Après que ma soeur soit parti de ma chambre, je commence mes devoirs. Je travaille pendant une bonne heure et j’entends mon père qui pousse la porte d’entrée. Je ferme mes cahiers et descend rapidement les escaliers pour aller dire bonjour à mon père. Il est dans la cuisine en train de discuter avec ma mère et quand il me voit arriver dans l’embrasure de la porte, il laisse échapper un sourire éclatant. Il faut savoir que mon père ne m’en pas beaucoup voulu que je redouble ma terminale même si il m’a poussé à travailler encore plus, mais il a toujours su me réconforter et me soutenir quand c’était le moment. Quelques minutes plus tard, le couvert est mit et on commence à manger. Directement, mon père commence à parler du week-end en amoureux qu’ils vont passer, ma mère et lui. J’en étais sûr ! Tout d’un coup je me sentis joyeux, je pense que ma soeur a compris la même chose que moi puisqu’elle me lance un regard tout plein de sous-entendus. Le repas se termine tranquillement, je vais directement me coucher et dis au revoir à tout le monde sauf à ma soeur qui décide de me suivre dans les escaliers prétextant avoir oublier son portable dans sa chambre. Arrivée en haut de l’escalier avant moi, elle se retourne pour voir si nos parents peuvent nous voir et dès qu’elle se rend compte que personne n’est là, elle me roule la pelle du siècle, par automatisme je prends ses fesses bien ferme entre mes mains et commence à les malaxer mais elle s’arrête et me souris en me disant : - On aura tout le temps pour faire ça ce week-end Antoine. Elle se détacha de moi et partit en ricanant. J’avais vraiment hâte d’être à vendredi soir... La fin de la semaine passe relativement vite, je suis vraiment excité par ce qui m’attend ce week-end. En rentrant à la maison, j’arbore un sourire joyeux et ma mère est contente de me voir comme ça apparemment. — Pourquoi souris-tu comme ça ? Tu as eu une bonne note ? Quelle réplique agaçante... Même si je travaillais de mieux en mieux, ma mère était toujours là pour me rappeler que je n’avais pas atteint mes objectifs au bon moment. Je lui réponds par l’affirmatif et file dans ma chambre. Comme à mon habitude, je travaille un peu chaque soir mais je suis vraiment impatient d’entendre la porte d’entrée claquer !Mon souhait se réalise au bout d’un heure. Je descends pour voir mon père et je remarque qu’il est déjà en train de charger la tonne de valises de ma mère. Je ricane et je lui demande si ils partent bientôt. — Oui, je vais rouler de nuit pour arriver le plus tôt possible comme ça on aura le temps de se reposer avant de commencer notre week-end ! Alors que mon père parle toujours, je sens une présence dans mon dos. Je me retourne et tombe nez à nez avec Jessica, à voir ses yeux je pense qu’elle est aussi impatiente que moi de voir nos parents partir. Quelques minutes après, la voiture est chargée est notre mère nous donne les dernières recommandations. — Si vous avez un problème appelez-nous directement, j’ai fais le plein de courses pour que vous teniez pendant le week-end, je pense qu’il y en aura assez. Antoine n’oublie pas de travailler ce week-end et toi Jessica pas de sorties avec tes copines en notre absence ! Jessica mima son dépit mais au fond d’elle, elle s’en fiche largement de ne pas sortir avec ses copines. Fin bref. Nos parents viennent de partir et on se retrouve tous les deux dans la maison. Directement, Jessica s’approche de moi et m’embrasse. Je répond à son baiser et l’emmène vers le canapé. On s’allonge dessus en continuant de s’embrasse, je sens déjà ma gole venir. Pas de temps à perdre, je commence à soulever le t-shirt de ma soeur et je lui malaxe les seins, elle de son côté commence à déboutonner mon pantalon en me touchant la queue. On se retrouve tous les deux en sous-vêtements. Jessica prend les choses en main en se penchant vers mon boxer, elle me masturbe par dessus quelques secondes mais ne pouvant pas résister, m’enlève mon boxer. Je bande déjà comme un taureau et elle commence à me lécher le gland pendant que je lui malaxe les seins. Ayant pris l’habitude de ma queue, elle s’enfonce plus profondément que la dernière fois et commence à faire des va et viens dans sa bouche. Je l’aide en donnant des coups de reins et elle avance sa main gauche vers mes couilles pour me les malaxer. J’adore ça ! Elle continue pendant quelques minutes, puis c’est à mon tour de lui donner du plaisir. Elle s’allonge sur le dos et écarte les cuisses. Je m’approche de sa chatte qui est déjà bien mouillé et commence à jouer avec son clito. Je tente de rentrer un doigt et à mon plus grand bonheur il rentre tout seul, je continue jusqu’à en mettre quatre dedans mais apparemment c’est déjà trop pour elle puisqu’elle gémit de plus en plus fort. J’arrête mon avancer et commence à faire des vas et viens tout en m’amusant avec son clito. J’accélère la cadence et ma soeur commence à gémir de plus en plus fort jusqu’à jouir. Sa cyprine coule sur mes doigts et elle s’approche de moi pour me les lécher. — Et si on commençait les choses sérieuses ? Elle me pousse contre le dossier du canapé et passe ses jambes sur mes côtés. Elle prend ma bite en main et s’enfonce dessus violemment ce qui lui sort un profond gémissement. Elle commence à faire des vas et viens, tout doucement, en m’embrassant. Mais je ne suis pas le genre de mec à attendre bien patiemment que la femme fasse son boulot donc je m’agrippe à ses hanches et lui donne la cadence à tenir à coup de reins. Elle commence à gémir de plus en plus fort tandis qu’elle me chevauche. J’aime pas être en dessous donc je lui propose de la prendre en levrette ce qu’elle accepte. En cette position, j’ai une vue imprenable sur son œillet que je commence à titiller tout en butant contre le fond de sa chatte. Ma soeur est vraiment une salope ! Elle se déhanche sur ma queue, s’enfonce dessus pour que je butte contre le fond de sa chatte, j’adore ça ! On continue quelques minutes puis je sperme au plus profond d’elle. Tout d’un coup je suis pris de panique, j’ai oublié de mettre une capote ! Mais ma soeur semble m’entendre et se retourne, toujours avec ma queue au fond d’elle, et me dit : — T’inquiètes je prend la pilule. Je pousse un soupir de soulagement et me détache d’elle. — Je vais prendre une douche, on remet ça dans pas longtemps. Cette fois, tu vas te faire sodomiser ! Ma soeur me regarde partir avec un regard mi-apeurée mi excitée... A suivre...
