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Le Jeu !

Chapitre 2

Niveau 1

Hétéro
— Bon, le jeu commence. Pour le niveau 1, je vais le faire maintenant. Comme ça, ce sera fait. Quand rentre ta mère ?— Dans une quinzaine de minutes il me semble.— Parfait. Quand elle arrive, tu te caches et tu me laisses faire. Il ne faut pas qu’elle sache que tu es là.— OK...
Les minutes passent vite et les clés de la maison dans la serrure se font entendre. Manuel fait signe à Angelo d’aller se cacher. Il part dans la cuisine, la porte presque fermée pour pouvoir regarder ce qui va se passer. Manuel reste tranquillement sur le canapé, attendant que sa proie arrive.
Francesca est une immigrée italienne. Elle est arrivée en France quand elle avait une dizaine d’années. Aujourd’hui, elle en a 45. Elle est divorcée du père de son fils, depuis maintenant cinq ans. C’est une très belle femme de taille moyenne avec une bonne corpulence. Un fessier toujours bien ferme et entretenu, de gros nichons, eux aussi bien fermes, un 95D, qui ne tombent pas malgré leurs tailles, de belles jambes galbées. La peau mate, cheveux longs et noirs et ses yeux sont marrons. Un joli nez droit et des lèvres pulpeuses qui donnent envie de l’embrasser. Elle a beaucoup de charme et impose le respect. Habillé généralement en tailleur avec une veste.
Elle entre dans le salon, et se bloque durant deux secondes en voyant Manuel, pianotant sur son téléphone portable, assis sur son canapé en cuir. Ce dernier ne l’a pas vu, car elle est derrière lui, mais il a entendu ses pas. Il fait comme s’il n’avait pas remarqué sa présence.
— Manuel, que fais-tu ici ? Où est Angelo ?— Oh, Francesca, vous allez bien ? dit-il en se retournant.— Je ne t’ai jamais permis de m’appeler par mon prénom, il me semble. Pour toi, c’est madame Antognini. Et tu n’as pas répondu à ma question.— Il est parti chercher quelque chose.— Et toi, tu es resté seul chez moi ?— C’est que, Francesca, je voulais prendre de vos nouvelles. Lui répond-il, faisant exprès de la rappeler par son prénom.— Je n’en ai rien à faire. Maintenant, pars de chez moi et arrête de me manquer de respect.— Oh non, je suis sûr que tu veux que je reste.— Pardon ? Et pour quelle raison je veux que tu restes… petit con ?— Pour ça.
Durant la conversation, Francesca s’est déplacée pour se retrouver devant le jeune homme qui n’a pas bougé d’un iota. Après sa dernière réponse, il se lève et sort son sexe d’un seul coup. Un long morceau de chair de dix-neuf centimètres, d’une belle grosseur et un superbe gland au bout. Elle écarquille les yeux en le voyant.
— Non, mais… pour qui tu te…— Oh ta gueule et suce ma bite !
Francesca reste figée de surprise par sa réponse et de son ordre. Cette façon de lui répondre totalement irrespectueuse aurait dû la rendre folle de rage et une paire de claques bien violentes sur sa gueule d’ange de macho, l’aurait remis à sa place.Mais non, au lieu de cela, après quelques secondes d’hésitation en fixant sa belle queue bandée, elle s’agenouille devant lui et gobe son gland avant de le pomper avidement.
Angelo regarde sa mère faire une pipe à son meilleur ami qu’elle déteste pourtant profondément. Il est abasourdi. Comme lui a dit Manuel, il lui a mis sa queue dans sa bouche en moins de quinze secondes. Sa queue qui justement, se fait bien engloutir. Elle n’utilise même pas ses mains et enfonce la moitié de son sexe en érection dans sa bouche, puis les trois quarts avant de lui faire une gorge profonde.
Manuel lui prend sa longue chevelure noire, comme une queue-de-cheval, et commence à lui baiser la bouche sans ménagement. De gros ‘glorcks’, ‘blorps’ et compagnie résonne dans la pièce. Elle se laisse faire comme une pute tout en le regardant dans les yeux, d’un regard noir, sa salive coulant à la commissure de ses lèvres.
Il se retire et pose ses couilles rasées sur ses lèvres. Elle les lèche d’emblée. Sa langue s’enroule autour, les englobe. Puis elle les gobe dans sa bouche, prenant carrément les deux en même temps. Ensuite, elle les mordille. Elle y va franco et Manuel en grogne de plaisir. Puis il commence gifler son visage avec sa queue pleine de salive.
— Sors-moi tes nibards, pétasse !
Sans dire un mot, soumise, elle retire sa veste, tire sur son débardeur pour sortir ses gros nichons rangés dans un soutif en dentelle noire. Elle les retire des bonnets et sans attendre qu’on le lui ordonne, elle branle sa queue avec ses obus. Elle crache sur ses gros seins pour lubrifier le passage et le masturbe avec un bon tempo. C’est rapide et elle serre bien ses seins autour de sa queue.
