Il enleva délicatement ma culotte trempée. Il voulu la sentir. "Ouah putain hum... l’odeur est encore plus prononcé que quand je sentais tes culottes". Petit salaud dis-je dans ma tête en me mordant la lèvre. Il frotta ma culotte sur son nez, "Depuis quand tu mouilles comme ça...". Je dis rien et voulu passé à autre chose. Je me déshabilla. J’enleva mon top serré, ce qui fit rebondir légèrement mes seins. "Hum..." il dit. Je pris en main mes seins et lui balança : "T’aimes?". Il hocha de la tête. Il était à son tour gêné. Il dit : "Super... ils sont super". Il m’avoua que faire l’amour dans ma chambre l’excitais encore plus, sur mon lit. Toujours dans ma tête je me disais que je voulais me faire baisé sur mon lit là de suite. Puis le temps passe, je me disais aussi qu’il fallait plus ou moins faire vite. J’avais mis mon téléphone sur vibreur, souhaitant que mes copines pensent que je dors encore. En espérant que personne frappe à la porte d’entrée. De son côté j’espère que c’était ok aussi... Ça m’intriguais. Je chuchota "tu fais rien toi aujourd’hui?". Il répondit juste qu’il sortait ce soir. Ça me rassurais. "Ok" dis-je". Il me dit "J’ai envie de toi". Je répondis "Moi aussi". J’enleva ma jupe. J’étais nue, dans ma chambre. A côté de moi mon frère toujours assis. "Hum... Jess". Il enleva sa serviette. Il bandait bien comme il faut. Putain ça m’excitais. Son gland dépassait légèrement de la peau de sa bite, il bavait de sperme. Des fils comme il disait. Des fils de sperme se collant entre son gland et ses cuisses, hum. Je me baissa sans réfléchir, tan pis me dis-je. Je me mis à genoux. C’était moyen. Puis il dit "Attends". Il se leva et s’installa sur le lit, il se mis à genoux sur le lit. Je monta à mon tour. Je me mis à genoux sur le lit. Je me baissa vers sa queue. Elle était pas très longue mais plutôt épaisse. Je pris mes seins en main et me pencha vers sa bite humide. Elle bavait. Je toucha avec mes lèvres son bout. J’étais obligé de gémir. Il avait les bras en arrière, les mains posées sur le lit. "Il gémissait aussi". Je me mis sur le côté. C’était trop bon. Sans rien nous dire je commença à lui léché le bout. Puis je faisais des petits suçons sur son gland. Un moment après je commença à le sucer. Ma bouche goba sa queue. Je l’avais en bouche, du moins son gland à moitié décalotté. J’adorais l’odeur de ce liquide à moitié gluant. Je suçais son gland maintenant décalotté. Il me pris la tête puis la nuque avec ses mains me remontant les cheveux. "Vas y c’est trop bon suce moi..." dit-il les yeux à moitié fermés en gémissant. Alors j’entreprenais une fellation. J’étais obligé de salivé pour avalé par la suite pas que ma salive mais aussi ces fils de sperme écœurant sur le moment. Ma bouche autour de son gland le suçant je commençais à sucé plus profond sa bite. C’était encore mieux. Il appuya un peu sur ma tête. Merci me dis-je. Je le pompais. Je suçais sa bite. Il s’allongea. Les pieds sur le sol. Le dos du corps contre le lit. Je revint voir sa bite. Je me coucha le long du lit pour bien le pompé. Des fils de sperme encore. Je léchais comme je pouvais. Il rentra sa bite dans ma bouche. Il me pénétrait la bouche. Je suçais, faisant des vas et viens plus profond et plus pressant. Ça y est je le suçais bien comme il faut, c’était bon. "Putain tu suces bien" il dit. Qu’est ce que tu crois dis-je dans ma tête. Je le suçais encore plus vite. Il était entrain de jouir. "Ahhh ahhh ahhh..., encore!". Sa queue toujours dans ma bouche, mes lèvres glissaient vite sur sa tige, son gland se frottait sur ma langue. Puis il donne un coup de rein. "Continues c’est trop bon" dit-il. Il prit le dessus de ma tête puis appuya à chaque vas et viens, pour ainsi me faire sucé intensément. Il était clairement en train de jouir. Dix secondes comme ça, il donnait des coups de bite vers le haut heurtant ma bouche ouverte. Il appuyait sur ma tête. J’étais bien guidé. J’aimais ça, quel pied. L’entendre jouir me faisais mouillé. Je continuais puis il ralentit. "C’est trop bon Jess j’aime trop". Mes cheveux retombaient alors sur ses cuisses