous habillez et ne pas vous balader à moitié à poils les fesses et le minou à l’air. Et puis cela suffit maintenant’.Je me levai et réintégrer la villa où je me douchais et m’habillais. J’avais revêtu un pantalon blanc et un maillot moulant puis je quittais la maison croisant Carole sur le perron.---’Où vas-tu tonton, je peux venir avec toi ?’--- ’Non, trésor pas aujourd’hui à ce soir’ et je la plantais là sans même l’embrasser ce que je faisais auparavant. Il est maintenant vingt et une heure quand je franchis à nouveau la porte de la villa, les femmes sont au salon sans même leur adresser la parole je m’enferme dans ma chambre et me mis au lit après mettre douché. Quelques instants plus tard j’entendis gratter à la porte qui s’ouvrit avant même que je ne réponde, Carole apparut entra et referma derrière elle, s’approchant du lit sur le bord duquel elle s’assit. Elle attendait de ma part une question, comme je ne parlais pas elle prit ma main et me demanda pourquoi j’étais fâché.---’Non ma chérie je ne suis pas fâché contre toi ni même contre quelqu’un d’autre mais j’en ai assez que l’on me fasse la morale, c’est tout tu comprends cela je viens de débarquer et nous recommençons à nous déchirer comme quand je suis parti avec Colette.’---’Et moi que suis-je au milieu de tout cela?’.Grand-mère et maman ont pleuré toute la journée et ce soir elles n’ont même pas dîner. Je lui tournais le dos pour ne pas lui montrer mon chagrin alors elle s’allongea contre moi pour me consoler comme je le faisais avec elle quand elle avait du chagrin.---’Tournes toi et regarde moi commanda-t-elle?’.Je m’exécutais et me retrouvais face et contre elle et la chaleur de nos deux corps fit que je me mis à bander tout contre son ventre.---’Tonton pourquoi ton truc se tend comme cela?’Ne sachant quoi lui répondre je lui demandais de retourner dans sa chambre pour ne faire de sottises.---’Grand-mère et Virginie savent que tu es là ?’---’Tu penses bien que non, elles sont déjà au lit si tu veux je peux rester près de toi ?’--- ’Non je t’assure va dans ta chambre, il serait dangereux pour nos relations si l’une ou l’autre te trouver ici , regagnes ta chambre ’Et au moment de lui faire la bise nos lèvres se trouvèrent en contact et se fut un vrai baiser que nous échangeames.Ma main courait le long de son dos jusqu’à ses fesses sur lesquelles elles s’attardèrent et constant qu’elles était nues je la ramenais dans son dos et l’obligeais à quitter ma chambre. A nouveau seul je restais là avec mon envie de baiser qui me tenaillait les tripes mais je tiendrais et n’irait pas retrouver ni maman ni Virginie, j’allais donc silencieusement aux toilettes pour un petit besoin et regagnais aussitôt ma chambre pour me mettre au lit, mais surprise celle était occupée par Virginie assise au bord du lit elle m’attendait, je retournais m’étendre sans un mot.--- ’Pardonne moi Jérôme je ne voulais pas te blesser, mais cela me fait de la peine de voir Carole te faire bander devant moi’--- ’Ecoute,Carole viens de sortir d’ici, je peux te dire que je bandais comme un taureau elle était allongée tout contre moi et je ne l’ai pas sauter’.Elle s’étendit à mes côtés et se lova contre moi dans la même tenue que ce matin c’est à dire en nuisette et nue en dessous. Sentir la chaleur de son corps me fit bouillir à nouveau et je rebandais fort et dur. J’éteignis la lumière à sa demande, et elle se fit câline elle carressait mon torse et me couvrait de baisers ce qui ne faisait qu’attiser mes ardeurs lorsqu’elle atteignit mon bout en train.--- ’Whoua qu’il est gros et dur ? on dirait du bronze’.elle voulut le prendre dans sa bouche et eut du mal à emboucher, elle me pompa quelques instants puis décida de se faire prendre elle s’allongea et ouvrit en grand le compas de ses cuisses. M’agenouillant entre elles j’allais de ma langue recueillir sa mouille. elle allait de son clito à son puits d’amour lui arrachant des petits cris, m’obligeant à remonter sur son corps je constatais que ses seins étaient comme de la pierre lorsque j’atteignit ses lèvres ma bitte elle forçait l’entrée de son vagin ce qui lui arracha un cri plus soutenu et nous partimes tous les deux pour une cavalcade fantastique au bout de laquelle l’un et l’autre nous nous écroulames et nous endormimes.Le jour était déjà levé quand la porte de la chambre s’ouvrit, maman nous surprit nus enlacés.......!!!!!!!!!!!.Elle referma la porte et s’en