Manuel se retire et tire sur les cheveux de Francesca pour la relever. Il la pousse sur le canapé et elle se positionne à quatre pattes. Il relève la jupe de son tailleur, décale son string pour lui rentrer d’un coup sec sa grosse queue dans sa chatte bien humide. Elle gémit comme une lionne en colère. D’entrée, il lui donne de très gros coups de bite dans sa chatte dégoulinante de cyprine, tellement elle est excitée. Il s’accroche à ses grosses fesses pour bien la défoncer.
— AH ! AH ! AHHH ! AHH !— T’aimes ça, salope !— AH ! AH ! Più forte, figlio di putanna !!! AH ! AH ! AH !!!
Il se met à claquer férocement son cul tout en la besognant comme un fou.
— AHH ! AHHH ! AHHHH ! Più veloce ! Merda ! Più veloce ! Sei un sfigato !!
Il continue de la baiser violemment pour l’entendre hurler de plaisir ou crier en italien. Il reconnaît assez vite les mots qu’elle emploie, car ils sont faciles à comprendre pour certains. Plus fort et plus vite par exemple. Le reste, ce sont des insultes. Il les reconnaît, car il avait demandé à Angelo de les lui apprendre. Il continue de lui limer férocement sa chatte, mais il arrête de lui claquer ses fesses, car il vient de lui tirer ses cheveux. Enroulés autour de sa poigne, il en a le contrôle et il les tire avec violence. Cela doit lui faire très mal, mais cela semble la rendre folle de plaisir.Elle hurle davantage, ses yeux sont écarquillés, son teint est rouge et elle bave sur son menton.
— Alors, tu n’attendais que ça de te faire démonter par ma grosse bite, hein, chiennasse !?— VAFFANCULOOOOO ! AHHHHHHHH !— T’es sûre de ça, petite chienne ?— UOMO DI MERDA ! SCOPA ME E CHIUDI LA BOCCA ! AHH ! AHH ! 
Manuel comprend l’insulte, mais aussi la phrase. Elle vient de lui dire de la baiser et de fermer sa gueule. Le terme ‘scopare’ signifiant baiser étant aussi connu après l’avoir demandé à Angelo. Il en a cependant mare de son attitude. Il lâche ses cheveux et pousse sur son dos. Elle pose sa tête sur le canapé et il pose son pied dessus. Il est littéralement entrain de la baiser en levrette, en lui écrasant le visage avec son pied. Elle grogne de plus en plus fort, mais pas que de plaisir. En cet instant, ce garçon qu’elle déteste, la transformée en salope soumise.
— Alors, tu l’ouvres plus ta sale gueule maintenant, grosse pute !— RHAAAAA ! RHAAAAA ! GGGRRAAAAH !
Il continue de la baiser avec vigueur sous les yeux de son fils Angelo, qui regarde depuis une bonne vingtaine de minutes, sa chère maman si stricte et autoritaire, se faire démolir et humiliée comme une pute des bas quartiers. Et qui plus est, il la voit jouir comme une véritable salope. Et ce n’est pas encore fini.
Manuel la retourne comme une crêpe pour la baiser en missionnaire sur le canapé. Mais il quitte sa petite chatte pour lui péter le cul. Encore une fois, sans préparation, d’un coup sec, sa bite dégoulinante de cyprine perfore son anus et s’enfonce dans son trou du cul étroit.Il l’encule avec rage en claquant ses couilles sur ses fesses.Francesca pratique bien la sodomie, mais c’est la première fois qu’elle se prend sans préparation une grosse queue dans son cul et sans lubrifiant. Heureusement que sa bite était bien trempée.Elle gémit de rage, de douleur, mais rapidement de plaisir. Il suce ses gros seins qui remuent sur son buste, crache dessus, les lèches encore, puis les claque violemment. Il lui donne ensuite une gifle sur la joue.
Elle hurle de colère, mais le plaisir que sa queue lui procure en défonçant son trou du cul et sa condition de soumise, l’empêchent de se révolter et elle se laisse faire. Il finit par poser sa main sur sa gorge et il la serre. Il l’étrangle doucement tout en l’enculant toujours violemment. Francesca n’en peut plus, elle en jouit une seconde fois en gueulant encore plus que la première fois.
Il se retire de son trou du cul et la tire par ses cheveux pour qu’elle s’agenouille par terre. Il se branle rapidement avant de lui envoyer neuf jets de sperme sur sa figure et sur ses seins. Il se recule, pour mieux contempler son œuvre et s’en délecter. Après plusieurs secondes, Francesca émerge de son orgasme et se relève. Elle lui donne un regard d’une violence assourdissante.
— Maintenant, casse toi de ma baraque !.
Même avec du sperme bien épais plein la tronche et les nichons, elle reste imposante. Mais Manuel en rigole plus qu’autre chose, vu ce qu’il vient de lui faire.
Elle quitte la pièce en boitant, le laissant seul. Il se rhabille tranquillement. Puis, il se dirige vers la cuisine.
— Er voilà mon pote ! Niveau 1 réussi. Bon, on se voit demain…
Angelo ne répond pas, totalement perdu, sans voix, blanc comme un cachet d’aspirine. Il regarde son pote quitter sa maison en réalisant qu’il a bel et bien réussi à se taper sa mère et qu’il vient de passer au niveau 2.
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