contractées. Je quitta sa queue de ma bouche, puis son bout, en prenant soin de léché sa semence en lui tenant les couilles. Il avait pas éjaculé mais avait pu faire sortir quelques liquides, putain. Il voyait bien mes seins pendre. Mon cul vue de côté toujours à genoux. Toujours dans cette position je voulais lui léché les couilles en le regardant. Je posa ma joue sur le côté de sa cuisse. Ma main sur son torse, il la caressa puis la serra pour la lâcher. La tête en arrière il était en train de jouir. Je guidais son membre vers ma bouche pour le heurter contre mes lèvres. Je le tapotais contre celle-ci. En le regardant ça me rassurais. Il me regardait de temps à autre me matant et me regardant, il semblait jouir. Je pouvais faire ce que je voulais, je me sentais encore mieux, et trop excité. Je le branla doucement. J’aimais trop son sexe dur et épais. Il semblait pas vouloir bougé. Alors je me mis sur lui, en 69. J’avais encore à faire à sa bite qui remuait. "Quel vue putain" il dit. Il toucha mon cul, il tripota bien mes fesses comme un pervers en manque, ou qui n’a jamais vu ça. "Hum je veux ta chatte" il dit. T’attend quoi mon salaud dis-je dans ma tête. Je mouillais, c’était trop bon. Il semblait pas vouloir me lécher ma semence. Le cul bien à l’air il devait tout voir. Alors j’écarta mes deux fesses avec mes mains. Il avait ma chatte à proximité de sa bouche. Puis je cessa. Une main écartait ma fesse, l’autre revenais pour descendre le long de ma poitrine pour atteindre ma chatte. Je la toucha. Elle était tellement chaude et mouillée. Je laissa rebondir ma fesse et je pris mon sein avec l’autre main. Il était calme. des "Hum" puis des "Ouah" sortit de sa bouche. Je commençais à me caressé mon intimité. J’appuya toute ma main sur ma chatte, frottant du haut vers le bas, récupérant la mouille accumulée. Je remontais puis redescendais très bas jusqu’à l’anus. Ainsi je me faisais jouir. Je gémissais. Ça devait l’excité. J’entra pas mes doigts dans ma chatte, je voulais plutôt sa queue. Alors je pris en main sa bite toujours en érection. Je le branla. "Ahhh c’est bon" il dit. Je remuais mon cul. Puis je me mis droite, guidant sa queue vers mon vagin surement accueillant. Son bout toucha l’entrée de mes lèvres. Je jouais ainsi comme ça, faisant monté en moi des jouissances folles. Puis on commença à entré sa bite dans mon trou en même temps. Quel pied, trop intense et excitant. J’en tremblais. J’étais trop ailleurs pour me faire prendre comme ça, par mon frère. Je restais ainsi en train de gémir. Je me pénétra, mais doucement. Il était plutôt calme. Ça allais glissé trop bien, me dis-je. Sa bite entra en moi, ça m’écartais bien mes parois vaginal. Son bout entra en moi puis la moitié de sa bite glissa le long de mon trou. Toujours doucement, des vas et viens au ralentit. De plus en plus profond, de plus en plus intense. Je l’entendais gémir, moi jouir. "Ahhh... p’tain..." Puis il s’arrêtait des fois en moi. Puis sa bite était en moi, au plus profond. Mes fesses était en contact avec son entre cuisse. Quel pied. Je ne faisais que gémir, je remuais mon cul, je sentais bien sa queue. Lui il était en train de prendre son pied en donnant des coups de rein, forçant à laissé sa tige au fond de mon trou. Il se leva par la suite cessant cette position moyenne pour lui, je pense. Je me mise directement en levrette, coude en biais sur le lit, mains croisées. Rien que d’y penser je mouillais sur le coup, je fermais les yeux, aller vas y ça va être trop bon comme ça. Cul à l’air prête à me faire prendre par mon frère. Il se leva, sa bite heurta mes fesses. Les genoux sur le lit, il posa ses mains sur le bas de mes hanches. Encore un peu ça va être bon je sens... Je tremblais, je mouillais moyennement sur le coup et je transpirais. Je mis mes cheveux sur le côté de ma nuque, j’étais si prête, oubliant tout le reste. Sa bite était prête, si prête, à s’introduire dans ma chatte humide, et déjà ouverte entièrement pour lui. Je voulais me donné dans cette position comme jamais, en espérant hypocritement qu’il me fasse jouir à en avoir des orgasmes.