alla, Virginie me quitta pour retourner dans sa chambre et moi j’enfilais un short et rejoignais la cuisine, maman et Carole était déjà assise je les saluais toutes les deux et je m’installais et pris mon petit déjeuner. je remarquais que maman et Carole étaient nues sous leur tenue de nuit les seins bien visibles par transparence,les seins de ma nièce étaient biens accrochés et d’un galbe sublime,toutes les trois avaient des poitrines de mème forme et sensiblement de même taille aux alentours des 90C/95C.Le choc fut quand Carole se leva elle ne portait aucun sous vètement et quand elle se baissa pour déposer les bols dans le panier du lave vaisselle la vue de ce cul nu et de sa fentine qu’elle exposait provoqua chez moi une érection immédiate,maman pas dupe s’apercevant de la chose demanda à sa petite fille de se dépécher d’aller faire sa toilette car elle devait se rendre en ville avec sa mère qui venait de nous rejoindre totalement prête à partir dès qu’elle aurait pris son petit déjeuner.Carole partie,Virjinie servie,je pris le journal et me mit à lire les nouvelles sans dire un mot.Devant de silence pesant Se fut néanmoins maman qui se fit entendre.---’Tu fais quoi aujourd’hui?peux-t-on savoir?Tu comptes déjeuner et diner avec nous?’---’A vrai dire je ne sais pas encore,je te dirais cela lorsque j’aurais pris ma douche et téléphoné à la banque car normalement je travaille aujourd’hui’.Carole réaparut fin prête et la mère et la fille s’en allèrent nous laissant seule en tète à tète,maman se leva et s’affaira à mettre en marche le lave-vaisselle et elle aussi me prèsenta sa croupe nue et l’entrée de sa grotte que l’on distinguait parfaitement.Toujours bandant le nez dans mon journal faisant mine de lire je la matais du coin de l’oeil,puis je me levait le caleçon tendu à craquer elle se retourna et me vit au milieu de la cuisine avec mon énorme trique qui déformait mon vètement.---’Carole ne t’as pas suffit cette nuit,tu en veux encore ce matin?’.---’Bon écoute moi qui de toi ou de moi joue les provoquateurs,tu exposes tes fesses nue sous mon nez et tu voudrais que je reste de marbre?’.Elle me tourna le dos et me les représenta à nouveau,considérant cela comme une invite,je libérais ma bite de sa prison de tissu et me positionnant derrière elle je la saisis par les hanches pour embrocher sa chatte lorsqu’elle se retourna brusquement et me dit.---’Non cette fois c’est moi qui vait te baiser mon chéri’.elle me demanda de m’allonger à même le carrelage,otant sa nuisette elle se positionna tète bèche sur mon corps offrant sa fente à mes lèvres et prenant ma queue pour me sucer,lorsque nous fumes rassasié elle de ma bite et moi de sa fente qui était pratiquement propre mais agréablement lubrifier pour recevoir mon engin elle se retourna et s’empala dessus en poussant un feulement de bonheur,puis elle se mit à monter et descendre le long de ma colonne en feu,criant et presque hurlant à chaque fois que mon gland buter contre sa matrice,ses seins bataient la mesure à chaque montée et descente,Sentant la sève qui montait de mes couilles,je l’obligeais à arrêter sa chevauchée pour changer de position elle se retrouva sur le dos et moi par dessus fiché en elle je la pistonnais vigoureusement à grands coups de bassin je finis par lui envoyer quatres ou cinq décharges d’un liquide bien gras et épais.Ensuite nous primes une douche qui fut encore là l’occasion de remettre le couvert.Nous étions entrain de nous habillé chacun dans notre chambre lorsque le téléphone sonna.---’Je réponds de la chambre’dit maman---’C’est Mlle H..... ta secrétaire’---’Merci maman je l’a prends,oui allo c’est H.... monsieur veuillez m’excuser mais il faudrait absolument que vous appeliez Mlle Colette’.---’Merci,je serai à mon bureau d’ici 1/2 heure’---’Et moi qui comptais prendre ma journée,me voilà servis avec Colette sur le dos je me demande ce qu’elle peut bien me vouloir’.---’Je pense qu’elle veut te récupérer,car avec un homme comme toi elle a de quoi se satisfaire et de plus elle ne te partage avec personne d’autre,ici nous sommes deux et peut-ètre trois un des ses prochains jours si ce n’est déjà fait’.---’Non je peux t’assurer que ce n’est pas encore fait et que je ne ferais rien avec Carole de mon propre chef,quant à Colette c’est une autre histoire.Bien je m’en vais je serais de retour pour déjeuner vers 13 hrs au plus tard.
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